Motscroisés. Temps perdu et objets trouvés. Tristan Malavoy-Racine 25 mai 2011. L'attente. Elle fait partie du voyage autant que la découverte, l'imprévu, l'émerveillement. Attente au comptoir d'enregistrement de l'aéroport, puis aux contrÎles de sécurité. Attente avant de monter dans l'avion, dans la cabine avant le décollage, et plus
Le Deal du moment -33% Jumbee Roundnet â Jeu de plein air Ă ... Voir le deal ⏠MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet C'est reparti pour un tour... Mer 31 Oct 2007 - 2029 [ RP libre - 1er post pour Liz ]Dean - JOHN !AllongĂ© sur le dos dans son lit, un sourire aux lĂšvres, Johnny Dean Corso ne bougea pas d'un pouce. Oui, il Ă©tait Ă©veillĂ©. Oui, il avait entendu son pĂšre. Et oui, il avait envie de le faire chier. Pourquoi ? Oh, par simple plaisir. Parce-que celui-ci, depuis qu'il Ă©tait avec sa nouvelle compagne, essayait de la jouer autoritaire. Mais... Dean Corso n'avait jamais Ă©tĂ© douĂ© pour jouer son rĂŽle de pĂšre. Ce qui se rĂ©pĂ©rcutait sur le comportement de son fils... PaumĂ©, on aurait dit que Dean n'avait jamais vraiment compris ce que c'Ă©tait que d'Ă©lĂšver un gosse, et dĂ©sormais un ado. TrĂšs souvent absent, il n'avait jamais eu de contrĂŽle sur son fils rebel. Ce n'Ă©tait pas maintenant que cela commencerait... Et surtout pas pour faire bonne figure devant Liz et sa mĂšre. C'est donc, tranquillement allongĂ©, les bras croisĂ©s derriĂšre sa tĂȘte et une clope entre les doigts que John Ă©coutait la voix mĂ©lodieuse de son cher - JOHN !John - Allez, encore un coup...Ricana le jeune Serpentard, tirant une taffe. La musique s'Ă©levait doucement de sa radio. C'Ă©tait un bon rock, comme il les - JOOOHN ! C'EST LA DERNIERE FOIS !John tourna paresseusement la tĂȘte vers son reveil. Il Ă©tait 0830. Voila une demi heure qu'il devait ĂȘtre debout, Ă©tant donnĂ© que le train partait Ă 0900. Mais il fallait se lever... Ils iraient Ă la gare en voiture. Heureusement, ils n'habitaient pas loin de la gare... Rester trop longtemps dans un habitacle si petit avec son pĂšre lui donnait la nausĂ©e. Grognant Ă l'idĂ©e de se lever, il chercha Ă tĂąton sa baguette magique, posĂ©e sur sa table de chevet. une fois en main, il agita nĂ©gligemment sa baguette, et sa fenĂȘtre s'ouvrit en bruit mat. D'une pichnette, il jeta sa clope au dehors. Son pĂšre l'appela de nouveau. Soupirant, il se leva. Il avait la flegme... et pourtant, mourrait d'envie de retourner au chateau. Oh non, ce n'Ă©tait pas pour les cours, quelle drĂŽle d'idĂ©e... Non, c'Ă©tait pour ĂȘtre de nouveau dans son Ă©lĂ©ment L'Ă©cole voulait dire Roy, Claire, Atreus, dĂ©sormais Liz, et Key... Ainsi qu'un nombre infini de conneries Ă accomplir, tout au long de l'annĂ©e. Que du levant energiquement, John alla ouvrir sa porte. Torse nu, ne portant qu'un bas de pyjama, il se pencha au dessus des escaliers, s'adressant Ă son pĂšreJohn - Hey papa ! T'aurais pu me rĂ©veiller ! Mon rĂ©veil Ă pas sonnĂ© !Sourire. Son pĂšre gueulait, balbutiant des insultes incomprĂ©hensibles adressĂ©es Ă son cher et tendre fils. Provocation. Parce-que dĂšs le rĂ©veil, john se devait de faire chier son monde. Rien ne lui donnait plus de satisfaction. La porte d'en face s'ouvrit. Liz, dĂ©ja prĂȘte, en sortit, semblant surprise que John soit encore vĂȘtu ainsi. Il se contenta de lui sourire, amusĂ©, avant de retourner Ă sa chambre. Ce n'est qu'aprĂšs sa douche et un petit dĂ©jeunĂ© qu'ils filĂšrent, leurs nombreuses valises en main. Le trajet en voiture fut assez Ă©nĂ©rvant pour John. En effet, le dĂ©bat de la maison de Liz avait Ă©tĂ© lançé. Etant nouvelle cette annĂ©e, en sixiĂšme annĂ©e, ils s'Ă©taient questionnĂ©s sur la maison dans laquelle elle serait - Je vous dis qu'elle sera Ă - Tant qu'elle n'est pas Ă Serpentard...John - Les Serpentards te posent un problĂšme ?Dean - Je suis dĂ©solĂ© John, mais ce n'est pas une fiertĂ© d'ĂȘtre la-bas... John - J'en ai rien Ă branler de ta mĂšre de Liz paru choquĂ©e, il le vit dans son regard Ă travers la mirroir dĂ©pliĂ© devant elle. Cependant elle ne dit rien. Et si elle avait dit quelque chose, s'aurait Ă©tĂ© pareil elle n'Ă©tait pas sa mĂšre. John, et maintenant qu'il Ă©tait majeur, se sentait plus libre que jamais. Le reste du voyage en voiture se fit dans le les Serpentards Ă©taient trĂšs fiers d'ĂȘtre dans cette maison, et par cela, se consideraient mieux que les autres. Ce n'Ă©tait pas le cas de John. Il ne se considĂ©rait pas Serpentard. Ni Poufsouffle, Gryffondor ou Serdaigle d'ailleurs. Rien que l'idĂ©e d'ĂȘtre rangĂ© dans une catĂ©gorie le dĂ©goutait. Mais le fait que son pĂšre le rabaisse ainsi avait Ă©nĂ©rvĂ© John, et l'avait poussĂ© Ă dĂ©fendre sa maison, bien qu'il ne se sente en aucun point rattachĂ© Ă elle. C'Ă©tait lĂ qu'il dormait, point Ă©tait 0855 lorsqu'ils traversĂšrent la barriĂšre magique de la Voie 9 3/4, qui sĂ©parait le monde des sorciers Ă celui des moldus. Arrivant sur le quai bondĂ© de monde, John jeta un oeil au banc sous une publicitĂ© pour le nouveau balai sortit pendant l'Ă©tĂ©. C'Ă©tait lĂ qu'il Ă©tait assis quand il avait vu Key, il y avait un mois de cela...La cheminĂ©e du train siffla, rappelant aux deux Ă©lĂšves qu'il Ă©tait temps de monter. John regarda Liz dire au revoir Ă sa mĂšre, puis ils s'Ă©loignĂšrent vers le train, John n'ayant pas un regard pour son pĂšre, qu'il ne verrait sĂ»rement pas avant l'Ă©tĂ© et John montĂšrent dans le train, et longĂšrent le petit couloir Ă la recherche de compartiments de prĂ©fĂ©rence libres. Lorsqu'ils en trouvĂšrent un, John pĂ©nĂ©tra Ă l'interieur, entrainant sa demi-soeur. Ils hissĂšrent leurs valises dans les casiers au dessus des bancs et s'assirent prĂšs des vitres. John, instinctivement, sortit une clope qu'il se cala entre les lĂšvres, reprenant leur discussion lĂ oĂč elle s'Ă©tait brutalement arrĂȘtĂ©e dans la voiture- Ca s'rait une bonne chose que tu sois Ă Poufsouffle. J'ai des amis lĂ -bas. -Voyant le regard qu'elle lui lancait, il prĂ©cisa, un sourire coupable aux lĂšvres- des amis frĂ©quentables. Ils devraient venir ici d'ailleurs...Distraitement, aprĂšs avoir allumĂ© sa cigarette, il regarda vers le couloir, derriĂšre la vitre du compartiment. Claire et Roy avaient l'habitude de le rejoindre dans le train... Que fouttaient-ils ? Le train s'Ă©branla et on pu voir dans le couloir, les derniers Ă©lĂšves qui disaient au revoir Ă leurs parents. Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Jeu 1 Nov 2007 - 1721 AllongĂ©e sur son lit, les yeux fixĂ©s sur les fissures du plafond de sa nouvelle chambre, Liz Ă©coutait le vacarme de la rue et les voix de l'appartement des Corso. Aussi le sien Ă prĂ©sent. Il y a quelques heures, elle s'Ă©tait levĂ©e et avait entrouvert la fenĂȘtre de sa chambre. Quelques mois auparavant, elle aurait distinguĂ© les hautes herbes, les fleurs et la rosĂ©e, elle aurait entendu le chant mystique de sa terre qu'elle aurait prolongĂ© en son coeur. Mais ici, tout n'Ă©tait que bitume, tristesse et pollution. Les quelques arbres, effeuillĂ©s, rabougris Ă©taient prisonniers de goudron et de grilles mĂ©talliques. Le bruit sourd des voitures couvrait l'agonie des oiseaux. Elle en voudrait longtemps Ă sa mĂšre de l'avoir trainĂ©e dans ce pays qu'elle ne considĂ©rait absolument pas comme le sien. Son chat Solembum partageait sans doute sa dĂ©tresse, ils Ă©taient expatriĂ©s tous les deux. Liz avait fermĂ© les yeux et s'Ă©tait rallongĂ©e, lasse, pour sentir la chaleur rĂ©confortante de son chat contre son corps. DEAN - JOHN !Liz ne put retenir un sourire. Elle caressa distraitement son chat, couchĂ© sur son ventre en pensant Ă John Corso. Elle le dĂ©couvrait chaque jour un peu plus. Il Ă©tait la mauvaise frĂ©quentation personnifiĂ©e. L'unique ambition de son existence semblait de faire rager son entourage quand il avait fait colĂ©rer son pĂšre pendant des heures il avait rĂ©ussi sa journĂ©e. La mĂšre de Liz le considĂ©rait comme la pire des nuisances,et pour cela, Liz l'apprĂ©ciait plus encore. Bizarrement dĂšs le dĂ©but, le courant Ă©tait passĂ© entre eux. Un lien Ă©trange s'Ă©tait crĂ©e sans qu'elle s'en rende vraiment compte. Ils Ă©taient complices. Pourtant en y pensant ils avaient peu de points communs si ce n'est de ne pas supporter leur parent respectif...DEAN - JOHN !DĂ©cidemment il commençait dĂ©s le matin! La radio Ă©tait allumĂ©e chez John et faisait profiter d'un rock tout le premier Ă©tage..Liz se leva enfila un sweatshirt gris, dĂ©mĂ©la rapidement ses cheveux et rassembla ses valises dĂ©jĂ prĂȘtes. Elle soupira sa mĂšre ne manquera pas de lui faire une remarque sur sa tenue nĂ©gligĂ©e. En hĂąte elle mit du rouge Ă lĂšvre et traça un trait noir sous ses yeux. Elle ne s'embĂȘterait pas plus longtemps afin de plaire Ă sa mĂšre. Elle oublait quelque chose... Ses yeux passĂšrent en revue la petite piĂšce trĂšs sobrement dĂ©corĂ©. Le bureau oĂč s'empilait des objets et papiers hĂ©tĂ©roclites, une petite commode, un miroir simple accrochĂ© au mur, le lit; oĂč se roulait allĂšgrement son chat. DEAN - JOOOHN ! C EST LA DERNIERE FOIS !LIZ - Ne t'installe pas mon chat. On ne reste pas; et remercie le ciel pour ça..En tenant la cage du chat, son sac et deux petites valises, elle ouvrit avec difficultĂ© la porte et tomba sur Corso, torse nu, en bas de pijama. Oh surprise..Liz haussa lĂ©gerement un sourcil, marquant ainsi son Ă©tonnement mais sans Ă©xagĂ©rer. Tout Ă©tait dans la mesure. Corso lui sourit d'un air amusĂ©, aucun mot n'avait besoin d'ĂȘtre Ă©changĂ©. Secouant la tĂȘte, Corso Ă©tait inimitable, Liz descendit, accueillit les remontrances de sa mĂšre par rapport Ă sa tenue innapropriĂ©e et dĂ©jeuna en vitesse. Ils prirent tous les quatre la petite voiture du pĂšre de Corso pour se rendre Ă la conversation du trajet concernait la maison de Liz. Liz prenait soin d'afficher un air de suprĂȘme indiffĂ©rence, ne se mĂȘlant pas Ă l'Ă©change animĂ© des dĂ©terminait la couleur de ses draps et de son Ă©charpe, la belle affaire...John - Je vous dis qu'elle sera Ă - Tant qu'elle n'est pas Ă Serpentard...John - Les Serpentards te posent un problĂšme ?Dean - Je suis dĂ©solĂ© John, mais ce n'est pas une fiertĂ© d'ĂȘtre la-bas... John - J'en ai rien Ă branler de ta sourit intĂ©rieurement. John avait un don pour scandaliser sa mĂšre. Liz toussota, demandant expressement Ă sa mĂšre de ne pas rĂ©agir. Il ne manquait qu'un conflit ouvert entre John Corso et Gloria Palmer pour donner la derniĂšre touche au tableau de la famille parfaite... Son Ă©tonnement ne connu pas de limite quand aprĂšs s'ĂȘtre enfoncer dans un mur de brique, elle dĂ©couvrit un train magnifique, assiĂ©gĂ© par une foule d'Ă©lĂšves plus ou moins jeunes, et une foule de parents, plus ou moins inquiets. Elle dit rapidement aurevoir Ă sa mĂšre et Ă son beau pĂšre; ils se porteraient bien mieux sans la prĂ©sence des deux adolescents. Et rĂ©ciproquement. Son demi - frĂšre l'entraĂźna vivement dans le train, Ă la recherche d'un compartiment vide. La vue de tous ses Ă©lĂšves qu'elle ne connaissait pas nouait le ventre de Liz. Sa tĂȘte lui tournait. Elle se laissa tomber sur la banquette du compartiment vide dans lequel John et elle avaient pĂ©nĂ©trĂ©s. John l'aida Ă monter ses bagages dans les casiers prĂ©vus Ă cet effet. Elle conserva son chat prĂšs d'elle. Sa prĂ©sence la rassurait et lui permettait de conserver une attitude indiffĂ©rente Ă ce qui l'entourait. Son regard se perdit au dehors, derriĂšre la vitre embuĂ©e. Le paysage serait bientĂŽt magnifique, Ă ce qu'elle avait pu entendre dire. Corso, une cigarette entre les dents, repris la conversation commencĂ©e dans la Ca s'rait une bonne chose que tu sois Ă Poufsouffle. J'ai des amis lĂ -bas. Liz lui lança un regard narquois. Si ses amis Ă©taient Ă son image, elle n'Ă©tait pas sĂ»re d'ĂȘtre enthousiaste...Corso perçu son ironie et rectifia rapidement, - des amis frĂ©quentables. Ils devraient venir ici d'ailleurs... Il scruta le couloir, sans doute en espĂ©rant voir arriver ses amis. Liz dĂ©glutit difficilement. Rencontrer d'autres personnes n'Ă©tait dĂ©cidemment pas son fort, mais ça, comme le reste, ça restait entre elle et son chat. Roy FriderichNombre de messages 125Maison PoufsoufleAge du Perso 17 ansDate d'inscription 23/09/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 5 Nov 2007 - 140 a tout essayĂ© mais il gouterra par ce rythme,Roy fixait le plafond revassant sur tout et Ă©tĂ©? avait surtout rentrĂ©e?Elle s'annonçait pas derniĂšre annĂ©e Ă Poudlard se devait d'ĂȘtre plus il avait plein pouvoirune personne inconsciente l'avait nommĂ©e we go again...SolĂšne - Roy!Tu va ĂȘtre en retard!Roy - Mais non!Il est seulement 730!SolĂšne - La derniĂšre fois que tu as reglĂ© ton rĂ©veil c'Ă©tait en dĂ©cembre!Il est 830!Roy - PUTAIN DE MERDEUH!Roy sauta de son lit Ă toute vitesse,attrapant ses affaires Ă la va sauta par la fenĂȘtre vous excitez pas sa chambre est au rez-de-chaussĂ©e... et pris un taxi,se faisant gueulez dessus parce que son hibou avait pas vraiment supportĂ© d'ĂȘtre secouĂ© tel un sac Ă reçut un sms de Claire,surement une engueulade parce qu'il Ă©tait toujours en retard...Il arriva enfin Ă le gare et courut le plus vite qu'il put vers la voie 9 3/4,le Poudlard Express commençait Ă - BANDE D'ENFOIRES ATTENDEZ-MOAAAAAA!!!!Evidemment,les seuls qui l'Ă©coutaient se foutaient de le stress accumulĂ©e,blondinet pu compter sur une de ses meilleures amiesl' piqua un sprint de tarĂ© et sauta dans le Poudlard Express,rentrant directement dans un compartiment,brisant la fenĂȘtre de atterit sur la tĂȘte,son pied soutenant la cage de son hibou,sa valise s'Ă©tait ouverte sous le leva les yeux oĂč les baissa plutĂŽt et vit John en compagnie d'une jolie - Oh salut John...Je dĂ©range pas au moins?... InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 5 Nov 2007 - 1632 - ROOOY ! ESPECE D'ABRUTI ! DEPECHES-TOI !John, recrachant sa fumĂ©e, porta son regard sur le couloir Ă cĂŽtĂ© des compartiments, d'un air vaguement interessĂ©. Il savait de qui venait la voix. Un, parce-qu'il l'avait dĂ©ja entendue un milliard de fois hurler, et deux parce-qu'elle gueulait contre Roy Friderich. Ce ne pouvait ĂȘtre que Claire Storm. John sourit lorsque la rouquine s'arrĂȘta devant leur compartiment, dos Ă eux, tempestant contre quelqu'un au RAMENES TES FESSES ICI ! PAUVRE IDIOT FAUT TOUJOURS QUE TU SOIS EN RETARD ! JE TE PREVIENS SI TU RATES LE TRAIN JE TE BROIE LES TRIPES !John pouffa de rire, sachant trĂšs bien que Roy, qui cavalait certainement comme un con Ă cĂŽtĂ© du train, ne pouvait entendre la lionne qui s'Ă©gosillait Ă lui hurler dessus. Reportant son attention sur Liz qui, et c'Ă©tait comprĂ©hensible, regardait Claire d'un air bizarre, il se justifia- BANDE D'ENFOIRES ATTENDEZ-MOAAAAAA!!!!- J'ai dis qu'ils Ă©taient frĂ©quentables... j'ai pas dis normaux...Il y eu un grand fracas un bruit de verre brisĂ©, suivit d'un cri aigu de Claire, et un bruit sourd, comme si quelqu'un Ă©tait tombĂ© par terre. John, qui avait repliĂ© ses jambes sur le fauteuil juste Ă temps pour ne pas se les faire broyer par l'atterissage du blond, baissa les yeux sur lui, faisant les grands yeux. Pour une entrĂ©e fracassante, c'Ă©tait fracassant... Heureusement, les bouts de verre n'avaient blessĂ©s personne...- Oh salut John...Je dĂ©range pas au moins?...- Oh non, du tout... Bienvenue Roy. Oublies pas d'essuyer tes pieds Ă l'entrĂ©e, faudrait pas que tu abimes le train...... Liz, voici Roy... dans toute sa splendeur. Et l'autre tarĂ©e qui crit...- QUOI L'AUTRE TAREE ? C'EST MOI LA TAREE ? ET CE SOMBRE IDIOT DE BLOND IL EST PAS TARE LUI ?? ROY JTE DETESTE ! TU M'A FAIS PEUR ESPECE DE...- Voici Claire. Elle est adorable tu verras. Toujours trĂšs calme et discrĂšte... trĂšs sereine comme fille...- J't'emmerde... -Dit-elle avec un sourire, baissant le ton de sa voix, se rendant compte que tout le monde les regardait dans le Reparo. Les morceaux de verre revinrent Ă leur place, intactes, comme si Roy n'Ă©tait jamais passĂ© par lĂ . Claire repartit dans le couloir, pour disperser les spectateurs et revint dans le compartiment, donnant un coup de pied dans la jambe de Roy, qui la gĂȘnait pour passer. Elle vint s'asseoir Ă cĂŽtĂ© de John, soupirant. Celui-ci, mettant sa main comme pour se cacher de Claire, se pencha vers Liz et murmura, un sourire aux lĂšvres- C'est le couple le plus dingue du chateau...Claire la frappa, contestant qu'ils n'Ă©taient ni en couple, ni dingues. John lanca un regard Ă Liz qui en disait long. Il y avait de quoi avoir des soupçons dans les deux cas...- Au lieu de dire des conneries, tu pourrais peut-ĂȘtre nous prĂ©senter cette jolie fille que tu dragues, que tu vas encore mettre dans ton lit dans deux jours et jeter dans trois jours ?- C'est ma -Claire rougit, devenant presque aussi rouge que ses Hum... excuses-moi... je suis Claire Storm... et lui -elle lanca un regard noir Ă Roy- C'est Roy Friderich... Et tu est... ? Roy FriderichNombre de messages 125Maison PoufsoufleAge du Perso 17 ansDate d'inscription 23/09/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 5 Nov 2007 - 2033 Oh non, du tout... Bienvenue Roy. Oublies pas d'essuyer tes pieds Ă l'entrĂ©e, faudrait pas que tu abimes le train...... Liz, voici Roy... dans toute sa splendeur. Et l'autre tarĂ©e qui crit...-Oh nan elle est lĂ ?Un menu spĂ©ciale engueulade livrĂ©e en 2 secondes seulement sinon on vous rembourse lui donna la se releva qui lui avait pris de sauter comme ça?Enfin avec sa chance il aurait dĂ» se prendre le train en pleine poire...- Voici Claire. Elle est adorable tu verras. Toujours trĂšs calme et discrĂšte... trĂšs sereine comme fille...-Si t'es pas blond tu risques Au lieu de dire des conneries, tu pourrais peut-ĂȘtre nous prĂ©senter cette jolie fille que tu dragues, que tu vas encore mettre dans ton lit dans deux jours et jeter dans trois jours ?- C'est ma -Mes avait balancĂ© ça comme une plaisanterie mais il savait bien que la vie de famille des Corso n'Ă©tait pas ramassa un de ses caleçons,et enchaina avec le reste de ses affaires avant de fermer sa valises avec le veut dire que t'as pas encore Ă©tĂ© rĂ©partie?Je te prĂ©viens si t'arrives Ă Poufsoufle tu va avoir du mal Ă pioncer... -Dit-il en regardant la rouquine qui peu de temps avant avait parfaitement imitĂ© la sirĂšne d'une voiture de police- Mais au moins tu t'amuseras un Roy retrouva une bonne humeur Ă toute sa poussĂ©e d'adrĂ©naline et les engueulades,maintenant c'Ă©tait le moment qu'il avait attendu depuis deux mois... Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Mar 6 Nov 2007 - 1449 Une grande agitation secoua soudain leur compartiment. Une voix vocifĂ©rait tant qu'elle pouvait contre, apparemment, quelqu'un qui courait Ă cĂŽtĂ© du train. Ca ne pouvait ĂȘtre que les amis de son cher frĂšre. Elle dĂ©tailla la jeune fille rousse qui ne cessait de hurler, provoquant l'hilaritĂ© de Corso. Liz ne put s'empĂȘcher de fixer la rouquine d'un air interdit, ce que son frangin n'oublia pas de remarquer- J'ai dis qu'ils Ă©taient frĂ©quentables... j'ai pas dis normaux... Elle n'Ă©tait pas trĂšs grande mais en imposait beaucoup. Liz n'aurait jamais cru qu'autant d'Ă©nergie et de dĂ©cibels puissent venir d'une aussi petite personne. Autant dire qu'il valait mieux Ă©viter de la mettre en colĂšre. Le noeud qui nouait 'lestomac de Liz l'enserra un peu plus. Dans un Ă©norme fracas de verre brisĂ©, un jeune homme blond atteri au milieu du compartiment, Ă©vitant de peu de broyer les jambes de Liz et de salut John...Je dĂ©range pas au moins?...Liz demeurait abasourdie. EntrĂ©e en matiĂšre trĂšs naturelle pour quelqu'un qui se refusait d'emprunter les Oh non, du tout... Bienvenue Roy. Oublies pas d'essuyer tes pieds Ă l'entrĂ©e, faudrait pas que tu abimes le train...... Liz, voici Roy... dans toute sa splendeur. Et l'autre tarĂ©e qui crit...- QUOI L'AUTRE TAREE ? C'EST MOI LA TAREE ? ET CE SOMBRE IDIOT DE BLOND IL EST PAS TARE LUI ?? ROY JTE DETESTE ! TU M'A FAIS PEUR ESPECE DE...- Voici Claire. Elle est adorable tu verras. Toujours trĂšs calme et discrĂšte... trĂšs sereine comme fille...Liz sourit, l'ironie de Corso la dĂ©tendit un peu. Son regard passait de Roy Ă Claire avec une mĂȘme imperceptible apprĂ©hension. Elle passa ses doigts dans ses cheveux et soupira lentement, espĂ©rant se sourit, tout le monde, mĂȘme Liz, pouvait voir que la discrĂ©tion et le calme lui Ă©tait apparemment J't'emmerde... - Reparo. La fenĂȘtre du train parut comme neuve. La surprise de Liz ne connu plus de limite. SI on lui avait demandĂ© d'Ă©ffectuer un sort pareil, le rĂ©sultat aurait sĂ»rement Ă©tĂ© un magnifique vitrail reprĂ©sentant un berger menant les moutons dans une aurĂ©ole de lumiĂšre ou n'importe quelle bĂȘtise du genre. Les sorts banals lui Ă©chappaient. Chez elle les sorts Ă©taient appris de telle façon qu'ils avaient pour but d'embellir le rĂ©el. Et les principaux sorts Ă©taient en relation avec les couleurs ou les formes de la nature. Liz savait qu'elle possĂ©dait d'importantes lacunes comparĂ©e aux Ă©lĂšves anglais. Elle avait suivi une Ă©ducation diamĂ©tralement opposĂ©e dans son principe. Corso se pencha vers elle et lui mumura Ă l'oreille C'est le couple le plus dingue du chateau... Claire assura qu'ils n'Ă©taient ni en couple ni dingues. Corso lança Ă Liz un regard Ă©loquent auquelle elle rĂ©pondit par le mĂȘme regard. - Au lieu de dire des conneries, tu pourrais peut-ĂȘtre nous prĂ©senter cette jolie fille que tu dragues, que tu vas encore mettre dans ton lit dans deux jours et jeter dans trois jours ?Liz lança un regard narquois Ă Corso. DĂ©cidement il devait profiter d'une belle rĂ©putation...- C'est ma -Mes excuses-moi... je suis Claire Storm... et lui c'est Roy Friderich... Et tu est... ?Liz la regardait intensement. C'Ă©tait une drĂŽle de fille assez diffĂ©rente de Corso. Ayant passĂ© l'Ă©tĂ© avec lui, elle n'Ă©tait plus habituĂ©e Ă cette dĂ©bauche de paroles et d'Ă©nergie dispersĂ©e que reprĂ©sentĂ©e pour elle cette jeune fille, semblable Ă un Liz Palmer. Je suis nouvelle en 6eme annĂ©e... J'Ă©tais dans une Ă©cole de magie en Afrique du sud les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes... Elle tenta un sourire. Ca suffisait pour la dĂ©crire non? Roy l'apostropha en rangeant Ă la va vite ses affaires Ă©parpillĂ©esCa veut dire que t'as pas encore Ă©tĂ© rĂ©partie?Je te prĂ©viens si t'arrives Ă Poufsoufle tu va avoir du mal Ă pioncer... Mais au moins tu t'amuseras un peu!Elle Ă©changea un regard avec Corso. Lui aussi pensait que poufsouffle serait une bonne maison pour elle. Mais Ă©tait ce si important? De toute façon elle passerait son temps au parc et elle devrait tout dĂ©couvrir comme une petite de premiĂšre annĂ©e. Maintenant qu'elle Ă©tait en Angleterre rien ne lui importait vraiment...- Je ne sais pas dans quelle maison je serais.. Pas Ă serpentard je suppose..- elle jeta un regard en coin Ă son demi-frĂšre- Ca fait longtemps que vous vous connaissez tous les trois..?Elle tapota distraitement la cage oĂč son chat roupillait allĂ©grement en pensant qu'elle avait encore beaucoup Ă dĂ©couvrir Ă propos de Corso. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re C'est reparti pour un tour... Mer 7 Nov 2007 - 1725 - Liz Palmer. Je suis nouvelle en 6eme annĂ©e... J'Ă©tais dans une Ă©cole de magie en Afrique du sud les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes... - EN AFRIQUE ? Waoh ! Toi tu viens de loin ! Mais t'est pas nĂ©e la-bas je suppose... ?Alors que les filles parlaient des origines de Liz et de celles de Claire qui Ă©tait francaise John regardait dehors, silencieux. Un bon air de vieux rock dans la tĂȘte, il mourrait d'envie de jouer ce morceau qu'il connaissait par coeur Ă la guitare. John avait une vĂ©ritable passion pour la musique. Ce qu'aimait John pouvait facilement se rĂ©sumer en trois mots Clopes, filles, guitare. Accro aux trois, il se rĂ©vĂ©lait trĂšs bon dans les deux derniers...- Ca veut dire que t'as pas encore Ă©tĂ© rĂ©partie? Je te prĂ©viens si t'arrives Ă Poufsouffle tu va avoir du mal Ă pioncer... Mais au moins tu t'amuseras un peu!- Ah ca...- Je ne sais pas dans quelle maison je serais.. Pas Ă serpentard je suppose... - y eu un bref silence, puis Liz enchaina- Ca fait longtemps que vous vous connaissez tous les trois..?- Roy et moi on a fais nos trois premiĂšres annĂ©es Ă Beauxbatons, en France. AprĂšs, on Ă dĂ©mĂ©nagĂ© et comme le hasard fait bien les choses, on s'est retrouvĂ©s ensemble Ă Poufsouffle. Mais ouaip, sinon on se connait depuis l'Ăąge de 11 ans... Et John... C'Ă©tait en quatriĂšme annĂ©e je crois... ?- Ouaip. Quand tu as succombĂ© Ă mon charme fou pendant le cours de sortilĂšges... T'a quand mĂȘme mis deux mois avant d'accepter de sortir avec moi... Mais t'a quand mĂȘme Que veux-tu, on a tous fait des erreures dans notre J'te le fais pas dire...Elle le cogna de nouveau sur l'Ă©paule tandis qu'il pouffait de rire. Et oui... ils Ă©taient sortis ensemble. AprĂšs cela, un silence de quelques minutes s'installa, chacuns Ă©tant dans leurs J'me fais se leva si soudainement qu'il fit sursauter Claire qui tomba sur Roy avant de se redresser, gratifiant John d'un regard Ă©tonnĂ©. John Ă©tait un type, en gĂ©nĂ©ral, trĂšs mou. Ne bougeant que quand il le fallait, ne parlant que quand cela Ă©tait nĂ©cĂ©ssaire... mais il lui arrivait de pĂȘter son cable et alors la... Il enchainait les conneries et partait, seul ou non, dans ses dĂ©lirs. Il ne fallait pas se poser de questions sur le pourquoi, c'Ă©tait John, c'est tout. Pris d'un de ces petages de plombs, il se hissa sur la pointe des pieds pour prendre sa valise. Mais ce n'est pas elle qu'il prit. Hissant quelque chose se trouvant Ă cĂŽtĂ©, il sortit de la soute une housse de guitare. La housse de SA guitare. La posant sur la banquette, il fit glisser la fermeture et sortit son instrument. Il n'avait pas d'objet plus important pour lui que sa guitare. Noir et blanche, elle brillait de propretĂ©. Enfilant la laniĂšre autour de son cou, il enleva son collier une ficelle noir simple, passant dans un trou fait dans un mediator. Il prit le collier en pleine main, ne laissant dĂ©passer que le mĂ©diator entre ses doigts. Il sortit alors sa baguette de son autre poche et, la pointant sur son instrument, murmura, un sourire aux lĂšvres- priori, rien ne se passa. Mais il eut l'air satisfait de lui et jeta sa baguette lĂ oĂč il Ă©tait assis, calmement, quelques minutes plus tĂŽt. Il baissa les yeux sur son instrument et, guidĂ© par l'air dans sa tĂȘte, tappa quelques fois du pieds par terre, pour se donner le rhytme. Et il commenca Ă jouer...Liz n'avait encore jamais entendu John Corso jouer de sa guitare. VĂ©ritable virtuose de cet instrument, John grattait les cordes Ă une telle vitesse qu'on aurait pu croire qu'il Ă©tait le compositeur de ce morceau. On voyait, dans l'agilitĂ© de ses doigts, que John avait beaucoup d'annĂ©es d'entrainement derriĂšre lui. Le son quand Ă lui Ă©tait parfait. Nul besoin d'empli le sort lancĂ© emplifiait le son de l'instrument. Ainsi, il rĂ©sonnait dans le compartiment et certainement dans les voisins. Ce morceau avait tellement Ă©tĂ© travaillĂ© par le jeune homme que malgrĂ© la difficultĂ©, il Ă©tait jouĂ© Ă la perfection. Quand Ă John... Guitare en main, debout au milieu du compartiment, tappant du pied au sol... Il dĂ©gageait quelque chose de formidable. De magique. On voyait, on comprenait que John Ă©tait nĂ© pour jouer de la guitare. C'Ă©tait bien plus qu'une Ă©vidence. DĂ©gageant un de ces charisme encore plus dingue que dans son Ă©tat "normal", on aurait dit une star en concert. Se courbant pour effectuer les sons les plus difficiles, John Ă©tait Ă fond dans son truc. Accompagnant la musique des paroles, il chantait, d'une voix rauque, pas dĂ©sagrĂ©able. il Ă©tait mĂ©connaissable. Et Ă la fois... c'Ă©tait tellement lui... Attirant le regard sur lui, imposant, charismatique... tout cela s'Ă©tait really gets me high You know that's no lie She's so rock steady And she's always ready Whoa, Black Betty Whoa, Black BettyNĂ© pour jouer. Le rythme dans la peau, et du talent Ă revendre. En fait, c'Ă©tait la seule chose que John savait faire. En magie, il Ă©tait nul. Idem pour le sport. Mais la musique... touchant un peu Ă tout les instruments "rock", il maniait la guitare comme un chef. Claire, lorsqu'elle Ă©voquait ce don, l'appelait mĂȘme "le Dieu de la Guitare". Pour continuer sur Claire, elle Ă©tait assise et fixait John. Elle ne pouvait dĂ©tacher son regard de lui. Qu'est-ce qu'il Ă©tait beau quand il jouait... C'Ă©tait en le voyant jouer la premiĂšre fois, qu'elle avait craquĂ© pour lui...Et elle n'Ă©tait pas la seule. Dehors, un groupe de fille qui s'Ă©tait dĂ©placĂ© d'un compartiment Ă l'autre regardait John, gloussant, le dĂ©vorant des yeux. John, qui avait remarquĂ© leur prĂ©sence, et qui Ă©tait parfaitement conscient que son pouvoir de sĂ©duction Ă©tait d'autant plus fort quand il jouait, lancait des regards aux filles, ses regards ravageurs qui en avaient fait fondre plus d'une. Gloussant de plus belle, les filles rougissaient dĂ©sormais. John regarda alors Roy, amusĂ©, d'un regard du genre "prends-en de la graine". Puis il sourit aux filles, jouant les derniĂšres le morceau prit fin. Jouant la derniĂšre note, John cessa ensuite, sous les sifflets et les applaudissements de Claire. Les filles quand Ă elles, se dispersaient, rougissant d'avantage Ă l'idĂ©e qu'il pourrait leur parler, timides. Une d'elle resta cependant. La plus jolie et, visiblement, la plus sĂ»re d'elle. John posa sa guitare sur la banquette et alla ouvrir la porte du dortoir. Il lui dit quelque chose que les autres ne pouvaient entendre et elle rit. John lanca un regard Ă Roy. Entre gars, ils se comprenaient... cette fille Ă©tait top canon. John sortit du compartiment et se tourna vers les Je reviens... plus il ferma les portes et passa son bras sur les Ă©paules de la jeune fille, disparaissant de leur champ de vision. - Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... Cependant, Claire le comprenait. Avec la tĂȘte et l'assurance qu'il avait, il pouvait tout se permettre. Et alors quand il se mettait Ă jouer... Cependant, cette fois, il n'avait pas jouĂ© spĂ©cialement pour attirer des filles... non, ca c'Ă©tait un concours de circonstances... Non, il avait jouĂ© parce-qu'il se faisait chier, qu'il en avait envie, qu'il aimait bien jouer devant eux, et certainement pour montrer Ă Liz ce qu'il Ă©tait capable de faire. Car c'Ă©tait sa fiertĂ©... Et son ambition. John ne voulait pas de situation de famille plus tard, installĂ© dans une ville, avec un boulot fixe... Non, comme il avait dĂ©ja dit Ă Claire, il voulait vivre de sa musique, et voyager. En gros, se faire un nom dans le monde du rock pour pouvoir gagner sa vie grĂące Ă la musique. Et il en avait les respectueuse, tourna la tĂȘte vers sa guitare et, comme si c'Ă©tait la prunelle de ses yeux, la prit avec une infinie dĂ©licatesse pour la ranger dans sa housse, puis dans la soute non sans mal, Ă©tant donnĂ© sa petite taille, Roy du lui donner un coup de main, bien qu'il ne soit pas bien grand non plus. Reprenant place Ă cĂŽtĂ© de Roy, Claire posa les yeux sur Liz, J'espĂšre que sa rĂ©putation va pas te poser de problĂšmes Ă l'Ă©cole... -elle regarda Roy, puis de nouveau Liz, s' Il est pas vraiment aimĂ© au chateau... Il cherche et fou la merde partout oĂč il peut... Et mieux vaut ĂȘtre son ami que son ennemi... -Souriant, elle tourna la tĂȘte vers Rappelles toi Dakota l'an dernier... Roy FriderichNombre de messages 125Maison PoufsoufleAge du Perso 17 ansDate d'inscription 23/09/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re C'est reparti pour un tour... Mer 7 Nov 2007 - 2150 - Ca fait longtemps que vous vous connaissez tous les trois..?- Roy et moi on a fais nos trois premiĂšres annĂ©es Ă Beauxbatons, en France. AprĂšs, on Ă dĂ©mĂ©nagĂ© et comme le hasard fait bien les choses, on s'est retrouvĂ©s ensemble Ă Poufsouffle. Mais ouaip, sinon on se connait depuis l'Ăąge de 11 ans... Et John... C'Ă©tait en quatriĂšme annĂ©e je crois... ?- Ouaip. Quand tu as succombĂ© Ă mon charme fou pendant le cours de sortilĂšges... T'a quand mĂȘme mis deux mois avant d'accepter de sortir avec moi... Mais t'a quand mĂȘme Que veux-tu, on a tous fait des erreures dans notre J'te le fais pas dire...- Vive les contradictions... aimait la contradiction,mais quand on parlait de John,autant dire qu'elle l' le blond aimait la taquiner Ă se sujet...Il se gratta l'Ă©paule se remmĂ©mora sa premiĂšre rencontre avec 6 ans plus tĂŽt,en l'Ă©poque,Roy Ă©tait dĂ©pressif,ne souriait jamais et parlait fut-il lĂ©gerement dĂ©sorientĂ© quand la pile rouquine lui tomba lui lança un sortilĂšge ratĂ©,par peur riposta avec un autre sortilĂšge ils se rĂ©veillĂšrent Ă l'infirmerie,Roy s'aperçut que sur son Ă©paule gauche Ă©tait imprimĂ© un Ă©trange signe,que Claire avait signe Ă©tait surement du au double sortilĂšge doublement ratĂ©,et les deux frenchies dĂ©cidĂšrent de ne pas en parler,ce signe Ă©tant avant tout la preuve d'un cela ils devinrent des amis insĂ©parables et firent le reste de leur scolaritĂ© Ă leur arrivĂ©e Ă Poudlard,ils ne tardĂšrent pas Ă connaitre Johnny Dean avec Liz Palmer,tout semblait dire que le trio allait devenir un silence s'abbatit dans le J'me fais Putain quelle surprise...John se leva aussi rapidement que Claire tomba contre Roy,qui serait tombĂ© un arriĂšre si aucun mur ne soutenait son fait la saisit le seul engin dont il ne vantait pas la taille,sa lança un Sonorus et commença Ă Ă©tait comme disait Claire, un "Dieu de la basse".Le seul point qu'elle ne contradisait pas chez le really gets me high You know that's no lie She's so rock steady And she's always ready Whoa, Black Betty Whoa, Black BettyUn groupe de fans hystĂ©riques s'attroupa devant la comment ĂȘtre un aimant Ă femmes en 10 Ă©tait en train de baver en le regardant,scĂšne trĂšs adressa Ă Roy un regard le domaine musical,le blond n'avait pas grand-chose Ă envier Ă l'aimant Ă femmes,il jouait de la guitare Ă©lĂ©ctrique presque aussi bien que lui de la il l'avouait,en jouant uniquement dans la salle commune des poufsoufles,dans la salle sur demande oĂč chez des amis,ça faisait moins d' alors?Roy jouait uniquement pour le n'avait pas souvent envie de jouer pour les autres mais surtout pour lui,pour se tester,pour se surpasser,pour profiter du son unique de son si pour un cĂ©libataire c'est pas l'idĂ©al... sa magnifique interprĂ©tation,John laissa son troisiĂšme bras faire sa loi et sortit du Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... - Jalouse... et rangea avec un soin inhumain la guitare de Corso,et Roy l'aida Ă la mettre dans la en profita pour mettre avec sa valise et sa basse,puis retourna s' Rappelles toi Dakota l'an dernier...-La tafiole espagnole?Une vraie merde ce mec...SĂ©rieusement Liz t'as pas grand-chose Ă qu'avec John et moi ceux qui t'en voudront dĂ©camperont vite crois-moi...Ils ne tarderaient pas Ă arriver regarda par la fenĂȘtre,sa tĂȘte posĂ©e dans sa derniĂšre annĂ©e Ă Poudlard...DĂ©jĂ ...Il avait presque envie de redoubler...DerniĂšre Ă©dition par le Ven 9 Nov 2007 - 2116, Ă©ditĂ© 1 fois Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Jeu 8 Nov 2007 - 2103 CLAIRE - EN AFRIQUE ? Waoh ! Toi tu viens de loin ! Mais t'est pas nĂ©e la-bas je suppose... ?Liz dissimula tant bien que mal son embarras en faisant jouer les ficelles de son sweatshirt entre ses doigts fins. Autant elle Ă©tait relativement douĂ©e pour murer en elle mĂȘme ses Ă©motions et ses Ă©tats; autant son trouble Ă©tait perceptible quand elle devait rĂ©pondre Ă des questions la touchant personnellement. Elle prenait le parti du "moins ils en savent, mieux je me porte", plutĂŽt - Hum, ça se voit tant que ça...? Je suis nĂ©e en Angleterre mais ma mĂšre a dĂ©cidĂ© de....fuir pour ainsi dire, elle a choisit l'afrique du sud. Ce pays est le mien Ă prĂ©sent. En fait c'Ă©tait bien plus, c'Ă©tait tout pour elle. C'est peut ĂȘtre la seule chose pour laquelle elle pouvait ĂȘtre reconnaissante envers sa mĂšre... Elle eut un bref rire crispĂ©. Elle enchaĂźna - Et toi?C'Ă©tait si facile avec Claire. Celle ci raconta sa vie en France, son Ă©ducation Ă Beauxbatons, sa rencontre avec Roy et son dĂ©mĂ©nagement en Angleterre. La conversation suivait son cours. Liz apprit que Claire Ă©tait sorti avec son demi frĂšre. DĂ©cidemment... CORSO - J'me fais chier. ROY - Putain quelle surprise...Sans prĂ©venir personne, Corso le flegmatique se leva d'un bond et fouilla le porte bagage. Il en sortit avec une infini prĂ©caution une magnifique basse. Et contre toute attente, commença Ă en jouer. Si Liz avait Ă©tĂ© d'un naturel expensif, elle serait tout de mĂȘme rester sans voix. A l'instar de Claire, qui Ă©tait l'impressionnĂ©e mĂȘme, et de Roy. Elle Ă©carquilla les yeux, ne croyant pas au Corso qu'elle avait sous les yeux. C'Ă©tait tellement lui et pourtant... C'Ă©tait la musique elle mĂȘme qui se traduisait au travers de toutes ses expressions. Il Ă©tait le Rock. Charmant en temps normal, ça mĂȘme Liz n'avait pas pu en faire abstraction mais lĂ ... Il exercait une attirance sur toutes les filles qui s'Ă©taient amassĂ© devant la porte du compartiment espĂ©rant arracher un regard au joueur de guitare. Liz leur accorda un bref coup d'oeil mĂ©prisant. Elle dĂ©testait toutes ces filles prĂȘtent Ă s'Ă©vanouir au moindre geste en leur direction de leur "idole". N'avaient elles aucune fiertĂ©? aucune intĂ©gritĂ©? Elle se concentra sur le son profond de la basse qui vibrait pour le dernier refrain. Son demi- frangin Ă©tait unique en son genre elle s'en apercevait chaque jour passĂ© auprĂ©s de lui. C'Ă©tait la premiĂšre personne humaine pour qui elle Ă©prouvait rĂ©ellement de l'estime et... de la confiance..? Non, Liz! Elle n'avait confiance en personne et c'Ă©tait ainsi depuis toujours. Aucune raison de modifier ses petites habitudes... La chanson Ă©tait finie, Claire ne tarissait pas d'aclamer, comme les autres filles, le dieu de la basse; qui lui, entraĂźna une jolie fille tombĂ©e sous son charme vers un autre compartiment... Je reviens... plus tard... Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... - Jalouse...Liz reporta son regard sur les deux amis assis en face d'elle. Ils s'entendaient visiblement Ă merveille... Liz scruta la campagne anglaise, certes, ces paysages Ă©taient magiques, magnifiques, ancestraux... Mais on avait beau dire, rien au grand jamais n'aurait valu ses paysages natals d'Afrique du sud. Elle se rendit compte que le regard de Claire Ă©tait posĂ© sur elle - J'espĂšre que sa rĂ©putation va pas te poser de problĂšmes Ă l'Ă©cole... Il est pas vraiment aimĂ© au chateau... Il cherche et fou la merde partout oĂč il peut... Et mieux vaut ĂȘtre son ami que son ennemi... -La rouquine sourit Ă Roy-Rappelle toi Dakota l'an dernier...La tafiole espagnole?Une vraie merde ce mec...SĂ©rieusement Liz t'as pas grand-chose Ă qu'avec John et moi ceux qui t'en voudront dĂ©camperont vite crois-moi...Roy Ă©tait adorable. Et protecteur envers ceux qu'il apprĂ©ciait sans nul doute..Liz le gratifia d'un gentil sourire - C'est rĂ©ellement gentil... Toutefois.. Ceux qui avait eu le privilĂšge d'un peu la connaĂźtre aurait pressenti un lĂ©ger changement dans son attitude. Elle pencha lĂ©gĂ©rement la tĂȘte, croisa les bras, souriant toujours un minimum, sans lacher le blond de ses yeux bleu Me considĂšres tu comme une fillette sans dĂ©fense?Elle le fixait, elle aimait pousser les gens dans leur retranchement, sans une dĂ©bauche de paroles Ă©dition par le Ven 9 Nov 2007 - 2140, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re C'est reparti pour un tour... Ven 9 Nov 2007 - 2022 -Je reviens... plus tard...-Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... - Jalouse...Claire lui lanca un regard noir, cependant avec un petit sourire au coin des Jalouse de cette pouffiasse ? J'te remercie, avec Corso, j'ai donnĂ©... -Elle tourna la tĂȘte vers Liz- J'espĂšre que sa rĂ©putation va pas te poser de problĂšmes Ă l'Ă©cole... Il est pas vraiment aimĂ© au chateau... Il cherche et fou la merde partout oĂč il peut... Et mieux vaut ĂȘtre son ami que son ennemi... Rappelle toi Dakota l'an dernier...-La tafiole espagnole? -Claire eut un petit sourire- Une vraie merde ce mec... SĂ©rieusement Liz t'as pas grand-chose Ă craindre. Surtout qu'avec John et moi ceux qui t'en voudront dĂ©camperont vite crois-moi...- Dakota Ă©tait pas mĂ©chant Roy, c'est John qui faisait tout pour le faire pĂȘter un cable... Elle soupira puis se dĂ©cala de Roy pour se mettre lĂ oĂč Corso Ă©tait assis quelques minutes plus tĂŽt, contre la fenĂȘtre. Elle replia ses genoux sous son menton et jeta un regard dehors, tandis que Liz rĂ©pondait Ă C'est rĂ©ellement gentil... Toutefois... Me considĂšres tu comme une fillette sans dĂ©fense ?- Roy, depuis le temps, tu devrais savoir qu'il ne faut pas se fier aux apparences...Lacha la rouquine d'un air absent, sans leur accorder un regard, les yeux toujours fixĂ©s sur le dĂ©cor qui dĂ©filait sous ses yeux, derriĂšre la vitre, Ă toute vitesse. ~ PENDANT CE TEMPS ~- John Corso. Tu crois que je ne connais pas ta rĂ©putation ? - ... Alors cesses de me draguer...- Je crois que c'est toi qui me Ah vraiment ? Et qui te dit que tu me plais ? Je n'aime pas les Alors qu'est-ce que tu fais lĂ ?La jeune femme cessa de lui rĂ©pondre, et il y avait de quoi AppuyĂ©e le dos contre le mur d'un compartiment, dans le couloir, elle Ă©tait Ă quelques milimĂštres de John. Lui, en face, Ă©tait appuyĂ© sur ce mĂȘme mur, la main juste Ă cĂŽtĂ© de la tĂȘte de la jeune T'est nouvelle pas vrai ?- Et tu as dĂ©ja entendu parler de moi ? Je suis On ne m'a pas dit du bien de Je suis un Ă©ternel incompris. C'est quoi ton nom ?- Key John dĂ©glutit. Key...- Et bien Key...Il lui sourit et, sans prĂ©venir, lui vola un baiser. Elle le repoussa, posant les deux mains sur son torse pour l'Ă©loigner d' Tu crois que c'est si facile Corso ? Combien de fois avait-il entendu ca... ? Toujours la mĂȘme chanson. Un sourire aux lĂšvres, il leva les mains en signe d'innocence, reculant dans le TrĂšs bien trĂšs bien. Et il s'Ă©loigna. SĂ»r de son cou, Corso compta dans sa tĂȘte jusqu'Ă main lui attrapa l'Ă©paule et le retourna, des lĂšvres se collĂšrent aux siennes. Souriant, il laissa la jeune femme le plaquer contre le mur, l'embrassant avec fougue. Lui caressant le torse avec appetit, elle l'embrassait et lui lancait des regards trĂšs allumeurs. John souriait. Puis, elle cessa. Remettant ses cheveux en place, elle recula, le bouffant du Si tu veux plus, il faudra que tu le lui sourit, se passant une main sur les cheveux, et la regarda partir. Puis il partit dans l'autre sens, revenant vers son compartiment qu'il avait quittĂ© depuis une demi heure. ArrivĂ© devant, il ouvrit la vitre et regarda les occupants tour Ă tour. Ils n'avaient pas bougĂ©s, mise Ă part Claire qui Ă©tait dĂ©sormais Ă sa place et semblait fouiller dans sa valise. Tandis qu'il entrait, elle sortait son Ă©ternel carnet Ă dessins et son crayon. Claire avait un don pour le dessin. A croire qu'Ă eux, ils Ă©taient une bande d'artistes. Enfin, Claire ne savait pas dessiner les paysages ou les objets... pour une raison que john ignorait, elle s'Ă©tait spĂ©cialisĂ©e dans les portraits. Il vint s'asseoir Ă cĂŽtĂ© de Liz. Claire, elle, posa ses pieds sur la banquette Ă cĂŽtĂ© de Roy, de maniĂšre Ă avoir le carnet calĂ© sur ses jambes, et Ă l'abris des Qu'est-ce tu dessines encore ? - ... Un ce n'Ă©tait pas crĂ©dible.. Claire ne savait pas mentir. Soupconnant qu'il y avait quelque chose qu'elle voulait lui cacher, John se redressa, essayant de poser les yeux sur son carnet qu'elle cacha Regardes pas mon lama !- Tss... Tu sais pas dessiner les lamas Claire. En plus je vois pas l' Je vois pas l'intĂȘret non plus de jouer de la guitare Ă©lĂ©ctrique au milieu d'un train. A part celui d'attirer les filles comme des mouches. Comment ca s'est passĂ© avec la blondasse ? Elle t'a jetĂ© ? Enfin une qui a comprit ton petit jeu ?- Nan. Elle m'a T'est dĂ©sĂ©spĂ©rant John. - Hey, moi contrairement Ă certains -il accentua sur le mot, son regard allant de Claire Ă Roy avec insistance- je tourne pas autour du pot pendant quinze ans. J' Bah tu agis trop !Claire, voyant l'insinuation que John avait faite se renfrogna, s'enfonca avec rage dans son siĂšge, vĂ©xĂ©e. Elle gribouilla des choses sur sa feuille, s'enfermant dans un silence. Elle mĂȘme ne savait pas pourquoi elle s'Ă©nervait. - Hey si c'est ta mauvaise semaine, c'est pas de ma faute...- La la regarda, froncant les sourcils. Bon, Claire Ă©tait vraiment Ă©nĂ©rvĂ©e. Il dĂ©cida de lui fouttre la paix, sachant que ca lui passerait... elle ne pouvait rester seule, et elle ne pouvait s'empecher de parler. Un silence de dix minutes avec Claire, c'Ă©tait impossible. John navigua donc vers des eaux moins dangereuses. Sortant une clope, il la cala entre ses lĂšvres avant de jeter le paquet sur Claire, parce-que ca faisait trop longtemps qu'il n'avait pas provoquĂ©. - Prends, ca lui jeta son paquet de clopes dans la figure avec force, serrant un peu plus les dents et gribouillant avec acharnement sur son calepin. - Alors Roy, t'a bossĂ© ton morceau de Santana ?John savait que Roy se dĂ©brouillait bien en basse. Et il l'encourageait... ne s'entendant pas avec son groupe actuel, Corso comptait, prochainement, en crĂ©er un nouveau. Il comptait sur Roy, mĂȘme si il ne lui avait pas encore fait part de son projet...Tandis qu'il parlait, Claire ruminait interieurement, maudissant Corso. Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre con! Cependant, elle mĂȘme ne comprenait pas pourquoi elle s'emportait si facilement. Elle qui Ă©tait la pile, la bonne humeur du groupe... Mais elle n'aimait pas que John fasse des allusions Ă Roy et elle. Pourquoi ? Elle ne savait pas. Mais dĂšs qu'il lui en parlait -car cet abruti croyait qu'il y avait quelque chose entre eux- elle s'Ă©nervait. Pour tenter de se calmer, elle tourna les pages de son carnet et regarda les dessins prĂ©cĂ©dents. Des visages, des corps... ou plutot, un visage, un corps. Toujours le mĂȘme Paine White. Voila pourquoi elle refusait que quiconque, mĂȘme Roy, touche Ă son carnet. Roy...Elle leva les yeux sur lui, derriĂšre son carnet Ă dessins. Elle le regarda tandis qu'il parlait musique avec John. Elle le dĂ©visagea. Il Ă©tait mignon Roy... Ses cheveux blonds, elle les adorait. Et puis sa petite bouille, il Ă©tait adorable. Quand Ă son corps... Claire, ta gueule. Elle sourit et rougit lĂ©gĂšrement, baissant les yeux sur son carnet plein de gribouillis. Elle dessina vite fait, du bout des doigts et pensive, ce qui devaient ĂȘtre les yeux de Paine... mais jugeant le dessin mal fait, elle le gribouilla avant mĂȘme d'avoir fini le deuxiĂšme oeil. De nouveau, elle regarda Roy. Leurs regards se croisĂšrent une seconde. Il souriait. Elle ne pu s'empecher d'essquisser un petit sourire Ă son tour. Si le sourire Ă©tait contagieux, entre eux, c'Ă©tait puissance 1000. Il suffisait de croiser son regard pour ĂȘtre rassurĂ©e. DĂšs qu'il Ă©tait lĂ , elle se sentait bien, en sĂ©curitĂ©. Et seul son sourire avait le pouvoir de la rendre heureuse, dans n'importe quelle ferma son carnet et le rengea soigneusement dans sa valise, au fond, sous ses habits. Puis elle revint s'asseoir, tout prĂšs de Roy. Se collant contre lui, elle ramena ses pieds sur la banquette et enfouit sa tĂȘte dans le creux de son cou tandis qu'automatiquement, Roy passait son bras autour de ses Ă©paules. LĂ , elle Ă©tait bien. elle venait chercher du rĂ©confort auprĂšs de la personne qui lui apportait tant, bien plus que ce que pouvait lui apporter n'importe quel petit ami. Ce bien ĂȘtre se traduit par un sourire, et aussitĂŽt, Claire, la Claire que tout le monde connaissait Liz... Parles nous de l'Afrique. Comment c'est l'Ă©cole la-bas ? Est-ce que vous ĂȘtes aussi rĂ©partis dans des maisons ? -elle baissa le ton- Est-ce que tu avais de bons amis la-bas... ? Tu vas garder contact avec eux... ?Elle s'imaginait ĂȘtre sĂ©parĂ©e de Roy pour aller faire des Ă©tudes dans un pays lointain. Impossible. MĂȘme John, cet abruti, lui manquerait. Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Dim 11 Nov 2007 - 1933 Chacun Ă©tait plongĂ© dans ses pensĂ©es. Claire avait sorti un carnet Ă dessin et semblait profondĂ©ment absorbĂ©e par sa tĂąche. Relevant parfois ses yeux pour jeter des coups d'oeil furtif aux autres occupants du compartiment, Liz et Roy. A croire que ce qu'elle dessinait Ă©tait l'Ultime Secret. Liz sourit. Elle Ă©tait douĂ©e aussi pour ça. Ce faire sourire seule. Parfois elle arrivait Ă se faire rire aux Ă©clats sans prononcer une parole. Autant dire que ces moments lĂ accentuaient la solitude qu'elle affectionnait tant. Elle posa sa tĂȘte sur la banquette un instant. Qui aurait cru qu'elle se serait retrouvĂ©e dans un train inconnu, en partance vers une Ă©cole Ă©trangĂšre, en compagnie de deux personnes dont elle savait si peu de choses... Il y a mĂȘme un an de cela elle aurait rie au nez de celui qui lui annonçait pareil tour du destin. Aussi elle s'Ă©tait trop laissĂ©e prendre au jeu du bonheur. Seize annĂ©es d'une sĂ©rĂ©nitĂ© sans Ă©gale au coeur de ce qu'elle avait toujours aimĂ©e, ce qui brĂ»lait dans son corps et dans son Ăąme. Elle Ă©tait nĂ©e pour l'Afrique. Pour la nature, pour le son des djembĂ©s le soir au fond des bois. Pour les plantes grimpantes, la chaleur des rayons au travers des feuillages de toutes les couleurs. Les animaux de toutes espĂšces buvant au mĂȘme point d'eau, l'accueillant chez eux sans questionnements. Comprenant le feu qui les habitait eux et elle...Elle sursauta Ă l'entrĂ©e de Corso dans le compartiment. Il s'adressa directement Ă Claire- Qu'est-ce tu dessines encore ? - ... Un sourit. Sens de la rĂ©partie innĂ© chez Claire? Son demi frĂšre continuait de taquiner Claire qui s'enflamma de plus belle. Liz dĂ©tourna son attention de la dispute qui tournait court. Elle colla ses genoux contre elle et les couvrit de son sweatshirt ample. Elle frissonna. Il faisait froid dĂ©jĂ , elle n'avait pas l'habitude d'avoir froid. C'Ă©tait une drĂŽle de sensation, un tremblement incontrĂŽlĂ© - et dieu sait que Liz dĂ©testait l'incontrolable - les tripes qui se broient, un claquement de dents, de la buĂ©e... Elle soupira encore. C'Ă©tait trop. Elle attrapa vivement son sac et sortit de la poche extĂ©rieur une petite photo en noir et blanc. Corso Ă©tait absorbĂ© dans sa discussion avec Roy et Claire par son mystĂ©rieux dessin. Liz se rassit et dĂ©plia lentement la photo, usĂ©e d'avoir trop Ă©tĂ© regardĂ©e. Elle avait pris cette photo un jour de mars. Il faisait dĂ©jĂ tellement chaud. La nounou lui avait donnĂ© un appareil instantanĂ© Ă retardement pour se donner bonne conscience de laisser Liz vagabonder selon sa volontĂ©. Elle avait couru une bonne vingtaine de minutes, tellement excitĂ©e de montrer cet appareil Ă son ami. Il Ă©tait apparu, joyeux de la voir comme chaque aprĂšs midi. Un grand hippogriffe mĂąle, effrontĂ©, sauvage qui s'Ă©tait pris d'affection pour ce qu'il considĂ©rait comme une petite erreur de la nature, Liz. Elle avait mis l'appareil face Ă eux et il avait fixĂ© Ă jamais la jeune fille rayonnante sur le dos de son ami, parĂ© au dĂ©collage. Liz sentit ses yeux s'embuer. Le moment de leurs adieu avait Ă©tĂ© si prĂ©cipitĂ©, si soudain. Il avait tout compris Ă sa dĂ©marche, Ă son regard. Une larme lui avait Ă©chappĂ©. Mais ne mĂ©ritait il pas une larme, lui qui avait tout partagĂ© avec elle depuis des temps immĂ©moriaux? La derniĂšre ballade au dessus des paysages africains avait Ă©tĂ© la plus belle. Une promesse. De retrouvailles, un jour...?Liz... Parles nous de l'Afrique. Comment c'est l'Ă©cole la-bas ? Est-ce que vous ĂȘtes aussi rĂ©partis dans des maisons ? -?PlongĂ©e dans ses souvenirs, Liz ne s'Ă©tait pas aperçue que Roy enlaçait Claire et que celle ci dĂ©sirait en savoir plus sur elle. Elle s'essuya vite les yeux, craignant que son trouble soit perceptible. Elle dĂ©cida d'ĂȘtre sincĂšre envers ...L'Afrique..C'est...Merveilleux. L'Ă©cole est immense, il n'ya pas de familles, le directeur pensait que ça ne faisait qu'Ă©carter les personnes les unes des autres, mais il y a peu d'Ă©lĂšves. L'Ă©cole Ă©tait tout prĂšs de ma maison, il n'existait aucune barriĂšre, il n'y avait pas de parc , directement la forĂȘt, et on pouvait rencontrer toute sorte d'animaux, de plantes de toutes les couleurs. Nul besoin de chaussures ou de Pantoufles, le sol Ă©tait doux et chaud, les fruits abondants et... Liz prit conscience d'ĂȘtre prise par un brusque Ă©lan. Peur d'en avoir trop dit, de devenir trop vulnĂ©rable, elle se tu subitement, espĂ©rant que cela suffirait Ă que tu avais de bons amis la-bas... ? Tu vas garder contact avec eux... Apparemment non. Liz dĂ©glutit difficilement et fronça lĂ©gĂšrement les de bons amis. Des amis trĂšs chers. Ils Ă©taient peu..communs dira t-on. Elle eut un petit sourire et caressa du doigt la photo qu'elle tenait au creux de sa main. Ils vont me manquer. Sa voix manquait de sĂ»retĂ© il fallait qu'elle s'arrĂȘte de parler ou elle finirait par craquer tout simplement. Elle se mordit violemment la lĂšvre infĂ©rieure. La marchande de bonbons se prĂ©senta, Liz ne se le fit pas dire deux fois et se prĂ©cipita au devant d' chocogrenouille murmura t-elle en triturant la photo qui lui brĂ»lait la paume. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 3 DĂ©c 2007 - 441 Le topic est il toujours d'actualitĂ© ? Si oui je supprimerez mon post. Sans rĂ©ponse sous une semaine je deplacerais. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re C'est reparti pour un tour... C'est reparti pour un tour... Page 1 sur 1 Sujets similaires» Viens faire un tour dans la tour XD mouarf... [PV Sabotage pour les Gryffondor! [Libre pour Serpy!]» Petit tour au pub [pv Seth]» Une chanson pour toi... ^_^Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Demars 1981 Ă mars 1982, Georges Perec a tenu, avec Jacques Bens, la rubrique des Jeux intĂ©ressants du mensuel Ăa m'intĂ©resse. Ce volume de Jeux regroupe l'ensemble de ses contributions, dont bon nombre d'inĂ©dits. Amateurs de mots croisĂ©s ou carrĂ©s, cryptogrammes, anagrammes, monovocalismes et autres jeux de lettres ou de logique y
Le deal Ă ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal RPG - Long Island UC Divers [Saison2] Espaces Naturels 2 participantsAuteurMessageCaitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Tiens y a des cascades? [Libres] Dim 16 Mar - 2056 Le mois de juilllet Ă©tait bien beau sur les cĂŽtes de Long Island. Le soleil Ă©tait radieux depuis le mois de mai Ă prĂ©sent, et la pluie ne tombait que quelques jours, mais pas assez pour miner le moral des troupes. Tout comme l'ensemble des Ă©lĂšves de l'Ă©cole, Evey profitait du beau temps. Bien sur, elle continuait Ă travailler, ses cours Ă©taient la seule chose qui lui importait. L'annonce de son demi frĂšre l'avait assez chamboulĂ©, tout comme le dĂ©cĂ©s de sa grand mĂšre, mais maintenant c'Ă©tait de l'histoire passĂ©e et il fallait reprendre de l' pour cette raison que notre chĂšre Evey Ă©tait revenue ici. Ce temps, ces lieux et ses amis lui manquaient beaucoup, elle ne pouvait pas rester en Floride. A prĂ©sent c'Ă©tait ici chez elle. Quoi qu'il en soit, lorsqu'elle se leva ce matin lĂ , Evey s'habilla simple, un top blanc accompagnĂ© d'un short faisaient l'affaire. Elle avait relevĂ© ses cheveux pour ne pas que la chaleur la dĂ©range. AprĂ©s quoi elle partie en direction de la plage pour profiter un peu de ce temps. Mais en cours de chemin, elle fut attirĂ©e par un autre endroit. En effet, un bruit d'eau attisa sa curiositĂ©. DĂ©viant alors son trajet, la jeune femme se retrouva au pied d'une cascade. Elle ne savait pas que l'endroit en possĂšdait. S'asseyant alors son un rocher, la jeune femme contempla ce nouveau lieu qu'elle n'avait jamais think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Dim 16 Mar - 2123 Rory avait dĂ©cidĂ© d'aller se poser sous une cascade. Elle savait que peu de monde savait qu'elles Ă©taient lĂ , alors elle se dit qu'elle serait tranquille. Elle avait vu son pĂšre la veille, et elle Ă©tait encore toute chamboulĂ©e par cette visite. Les mots qu'ils s'Ă©taient dits elle et son pĂšre, cette violence verbale, toute la journĂ©e l'avait marquĂ©e. Et elle ne voulait pas appeler Bradin pour le dĂ©ranger avec cette histoire, elle prĂ©fĂ©rait ĂȘtre lĂ , Ă regarder l'eau couler, c'Ă©tait PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Dim 16 Mar - 2143 Evey continuait de regarder l'ensemble de la cascade. Elle trouvait cela apaisant, c'Ă©tait Ă la fois calme et trĂ©s plaisant comme atmosphĂšre. Si elle avait connu cet endroit plus tĂŽt, elle serait sans doute venue y Ă©tudier ou juste mĂ©diter sur divers sujets. En ce moment mĂȘme, la jeune femme regardait la cascade, le silence qui rĂ©gnait sur les lieux ne la gĂȘnait pas bien au contraire. elle rĂ©flĂ©chissait Ă tout ce qui avait pu se passer, et Ă se qui ce passerait sans doute dans l'avenir. Elle devait bien un jour accepter son frĂšre. Mais comment faire puisque lui ne faisait aucun effort pour elle. Elle devrait en faire le double, car elle ne voulait pas ĂȘtre mĂ©chante avec lui mais rĂ©agir comme une vraie soeur. AprĂ©s tout elle le comprennait il avait du connaĂźtre une enfance assez douloureuse, avec un pĂšre pas trĂ©s prĂ©sent et surtout vive dans l'ombre d'une autre famille. Bref, elle rĂ©flĂ©chissait silencieusement Ă cela, lorsque son regard fut attirĂ© vers la si quelqu'un Ă©tait la et venait de bouger. et ce ne fut que lorsqu'elle dĂ©via le regard qu'ele s'apperçut qu'elle n'Ă©tait pas seule. Regardant alors la jeune femme, Evey retrouva son sourire pour la saluer avec politesse "Salut" lança t'elle alors Ă l'adresse de la jeune femme. Elle semblait tout comme elle en train de mĂ©diter sur un sujet. Elle ne savait donc pas si elle pouvait continuer la conversation, car elle savait que cette jeune femme Ă©tait Ă la fac. Elles devaient sans doute s'ĂȘtre dĂ©ja croisĂ© dans els think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Dim 16 Mar - 2225 Rory regardait l'eau couler, c'Ă©tait si joli! Elle se disait que si la vie pouvait ĂȘtre comme cela, s'Ă©couler sans aucune embuche, se serait bien! Elle avait les yeux humides, mais elle se refusait de pleurer Ă cause de son pĂšre. Mais elle repensait sans cesse Ă ce qu'il lui avait Ă©tait plongĂ©e dans ses pensĂ©es quand elle entendit une voix. Elle tourna la tĂȘte pour voir d'oĂč ça venait, et elle vit une jolie fille, blonde, assise un peu plus loin. Elle la saluait avec un sourire. Rory sourit Ă son Salut, je.. je ne t'avais pas vue!Elle regarda la cascade encore une fois, puis se tourna Ă nouveau vers la blonde..- Tu es lĂ depuis longtemps?!Rory se dit que si elle avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© lĂ quand elle Ă©tait arrivĂ©e, c'est que vraiment elle aurait besoin de s'acheter des lunettes car de lĂ ou elle Ă©tait, elle pouvait tout voir. Par contre, si c'Ă©tait la blonde qui Ă©tait arrivĂ©e aprĂšs, c'est normal qu'elle ne l'ait pas vue, Ă©tant donnĂ© que Rory Ă©tait un peu plus haut que l'autre PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mar 18 Mar - 1510 Evey avait regardĂ© la cascade avec un regard qui exprimait bien le fait qu'elel Ă©tait plongĂ©e dans ses pensĂ©es. Il faut dire que ces derniers temps elle Ă©tait dans la lune mais bon ce n'Ă©tait pas bien grave, de toute façon il semblait qu'elle ne manquait Ă personne. Mais elle n'en voulait Ă personne, aprĂ©s tout ce n'Ă©tait pas si grave. Et mĂȘme si il lui faisait de tout elle avait son frĂšre sur qui elle pouvait compter. Quoi qu'il en soit, notre jeune Evey regardait Ă prĂ©sent la jeune femme assise un peu plus loin Ă cĂŽtĂ© des cascades. elle venait tout juste de la saluer, et ne savait pas si elle pouvait discuter avec elle, elle avait peur de dĂ©ranger. En tout cas, son visage lui Ă©tait familier, elle l'avait dĂ©ja croisĂ©, propbablement dans les couloirs. evey garda son sourire sur le visage quand elle lui adressa la parole et elle continua Ă le garder quand la jeune femme lui rĂ©pondit. C'est ainsi qu'elle lui dit qu'elle ne l'avait pas vu. Evey comprennait tout Ă fait cela, puisqu'elle Ă©tait aussi Ă©tĂ© perdue dans ses pensĂ©es. C'est ainsi qu'elle lui rĂ©pondit en faisant un geste de la main comme pour balayer l'air et avec un air gentil "Ce n'est pas grave. Je comprend tout Ă fait" Evey continua Ă sourire Ă la jeune femme. Elle Ă©tait trĂ©s jolie, elle avait les mĂȘmes yeux qu'elle. C'est alors que la jeune femme reprit la parole en lui demandant si cela faisait longtemps qu'elle Ă©tait lĂ . Evey fit alors un signe nĂ©gatif de la tĂȘte et lui rĂ©pondit Ă sa question "Non je viens tout juste d'arriver. Et de dĂ©couvrir l'endroit par la mĂȘme occasion" Evey eut un lĂ©ger rire. C'est vrai que depuis le temps qu'elle vivait ici elle n'avait encore jamais remarquĂ© qu'il y avait des cascades. Comme quoi, on croit connaĂźtre un endroit et il nous laisse toujours des surprises. Mais alors qu'elle venait de rĂ©pondre Ă la jeune femme, Evey se hasarda Ă demander "Tu Ă©tudies Ă la fac n'est ce pas? Il me semble t'y avoir dĂ©ja vu."_________________I think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mar 18 Mar - 1700 Rory regardait la jeune fille qui avait de magnifiques yeux bleus. Cette derniĂšre lui dit que se n'Ă©tait pas grave qu'elle ne l'ait pas vu tout en faisant un geste avec sa main. Elle ajouta qu'elle comprenait. AprĂšs tout, elle avait aussi eut l'air d'ĂȘtre perdue dans ses pensĂ©es. Dans ses cas-lĂ , on remarque rarement ce qui nous entoure. Rory se dit qu'une bombe pouvait lui tomber dessus qu'elle ne la remarquerait pas! La jolie blonde continuait de sourire ce qui, peu Ă peu, fit sourire Rory. Elle lui rĂ©pondit qu'elle venait d'arriver, et que c'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle voyait cet endroit. Rory se demanda si elle voulait dire qu'elle venait d'arriver en ville, ou prĂšs des cascades. C'Ă©tait un endroit un peu cachĂ©, donc il devait bien y avoir des gens qui ne connaissaient pas leur existance. - Tu n'Ă©tais jamais venue ici?!L'autre jeune fille lui demanda alors si elle Ă©tudiait Ă la fac. Donc ça devait ĂȘtre de lĂ qu'elle croyait l'avoir dĂ©jĂ vue! - Oui, j'y suis depuis quelques mois dĂ©jĂ . On a sĂ»rement dĂ» se croiser dans les couloirs. Je suis en littĂ©rature et toi?!Elle se leva, mais hĂ©sita quelques secondes. Finalement, elle se dĂ©cida Ă descendre pour aller s'asseoir plus prĂšs de la jeune blonde. Une fois assise, elle se prĂ©senta..- Au faite, moi c'est Rory.._________________ PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mar 18 Mar - 2308 Evey continuait de chercher dans sa mĂ©moire ou est ce qu'elle avait dĂ©ja vu la jeune femme, car oui c'Ă©tait sur qu'elle l'avait vu dans els couloirs mais ailleurs aussi. Quoi qu'il en soit, elle n'essaya de ne pas trop montrer sur son visage qu'elle recherhait cet endroit et c'est ainsi que quand la jeune femme lui demanda si elle parlais des cascades en disant qu'elle n'Ă©tait jamais venue, Evy aquiesça d'un signe de tĂȘte avant de rĂ©pondre "Oui c'est la premiĂšre fois que je les vois, alors que ça va faire bientĂŽt un an que je suis lĂ c'est un peu la honte je trouve" Evey se remit Ă rire lĂ©gĂ©rement. la jeune femme allait sans doute la prendre pour une Ă©cervelĂ©e qui n'Ă©tait mĂȘme pas capable de savoir qu'il y avait des cascades dans cette rĂ©gion. Mais Evey savait qui elle Ă©tait et bon ce n'Ă©tait pas bien grave si cela avait Ă©tĂ© le cas. En tout cas, elle continua de fixer son regard sur la jeune femme qui lui confirma qu'elle Ă©tait Ă la fac depuis quelques mois. Mais alors qu'elle rĂ©flĂ©chissait encore et encore sur l'endroit ou elle l'avait vu encore, sa rĂ©ponse lui fut donnĂ©e sans qu'elle eut besoin de demander. elles Ă©taient dans la mĂȘme classe, voila ce qui expliquait le fait que son visage lui Ă©tait si familier. Quand elle lui demanda ce qu'elle Ă©tudiait, evey se remit Ă sourire avant de lui rĂ©pondre avec un sourire plus amical "J'Ă©tudie aussi la littĂ©rature. On est dans la mĂȘme classe, mais on a jamais eu l'occasion de se parler." Ce qui Ă©tait bien dommage. Evey ne parlait pas Ă beaucoup de personnes et pourtant elle n'Ă©tait pas mĂ©chante, juste timide. Elle no'sait pas aller de l'vant et se dire qu'elle devrait faire connaissance avec les gens, elle avait en quelque sorte peur d'ĂȘtre juger. Son manque de confiance en elle, lui faisait vivre un calvaire quand on y regardait bien, mais quoi qu'elle essaie de faire pour avoir plus confiance, elle n'y parvenait pas. Quoi qu'il en soit, la jeune femme se leva pour venir s'asseoir Ă cĂŽtĂ© d'elle et en mĂȘme temps se prĂ©senter, Evey avança alors sa main en guise de politesse et se prĂ©senta Ă son tour "EnchantĂ©e Rory. Tu as un joli prĂ©nom. Moi c'est Evey" Evey lui serra alors la main et quand elle lui relacha, notre chĂšre Evey lui demanda "Je ne te dĂ©rangeais pas au moins?"_________________I think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mer 19 Mar - 131 Rory se sentait un peu fixĂ©e par la jeune femme en face d'elle, mais elle ne voulait pas passer pour une parano en lui demandant pourquoi elle la regardait comme ça. Et puis aprĂšs tout, c'est un pays libre, on regarde qui on veut! Rory lui avait demandĂ© si c'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle venait aux cascades ou si c'Ă©tait sa premiĂšre visite Ă Long Island. La blonde lui dit qu'elle vivait lĂ depuis un an, mais qu'elle n'avait jamais vu cet endroit. Rory sourit..- Tu sais comment j'ai trouvĂ© cet endroit? Je me suis perdue une fois, en voulant rentrer dans ma confrĂ©rie.. Et je suis arrivĂ©e ici, j'ai regardĂ© autour de moi, j'y suis restĂ©e. Mais aprĂšs pour rentrer, ça a Ă©tĂ© la galĂšre. Le lendemain, c'est cet endroit que je ne retrouvais plus! J'ai tournĂ© une semaine dans la ville pour enfin y repĂ©rer!!Elle s'Ă©tait sentie trĂšs bĂȘte Ă ce moment lĂ ... grand moment de solitude d'ailleurs! Elle venait d'avouer qu'elle n'avait absolument pas le sens de l'orientation! Mais bon.. personne n'est parfait! La jeune blonde lui dit alors qu'elle Ă©tait aussi Ă©tudiante en littĂ©rature. VoilĂ donc d'ou elle connaissait son visage! Rory Ă©tait du genre Ă ne pas parler Ă beaucoup de monde, d'ailleurs, elle Ă©tait plutĂŽt du genre Ă se mettre au fond de la salle, et d'Ă©couter le prof, uniquement le prof et rien que le prof! Mais aussi, elle Ă©tait timide. Au premier abord, en tout cas. Il lui fallait du temps pour parler rĂ©ellement Ă quelqu'un. De plus, elle ne connaissait pas grand monde dans sa classe. Eh bien en voilĂ une! Rory sourit encore..- Le hasard fait bien les choses dis donc! Tu vas faire quoi aprĂšs ton diplĂŽme? Parce que si c'est journalisme, c'est que vraiment j'ai besoin de lunettes pour ne pas t'avoir vu au journal... Elle se prĂ©senta Ă son tour. Evey. Un nom Ă retenir!- Merci! C'est un diminutif.. Evey, c'est mignon aussi! Un nom court, c'est bien les noms courts! Elles se serrĂšrent la main, puis Evey lui demanda si elle ne la dĂ©rangeait pas.. Ă vrai dire, si elle n'avait pas Ă©tĂ© lĂ , Rory serait probablement en train de verser toutes les larmes de son corps.. elle se dit que ça pouvait attendre!- Non pas du tout.. mais moi peut-ĂȘtre que je te dĂ©range.. je suis venue m'installer ici snas rien te demander....._________________ PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mer 19 Mar - 1518 Evey ne connaissait pas grand monde de sa classe, pour tout avouer il n'y avait que Lisandra quelle connaissait Ă peu prĂ©s. Mais elles ne s'Ă©taient jamais rĂ©ellement parlĂ©, ce qui Ă©tait dommage. Les seuls amis qu'Evey pouvaient avoir ici Ă©taient sans nul doute, Cindel et Dylan. Sans eux, elle ne serait probablement remarquĂ©, mĂȘme si on ne la voyait pas et elle ne serait pas non plus ici. Elle serait alors restĂ©e chez elle en Floride. Mais finalement le hasard faisait bien els choses, la jeune femme assise Ă ses cĂŽtĂ©s Ă prĂ©sent Ă©tait dans la mĂȘme classe qu'elle et qui plus est elle semblait ĂȘtre une personne trĂ©s gentille. Quand elle lui rapporta comment elle avait dĂ©couvert l'endroit, Evey se sentit rassurĂ©e. Et c'est ainsi qu'elle lui rĂ©pondit sans se moquer mais juste pour le spĂ©cifier "Comme quoi, il faut sans doute se perdre pour trouver un endroit comme celui la. C'est ce qui fait son charme si on regarde bien" Ce qui Ă©tait bien vrai, car c'est beaucoup plus plaisant quand on est dans un endroit pas connu, plutĂŽt qu'un endroit bondĂ© de monde ou on ne sait pas ou se mettre. Quoi qu'il en soit, Rory ne semblait pas l'avoir jugĂ© sur le fait qu'elle n'avait jamais vu l'endroit, et d'une maniĂšre ou d'une autre Evey lui en Ă©tait trĂ©s reconnaissante. A prĂ©sent, Rory venait de lui dire que le hasard pouvait parfois bien faire les choses, encore une fois la jeune femme avait raison. Comme quoi, il faut ĂȘtre patient dans la vie^^. Rory lui demanda ensuite ce qu'elle voulait faire plus tard, et que si il s'agissait du journalisme elles risquaient de se retrouver toutes les deux dans la mĂȘme classe se mit alors Ă sourire avant de lui rĂ©pondre pas trĂ©s convaincante "Pour tout te dire je sais pas encore ce que je veux faire. J'hĂ©site beaucoup. J'adore la littĂ©rature alors pourquoi ne pas en faire mon mĂ©tier, mais ĂȘtre Ă©crivain est tout de mĂȘme assez ingrat comme profession. Alors je me dit que peut ĂȘtre l'enseignement serait une autre possibilitĂ© mais c'est moins rentable. Du coup je suis un peu perdue. Et toi donc c'est journalisme. C'est un mĂ©tier passionant qui te permettra de voyager." C'Ă©tait bien d'avoir les idĂ©es claires. D'un certain cĂŽtĂ©, Evey enviait Rory, elle savait ce qu'elle ferait de sa vie, elle avait un point fixe et ne voulait pas s'y contournait. evey quand Ă elle Ă©tait perdue dans tous les niveaux de sa vie si on peut dire ça. Mais elle essayait de garder les idĂ©es claires du mieux qu'elle le pouvait. rory venait de la remercier pour le compliment qu'elle venait de lui faire pour son prĂ©nom et lui dit aussi qu'elle avait un joli prĂ©nom et surtout qu'il Ă©tait court. Evey se mit alors Ă sourire avant de lui rĂ©pondre "C'est vrai au moins quand on nous appelle ça va plus vite. Mais au fait Rory c'est un diminutif de quel prĂ©nom?" Evey Ă©tait intriguĂ©e par les prĂ©noms des gens, c'Ă©tait toujours comme ça. Allez savoir pourquoi, elle Ă©tait toujours contente d'apprendre des nouveaux prĂ©noms. Quoi qu'il en soit, Rory venait de lui rĂ©pondre Ă sa question en lui affirmant qu'elle ne l'avait pas dĂ©ranger. RassurĂ©e, Evey rĂ©pondit alors "Alors ça va si je ne te dĂ©range pas. Sinon non tu ne me dĂ©ranges pas du tout, au contraire, tu me permets de sortir de mes pensĂ©es qui sont un peu dans tous les sens ces derniers temps." Evey espĂ©rait que Rory et elle deviendrait amie, cela lui permettrait de se sentir un plus prĂ©sente. Car ĂȘtre une simple ombre qui vit derriĂšre les autres n'est pas toujorus facile. "Alors dis moi de quelle rĂ©gion viens tu?"_________________I think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Sam 22 Mar - 2245 Evey lui fit remarquer qu'il fallait sans doute se perdre pour trouver un si bel endroit. Elle avait raison. Un endroit comme ça, il faut le chercher, c'est un endroit qu'il faut mĂ©riter! Le calme qui y rĂ©gnait, la beautĂ© qui les entourait, c'en Ă©tait presque magique! Ă New York, il n'y avait pas d'endroit pareil. Elle n'avait pas son petit havre de paix et de calme. Au mieux, elle tombait dans un bar miteux ou elle passait la nuit accoudĂ©e au comptoir pour terminer sur un banc Ă Central Park au petit matin. Mais ici, elle avait trouvĂ© cet endroit tout droit sorti d'un compte de fĂ©e qu'on raconte aux petits enfants! Et elle Ă©tait contente qu'Evey partage sa vision..- Il faut mĂ©riter l'accĂšs Ă cet endroit!Evey lui rĂ©pondit qu'elle pensait Ă faire Ă©crivain, mais elle trouvait le mĂ©tier ingrat. Rory ne partageait pas tellement cette vision, mais peut-ĂȘtre Ă©tait-elle dans le faux! Puis elle lui dit qu'elle se tournerait peut-ĂȘtre vers l'enseignement mais que dans ce cas-lĂ , c'est moins rentable. C'est surtout un peu compliquĂ©! PrĂ©parer les cours Ă l'avance, rĂ©ussir Ă maĂźtriser toute une classe.. enfin, ça dĂ©pend d'ou elle veut enseigner!- Pourquoi tu ne deviens pas enseignante, tout en Ă©crivant un livre en parallĂšle?! Comme ça, tu joins les deux! Tu aimes Ă©crire, alors tu le fais, et tu enseigne comme ça, tu as un deuxiĂšme mĂ©tier, et un deuxiĂšme revenu! puis elle rĂ©pondit Ă sa remarque sur le journalisme et les voyages.. Oui, je pourrai sĂ»rement voyager, mais je ne sais pas encore quel genre de reportages je voudrais faire. Quoi qu'il en soit, pour le moment, c'est plutĂŽt difficile Ă savoir, je suis attirĂ©e par trop de choses!Rory Ă©tait trĂšs indĂ©cise quant Ă son avenir. Elle voulait devenir journaliste pour sa mĂšre, mais elle ne savait pas si ce mĂ©tier Ă©tait fait pour elle ou pas. Evey lui demanda alors de quel prĂ©nom Rory Ă©tait le diminutif.. elle sourit en lui rĂ©pondant, un peu De Lorelai. C'Ă©tait le prĂ©nom que ma mĂšre avait choisi depuis qu'elle Ă©tait enfant pour la fille qu'elle aurait un jour. Et elle n'a pas lachĂ© l'affaire, alors voilĂ .. mon pĂšre n'Ă©tait pas fan, alors il m'appelait Rory, et c'est restĂ©!Evey lui confia alors qu'elle avait des pensĂ©es un peu Ă©parpillĂ©es ses derniers temps. Rory la regarda avec un air interrogateur.. c'Ă©tait dans sa nature d'ĂȘtre trĂšs curieuse, parfois un peu trop d'ailleurs. Mais elle ne pouvait pas s'en empĂȘcher..- Si tu veux en parler.. parfois, ça aide quand on ne connait pas forcĂ©ment la personne..Bien sĂ»r, elle espĂ©rait qu'Evey voudrait bien se confier Ă elle, mais ce n'Ă©tait pas dans un sens malsain. C'est juste qu'elle avait l'air d'en avoir besoin, et Rory Ă©tait plutĂŽt de bonne Ă©coute, alors elle se proposait. Mais apparemment, Rory n'Ă©tait pas la seule curieuse aux cascades, Evey l'Ă©tait aussi.. elle lui demanda d'ou elle venait..- De New York. Je suis nĂ©e lĂ -bas et j'ai vĂ©cu lĂ -bas toute ma vie jusqu'au jour ou j'ai dĂ©barquĂ© ici. Mais en faite, j'Ă©tais dĂ©jĂ venue quelques fois pour voir ma cousine Lis, mais c'Ă©tait juste le temps de quelques week-ends. Et toi?!_________________ PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mar 25 Mar - 1456 Evey Ă©tait contente de pouvoir discuter avec une nouvelle personnes. Pour tout dire, elle adorait quand il s'agissait de faire de nouvelles rencontres, mais malheureusement ces derniers temps son esprit Ă©tait lĂ©gĂšrement ailleurs. Quoi qu'il en soit, le fait de discuter avec Rory lui faisait du bien, mĂȘme si elles venaient tout juste de se rencontrer, Evey sentait qu'on pouvait lui faire confiance. Quand celle ci lui dit qu'il fallait mĂ©riter l'endroit pour y venir, Evey se mit Ă sourire. C'Ă©tait peut ĂȘtre vrai, du moins tout comme Rory elle se plaisait Ă y croire rĂ©ellement. A prĂ©sent, Evey lui avait dĂ©voile sa pensĂ©e sur son avenir. Il faut dire que sur ce sujet lĂ , notre jeune blondinette Ă©tait totalement perdue. Que devrait elle faire? Quelque chose qui lui tenait Ă coeur et risquer de faire faillite, si son travail n'Ă©tait pas reconnu ou alors faire un mĂ©tier totalement diffĂ©rent, qu'elle aimait aussi mais qui serait sans doute moins attrayant que ce qu'elle avait projetĂ©. Rory semblait avoir trouver la solution en combinant les deux. Et d'une certaine maniĂšre, elle n'avait pas tort en soulignant ce point la. "Tu as sans doute raison. J'aimerai bien faire les deux, mais je sais pas si j'en aurais le temps. Un enseignant a toujorus besoin de temps pour ses cours ou pour ses Ă©lĂšves, et je ne sais pas si je pourrais faire les deux. en tout cas je te remercie de ton conseil." Puis elle remarqua que Rory rajouta quelque chose sur le mĂ©tier qu'elle avait elle mĂȘme choisit et la renseigna sur le fait qu'elle Ă©tait Ă©galement indĂ©cise."C'est normal de ne pas trop savoir, et puis on est jeunes encore c'est ce qu'il faut se dire." Evey Ă©tait reconnaissante envers Rory. Elle semblait vouloir l'aider, dans sa torture d'esprit et c'est pour cette raison qu'elle sentait qu'elle pouvait lui faire confiance. Evey lui avait dit cela en espĂ©rant pouvoir la convaincre Ă son tour. Mais maintenant, rory ui rĂ©pondait Ă propos des vraies origines de son prĂ©nom. Notre jeune Evey l'Ă©couta avec un sourire sur ses lĂšvres. Lorelai Ă©tait Ă©galement un joli prĂ©nom mais Evey souriait pour le fait que la mĂšre de Rory lui ait donnĂ©un prĂ©nom qui lui tenait autant Ă coeur. Certaines personnes Ă©taient attachĂ©es Ă leur idĂ©es, ce qui Ă©tait une qualitĂ© aux yeux d'Evey. C'est alors qu'elle rajouta une fois que Rory lui dit que son pĂšre l'avait prĂ©nommĂ© Rory et que c'Ă©tait restĂ© "Et c'est tout aussi joli comme prĂ©nom." Evey venait de lui avouer qu'elle Ă©tait perdue dans ses pensĂ©es depuis assez longtemps maintenant. Et d'une certaine maniĂšre, quand Rory lui dit que si elle voulait parler elle le pouvait, evey en fut heureuse. C'est vrai qu'il est parfois plus aisĂ© de se confier Ă ne personne que l'on ne connait pas beaucoup. Et n'y voyant pas d'inconvĂ©nients, notre jeune femme lui rĂ©pondit alors "En fait, j'ai perdu ma grand mĂšre il n'y a pas si longtemps que ça. Mais je pense que le pire que j'ai eu a endurer, c'est de savoir que mon pĂšre avait une maitresse et qu'il a eu un fils avec. un fils qui est Ă©galement Ă Long Island. Ma vie n'est pas trĂ©s chouette Ă entendre, je suis dĂ©solĂ©e tu dois avoir des problĂšmes bien plus importants que les miens. J'ai parfois tendance Ă pleurnicher pour rien. Mais je te remercie pour ton soutien." Evey regarda un instant le sol. Elle allait sans doute ĂȘtre jugĂ©e aprĂ©s ça. La peur des autres c'est ce qui freinait Evey quand elle se mettait Ă parler un peu d'elle. Elle avait sans cesse peur qu'ils croient qu'elle Ă©tait une pleurnicharde ou alors quelqu'un que l'on doit prendre avec de la pitiĂ©. Mais elle ne le voulait pas qu'on la traite de cette maniĂšre. Quoi qu'il en soit, elle Ă©couta Ă prĂ©sent Rory qui lui racontait qu'elle venait de New York et qu'elle a dĂ©cidĂ© de venir ici, mais qu'elle avait dĂ©ja de la famille et pas n'importe laquelle, puisqu'elle Ă©tait la cousine de Lisandra. Evey se mit alors Ă sourire et lui rĂ©pondit avec un air amical "Je ne savais pas que Lisandra avait une cousine de son Ăąge. On a souvent parlĂ© toutes les deux. Je viens de Floride mais comme toi j'Ă©tais dĂ©ja venu avant ici, ma tante vit ici depuis assez longtemps. et le jour est enfin venu ou j'ai dĂ©cidĂ© de changer d'air, de changer de vie, et je me suis retrouvĂ©e ici."_________________I think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mar 25 Mar - 1558 Rory Ă©tait contente car, pour une fois, sa timiditĂ© ne l'avait pas empĂȘchĂ©e de faire connaissance avec une nouvelle personne.. C'Ă©tait plutĂŽt rare pour elle, depuis qu'elle avait quittĂ© son ancienne vie, elle s'Ă©tait renfermĂ©e, un peu trop d'ailleurs. Elle faisait des efforts pour trouver un Ă©quilibre et s'ouvrire un peu aux autres, mais elle avait encore un peu de mal. Mais Evey Ă©tait d'une oreille attentive, et Rory sentait que malgrĂ© ses propre problĂšmes, elle n'Ă©tait pas gĂȘnĂ©e d'Ă©couter les problĂšmes des autres. Evey Ă©tait sympa! Elle eut l'air contente lorsque Rory lui proposa une espĂšce de solution Ă son dilemme combiner ses deux mĂ©tiers. Mais dĂ©jĂ un nouveau problĂšme apparaissait, il lui manquerait sĂ»rement le temps pour faire les deux..- Je pense que tu y arriverait! Si tu gardes la mĂȘme tranche d'Ăąge, tu peux te servir des cours de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente, comme ça, tu auras beaucoup plus de temps libre pour Ă©crire! Et puis tu sais, personnellement, j'Ă©cris beaucoup, et j'ai toujours du temps libre!Rory prĂ©fĂ©ra ne pas ajouter qu'elle Ă©tait insomniaque et que donc, elle ne dormait pas beaucoup. Elle voulait donner un peu "d'espoir" Ă Evey. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait que la blondinette en avait besoin. - Et puis, tu sais, comme tu l'as dit, on est jeunes, et peut-ĂȘtre que demain tu vas te mettre Ă Ă©crire et que tu seras publiĂ©e avant mĂȘme d'ĂȘtre enseignante!Elle lui fit un grand sourire encourageant. Evey lui dit alors que son vrai prĂ©nom Ă©tait tout aussi joli. Rory ne le trouvait pas, mais c'Ă©tait plus parce qu'elle avait l'habitude qu'on l'appelle par son diminutif. Elle avait Ă©tĂ© un peu perdue quand elle Ă©tait plus jeune Ă cause de cela. Elle avait tellement l'habitude, que lorsqu'Ă l'Ă©cole on l'appelait Lorelai, elle ne rĂ©pondait Merci! C'est marrant, Rory, Evey, ça se ressemble presque!Rory avait senti qu'Evey en avait gros sur le coeur et elle lui avait dit que si elle avait envie d'en parler, elle n'avait pas Ă hĂ©siter, car Rory Ă©tait toujours prĂȘte Ă Ă©couter et Ă aider les autres. La jolie blonde lui raconta alors qu'elle venait de perdre sa grand-mĂšre. Cela Ă©tait dĂ©jĂ assez difficile Ă vivre, mais Ă cela Ă©tait venu s'ajouter le fait que son pĂšre avait eu une maĂźtresse, et qu'il avait eu un enfant avec elle, un enfant qui vivait Ă Long Island. Waow! Cela rappela Ă Rory l'histoire d'Haley Scott et d'Emily Kernitz, elles aussi avait dĂ©couvert qu'elles avaient un pĂšre en commun. Elle posa une main amicale sur l'Ă©paule d' Je suis vraiment dĂ©solĂ©e pour ta grand-maman! Je sais que ce n'est pas facile Ă vivre..Puis, elle se pencha pour la regarder.. Elle essayait de trouver les mots justes qui pourraient la rĂ©conforter..- Tu as un frĂšre alors? Tu t'entend bien avec lui?! Et Evey lui dit qu'elle avait tendance Ă pleurnicher pour rien.. Rory la regarda gentillement.. Ce n'est pas rien! Si ça t'affecte, c'est que ce n'est pas rien! Et puis tu sais, tu as le droit de "pleurnicher" comme tu dis. C'est humain! On a tous nos problĂšmes, c'est vrai, mais tu as tout Ă fait le droit d'ĂȘtre triste ou perdue! La personne qui te dira le contraire dit n'importe quoi!Evey avait dit que Rory avait probablement des problĂšmes plus gros que les siens. Rory ne pensait pas que c'Ă©tait plus grave, mais c'Ă©taient des problĂšmes diffĂ©rents. Aucun problĂšme n'est plus grave qu'un Moi aussi j'ai mes problĂšmes, c'est vrai. Mais c'est pas comparable aux tiens, et surtout, je suis en train de tout rĂ©soudre, petit Ă petit.. et je dois avouer que je suis plutĂŽt fiĂšre de moi! Elle sourit en pensant qu'elle avait fait pas mal de progrĂšs.. Et si tu as besoin d'aide, n'hĂ©site pas Ă m'appeler. Apparemment, Evey connaissait Lisandra. Elles s'Ă©taient parlĂ©, mais elle n'Ă©tait pas au courant qu'elle avait une cousine. Rory pensait que c'Ă©tait normal...- J'imagine bien qu'elle ne parle pas trop de moi. Il n'y a vraiment pas de quoi ĂȘtre fiĂšre. Mais on a un point commun toi et moi, on est venues ici pour changer de vie.. J'espĂšre que ça marchera!_________________ PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Dim 30 Mar - 1251 [Merci de l'avoir mis Rory ça me fait plaisircheers ]Evey continuait de regarder Rory, il semblait que els deux jeunes femmes se comprennaient sur toutes la ligne, quand il s'agissait de certaines sujets de conversations. Evey Ă©tait donc ravie d'avoir pu trouver ces cascades et ainsi faire la rencontre de Rory. C'Ă©tait une jeune femme toute Ă fait charmante et trĂ©s intĂ©ressante dans ses propos. Evey sentait qu'elle pouvait discuter en toute confiance, qu'elle n'Ă©tait pas jugĂ©e mais plutĂŽt comprise. De quoi la changer de ce qu'il se passe habituellement. Quoi qu'il en soit, elle prenait vraiment plaisir Ă discuter avec Rory et pouvait sentir que c'Ă©tait rĂ©ciproque ce qui la soulagea d'une certaine maniĂšre. Car, il est vrai que notre jeune Evey Ă©tait assez renfermĂ©e et ses amis ne manquaient pas de le lui rappeler. Mais elle ne leur en voulait pas ils avaient raison d'une certaine maniĂšre, si elle continuait sur cette voie elle finirait probablement vieille fille et seule chez elle. Cependant la n'Ă©tait pas la questions, elle Ă©couta alors Rory qui venait de lui expliquer qu'elle devrait pouvoir arriver Ă concilier les deux professions qu'elle convoitait tant. Et d'une certaine façon, elle avait raison. Puisque les cours ne changeaient pas des masses, elle pourrait donc commencer Ă faire ce ui lui tenait Ă coeur l'annĂ©e suivante, car ses cours seraient dĂ©ja prĂ©parĂ©. Une lueur d'espoir venait de s'installer dans l'esprit d'Evey et c'est ainsi qu'elle lui rĂ©pondit avec un sourire qui laissait prĂ©sager son espoir "Tu as sans doute raison. J'essaierai de faire de cette maniĂšre. qui saçit peut ĂȘtre je serai assez courageuse pour y parvenir. Tu Ă©cris toi aussi? C'est merveilleux ça. Et quel genre d'Ă©criture est ce que tu prĂŽnes?" C'Ă©tait intĂ©ressant de savoir que rory Ă©crivait elle aussi. Elles avaient donc une passion commune avec l'Ă©criture, mĂȘme si peut ĂȘtre ce n'Ă©tait pas le mĂȘme genre. Elle la regarda en souriant, attendant que cette derniĂšre lui rĂ©ponde, et c'est alors qu'elle put entendre que Rory se servait de la rĂ©plique qu'elle lui avait donnĂ© prĂ©cĂ©demment pour continuer Ă donner encore un peu d'espoir Ă notre petite Evey. Souriant de plus belle, Evey Ă©tait trĂ©s reconnaissante envers Rory. Elle lui permettait de croire Ă nouveau en quelque chose de meilleur, une chose possible et imaginable. C'est ainsi qu'elle lui rĂ©pondit avec toute sa gratitude "Je te remercie beaucoup Rory. ça me fait beaucoup de bien qu'une personne approuve mes idĂ©es et surtout me permet de revoir clair sur un possible avenir. J'espĂšre sincĂ©rement que tu connaĂźtras un brillante carriĂšre de journaliste." Une fois de plus notre petite blondinette Ă©tait sincĂšre dans ses propos. Rory Ă©tait une personne trĂ©s gentille et surtout elle espĂ©rait. Chose qui manquait horriblement Ă Evey, mais cet espoir qu'elle avait dans ses yeux, redonnait du courage Ă Evey. Toutes deux parlĂšrent alors de leur prĂ©nom et Evey avait avouĂ© Ă Rory que son vrai prĂ©nom Ă©tait trĂ©s joli. Quand elle fit la remarque que leur prĂ©nom pouvaient presque se ressembler par rapport au fait qu'ils Ă©taient court, Evey se remit Ă sourire. "C'est vrai, c'est dommage que je n'ai pas un O dans mon prĂ©nom, la ressamblance aurait Ă©tĂ© plus frappante." Evey eut un lĂ©ger rire. C'Ă©tait vrai que leur prĂ©nom Ă©taient assez courts et de ce fait, plus facile Ă pronnoncer. De cette maniĂšre les gens pouvaient les appeler de façon claire et prĂ©cise. C'Ă©tait mieux les petits noms plutĂŽt que ceux Ă rallonge. Maintenant notre jeune Evey venait de lui avouer ce qu'il en Ă©tait de sa vie. elle se sentait en confiance avec Rory c'Ă©tait pour cette raison qu'elle c'Ă©tait permise de lui raconter ce qu'il en Ă©tait exactement. MĂȘme ses meilleurs amis, Danny et Cindel n'Ă©taient pas au courant de cette histoire. craignant toujours dĂ©ranger, Evey n'avait pas eu le courage de prendre le tĂ©lĂ©phone et d'apperler l'un ou l'autre pour leur raconter ce qu'il en Ă©tait. C'est pour cette raison qu'en compagnie de Rory, evey avait l'impression qu'elle pouvait se lacher, qu'elle pouvait le dire. Quand elle lui prĂ©senta ses condolĂ©ances pour sa grand mĂšre, Evey perdit un peu son sourire et la regarda avec un regard plus sĂ©rieux et exprimant une certaine tristesse. "Merci. Non c'est pas trĂ©s facile mais je tiens le coup pour elle." Sa grand mĂšre comptait Ă©normĂ©ment dans le coeur d'Evey. Et els circonstances de sa mort furent assez violente. Mais bon elle ne pouvait pas en vouloir Ă son demi frĂšre, aprĂ©s out ce n'Ă©tait aps sa faute. Evey venait ensuite d'avouer Ă Rory qu'elle possĂšdait un demi frĂšre. et Rory lui rĂ©pondit de suite en lui demandant comment ça allait avec lui. Emme devait s'attendre ce qu'Evey lui rĂ©ponde que tout roulait sur de l'or, qu'ils s'aimaient et qu'ils apprennaient Ă se connaĂźtre. ais si elle lui disait cela, ce ne serait pas la vĂ©ritĂ©. Elle regarda un instant le sol, et tout en le fixant elle rĂ©pondit dans un regard vague "Pour tout te dire c'est l'horreur. On est complĂ©tement diffĂ©rents lui et moi. Je veux faire des efforts avec lui, je veux le connaĂźtre et passer du temps avec lui. Mais en rĂ©ponse je n'ai que des rĂ©flexions et surtout de la haine." Il ne l'aimait pas voila tout. Mais elle n'y pouvait rien, elle essyait en vain mais au moins elle essayait. elle voulait faire un effort avec lui mais lui ne semblait pas disposer Ă en faire. Evey continua Ă regarder le sol avec ce regard vague, et c'est ainsi qu'elle put entendre que Rory ne la considĂ©rait pas comme une pleurnicharde. Mais que ses pensĂ©es Ă©taient toutes Ă fait normales. Le fait d'ĂȘtre ainsi perdue expliquait pas mal de chose dans le comportement d'Evey. Mais elle releva le regard et le posa sur Rory pour lui rĂ©pondre "Merci, merci de m'Ă©couter alors que je suis sure que tu dois avoir pleins de choses Ă penser." Evey afficha un lĂ©ger sourire mais son regard trahissait ce qu'elle voulait faire passer. Car elle Ă©tait trsite, trsite de se sentir si faible et surtout de ne voir aucune rĂ©ponses Ă ses questions en ce qui concernait son frĂšre. Elle Ă©couta ensuite rory qui semblait avoir autant de problĂšme qu'elle, et voulant l'aider Ă son tour elle put comprendre qu'elle Ă©tait dans la bonne voie pour remĂ©dier Ă tout ce qui se passait autour d'elle. "Je suis heureuse pour toi. il y a de quoi ĂȘtre fier quand on arrive Ă rĂ©gler tous ses problĂšmes. J'espĂšre que ça va durer et surtout que tu n'en connaĂźtras pas d'autres. Merci pour ton soutien c'est trĂ©s gentil. et il en va de mĂȘme pour toi. Je suis peut ĂȘtre perdue mais si jamais tu as besoin sache que je serai lĂ pour t'aider." Une belle amitiĂ© Ă©tait en train de naĂźtre entre les deux jeunes femmes. elles se soutenaient mutuellement. Et evey aurai Ă©tĂ© ravie de pouvoir l'aider ou mĂȘme pouvoir simplement discuter avec elle, quand elle le voudrait. Elle venait de lui avouer qu'elle Ă©tait cousine avec Lisandre, un amie d'Evey. Mais la rĂ©ponse qu'elle lui apporta fit penser Ă Evey qu'elle avait raison. Une fois de plus Rory exposait les faits et essayait de les rĂ©soudre de maniĂšre la plus optimiste possible. "Je pense qu'il y a de quoi ĂȘtre fiĂšre d'avoir une cousine comme toi. Tu sembles ĂȘtres gentile, posĂ©e et surtout avoir un esprit clair. tu possĂšdes beaucoup de qualitĂ©s Rory, ne te sous estime pas. J'espĂšre aussi que nos vie changeront mais pour l'instant la mienne ne bouge pas au contraire elle empire. Mais comme on dit c'est la vie, il faut faire avec."_________________I think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Lun 31 Mar - 1936 [C'est normal! Il me plait beaucoup!!! <3]Rory se sentait mieux Ă prĂ©sent. Ă la base, elle Ă©tait venue aux cascades pour Ă©chapper Ă beaucoup de choses, notemment Ă la foule, au bruit, au stress... elle avait un cruel besoin de calme, de se recentrer, de pouvoir rĂ©flĂ©chir, et se laisser aller. Elle ne voulait pas inquiĂ©ter ses amis ou son chĂ©ri, alors elle avait prĂ©fĂ©rĂ© de ne pas les dĂ©ranger et s'enfermer un peu dans sa bulle de solitude. Les cascades Ă©taient le seul endroit au monde ou elle se sentait libre d'ĂȘtre elle-mĂȘme, avec toutes ses qualitĂ©s et ses dĂ©fauts. Elle ne se sentait pas jugĂ©e ou pointĂ©e du doigt. Elle se sentait calme et en paix avec elle-mĂȘme. Rencontrer Evey avait Ă©tĂ© une bonne chose. Elle ne la connaissait pas, mais elle sentait qu'elle pouvait lui faire confiance, que c'Ă©tait une fille un peu comme elle, simple et gentille, mais qui avait des problĂšmes par dessus la tĂȘte. Elle se reconnaissait pas mal en elle. Sauf la couleur de cheveux bien sĂ»r. Et puis, Rory aimait Ă©couter la jolie blonde, elle sentait qu'elle en avait besoin. Elle avait des doutes et, apparemment, personne ne s'Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă l'aider ne serait-ce qu'un tout petit peu. Rory lui avait dit ce qu'elle pensait, en disant qu'elle pourrait trĂšs bien concilier ses deux mĂ©tiers, et apparemment, cette idĂ©e faisait plaisir Ă Evey qui y retrouvait un espoir. La blonde commençait mĂȘme Ă sourire, ce qui Ă©tait plutĂŽt agrĂ©able Ă voir!- Oh! Moi... j'Ă©cris un peu de tout... de la poĂ©sie, des romans, des histoires courtes... un peu tout ce qui me passe par la tĂȘte. Mais j'avoue que pour le moment, je ne suis pas trĂšs emballĂ©e par ce que j'ai fait jusqu'Ă aujourd'hui. Je suis trĂšs critique envers la suite, Evey confirma son besoin de retrouver un espoir perdu. Elle la remercia, en disant qu'elle lui avait permis de voir plus clair. Rory arrivait souvent Ă ce genre de rĂ©sultat, sauf lorsqu'il s'agissait d'elle-mĂȘme. Quand elle essayait de trouver une solution Ă ses propres problĂšmes, elle n'y parvenait pas. Mais peut-ĂȘtre Ă©tait-ce dĂ» au fait qu'elle Ă©tait trĂšs nĂ©gative et critique envers elle-mĂȘme? Elle se mettait beaucoup de pression, voulant absolument rĂ©ussir Ă s'en sortir, car rien n'Ă©tait encore fait. Enfin, sans s'Ă©carter du sujet, Evey souhaita une brillante carriĂšre en tant que journaliste. Rory eut un grand sourire, s'imaginant presque dans la rĂ©daction d'un journal Ă grand Merci beaucoup! Et toi, je te souhaite vraiment une belle carriĂšre d'Ă©crivain et de prof. J'irai te demander un autographe le jour ou tu sortiras ton premier livre!Elle lui fit un petit clin d'oeil. L'idĂ©e d'aller Ă la premiĂšre sĂ©ance de dĂ©dicaces d'Evey lui donnait le sourire. Elle l'imaginait dĂ©jĂ , derriĂšre une table, avec trois stylos diffĂ©rents devant elle, une pile Ă©norme de livres sur sa gauche, la file de gens qui attendent pour se faire dĂ©dicacer leur exemplaire et bien sĂ»r, Rory au milieu de tous ses gens. La conversation tourna alors autour de leurs prĂ©noms, dont la fin se ressemblait. Evey dit qu'il manquait un O dans son prĂ©nom pour que les deux se ressemblent Oh, ils sont tellement courts qu'ils se ressemblent quand mĂȘme!Evey lui avait confiĂ© que la vie sans sa grand-mĂšre n'Ă©tait pas facile. Rory pensa que ça ne l'Ă©tait jamais, quelque soit l'ĂȘtre qui part. Rory avait sombrĂ© Ă cause du dĂ©cĂšs de sa maman, alors elle savait bien que ce n'Ă©tait pas Je te comprend tout Ă fait. On dit tout le temps que le temps cicatrise les blessures, mais je n'y crois pas. On apprend juste Ă vivre avec, Ă ne pas se laisser submerger par le chagrin toutes les 5 minutes. Chaque jour passĂ© sans pleurer est comme une mince victoire. AprĂšs la mort de ma mĂšre, ça a Ă©tĂ© comme ça. Ă sa grande surprise, Rory Ă©couta Evey lui dire que de connaĂźtre son demi-frĂšre Ă©tait une horreur. La brune avait parlĂ© avec Haley qui s'entendait trĂšs bien avec sa nouvelle demie-soeur, Ă quel point c'Ă©tait gĂ©nial pour elle, mais Evey lui disait absolument le contraire. Comme quoi, Ă mĂȘme situation, vĂ©cu diffĂ©rent! Elle l'Ă©couta Peut-ĂȘtre que ça va s'arranger... quand il te connaĂźtra! Il ne peut pas juste tourner les talons... mais tu sais, il faut peut-ĂȘtre lui laisser du temps. Ce n'est pas Ă©vident d'apprendre un truc aussi gros, alors avec du temps, il changera surement d'avis, et quand il apprendra Ă te connaĂźtre, il se dira qu'il a Ă©tĂ© bien bĂȘte de ne pas se tourner vers toi avant! Il verra que tu es une fille gĂ©niale, et il commencera Ă agir en frĂšre! Elle fit une petite pause, sourit gentillement et ajouta en chuchotant.. En tout cas, je l'espĂšre, parce que moi je serais contente d'avoir une soeur comme aurait voulu ajouter que si ce n'Ă©tait pas le cas, elle pourrait toujours venir lui en parler, mais elle ne savait pas comment Evey le prendrait, alors elle n'osa pas. Elle posa juste une main sur son Ă©paule pour lui signifier qu'elle Ă©tait lĂ au cas ou... C'est alors que la blonde la remercia d'ĂȘtre lĂ , et de l' Mais c'est rien! Je suis toujours disposĂ©e Ă Ă©couter. J'aurais peut-ĂȘtre dĂ» faire psycho qui sait?! Non, sĂ©rieusement, ne te sens pas gĂȘnĂ©e si un jour tu as envie de parler, ma porte et mon tĂ©lĂ©phone son toujours elle l'avait quand mĂȘme dit. Elle ne savait pas trop ce qu'Evey allait penser de cela, aprĂšs tout, elles ne se connaissaient pas vraiment, mĂȘme si elles s'Ă©taient avouĂ©es des choses un peu personnelles. ForcĂ©ment, ça créé des liens, mais mĂȘme si Rory Ă©tait prĂȘte Ă l'Ă©couter, elle ne savait pas si Evey voudrait lui parler. - Et ne t'en fais pas... mes soucis, ils trouveront leur solution aussi un jour...Evey la fĂ©licita en disant que Rory pouvait ĂȘtre fiĂšre d'avoir rĂ©ussi Ă rĂ©glĂ©r certains problĂšmes. Oui, mais il y en avait encore d'autres, et ceux lĂ prendraient beaucoup plus de temps. La blonde ajouta qu'elle ne devait pas se sous-estimer, ce qui fit sourire Rory. C'Ă©tait lĂ un gros problĂšme, elle se sous-estimait sans arrĂȘt. - J'ai beau essayer, ça ne marche pas vraiment... j'ai une trĂšs mauvaise image de moi. Et toi, je suis sĂ»re que tu vas vite refaire surface. Ta vie va changer, j'en suis sĂ»re, et en bien! Dans quelques temps tu seras ici, tout sourire, en train de me dire Ă quel point la vie est belle! Il suffit d'y croire, et moi j'y crois pour toi!_________________ PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Sam 5 Avr - 1240 [Pardon j'avais oubliĂ©, j'Ă©tais perusadĂ© de t'avoir rĂ©pondu arg ] Evey Ă©tait elle aussi plus seraine maintenant. MĂȘme si elle n'avait pas dĂ©couvert les lieux de maniĂšre attendue, elle avait ressassĂ© encore des choses dans sa tĂȘte, mais la venue de Rory et surtout sa façon de voir les choses l'avait trĂ©s bien rassurĂ©. A prĂ©sent, Evey parlait Ă Rory comme si elles se connaissaient depuis toujours. Elle avait rĂ©ussi Ă la mettre en confiance avec elle et Evey lui en Ă©tait trĂ©s reconnaissante. Tout comme Rory, Evey une de ses personnes qui n'osent pas dire vĂ©ritablement leurs problĂšmes Ă leurs amis de peur qu'ils les rejettent. En l'occurrence, Evey ne voulait pas encore parler Ă ses meilleurs amis, estimant qu'ils avaient assez de soucis comme ça, et qu'il ne servait en rien de leur en rajouter d'autres. Si elle avait l'aisance de discuter avec Rory de tous ce qui pouvait la tracasser c'est justement frĂące Ă ce fait qu'elle ne se sentait pas mal Ă l'aise mais plutĂŽt comprise. Elle voyait que Rory en avait Ă©galement gros sur le coeur, et que d'une certaine maniĂšre elles se ressemblaient un peu, par leur silence. Evey Ă©tait reconnaissante envers Rory pour lui prĂȘter une oreille attentive Ă ses problĂšmes. Une autre personne lui aurait dit d'aller voir ailleurs, mais Rory Ă©tait restĂ©e et semblait en apprendre davantage sur notre jeune Evey. Et vu q'elle lui faisait Ă prĂ©sent confiance, elle ne voyait pas en quoi cela pouvait poser un problĂšme. Rory Ă©tait une personne exceptionnelle, elle Ă©tait trĂ©s gentille et surtout simple comme elle. Elle pouvait voir que la jeune Rory Ă©tait Ă©galement une personne en quĂȘte de rĂ©ponses tout comme elle. Le monde est parfois injuste. Quand on est heureux, on ne devrait pas connaĂźtre d'autres souffrances, c'Ă©tait ce que ce disait Evey. Mais comme disent les adultes c'est la vie, et elle Ă©tait une adulte Ă prĂ©sent. Bref, notre jeune blondinette avait demandĂ© Ă Rory quel genre d'Ă©criture est ce qu'elle prĂŽnait? en effet, les deux jeunes femmes avaient beaucoup de choses en commun dont l'Ă©criture. Gardant un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, elle l'Ă©couta lui rĂ©pondre qu'elle aimait tout. Evey trouvait cela remarquable, c'Ă©tait une qualitĂ© de savoir tout Ă©crire de la poĂšsie au roman en passant par des nouvelles. Quand elle rajouta qu'elle Ă©tait trĂ©s critique envers elle mĂȘme, Evey garda son sourire et lui rĂ©pondit avec ce mĂȘme ton amical qu'elle avait depuis le dĂ©but de la conversation "Tout artiste est trĂ©s critique envers lui mĂȘme. Et je t'avoue aussi que ce que j'Ă©cris ne m'emblalle pas, j'arrive jamais Ă me dire tiens lĂ tu as fais un bon travail. Je sais pas c'est sans doute le manque de confiance qui fait qu'on aime pas ce que l'on Ă©crit." Rory avait beaucoup aidĂ© Evey et Evey comptait bien lui montrer qu'elle pouvait ĂȘtre lĂ aussi pour elle. Discuter d'un sujet tel renvoyait bien au fait que les deux jeunes femes aspiraient Ă devenir de bonnes amies. Et cela rĂ©conforta Evey. Elle avait besoin de sentir que des personnes pouvaient bien l'aimer pour ce qu'ele est, et non pas lui sauter dessus dans les couloirs pour l'Ă©trangler cf le sujet dans les couloirs mdr. Et avec Rory, Evey se sentait Ă nouveau comme avant, avant que tout ses malheurs arrivent. Avant qu'ellene sache pour son frĂšre, ce temps lĂ ou elle ne vivait que pour ses amis et ou elle souriait tous le temps. Ce temps lĂ lui manquait. Mais avec Rory elle sentait que ce temps pouvait revenir, car elle l'aidait beaucoup Ă y voir plus clair dans sa vision des choses et notamment sur son avenir. elle lui avait souhaitĂ© d'avoir une belle carriĂšre, car elle le mĂ©ritait beaucoup. Quand elle la remercia Evey lui fit un beau sourire sincĂšre. Et quand elle lui souhaita la mĂȘme chose, elle lui rĂ©pondit "Merci beaucoup. Et ne t'inquiĂšte pas le jour ou je sortirai un livre, tu seras la premiĂšre Ă en avoir un exemplaire dĂ©dicacĂ©." Si ce temps lĂ pouvait exister. Evey l'espĂ©rait de tout son ĂȘtre, mais peut ĂȘtre n'Ă©tait ce qu'un rĂȘve? Mais maintenant que Rory lui avait redonnĂ© espoir, elle allait se donnait Ă fond, faire du mieux qu'elle le pourrait pour y arriver. Elle voulait le faire pour Rory. La conversation changea pour s'intĂ©resser aux prĂ©noms des deux jeunes femmes. Evey garda ce sourire quand Rory lui spĂ©cifia que leurs prĂ©noms Ă©taient tellement courts que mĂȘme si il n'y avait pas de O dans celui de Evey, ils se ressemblaient quand mĂȘme. Ce n'Ă©tait aps faux d'une certaines maniĂšre. "Oui c'est vrai." Se contenta t'elle de rĂ©pondre simplement Ă ce que rajoutait Rory. La conversation changea une nouvelle fois pour revenir sur un sujet plus dur et plus lui avait avouĂ©, qu'elle revenait de Floride de l'enterrement de sa grand mĂšre. Et Rory semblait comprendre la peine qu'elle pouvait endurer. en effet Evey avait vĂ©cu avec sa grand mĂšre, quand ses parents n'Ă©taient pas lĂ et que ses deux frĂšres lui cassĂ©s les pieds, elle se rĂ©fugiait souvent chez celle ci. Elle lui avait appris beaucoup de chose dont la couture et la cuisine, mais surtout c'est elle qui lui avait appris de croire aux autres. Qu'ils n'Ă©taient pas fonciĂšrement mauvais mais qu'ils pouvaient se cacher derriĂšre des barriĂšres parce qu'il n'avait pas confiance en eux. Rory lui confia Ă son tour qu'elle savait ce que c'Ă©tait d'endurer un grand chagrin car elle l'avait connu avec le dĂ©cĂ©s de sa mĂšre, Evey la regarda avec un regard gĂȘnĂ©, elle ne voulait aps lui faire souvenir de mauvaises choses "Je suis dĂ©solĂ©e pour ta mĂšre. Je ne voulais pas te rappeler de mauvais souvenirs." Evey Ă©tait gĂȘnĂ©e. Car Rory avait un regard si enthousiasme au dĂ©but et maintenant elle semblait triste Ă son tour. La conversation se dirrigea ensuite vers Jack, le demi frĂšre d'Evey. Qui Ă©tait en fait la source de ses problĂšmes depuis son arrivĂ©e Ă Long Island. en l'expliquant en Rory, Evey avait remarquĂ© un lĂ©ger changement d'expression sur son visage. elle devait s'attendre Ă ce qu'elle lui dise que tout Ă©tait qu'ils apprennaient Ă se connaĂźtre comme de vrais frĂšres et soeurs. Evey l'avait cru au dĂ©but. et elle voulait continuer Ă y croire, mais la rĂ©alitĂ© Ă©tait lĂ et malheureusement Jack n'aimait pas Evey. "J'espĂšre aussi que ça changera. J'aimerai tellement rĂ©agir avec lui comme je fais avec mes vrais frĂšres. Ceux qui sont en Floride, on se dit toujorus tout et on est soudĂ©. Mais avec lui c'est diffĂ©rent. Pourtant il l'a su avant moi qu'il Ă©tait mon frĂšre. il connaĂźt ma vie par coeur donc c'est qu'il y a de l'espoir. Mais dĂ©s que je veux commencer une conversation avec lui pour apprendre Ă le connaitre, il s'enferme dans sa bulle et je peux rien en tirer Ă part des rĂ©flexions." elle marqua une pause avant de rajouter en regardant Rory avec un lĂ©ger sourire pour se donner de l'espoir "Mais peut ĂȘtre que tu as raison, qu'il voudra apprendre Ă mieux me connaĂźtre et que tout changera. Je l'espĂšre." Elle remarqua ensuite que Rory lui avait dit qu'elle aurait aimĂ© avoir une demie soeur comme elle, Evey se mit Ă sourire de pleines dents, cette remarqua lui faisait Ă©normĂ©ment plaisir "Merci moi aussi j'aimerai bien avoir une soeur comme toi, ça serait tellement plus facile." En mĂȘme temps evey Ă©tait le seule fille de sa famille, elle n'Ă©tait entourĂ©e que de garçons en frĂšres. Mais elle les aimait et mĂȘme Jack, ils faisanet partis de sa vie, et ils Ă©taient tout pour elle malgrĂ© que certains ne le voit pas. evey avait remercie Rory de l'Ă©couter et surtout de lui donner des conseils. C'Ă©tait si plaisant de savoir qu'on pouvait ĂȘtre entendu au moins une fois. Cela lui permettait de se relacher, d'exprimer sa peine autrement que par des larmes. Et pour cette raison, Evey serait capable de tout faire pour satisfaire Rory, elle lui en Ă©tait tellement reconnaissante qu'Ă prĂ©sent Rory lui demanderait ue chose, elle s'exĂ©cuterait sans poser de question. "Merci Rory, tu es vraiment une fille en or. Tu ne devrais pas avoir de soucis, tu est tellement gentille. Je comprend pas qu'on puisse te faire du mal, ces personnes lĂ ne savent vraiment pas Ă qui elles ont affaire et surtout elles ratent quelque chose." Evey restait sincĂšre avec elle rajouta en souriant Ă sa remarque passĂ©e sur le fait qu'elle aurait du peut ĂȘtre faire psycho "Qui sait, peut ĂȘtre que tu aurais aidĂ© beaucoup de personnes dans mon cas. Mais tu n'as aps besoin de prendre cette branche pour remonter le moral des autres. il vaut mieux faire quelque chose qui te plait." Rory Ă©tait une personne avec qui on voyait que l'on pouvait discuter de tout et de n'importe quoi. elle Ă©tait trĂ©s cultivĂ©e et surtout pouvait vous aider sans le moindre problĂšme. C'est ce qui montrait qu'elle Ă©tait une personne exceptionnelle une fois de plus. Des gens comme cela iln'y en a plus beaucoup sur Terre. Quand elle lui confia que ses soucis trouveraient un jour des rĂ©ponses, Evey ne put s'empĂȘcher de rĂ©pondre "Je l'espĂšre, parce que tu ne mĂ©rites pas d'en avoir." elle avait confiance en Rory, elle savait qu'elle s'en sortirait. Avec sa vision des choses elle ne pouvait que se sortir de ses mauvais pas. Enfin si un jour elle en avait besoin, Evey serait lĂ pour elle. "Malheureusement on a tous des mauvaises images de nous mĂȘme. Et j'espĂšre que la prochaine fois que je te verrais je te dirai que je vais mieux grace Ă toi. Parce qu'il n'y a que toi qui ait pu m'aider Ă y voir plus clair."_________________I think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Sam 5 Avr - 1626 Rory ne pouvait s'empĂȘcher de penser que se n'Ă©tait pas un hasard qu'elle rencontre Evey Ă cet endroit, ce jour-lĂ . La blonde avait un tel besoin de parler, de se libĂ©rer de son fardeau, la brune aussi, ça ne pouvait pas ĂȘtre juste le hasard. C'Ă©tait le destin qui les avait rĂ©uni, comme s'il s'Ă©tait dit que rĂ©unir les deux jeunes filles leur ferait un bien fou tant Ă l'une qu'Ă l'autre. Car c'Ă©tait le cas. Rory se sentait mieux, et Evey aussi apparemment. Elles se comprenaient, elle s'Ă©coutaient et se parlaient. Elles Ă©taient pareilles dans leur façon d'agir, de garder certaines choses pour elle, histoire de ne pas inquiĂ©ter les autres, ou de ne pas devenir un fardeau pour eux. Cela dit, elle ne voyait pas Evey comme un fardeau, juste comme une Ăąme momentanĂ©ment perdue, Ă la recherche de rĂ©ponse, d'un chemin, d'un espoir. C'Ă©tait aussi un peu le cas de Rory, mais d'une façon diffĂ©rente. Oui, ça ne pouvait ĂȘtre que le destin qui les avait rĂ©unies dans cet endroit apaisant. Tour Ă tour, elles s'Ă©taient dĂ©voilĂ©es. Tour Ă tour, elles apprenaient Ă se connaĂźtre, sans juger, juste en Ă©coutant, en soutenant l'autre. Evey en savait autant sur Rory que sa propre cousine, celle qui depuis toujours l'avait soutenue malgrĂ© les bĂȘtises qu'elle faisait. La jolie blonde avait rĂ©ussi Ă gagner la confiance de la brune par sa gentillesse, sa bontĂ© d'Ăąme et sa simplicitĂ© de caractĂšre. C'Ă©tait une fille vraiment bien, qui ne mĂ©ritait absolument pas ce qu'il lui arrivait. Cela dit, personne ne le mĂ©rite, mais Evey Ă©tait Ă part. C'Ă©tait la gentillesse incarnĂ©e. Comment pouvait-on donner une vie si compliquĂ©e Ă quelqu'un comme elle?! Mais le destin les avait rĂ©unies, et peut-ĂȘtre que Rory rĂ©ussirait Ă l'aider, ne serait-ce qu'un petit peu. - Oui, je pense bien que tout artiste est critique envers soi-mĂȘme. Si jamais tu veux me faire lire ce que tu as Ă©crit jusqu'Ă prĂ©sent, n'hĂ©site pas! Je te donnerai mon avis, et qui sait, peut-ĂȘtre qu'en travaillant ensemble, on arriverait Ă faire quelque chose de bien!Les deux jeunes femmes avaient beaucoup de points communs. Un peu comme si Evey Ă©tait le double de Rory... en blonde... et avec un frĂšre... un frĂšre qui regretterait un jour le mal qu'il ose faire Ă Evey. Rory Ă©tait persuadĂ©e qu'un jour, il verrait la femme extraordinaire qu'est sa soeur, et il regretterait amĂšrement de ne pas avoir Ă©tĂ© plus gentil avec elle, de ne pas lui avoir donnĂ© une chance. La brune espĂ©rait vraiment aussi qu'Evey parviendrait Ă faire abstraction de cela, qu'elle rĂ©ussirait Ă ne pas ĂȘtre aussi atteinte par ce qu'il lui disait ou lui faisait. La conversation tournait toujours autour des livres, et Evey dĂ©clara Ă Rory qu'elle serait la premiĂšre Ă avoir un exemplaire dĂ©dicacĂ© de son oeuvre. Rory fit un grand sourire, elle Ă©tait flattĂ©e - La premiĂšre?! AprĂšs, j'irai dire Ă tout le monde que l'auteur de se livre est une amie Ă moi, et je les enverrai l'acheter!!Elle avait bien dit le mot amie. Elle espĂ©rait que c'Ă©tait pareil pour Evey, qu'elle se disait la mĂȘme chose. Rory Ă©tait absolument ravie de l'avoir rencontrĂ©e, elle se disait mĂȘme que c'Ă©tait dommage qu'elle ne se connaissent pas depuis plus longtemps. Qui sait, peut-ĂȘtre que leur deux vies auraient Ă©tĂ© diffĂ©rentes?! Mais en mĂȘme temps, il y a Ă peine un an, si Rory avait rencontrĂ© Evey, elle ne lui aurait probablement pas adressĂ© la parole, tellement elle Ă©tait perdue et en mauvaise compagnie Ă l'Ă©poque. Elle avait fait un sacrĂ© chemin. D'ailleurs, parler de sa mĂšre aurait Ă©tĂ© impossible il y a quelques mois, et lĂ , elle confiait ses peines Ă Evey, concernant le dĂ©cĂšs de sa mĂšre. - Oh, tu ne pouvais pas savoir... Ce n'est pas grave... j'essaye de garder les meilleurs souvenirs que j'ai d'elle et d'oublier le reste, mais c'est pas trĂšs facile comme tu peux t'en douter. Mais chaque jour qui passe, c'est un peu une victoire, parce que je suis toujours lĂ , et je suis toujours la fille qu'elle aurait voulu que je devienne, et pas la folle alcoolique que je suis devenue aprĂšs son dĂ©cĂšs. Elle serait fiĂšre de moi aujourd'hui je pense...Elle fit un sourire pour montrer Ă Evey que se n'Ă©tait pas grave qu'elle ait abordĂ© le sujet. Elle ne voulait pas que la blonde se sente mal, ou qu'elle ne veuille plus aborder certains sujets de peur de rappeler de mauvais souvenirs. Evey continua alors Ă parler de sa relation conflictuelle avec son frĂšre. Elle gardait l'espoir, mais les choses Ă©taient vraiment compliquĂ©es. Il devait sĂ»rement avoir besoin de plus de temps. Ce n'est jamais facile d'apprendre qu'on a un frĂšre ou une soeur. Rory se souvenait de la discussion qu'elle avait eu avec Haley Ă se propos, qu'elle Ă©tait contente, mais qu'elle Ă©tait fachĂ©e en mĂȘme temps. Cela dit, elle avait dĂ©cidĂ© d'apprendre Ă la connaĂźtre sa soeur, alors peut-ĂȘtre que pour Evey, ça allait ĂȘtre pareil?!! - En gĂ©nĂ©ral vous parlez de quoi?! Peut-ĂȘtre que si tu lui dit clairement que tu aimerais le connaĂźtre, il le voudra aussi... Tu sais, les garçons, ils sont vraiment compliquĂ©s.. ils ne savent jamais ce qu'ils veulent. Puis, Evey lui dit qu'elle aurait aussi aimĂ© avoir une soeur comme Rory... C'est avec un Ă©norme sourire qu'elle lui rĂ©pondit J'ai aussi mon sale caractĂšre, mais je suis trĂšs fidĂšle avec mes proches, et je suis toujours lĂ pour eux... Ă dĂ©faut de m'avoir comme soeur, tu peux m'avoir comme amie...VoilĂ , le sujet revenait sur le tapis... Rory lui offrait son amitiĂ©, c'Ă©tait Ă Evey de voir si elle en voulait ou pas... La blonde remercia la brune en lui disant que c'Ă©tait une fille en or.. Rory sourit en se disant qu'elle essayait d'ĂȘtre une fille bien et qu'apparemment, elle Ă©tait sur la bonne voie. Elle doutait tellement d'elle depuis son dĂ©part de New York, depuis la visite de son pĂšre, et entendre Evey lui faire tant de compliments lui redonnaient la force de continuer son chemin, et d'essayer d'ĂȘtre une fille vraiment bien...- Merci beaucoup pour ce que tu dis... ça me touche beaucoup... vraiment! Mais tu sais, ce que tu viens de dire, ça s'applique aussi Ă toi! Tu es vraiment une fille bien qui mĂ©rite d'ĂȘtre heureuse et aimĂ©e! Elle le pensait vraiment. Dans sa vie, Rory avait rencontrĂ© peu de gens comme Evey... des gens gentils, qui, mĂȘme s'ils ont leurs propres problĂšmes, essayent quand mĂȘme d'ĂȘtre lĂ pour les autres et pensent aux autres avant eux-mĂȘme. Elle Ă©tait vraiment gĂ©nĂ©reuse comme fille! - Alors je ferai la psy perso de mes amis, sans pour autant avoir de diplĂŽme... et puis je tenterai d'Ă©crire des articles ou un livre ou des poĂšmes, parce que c'est ma passion!!!!Le futur semblait un peu plus clair Ă prĂ©sent. Evey lui disait qu'elle mĂ©ritait d'avoir des solutions Ă ses problĂšmes, ce qui Ă©tait aussi vrai pour la blonde, elle aussi mĂ©ritait des solutions... et elle lui dit enfin que tout le monde avait une mauvaise image de soi-mĂȘme, et qu'elle espĂ©rait qu'elle pourrait lui dire qu'elle allait mieux lors d'une prochaine rencontre... Rory la regarda en souriant...- J'en suis persuadĂ©e, tu vas t'en sortir, et ça sera grĂące Ă toi, car tu es la seule qui peut faire en sorte d'aller mieux, en trouvant la clef Ă tes questions... et je sais que tu vas les trouver! J'ai confiance en toi pour ça!_________________ PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Caitlyn Clearwater I lost my soul Une Clearwater n'est rien sans sa soeur Nombre de messages 2232Age 35Etudes ou Metiers En 3Ăšme annĂ©e de droitOriginaire de SeattleAmour Joker il n'existe pas encore!Age 20 ansFeuille de personnageDon et maitrise DĂ©veloppement des rĂ©flexes / Non maĂźtrisĂ©Amis EsmĂ©e et Dylan sont mes meilleurs amis. Jacob est comme mon meilleur ami. Tous les trois me sont indispensablesEnnemis Celui qui me cherche me trouve!Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mer 9 Avr - 1648 [Tes posts sont magnifiques Ă chaque fois^^] Il Ă©tait vrai que Evey ne regrettait en rien d'avoir laisser ses pas la guider Ă cet endroit. Car maintenant qu'elle y Ă©tait, elle s'en voulait de ne pas avoir fais la connaissance de Rory plus tĂŽt. En venant aux cascades Evey s'tĂ©ait attendue Ă pleurer encore sur son sort, essayant de trouver des rĂ©ponses seules. Mais en faisant la connaissance de Rory, elle s'Ă©tait apperçue qu'elle avait ratĂ© quelque chose de merveilleux en ne connaissant pas Rory. elle Ă©tait une personne qui arrivait Ă redonner confiance par sa gentillesse et sa bontĂ© d'Ăąme. elle mĂ©ritait que tous les bonheurs du monde lui tombent dessus sans qu'elle n'en connaissent les malheurs. En arrivant ici, Evey ne se serait jamais doutĂ©, qu'elle trouverait des rĂ©ponses Ă ses problĂšmes mais ce qui Ă©tait le plus important, c'est qu'elle ne se doutait aps qu'elle allait se faire une amie. Car oui, Evey considĂ©rait Rory comme telle Ă prĂ©sent. Elle reprĂ©sentait Ă ses yeux, une confidente et surtout une personne avec qui elle pouvait bavarder sans se faire juger. Elle n'aurait jamais cru pouvoir Ă©voquer tous ces problĂšmes Ă une personne. rory reprĂ©sentait maintenant beaucoup pour Evey et elle serait capable de lui accorder ce qu'elle voudrait si elle en avait besoin. Toutes deux discutaient de leurs problĂšmes respectifs en s'Ă©coutant simplement et en essayant de s'aider. Et Evey espĂ©rait y arriver comme Rory parvenait Ă l'aider quand elle lui rĂ©pondait. Et plus le temps passait, plus Evey arrivait Ă se retrouver dans Rory. elles Ă©taient pareilles toutes les deux, et mĂȘme se complĂ©taient. elles Ă©taient aussi gentilles l'une que l'autre et avait Ă peu prĂ©s la mĂȘme vision sur certaines choses. Les deux jeunes femmes se confiaient l'une Ă l'autre, si bien qu'elles n'avaient plus aucuns tabous Ă prĂ©sent. elles se racontaient leur vie, et apprenaient Ă se connaĂźtre de cette maniĂšre. Rory avait confiait Ă Evey qu'ele Ă©tait assez critiqueenvers elle, comme chacun d'entre nous ici bas. Et Evey avait essayĂ© de la rĂ©conforter en lui disant qu'il Ă©tait normal que l'on n'aime aps ce que l'on fait. La prĂ©tention n'a jamais fais bon mĂ©nage avec la critique. Et Rory semblait avoir compris ce message. en palant de ce qu'elel saimaient le plus au monde, c'est Ă dire l'Ă©criture, elles apprenaient Ă faire plus ample connaissance. "Je te montrerai ce que j'ai Ă©crit alors. Ton avis va beacuoup compter je le sens. et je serai enchantĂ©e de travailler avec toi. Je suis sure que l'on arrivera Ă faire des choses merveilleuses toutes les deux. ta vision des choses est exceptionelles et je suis sure que cela se ressent dans ton travail. Si jamais tu cherches toi aussi quelqu'un pour te donner un avis sur tes Ă©crits, surtout n'hĂ©site pas Ă me le demander. Enfin si j'arrive Ă t'aider." Elle comprennait trĂ©s bien les hĂ©sitations de Rory, parce qu'Evey avait les mĂȘmes. C'Ă©tait comme si elles Ă©taient des rĂ©pliques l'une de l'autre. mais Evey avait des problĂšmes en plus. Rory ne mĂ©ritait aucun problĂšme, et Evey ne lui en souhaitait pas. Elle semblait si Ă©panouie quand on la regardait, que l'on ne pouvait aps deviner qu'elle cachait autant de choses. Choses qu'elle ne mĂ©ritait pas en plus. Mais la vie est injuste, ce sont parfois les mavaises personnes qui baignent dans le grand bonheur alors que les personnes qui mĂ©riteraient d'avoir uen vie extraordianaire et sans nuages, sont les plus touchĂ©es. Cependant il ne fallait pas envier la vie des autres, il fallait ce contentait de sa vie, et faire avec. Toutes deux continuaient de bavarder sur ce qu'elles aimaient autant les livres. et Evey sentait que Rory l'aidait beaucoup dans sa vision de voir les choses. Elle ne regrettait en rien de lui avoir confiĂ© ses doutes en ce qui concernait son avenir. Maintenant qu'elles parlaient toues les deux, els choses semblaient s'Ă©claircir. A la rĂ©action de Rory quand elle lui avait annoncĂ© qu'elle serait la premiĂšre Ă recevoir son livre dĂ©dicacĂ©, Evey lui fit un beau sourire Ă son tour, elle Ă©tait contente de voir que cela avait pu la toucher autant "C'est avec un grand plaisir que je le ferai." Elle venait Ă©galement de lui dire qu'elle la considĂ©rait comme son amie. Et Evey fut bien entendu trĂ©s touchĂ©e par ce qualificatif. Evey la considĂ©rait comme telle. Et espĂ©rait que leur amitiĂ© durerait un long moment si ce n'est leur vie entiĂšre. Elle ferait tout pour se montrer aux cĂŽtĂ©s de Rory si elle venait Ă en avoir besoin un jour. Mais dĂ©ja Evey se sentait gĂȘnĂ©e d'avoir rappeler Ă Rory de mauvais souvenirs. en effet, elle venait de lui apprendre qu'elle avait du affronter le dĂ©cĂ©s de sa mĂšre. Le sourire de notre petite blondinette s'effaça, et elle regarda Rory lui dire qu'elle ne pouvait pas le savoir. Quand elle lui aconta la maniĂšre dont elle voyait les choses, Evey fut admiratrice de la force de Rory en ces circonstances. Evey esquissa alors un mince sourire et rĂ©pondit Ă Rory avec toute sincĂ©ritĂ© "Je suis sure qu'elle est fiĂšre de voir comment sa fille est devenue une jeune femme. Tu es une personne trĂ©s gentille et avec une bontĂ© d'Ăąme hors du commun, elle serait trĂ©s fiĂšre de toi." Evey voulait donner de l'espoir Ă rory comme elle ne cessait de lui en donner. et mĂȘme si elle n'avait jamais eu l'occasion de connaĂźtre la mĂšre de Rory, elle Ă©tait certaine que si elle pouvait la voir de la haut, elle Ă©tait fiĂšre de ce qu'Ă©tait devenue sa fille. La discussion tourna encore, de maniĂšre Ă discuter de la relation que pouvait avoir Evey avec Jack. Comme elle l'avait avouĂ© Ă rory, elle voulait pourtant le connaĂźtre et pouvoir agir comme frĂšres et soeurs mais malheureusement il ne semblait pas l'entendre de cette oreille. Quand rory lui demanda de quoi ils pouvaient bien sidcuter, evey regarda un instant le sol et lui rĂ©pondit avec un regard las "Pour tout te dire les seules discutions qu'on a on se dispute. Il me fait des repproches. Ou sinon il s'amuse Ă me faire peur, en me disant que je ne vaux rien et que je n'irai pas bien loin. Si je lui demande ce qu'il aime il va me rĂ©pondr en quoi ça me regarde. Bref je sais aps comment le prendre et ça m'agace." Elle marqua une courte pause et reprit en regardant Rory en souriant. "Mais tu dois avoir raison, les garçons sont Ă©tranges parfois." Rory avait terminĂ© en lui disant qu'Ă defaut de l'avoir comme soeur elle pourrait l'avoir comme amie. Evey se mit Ă afficher un grand sourire et lui rĂ©pondit alors avec un regard qui exprimait sa joie. "Une trĂ©s bonne amie alors." Voire mĂȘme parmis l'une des meilleures. Evey espĂ©rait beaucoup que toutes les deux soient de vraies amies. Qu'eles s'appellent souvent, qu'elles partagent des bons moments en communs, comme le font les vrais amis. Mais Ă prĂ©sent, Evey avait rassurĂ©e, enfin du moins elle avait voulu rassurer Rory en lui annonçant qu'elle Ă©tait une personne avec un coeur en or. En effet, elle Ă©tait si gentille. Quand elle lui annonça que ce qu'elle lui disait valait aussi pour elle, Evay garda son sourire de toute Ă l'heure et rĂ©pondit "Merci beaucoup" Rory Ă©tait la premiĂšre personne que evey rencontrait de cette façon. Pour tout dire elle Ă©tait la premiĂšre personne qui quand elle la voyait, elle lui rappelait elle. Elle Ă©tait trĂ©s gĂ©nĂ©reuse et par dessus tout, elle Ă©tait attentive Ă ce que l'on pouvait lui dire. Ce qui devait ĂȘtre la principale qualitĂ© d'Evey. en revanche pour Rory, sa principale qualitĂ© devait sans nul dout ĂȘtre sa gentillesse et sa volontĂ©. Elle Ă©tait quelqu'un qui possĂ©dait une grande force intĂ©rieure. Evey se mit Ă rire lĂ©gĂšrement quand Rory lui affirma qu'elle ferait psy pour ses amis Ă ses heures perdues mais qu'elle continuerait Ă faire ce qui lui tenait Ă coeur. "Tu as bien raison, de continuer dans ta voie." Le futur d'Evey lui semblait plus clair. Rory lui avait redonnĂ© espoir, cet espoir qui l'avait abandonnĂ© durant longtemps et maintenant Evey se rendait compte que c'Ă©tait trop longtemps. Elle lui avait ouvert les yeux, et maintenant Evey espĂ©rait qu'en ayant cette vison les choses allaient changer. Que cela llait ĂȘtre plus facile maintenant pour elle et elle espĂ©rait que ce soit aussi facile pour Rory. Continuant Ă sourire, notre blondinette rajouta "Si je m'en sors c'est grĂące Ă toi. Je te remercie Ă©normĂ©ment pour tout ce que tu as fais pour moi. Et je veux que tu saches que je t'en serai toujours reconnaissante." Lui affichant un grand sourire, Evey venait de montrer Ă rory qu'elle faisait partie de son cercle d'amis Ă prĂ©sent. Et qu'elle ne la laisserait jamais tomber. Evey voulait alors apprendre Ă connaĂźtre davantage Rory, c'est ainsi qu'elle lui demanda agissant ainsi comme le font tous les amis "Comment se passe ta vie sinon? Je veux dire Ă Long Island, tout se passe bien?"_________________I think I'm drowningAsphyxiatedI wanna break this spellThat you've created Dani Ashmore Nombre de messages 1537Age 36Etudes ou Metiers ArtsOriginaire de Long IslandAmour 30%Feuille de personnageDon et maitrise La jolie KaylaAmis Bella my loving sister. // Peter my sweet brotherEnnemis ...Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Mer 9 Avr - 2124 [Euh... merci! C'est la premiĂšre fois qu'on me dit ça!! Merci beaucoup!!! D]Evey Ă©tait une si gentille fille! La gentillesse incarnĂ©e, la douceur. Elle Ă©tait perdue, un peu comme beaucoup de monde, et avait peur d'ĂȘtre jugĂ©e. Il est vrai qu'il est trĂšs facile pour une personne de commencer Ă juger une autre, mais Rory avait souvent Ă©tĂ© victime de se genre de choses, alors elle ne savait que trop bien le mal que cela pouvait faire. C'est pour cela qu'elle ne jugeait pas les gens, qu'elle les Ă©coutait, les conseillait et les soutenait du mieux qu'elle le pouvait, sans porter de jugements sur eux, sur leurs choix ou leur vie. AprĂšs tout, la diversitĂ© est ce qui fait la beautĂ© de ce monde! ParallĂšlement, Rory sentait que la jolie blonde avait un cruel besoin de confiance en elle-mĂȘme, mais aussi de confiance envers les autres. La brune espĂ©rait vraiment que le fait de lui parlĂ© aurait pu changĂ© sa vision, mĂȘme si cela Ă©tait un peu prĂ©somptueux de sa part de penser cela. Mais aprĂšs tout, il fallait bien voir du positif en elle-mĂȘme, et elle pensait qu'une personne pouvait parfois changer un dĂ©tail dans la vie de quelqu'un, qu'une personne pouvait faire la diffĂ©rence, et elle espĂ©rait que c'Ă©tait le cas pour Evey, qu'elle avait rĂ©ussi Ă faire une petite diffĂ©rence dans sa vie, Ă la rendre un peu plus confiante. Si elle avait rĂ©ussi, alors son passage sur terre aurait servi Ă quelque passion commune pour l'Ă©criture n'Ă©tait qu'une partie de leurs points communs. Leur seule diffĂ©rence devait vraiment ĂȘtre leur physique car mentalement, elles Ă©taient identiques et complĂ©mentaires Ă la fois. Lorsque Rory avait besoin d'un coup de pouce, Evey le lui donnait, et vice versa. La brune doutait Ă©normĂ©ment d'elle-mĂȘme, et de ses capacitĂ©s d'Ă©crivain mais la blondinette l'avait de suite rĂ©confortĂ©e en disant que le fait d'ĂȘtre critique envers soi-mĂȘme Ă©tait normal. Ses quelques mots lui avaient redonnĂ© confiance. Peut-ĂȘtre mĂȘme qu'elle oserait faire lire ses Ă©crits Ă quelqu'un! C'est sans aucun tabou qu'elles continuaient leur conversation, en parlant de tout, en se faisant mutuellement confiance. Evey dit alors Ă Rory qu'elle lui ferait lire ses Ă©crits, elle ajouta que son avis allait beaucoup compter. Rory se sentit trĂšs flattĂ©e par la confiance que la blonde mettait en elle. C'Ă©tait vraiment une trĂšs belle preuve. Elle lui retourna la proposition en lui disant qu'elle pourrait peut-ĂȘtre l'aider elle aussi. Rory lui sourit Je serai flattĂ©e de lire ce que tu as Ă©crit. Et je serai trĂšs heureuse de te donner mon avis. Je pense comme toi qu'Ă nous deux, on pourra faire quelque chose de bien, toi aussi tu as une vision extraordinaire des choses, mais tu ne t'en rends pas encore compte. Pour ce qui est de ce que j'ai Ă©crit, je serai aussi flattĂ©e de te montrer. Tu me fais confiance, je vais moi aussi te faire confiance. Et puis t'es une personne bien, je suis sĂ»re que ton avis sera bĂ©nĂ©fique. Et je te promets d'ĂȘtre la plus honnĂȘte lorsque je te dirai ce que je pense de ce que tu Ă©cris. » Elle s'arrĂȘta de parler quelques secondes, puis reprit. Je suis vraiment contente d'avoir trouvĂ© quelqu'un comme toi ici. T'es comme mon petit phare. J'Ă©tais perdue, mais maintenant je vois une lueur d'espoir... »Elle n'avait plus d'hĂ©sitations. Evey Ă©tait comme venue du ciel pour la guider. Et Rory espĂ©rait qu'elle pourrait lui rendre la pareille. Au milieu de toute la confusion dans laquelle vivait la brune, c'Ă©tait une vraiment bouffĂ©e d'air, une nouvelle vision des choses. Evey croulait elle aussi sous les problĂšmes, et pourtant, elle ne se plaignait pas. Elle supportait, on ne sait pas comment, mais elle supportait tant bien que mal. Ăvidemment, la situation Ă©tait difficile, mais malgrĂ© tout, Evey arrivait Ă s'en sortir. Elle Ă©tait plus forte qu'elle ne le pensait, et Rory se dit qu'elle allait le lui montrer un jour. La jolie blonde ne se doutait pas de ce qui se cachait en elle. Elles continuĂšrent leur conversation sur les livres, l'Ă©criture, et le fait que Rory Ă©tait heureuse qu'Evey lui dise qu'elle serait la premiĂšre Ă avoir un livre dĂ©dicacĂ©. Rory lui dit un grand sourire. Cette fille Ă©tait vraiment un ange. Et le fait qu'elle se projette dans l'avenir, faisant signer son livre Ă©tait un signe qu'elle y voyait peut-ĂȘtre plus clair Ă prĂ©sent. Si tel Ă©tait le cas, Rory avait accompli une mission importante redonner le peu de confiance qu'Evey avait perdu. Comme quoi, parfois, une simple prĂ©sence peut faire Ă©voluer les choses! Le sourire qu'Evey avait eu jusqu'Ă prĂ©sent s'Ă©tait effacĂ©, laissant place Ă un visage un peu tristounet. Parler du dĂ©cĂšs d'un parent n'est jamais facile, ni pour la personne qui parle, ni pour celle qui Ă©coute. Mais Rory n'en voulait absolument pas Ă Evey d'avoir abordĂ© le sujet, aprĂšs tout, si elle en parlait, c'est parce qu'elle en avait envie! Elle avait envie de confier des choses Ă la jolie blonde, des peurs, des envies, et des pensĂ©es trĂšs secrĂštes. Et encore une fois, les angoisses de Rory s'envolĂšrent sous les mots d'Evey. Elle lui sourit pour lui montrer que se n'Ă©tait pas un sujet si triste que ça au fond. C'est gentil Ă toi de me dire ça. Tu dis que je suis gentille, mais je ne suis pas la seule ici Ă l'ĂȘtre! » C'Ă©tait sa façon de dire Ă Evey qu'elle aussi Ă©tait gentille, que c'Ă©tait une fille bien. Et crois-moi, tu as de quoi ĂȘtre fiĂšre! »Elle le pensait rĂ©ellement. C'Ă©tait vraiment une fille qui mĂ©ritait Ă ĂȘtre connue. Et son frĂšre le comprendrait bien un jour ou l'autre. La façon qu'il avait de la traiter Ă©tait intolĂ©rable. Franchement, comment pouvait-il agir de cette façon avec Evey?! Ce que Rory Ă©tait en train d'entendre la mettait hors d'elle, mais pour ne pas faire peur Ă la blonde et ne pas dire des choses qu'elle ne pense pas, elle se calma bien vite. Des reproches, faire peur... les garçons! Rory posa ses mains sur les Ă©paules d'Evey en la regardant bien dans les yeux, pour qu'elle soit bien attentive Ă ce qu'elle allait dire... Ne laisse jamais personne te dire que tu ne vaux rien et que tu n'iras pas loin. Jamais. Tu vaux beaucoup plus que se qu'il ne pense, et le jour ou il s'en apercevra, il sera le premier Ă regretter ce qu'il t'a dit. »Elle la lacha. Maintenant, il ne restait plus qu'une solution pour essayer de les rĂ©concilier les deux. Mais quoi?! Elle avait bien essayĂ© de lui parler, mais apparemment, il n'Ă©tait pas du tout rĂ©ceptif. AprĂšs la parole, il ne reste que les actes. Mais quels genres d'actes pourraient le faire rĂ©agir?! Ătant fille unique, Rory avait beaucoup de mal Ă comprendre les relations entre frĂšres et soeurs. DĂ©jĂ sa relation avec son pĂšre Ă©tait un chantier sans fin, alors elle n'Ă©tait pas vraiment le bon exemple Ă suivre. Tu sais, peut-ĂȘtre si tu lui montres qu'il a besoin de toi dans sa vie... ça pourrait marcher! Tu deviens celle qui est lĂ pour lui, tout le temps, il finira bien par se dire que finalement t'es bien sa soeur! Sinon, tu fais ta fille », tu sais, tu t'Ă©nerves, et tu finis en pleurs en lui jetant des choses Ă la figure. Je me souviens que ça calmait bien mon pĂšre, et qu'aprĂšs, il m'Ă©coutait vraiment. Ou encore, tu deviens aussi emmerdeuse que lui ne l'est avec toi! Tu joues son jeu, tu deviens comme lui! »C'Ă©tait toujours dĂ©licat se genre d'histoires. Mais lorsqu'Evey afficha un grand sourire Ă la remarque de Rory sur le fait qu'elle pourrait devenir son amie, la brune se dit que mĂȘme si son frĂšre Ă©tait un cas difficile, elle aurait quelqu'un pour la soutenir, au pire des cas, une Ă©paule sur laquelle elle pourrait pleurer et dans le meilleur des cas, pour rire avec elle. TrĂšs bonne amie ça sera alors! J'en suis flattĂ©e en tout cas! » Elle rĂ©flĂ©chit quelques secondes, fronça un sourcil et dit alors Est-ce que tu as mon numĂ©ro, mon adresse e-mail ou mon adresse?! Parce que si jamais un jour tu en as besoin, c'est les trois moyens pour me joindre... »Elle voulait garder le contact avec cette adorable fille, suivre un peu son parcours, l'aider ou la fĂ©liciter. Elle ne voulait vraiment pas la perdre de vue, elles se comprenaient si bien! Et puis Evey Ă©tait Ă coup sĂ»r une fille sur qui on peut rĂ©ellement compter, Rory pouvait le voir dans ses yeux. Elle avait le regard de quelqu'un qui ferait passer les autres avant elle-mĂȘme s'il le fallait. Le sourire de la blonde Ă©tait revenu. Cette fille Ă©tait vraiment belle, mais elle n'avait pas l'air de le savoir. Sa gentillesse et sa sincĂ©ritĂ© se lisaient sur son visage, sa bontĂ© d'Ăąme dans son sourire qui Ă©tait toujours trĂšs doux, et sa gĂ©nĂ©rositĂ© ainsi que son sens de l'attention dans son regard. Chaque mot que Rory prononçait, Evey Ă©coutait, comprenait et l'encourageait Ă continuer dans son chemin. Une vraie amie sincĂšre. Et puis, de toutes façons, je suis incapable de laisser les autres avec leurs ennuis. Je dois toujours me mĂȘler de leurs problĂšmes et de tenter de donner des solutions. C'est ma nature de fouine comme le disait une amie de New York. »Elle Ă©clata de rire. Depuis toujours elle avait fourrĂ© son nez dans les affaires des autres. C'Ă©tait dans ses gĂȘnes ou quelque chose du genre. Elle ne pouvait pas ne pas le faire. Evey la remercia d'ailleurs, apparemment elle l'avait aidĂ©e. La blonde lui dit que si elle s'en sortait, se serait grĂące Ă Rory. La brune n'Ă©tait pas forcĂ©ment d'accord, elle pensait plutĂŽt qu'elle avait juste besoin d'un petit coup de pouce, mais que le reste, c'Ă©tait grĂące Ă elle. Il fallait juste qu'elle retrouve le chemin ou la force de s'en sortir. Rory sourit, elle avait rĂ©ussi Ă lui redonner la force ou l'espoir, ce n'Ă©tait quand mĂȘme pas rien, c'Ă©tait un bon dĂ©but. Ce sera grĂące Ă toi. Tu es la seule maĂźtresse de ton destin, tu es la seule qui peut choisir ce que tu vas faire ou pas. Tu avais juste besoin qu'on t'ouvre un peu les yeux et qu'on Ă©claire un peu ton chemin. Mais si tu te sens encore perdue, je serai toujours lĂ . Alors n'hĂ©site pas! »Et comme deux amies, elles continuĂšrent de discuter. Evey lui demanda comment se passait sa vie Ă Long Island. Et bien pour le moment, ça va. Juste quelques soucis, mais Ă part ça, je m'en sors bien. J'ai des amis, un petit-ami et les cours ça va bien. Bon, l'autre jour, je suis tombĂ©e sur l'ex Ă Bradin, mon copain, elle m'a un peu agressĂ©e verbalement, mais j'ai rĂ©ussi Ă gĂ©rer la situation. Et puis j'ai eu une soirĂ©e un peu trop arrosĂ©e ou j'ai terminĂ© Ă l'hĂŽpital. En rentrant j'Ă©tais tellement mal que je me suis trompĂ©e de chambre et j'ai passĂ© la nuit chez Danny, un garçon de ma confrĂ©rie, un type gĂ©nial, un vrai ami. Mais Ă part ses deux accrochages, ça va bien... et toi?! »_________________ PARCE QUE JE VOUS TU ES UNIQUE Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Tiens y a des cascades? [Libres] Tiens y a des cascades? [Libres] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Seule la nuit ,devant des cascades PV Sasha » Les Sujets Libres» Topics libres» Tiens une connaissance [PV Lucas D.]» Tiens une soudaine envie de sortir [PV Nathan]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumRPG - Long Island UC Divers [Saison2] Espaces NaturelsSauter vers
MotscroisĂ©s Ă©ventuellement liĂ©s. En se basant sur les rĂ©ponses ci-dessus, nous avons Ă©galement trouvĂ© des indices qui sont peut-ĂȘtre similaires ou en rapport avec Ne marche pas tellement vite:. Marche vite et Ă petits pas
29/04/2018Plusieurs jours que je suis sur Atlantis. Je mây acclimate bien. Je mây plais bien. Je mây plairais mieux si le compresseur de plongĂ©e n'avait pas dĂ©cidĂ© de faire des siennes. Lui et ses petits caprices malvenus auraient pu sâabstenir. Jâavais entrepris de regarder un peu par moi-mĂȘme dans un premier temps sans non plus trop y mettre les mains pour ne pas empirer les choses. Je connais mes limites, et lĂ , je dois dire que des limites se prĂ©sentaient Ă moi. Je voulais d'abord voir si ce n'Ă©tait pas une panne mineure que je pouvais gĂ©rer mais non. Il Ă©tait temps dâadmettre lâĂ©vidence il me fallait appeler un technicien. Comme toujours, peu enclin Ă mâhabiller en civil sur Atlantis, et parce que jây suis militaire, je portais mes rangers et mon pantalon de militaire. Avec la chaleur du compresseur, je ne portais pas ma chemise militaire et avait omis de la remettre. Je portais un simple t-shirt noir des plus banals et passe partout. JâĂ©tais trop prĂ©occupĂ© Ă ce que ce compresseur se remette Ă bien vouloir fonctionner sans lui, impossible de remplir les bouteilles de plongĂ©e dâoxygĂšne et impossible de plonger. Ce n'Ă©tait pas concevable. Jâavais les cheveux attachĂ©s en chignon, venant de regarder le compresseur tout comme un conducteur de bagnole lâaurait fait avec son moteur en rade. Je dĂ©laisse le compresseur lĂ et dĂ©cide de me rendre vers la zone technique chercher de lâaide et une personne qualifiĂ©e. Je ne connais pas encore trĂšs bien la base, mais je me souviens de la visite que nous avons eue lorsque nous sommes arrivĂ©s. Et puis, je me dis que je trouverai bien un plan dans un couloir ou quelqu'un pour demander mon chemin. Je ne suis pas perturbĂ© et pars calme et dâun pas dĂ©cidĂ© et assurĂ©. Jâarrive alors jusquâĂ un atelier oĂč jâespĂšre trouver un technicien. Je frappe et mâavance en silence et avec grand calme. Mes proches le confirmeront je parle trĂšs peu, et, lorsque je parle, je suis direct et je vais droit au but. DisciplinĂ©, je mâannonce comme un militaire, et dĂ©cline trĂšs vite le motif de ma venue jusquâici. Nageur de combat Mikkel Hansen, soldat 1Ăšre classe. Je cherche un technicien pour une rĂ©paration dâun compresseur de plongĂ©e. » BientĂŽt deux mois que je suis ici et je m'ennuie toujours autant mes jours de repos. C'en est parfois troublant. Imaginez que je me sens tellement seule dans ma chambre Ă tourner en rond, que je me retrouve Ă l'atelier pour " aider " mes collĂšgues. A la base, je passais juste faire un coucou, je ne suis mĂȘme pas en tenue de travail et irrattrapable que je suis, j'ai dĂ©jĂ les mains complĂštement sales. Je viens juste de bidouiller un truc vite fait. Les gars ont les mains trop larges, alors que les miennes se glissent parfaitement dans les petits interstices et parfois, ca Ă©vite de dĂ©monter des parties entiĂšres et de perdre un temps prĂ©cieux. Je suis penchĂ©e sur un moteur avec l'un de mes collĂšgues qui ne semble pas d'accord que je sois lĂ ." Mais c'est ton jour de repos, t'as pas envie de te reposer ? ! "" Je me suis reposĂ©e, j'ai fait la grasse matinĂ©e. Et je ne sais pas quoi faire en plus... "" T'as qu'Ă retourner faire un entrainement Ă la salle de sport, ou aller voir un film, te promener j'en sais rien, y'a plein de chose Ă faire ! "" Toute seule Harry, je suis toute seule ! Autant ĂȘtre utile ici. "Il ne comprend rien celui lĂ ! Y'a deux mois j'Ă©tais encore sur terre et lĂ bas, on peut faire tout plein de chose pendant les jours de repos. Faire les boutiques d'outillages par exemple, aider des copains Ă rĂ©parer des trucs oui bon j'ai toujours eu trĂšs peu de copain c'est vrai, jouer avec le chien du voisin, manger du mac do.... ouais non, mauvais exemple, la cuisine française est bien trop bonne pour ĂȘtre remplacĂ©e par du mac do ! Ahhhhh, j'ai envie de m'affaler lĂ .... au milieu de l'atelier... Mais bon, au lieu de ça, je dĂ©cide de ranger ! Tous les outils ne sont pas Ă leur place et ça me perturbe, surtout quand je cherche quelque chose et que je ne le retrouve pas tout de suite ! Me voilĂ la tĂȘte dans ce bordel, je grogne un peu tout en faisant mon la dĂ©livrance parvient jusqu'Ă mes oreilles ! Nageur de combat Mikkel Hansen, soldat 1Ăšre classe. Je cherche un technicien pour une rĂ©paration dâun compresseur de plongĂ©e. »Ah c'est pour moi ça !!!! Vite avant que quelqu'un ne prenne ma place ! Chose qui serait totalement normale vu que je ne bosse pas aujourd'hui. Boudu ! Harry se lĂšve, mais avant qu'il ne dise quoi que ce soit j'interpelle notre marin pĂȘcheur... enfin notre nageur de combat." Oui ! Je suis dispo moi ! Harry va pouvoir finir son travail sans stresse comme ça. "J'accoure et me pointe devant la premiĂšre classe ... Mikkel..... Je rougis direct ! Je le sens, j'ai les joues chaudes. J'ai dĂ©jĂ croisĂ© ce type dans les couloirs vite fait, j'avais oubliĂ© Ă quel point les nageurs sont..... beeeaaa... imposants ! Oui voila, imposants. De longs cheveux blonds nouĂ©s en chignon, une barge mi longue parfaitement bien taillĂ©e surement pour l'aĂ©rodynamisme sous l'eau rum rum, en fait, c'est Thor des Avengers ! Il manquerait plus qu'il soit NorvĂ©gien, parce que franchement, c'est le stĂ©rĂ©otype parfait ! Je racle ma gorge et reprends mon assurance." Besoin d'aide sur un compresseur de plongĂ©e ? Je vais venir voir ça avec vous. "Alors bien entendu, je rĂ©pare trĂšs frĂ©quemment des compresseurs avec une moyenne de 0 dans l'annĂ©e. En effet, j'ai jamais vu de compresseur de plongĂ©e.... mais trop tard, j'ai dit oui et j'ai besoin de m'occuper. Si je ne regarde pas trop notre Avenger je devrais pouvoir me concentrer facilement. Au petit galop, je pars chercher mon sac toujours prĂȘt, qui contient tout le matĂ©riel de base des premiers secours pour moteur en panne. Puis je reviens vers le soldat." VoilĂ , je devrais avoir ce qu'il faut la dedans pour le remettre sur pied. Je vous suis."Je lui offre un large sourire afin de dĂ©tendre l'atmosphĂšre. Ah, elle n'Ă©tait pas tendue ? C'est moi qui Ă©tais tendue ? Ah d'accord, ben sourire, ca me dĂ©tends alors et je me sens beaucoup plus Ă l'aise. A peine je dĂ©cline le motif de ma visite, jâentends une voix fĂ©minine qui se propose pour la rĂ©paration et qui arrive devant moi. Elle coupe ainsi mon regard que jâavais portĂ© au dĂ©part sur un technicien qui semblait se motiver Ă accĂ©der Ă ma requĂȘte. Je venais dâobserver ce dernier et je mâattendais Ă ce que ce soit lui qui se prĂ©sente. Interrompu, mon regard se pose alors tout naturellement sur celui de la jeune femme. Le regard est militaire et il va tout aussi droit au but que mes paroles. Il reste, malgrĂ© tout, trĂšs bienveillant et ne dĂ©visage pas. Je ne mâattendais pas Ă ce quâon rĂ©ponde aussi vite Ă ma demande. Je ne mâattendais, en rĂ©alitĂ©, Ă rien de spĂ©cial, mais jâapprĂ©cie la rĂ©activitĂ© de cet endroit et la rĂ©activitĂ© de la technicienne. Sâennuient-ils au point de se bagarrer les places ? Je suis un peu intriguĂ© par le jeu de chaises musicales. Il fait sourire. MĂȘme si, bien sĂ»r, je ne souris pas d'un poil de barbe. Ăa me rappelle ce quâon faisait entre Ă©quipiers sur mon ancienne frĂ©gate pour les tĂąches du quotidien. Câest lĂ que je prends conscience que mon affection sur Atlantis est peut-ĂȘtre bien sur un poste de louveteau solitaire. Câest presque un poste oĂč je pourrai me dire que je suis Ă la retraite plus besoin de passer de frĂ©gate en frĂ©gate, je suis sur une base et un point fixe oĂč je peux me consacrer quâĂ la plongĂ©e et lâexploration de sous-marins pour lâarmĂ©e. Je nâaurai jamais rĂȘvĂ© mieux. Mais c'est comme si je venais de rĂ©aliser que certaines choses de ma vie passĂ©e vont peut-ĂȘtre me manquer⊠Jâai pourtant pris bien soin de faire mes adieux Ă la Terre⊠Je la vois rougir. Je me demande pourquoi elle rougit. Je ne laisse absolument rien transparaĂźtre, mais ça me gĂȘne un peu. Je regarde alors un peu sur le cĂŽtĂ© comme cherchant ce qui pourrait la faire rougir en ces lieux. Elle me prĂ©cise quâelle va venir voir ça avec moi pour le compresseur de plongĂ©e. Je ne dis rien et acquiesce par le silence. Comme on dit qui ne dit mot consent. En tout cas pour moi ça marche comme ça depuis que je suis gamin. Je reste Ă ma place Ă lâattendre, avec grand calme et sagement. Je ne suis pas pressĂ©. Je prĂ©fĂšre quâelle prenne son temps Ă prendre tout ce dont elle a besoin et Ă©viter ainsi des allers-retours peu productifs. MĂȘme si en fin de compte je ne rechignerai pas vraiment Ă en faire. Peu de choses mâagacent. On dirait bien quâelle a lâhabitude son package est dĂ©jĂ prĂȘt. Je nâai mĂȘme pas eu le temps de croiser les bras Ă lâattendre. Elle dĂ©clare avoir tout ce dont elle a besoin et se prĂ©sente devant moi comme prĂȘte Ă partir. Je laisse planer un lĂ©ger silence et remarque son large sourire. Il est rayonnant, communicatif et agrĂ©able. La jolie brunette me parait soudain trĂšs solaire pour une brunette. Parfait. Câest par ici. » Je lui rĂ©ponds impassible, militaire et sans sourire. Je suis toujours comme ça. Je suis un peu abrupte. Brut de dĂ©coffrage. Ce nâest pas que son large sourire nâest pas contagieux mais⊠Je fais souvent mon militaire et jâai Ă place dâune carapace, une bonne muraille de Chine, bĂątie depuis la nuit de ma naissance et bien entretenue. Jâamorce la marche pour la guider jusquâĂ lâendroit. Le compresseur est sur les digues. » Je lui prĂ©cise la destination en amorçant la marche. Jâadopte une marche militaire. Pas trĂšs pĂ©dagogue, jâai tendance Ă faire au plus direct, et je viens de me rendre compte que je ne lui avais pas informĂ© du lieu avec prĂ©cision. Je ne voudrais pas quâelle se sente obligĂ©e de ne faire que de me suivre. Surtout que, je marche dâun pas aussi dĂ©terminĂ© que tranquille, et je ne sais encore si moins vite ou plus vite quâelle. Je ne voudrais pas imposer une marche. Elle a lâair dynamique et pĂ©tillante dâenthousiasme. TrĂšs active. Super-active. Avec ma carrure, jâai des grandes enjambĂ©es, j'ai toujours trichĂ© un peu sur ça pour y aller mollo. Câest quoi votre nom ? » Je lui demande en chemin. Je prends un parler moins militaire. Je ne sais pas si câest parce que jâai laissĂ© ma veste au vestiaire et que je fais mon civil mais je me sens suffisamment Ă lâaise pour lui parler comme je parlerai Ă quelquâun que je rencontrai en dehors du cadre militaire. Câest peut-ĂȘtre son sourire qui mâa incitĂ© à ça. Je suis plutĂŽt du genre peu bavard, mais, je ne suis pas non plus asocial et Ă me rappeler de son sourire et Ă me dire que je ne connais pas son nom, je dĂ©lie lĂ un peu mon silence. Mon collĂšgue ressemble bien plus Ă un client qu'Ă un collĂšgue. C'est peut etre qu'il prend son rĂŽle de militaire trĂšs au sĂ©rieux parce que franchement, malgrĂ© tout les sourires que je lui offre il est totalement impassible. Bon, aprĂšs tout mon travail consiste Ă rĂ©parer et me montrer courtoise. A mon recrutement, on m'a bien fait comprendre que l'esprit d'Ă©quipe Ă©tait primordial et que je devais oublier mon cĂŽtĂ© solitaire. Alors soit, je suis courtoise, joviale et je fais mon job.... mĂȘme quand je suis de repos... C'est par ici me dit il, alors bien entendu je ne sais pas ou je vais mais vu l'allure, on y va gaiement ! Ah, ok, on va sur les digues apparemment, super alors allons y. Je vais ĂȘtre honnĂȘte, aujourd'hui c'est la journĂ©e dĂ©couverte. Je n'ai jamais rĂ©parĂ© de compresseur et je ne suis encore jamais montĂ©e sur les digues d'Atlantis. Je trouve ca ridicule de me ramener seule pendant que d'autres se bĂ©cotent Ă cĂŽtĂ© de moi. Bref. Perdue dans mes pensĂ©es, je suis activement Mikkel. Ses grandes jambes lui permettent de faire des pas immenses et moi je suis Ă cĂŽtĂ© en marche rapide du haut de mes pauvres 1m60 pour garder le rythme. Mais bon, ca me fait du bien un peu d'exercice. Je ne vais pas me plaindre. " C'est quoi votre nom ? "Oh mon Dieu, il parle ! Oui j'exagĂšre un peu c'est vrai. C'est juste que je suis surprise d'entendre Ă nouveau le son de sa voix. Il fait si fermĂ©, si rĂ©servĂ© et tellement dĂ©tachĂ© que sincĂšrement, je ne sais pas quoi lui dire et comment m'y prendre pour entamer une discussion. En effet, rien ne m'oblige Ă discuter avec Thor, les supers hĂ©ros ont surement autre chose Ă faire que de parler avec moi, mais quitte Ă faire un truc pour lui, autant le faire dans un Ă©change cordial. J'ai vraiment un problĂšme avec les rapports humains, je dois consulter...." Je m'appelle Thyra. "En mĂȘme temps, je montre du doigt le haut de ma poitrine lĂ oĂč devraient ĂȘtre Ă©pinglĂ©s mon nom et prĂ©nom. Ah oui mince, c'est vrai, je ne suis pas en tenue de travail. Je porte un tee shirt blanc avec Ă©crit " I love Paris " truc totalement dĂ©bile je vous l'accorde, un jean noir et des bottines en cuir marron. A ce moment lĂ , je me sens con. J'ai tellement peu d'amis, que je suis en train de bosser le jour de mon " dayoff ". Bravo Thyra. Bon, je dois enchainer Ă mon tour mais quelle question pourrais je poser ? Je connais dĂ©jĂ son nom, son prĂ©nom et son grade ! Vite vite vite rĂ©flĂ©chis !" T'es tout nouveau pas vrai ? Comment tu te sens sur Atlantis ? "Ahhhh c'est tellement bateau comme question ! C'est ridicule !!!! Pas de panique, c'est le genre de question que tout le monde pose, ca va le faire... enfin j'espĂšre. Je me sentirai beaucoup mieux quand j'aurai les mains sur sa barbe.... euh non ! sur le compresseur ! Mais pourquoi j'ai pensĂ© à ça ? N'importe quoi sĂ©rieux. Thyra. Câest joli comme prĂ©nom. Ăa me parait peu commun Ă l'oreille. Je pose mon regard sur le haut de sa poitrine. Pour ma dĂ©fense, câest lâendroit quâelle me dĂ©signe alors... je regarde...! Je dirige facilement mon regard vers ce quâon me pointe du doigt. Gamin, câĂ©tait horrible jâĂ©tais du genre Ă tomber dans la blague du derriĂšre toi ! ». J'en suis vaccinĂ© depuis mais je reste du genre suiveur. Je ne suis pas fana de la nage Ă contre-courant, sauf en cas de force majeure, Ă moins qu'une vie soit en jeu. Pour moi sinon, câest comme sâĂ©puiser. Jâaurai trop lâimpression de mâuser inutilement. Pourtant, lorsque jâai Ă©chouĂ© la premiĂšre fois Ă mon examen dâentrĂ©e chez les nageurs de combat, jâai persistĂ© et jâai retentĂ© le coup aprĂšs plusieurs annĂ©es. Mais ça câest diffĂ©rent pour moi. Jâavais Ă©chouĂ© mais jâĂ©tais persuadĂ© quâavec de lâentraĂźnement je finirais par y arriver. Et puis je dĂ©sirais trop servir, les rejoindre et plonger avec eux. Lorsque je suis rentrĂ© dans lâarmĂ©e, jâai Ă©tĂ© bizutĂ©, comme le sont souvent les nouveaux, et jâai alors suivi Ă fond jâai bu tous les verres quâon mâavait dĂ©signĂ©s de boire Ă en finir bien malade. Je voulais y aller Ă fond. J'Ă©tais dedans. J'Ă©tais bien. J'Ă©tais avec eux. Je n'ai pas regrettĂ© la gueule de bois du lendemain. Je ne vois ni nom ni prĂ©nom. Je lis en revanche un I Love Paris » sur son tee-shirt banc. Ăa me fait sourire intĂ©rieurement. Jâesquisse un lĂ©ger sourire qui se dessine en coin de lĂšvres. Il sâefface vite, comme une vague qui sâĂ©crase de toute son Ă©cume sur la plage et se retire au galop. Je dĂ©vie mon regard. MĂȘme si ça peut devenir agrĂ©able, ce nâest pas dans mon habitude dâobserver longtemps la poitrine dâune jeune femme que je viens Ă peine de rencontrer. Câest Ă ce moment que jâai pu remarquer un peu plus sa tenue et son style vestimentaire. Je nây connais rien en fringues. Jâai cru comprendre quâon disait de Paris que câĂ©tait la capitale de la mode. Je suppose que Thyra est Ă la mode et que ses chaussures le sont. Elles sont sympas. Enfin câest des bottines quoi. Mais sympas. Thyra me demande si je suis nouveau et le suppose en mĂȘme temps. Ăa me permet du coup dâacquiescer en usant du silence. Jâaime bien ce genre de questions ces questions oĂč je ne suis pas obligĂ© de rĂ©pondre et oĂč je peux laisser place au silence. Je ne rĂ©ponds pas alors Ă sa premiĂšre question, mais, attentif, je la regarde pour lâĂ©couter et comme pour mieux lâĂ©couter. Elle mâinterroge comment je me sens sur Atlantis ? Je ne mâĂ©tais pas vraiment posĂ© la question jusquâici... Comme un poisson qui aurait changĂ© dâaquarium ? Pour un plus grand ? Je mây sens bien merci. » Je lui rĂ©ponds avec assurance et succinct. Toujours, dans la fĂącheuse tendance Ă faire dans le succinct. Ce serait horrible pour moi de rejoindre une troupe de théùtre. Je resterai sur scĂšne et ne dirai absolument rien. Je ne parviendrai pas Ă sortir un seul mot mĂȘme avec le script entre les mains. Je peinerai Ă comprendre lâintĂ©rĂȘt de rĂ©citer un script et me mettrai sans rien dire Ă le lire comme Ă le dĂ©chiffrer en omettant quâun public attendait de moi que je prenne la parole. Je chercherai comme Ă tenter de saisir pourquoi je devrais dire ça. A lui rĂ©pondre, je sentais bien que câĂ©tait un peu trop succinct et elle me donnait envie de me confier un peu davantage. Je mâinterrogeais peu sur mes ressentis. Tant que la mer reste lĂ . » Je complĂšte dans un lĂ©ger sourire. Lorsque j'Ă©voque la mer, je ne peux me retenir de sourire. Et voilĂ que je lui parlais comme un gaulois tant que le ciel ne me tombe pas sur la tĂȘte » jâaurai pu dire si jâavais peur de ça. Je redoutais plutĂŽt la disparition de lâocĂ©an sur Atlantis. Je nâimagine mĂȘme pas sâil devenait subitement un dĂ©sert. Je devrai songer Ă me reconvertir en homme des sables » ? Je ferai du surf sur dunes ? Hum... Non. Et toi ? Tu te sens comment ici ? Tu aimes Paris ? Tu as dĂ©jĂ Ă©tĂ© en France ? »Plus causant je lui demande, dans la force tranquille, toujours un peu abrupte, mais avec calme et posĂ©ment sur chaque question, mĂȘme si curieux de savoir et d'en connaĂźtre les rĂ©ponses. J'en oublierai qu'on ne devrait pas tarder Ă en finir avec les couloirs et arriver dehors Ă l'air libre. Il est vraiment Ă©trange... Ă moins que ce soit moi l'extraterrestre. Euh non, en fait, nous le sommes tous ici puisque aucun de nous n'est nĂ© sur cette planĂšte. Quel plaisir de savoir que pour une fois, nous sommes tous des extraterrestres ! Lorsqu'il rĂ©pond Ă ma question, aprĂšs avoir dĂ©tournĂ© son regard de mon t-shirt, j'ai le sentiment que je l'ennuie. SĂ©rieusement, il ne rĂ©pond que par cinq mots... Je lui fais peut etre peur. A cause de mes yeux ? Ou alors de ma cicatrice ? Putain qu'elle m'emmerde celle lĂ ! Je ne peux m'empĂȘcher alors je passer un doigt tout son long en me demandant si un jour j'arriverai Ă l'oublier ou peut etre mĂȘme l'accepter. Mais j'en doute. Chaque matin lorsque je me lĂšve, que je me maquille le contour des yeux ou quand je me brosse les dents, il m'est impossible de la rater. Elle est lĂ , en plein milieu de ma joue, me rappelant alors sans cesse que le bricolage c'est bien, mais que les inventions tordues ne sont pas pour moi. J'aurai pu perdre un oeil ce jour lĂ , qu'est ce qu'on peut en faire des conneries Ă cette Ăąge lĂ . Je me ressaisis rapidement lorsqu'il me retourne la question. Fait il cela par politesse, ou bien est il vraiment intĂ©ressĂ© ? Au vu de ses expressions, et du seul sourire que j'ai pu apercevoir, seule la mer a un effet sur lui. C'est dĂ©jà ça me direz vous, il est en mesure de ressentir de la joie pour quelque chose. Je me demande s'il est capable de se mettre en colĂšre... lĂšverait il le ton ? Son visage se tordrait il sous la colĂšre ? Je scrute alors son visage de maniĂšre un peu impolie. Enfin je veux dire que beaucoup de personne le prendrait mal, mais en rĂ©alitĂ©, il ne faut pas, je ne suis pas quelqu'un de mĂ©chant mais juste une personne entiĂšre et un peu trop spontanĂ©e. " Hummm et bien... si cela t'intĂ©resse vraiment, je me sens bien quand je suis en train de bricoler. Je suis arrivĂ©e en mars et je n'ai pas encore tous mes repaires. "On tourne par ci par lĂ , et enfin je sens sur mon visage le vent frais et la douce chaleur des rayons du soleil. Ca fait du bien, je devrais sortir plus souvent. Tout sourire je me tourne vers mon Avenger. " Ca fait du bien de sortir. C'est mieux que Paris. C'est bruyant et trop peuplĂ© Ă mon gout. Ca me fait plaisir que tu n'aies pas entendu mon accent Français, on dit souvent qu'il est drĂŽle. "Je continue de marcher Ă ses cĂŽtĂ©s, le suivant alors jusqu'Ă ce qui me semble ĂȘtre un compresseur en panne. Ah... je connais pas ça moi... je vais devoir assurer et utiliser mon super encĂ©phale ! Je n'aimerai pas que mon beau nageur plombeur de combat de l'extrĂȘme me prenne pour une idiote... dĂ©jĂ qu'il doit me trouver bavarde et usante... " Voila la bĂȘte ? "Je dĂ©pose dĂ©licatement, avec amour et prĂ©caution mes bijoux d'outils prĂšs de moi. Certains ont des photos, des consoles de jeux mĂȘme si j'aime ça aussi et bien moi j'aime mes outils ! Ensuite, c'est moi que je pose. AĂŻe ! Je me redresse Ă genoux quand je sens quelque chose de dur sous mes fesses. Non non non, ce n'est pas ce que vous croyez, ce sont en fait des sucettes que j'avais stockĂ©es ce matin dans la poche arriĂšre de mon pantalon. Je glousse de ma connerie. Ben voila, il doit maintenant me trouver couille, ca fait un joli tableau tout ça. Je les pose Ă cĂŽtĂ©, en prenant soin de m'en prendre une. Au coca cola ! Miam miam ! " Tu peux te servir si tu veux. " Oui c'est vrai, je vais pas le manger. Peut etre qu'il n'aime pas ca aussi, c'est fort possible quand on doit garder la ligne et prendre soin de ses muscles ! Oui, j'en profite encore ! Et alors ? ! C'est un bel homme, je ne vais surement pas me priver ! Bref, passons. Sucette Ă la bouche, cheveux relevĂ©s et nouĂ©s en queue de cheval, penchĂ©e sur le cas " compresseur HS " je me lance alors dans l'expertise ! Mes doigts et mon esprit commencent alors Ă glisser et Ă dessiner mentalement les plans de l'engin. " Et toi, tu viens d'oĂč et oĂč as tu voyagĂ© ? "Je suis une femme, je peux faire deux choses en mĂȘme temps ! Et puis comme pour l'instant je ne fais rien de bien visible sur son appareil, afin de le rassurer on ne sait jamais, j'entame la discussion. Thyra scrute mon visage. Je ne rĂ©agis pas vraiment. Je ne plisse quâun peu les yeux. Que cherche-t-elle sur mon visage ? J'ai un truc ? Je mâinterroge lĂ un peu mais je ne change pas plus que ça mon expression. Jâai dĂ©jĂ des yeux, de base, un peu plissĂ©s. Ils ne font que se plisser qu'un peu plus un instant. Je ne touche pas plus mon visage. Si yâa un truc qui traĂźne dessus tant pis pour lui. Ăa arrive. Je suis bien souvent toujours dans le sang-froid. Je ne sais pas dâoĂč ça vient. Peut-ĂȘtre parce que je nage peu Ă contre-courant. Enfin j'essaye. Je la laisse scruter mĂȘme si un peu impolie. Yâa pas de soucis. Je reste dans la force tranquille. Comme dâhab. - Oui ça mâintĂ©resse. Abrupte, comme toujours, mais calme je lui rĂ©ponds. Je tente de rassurer de maniĂšre peut-ĂȘtre un peu trop cash et abrupte. Comme souvent. Je ne parle que de cette maniĂšre. Jâai tendance Ă peu justifier les choses. Je ne mâexplique pas plus alors. Je fais en sorte de ne jamais faire trop dâefforts pour parler de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Et, mĂȘme quand je ne parle pas et ne questionne pas, je peux quand mĂȘme me montrer intĂ©ressĂ©. Ăa ne se voyait pas comme ça mais je mâintĂ©ressais facilement. En vrai jâĂ©tais un peu curieux. Elle me confie quâelle se sent bien lorsquâelle bricole. Elle aussi elle est arrivĂ©e il y a peu. Jâavais observĂ© quâelle avait une cicatrice sur son visage. Je la voyais mieux avec nos Ă©changes et la conversation. Je ne rĂ©gis pas plus que ça Ă sa cicatrice. On a tous un vĂ©cu. Les cicatrices, ça ne me dĂ©range pas. Par pudeur, je les questionne rarement voire jamais. Peut-ĂȘtre Ă tort je sais pas. Thyra sourit Ă sortir prendre lâair. Ăa lui change de Paris. - Ah.. maintenant que tu le dis⊠Je lui rĂ©ponds sur son accent français en blaguant un peu. Il mâarrivait dâĂȘtre un peu taquin. - VoilĂ la bĂȘte. Je lui confirme avec simplicitĂ©. Je lui laisse de lâespace pour sâinstaller. Elle dĂ©pose ses outils avec dĂ©licatesse. Je peux saisir cet amour pour ses outils. Ăa mâarrive dâĂȘtre un peu comme ça avec mon matos de plongĂ©e. Thyra sâagenouille mais se dĂ©range elle-mĂȘme. Il semble quâelle rencontre un petit problĂšme de fessier. Je souris un peu Ă la situation. Elle pose ses sucettes sur le sol quâelle tire de ses poches arriĂšre et sâen prend une. Elle me propose de me servir. JâĂ©tais restĂ© debout les bras croisĂ©s. Je mâavance un peu. Je mâassois Ă mĂȘme le sol moi aussi. En tailleur. Pas trĂšs loin d'elle. Je lui laisse de lâespace pour elle et pour travailler. Je prends une sucette. Pourquoi pas. Jâen prends une Ă la fraise. HĂ© oui Ă la fraise. Pourquoi pas. La bricoleuse relĂšve ses cheveux en queue de cheval et attaque ses rĂ©parations. Pendant ce temps, je suis sur ma sucette. Thyra me demande dâoĂč je viens et si jâai dĂ©jĂ voyagĂ©. Je ne mâattendais pas Ă ce quâelle lance une discussion en travaillant je croquais dĂ©jĂ alors ma sucette. Le timing nâest pas voulu. Jâai toujours tendance Ă finir trĂšs vite par croquer les sucettes. Je suis pas quelquâun dâassez raffinĂ© pour me retenir Ă ne pas le faire. Je mĂąchouille donc un peu. Le petit bĂątonnet reste de sortie. Je le prends dans une main. Yâa dĂ©jĂ plus rien dessus. - NorvĂšge. Je lui rĂ©ponds en finissant de Jâai voyagĂ© un peu partout avec mon ancienne frĂ©gate sur Terre mais on sâarrĂȘtait jamais longtemps. En AmĂ©rique Latine. Plusieurs mois. Je lui rĂ©ponds un peu plus causant. Il fallait bien que je dĂ©veloppe un peu. - Tâas voyagĂ© toi ? Toujours abrupte que je suis, je lui demande. Je jette quâun trĂšs lĂ©ger regard sur les sucettes mais jâhĂ©site Ă en prendre une autre. Elle mâavait dit que je pouvais me servir⊠mais⊠Jâen prends une autre comme un chat qui viendrait en douce faire une connerie. Je crois qu'il se dĂ©tend et au lieu de rester debout les bras croisĂ©s Ă cĂŽtĂ© de moi, il se penche, prend une sucette et s'assoie auprĂšs de moi Ă mĂȘme le sol. Je suis contente d'ĂȘtre passĂ©e Ă l'atelier aujourd'hui, je suis contente de pouvoir rendre service Ă ce garçon, mĂȘme s'il est froid et super distant. C'est finalement peut ĂȘtre un associable. Soudain, j'entends " NorvĂšge." Ah ! Je le savais ! Thor est norvĂ©gien ! Jâai voyagĂ© un peu partout avec mon ancienne frĂ©gate sur Terre mais on sâarrĂȘtait jamais longtemps. En AmĂ©rique Latine. Plusieurs mois. Il parle pour de vrai cette fois ci, je crois bien qu'il me suit dans la conversation. Serait ce de la politesse ou bien la timiditĂ© qui disparait ? J'espĂšre encore que ce n'est pas mon physique un peu Ă©trange qui le met mal Ă l'aise parce que j'ai l'impression que tout Ă l'heure, il a jetĂ© un oeil sur ma cicatrice. Certaine personne ose poser la fameuse question, d'autre non.... par respect... par gentillesse... par gĂȘne... Et lui alors ? Pour quelle raison ne m'a t il pas demandĂ© ? Parce qu'il s'intĂ©resse plutĂŽt Ă mes voyages on dirait." J'ai pas mal voyagĂ© oui. J'ai vĂ©cu en France, Espagne, Russie, Inde, USA un peu... j'ai visitĂ© le NĂ©pal du coup et j'ai vu l'Himalaya. J'ai fait la ThaĂŻlande, Laos, Vietnam, Cambodge.... Portugal, Irlande. Mais il me reste tellement de chose Ă voir encore. MĂȘme si j'ai dĂ©jĂ vu des choses magnifiques, il m'en manque encore beaucoup. Egypte, PĂ©rou, BrĂ©sil....." Je me tourne vers lui un sourire en coin, " Les pays Nordiques..."Je pourrai parler des heures de mes voyages, de la beautĂ© de la terre, de son peuple extraordinaire, de ses cultures incroyable, de sa nature si surprenante.... J'ai fait toutes mes visites seule, je ne sais pas ce que c'est que de partir entre amis ou en amoureux. Mais comment pourrais je dĂ©couvrir la beautĂ© de notre monde sans avoir la chance de pouvoir la partager ? Au moins, ĂȘtre sur Atlantis me permet d'ĂȘtre utile et de protĂ©ger cette Terre, de la prĂ©server jusqu'Ă mon retour pour terminer mon roadtrip. Au moment ou je me retourne avec un sourire en coin en citant les pays nordiques, je prends Mikkel sur le fait accompli ! Il va se goinfrer de sucette ! Rapidement, pendant qu'il retire le papier, je dĂ©robe sous ses yeux sa douce sucrerie. " Oh boudu ! Va falloir marchander maintenant. Je t'aide pendant un jour de repos, je t'offre 1 sucette, mais la seconde va falloir la mĂ©riter. "Je marque une pause parce que je viens de rĂ©agir sans rĂ©flĂ©chir Ă ce que je fais. Du coup, je dois rapidement trouver une monnaie d'Ă©change.... hum.... humhum.... je lĂšve les yeux au ciel cherchant une idĂ©e de gĂ©nie. Mais oui !" Je te donne un accĂšs libre et illimitĂ© Ă mes sucettes, si en Ă©change.... tu acceptes de m'enseigner la plongĂ©e ! Je n'ai jamais visitĂ© les fonds marins, mais ca m'a toujours intriguĂ©. Qu'en dis tu ? "Le pauvre, dĂ©jĂ qu'il n'est pas Ă©loquent, mais alors lĂ aprĂšs mon attaque sauvage et surprise il va tout faire pour m'Ă©viter et finalement je vais rater l'occasion de faire plus ample connaissance avec lui et de faire de la plongĂ©e. Pourquoi je n'arrive pas Ă faire les choses comme tout le monde... comme demander gentiment Ă la fin un cours personnalisĂ©... Je suis dĂ©sespĂ©rante. Thyra me parle de ses voyages. Elle a parcouru de nombreux pays. Je suis trĂšs bon public aux rĂ©cits de voyage. Je lâai toujours Ă©tĂ©. Je suis mĂȘme devenu marin Ă cause dâun oncle marin qui mâen racontait des tas lorsque jâĂ©tais gosse. Elle me dit vouloir voyager encore au Moyen Orient, en AmĂ©rique Latine, et, dans les pays nordiques, ajoute-t-elle en souriant et en me regardant. Je lui souris un peu en coin avec un brin de fiertĂ©. J'pourrai dire, un petit sourire entre le malin et le guerrier. Jâai de la fiertĂ© pour mon pays la NorvĂšge. Pendant la discussion, je venais de voler une sucette du tas de sucettes. J'en commençais mĂȘme Ă retirer le papier de la sucette usurpĂ©e. Avec dĂ©licatesse dans le geste, pour une fois ! J'avais une petite nature de pilleur. Pas que j'Ă©tais clepto, mais, un truc, j'sais pas, bizarre en moi qui aimait bien se servir. Mais Thyra me prend soudain la main dans le sac. La bricoleuse me dĂ©robe alors la sucette. AprĂšs avoir infiltrĂ© par le passĂ© des bĂątiments maritimes de guerre, voilĂ quâon me surprend pour une simple sucette. Jâen souris un peu. HĂ©, ce nâest pas trĂšs gentil ça, câest comme voler la glace Ă un enfant. Je plaisante. Câest ses sucettes. Jâcomprends trĂšs bien. De lĂ alors, elle me dit quâil va falloir marchander si je veux piocher dans sa rĂ©serve de sucettes. Je la regarde alors dâun air trĂšs viking. Marchander ? Vraiment ? Ai-je lâair de quelquâun qui accepte de marchander ? Le pauvre gars que jâsuis qui a sĂ»rement eu comme ancĂȘtres autant des chasseurs de rennes que des navigateurs de drakkars et pilleurs de citĂ©s ? Elle me dit quâelle vient de mâoffrir une sucette contre son jour de repos, mais que pour la seconde, il fallait bien que je la mĂ©rite. Ăa me paraĂźt honnĂȘte ! Cela expliquait lâabsence dâuniforme de Thyra et son t-shirt I Love Paris Thyra Ă©tait de repos. Je saisis mieux. J'comprends mieux aussi pourquoi un autre mĂ©canicien sâĂ©tait levĂ© avant quâelle ne se prĂ©sente Ă moi avant lui, dans lâĂ©tonnement de tous les mĂ©canos. Je la regarde toujours. Je pose ma joue contre mon poing qui lui-mĂȘme se pose de son coude sur un genou toujours en tailleur de mes jambes. Je garde toujours un air trĂšs viking. Que va-t-elle inventer pour la seconde sucette ? Je la vois rĂ©flĂ©chir et avoir un Ă©clair de gĂ©nie. Je la laisse sâexprimer en la fixant toujours et restant toujours comme je le suis toujours dans la force tranquille. Elle me donnerait un accĂšs libre et illimitĂ© Ă ses sucettes, si, en Ă©change, je lui enseigne la plongĂ©e. Elle se dit intriguĂ©e par les fonds marins. Jâavais alors quittĂ© son regard un instant. Sous la mer, tout un monde quâon soupçonnait Ă peine prospĂ©rait et ne demandait quâĂ sâexplorer. Elle me demande ce que jâen dis. Je roule de nouveau le regard vers elle sâadressant de maniĂšre directe au sien. Toujours, avec un air viking, je change pas plus de position. Marchander donc ? - Jâignorais que câĂ©tait ton jour de repos. Je lui rĂ©ponds dâabord, toujours abrupte. Elle aimait tellement son mĂ©tier quâelle travaillait mĂȘme un jour de repos ? Ăa inspirait lâadmiration. Je quitte ma joue de mon poing et me redresse un peu. Solide comme un roc, je reste pour autant toujours assis en tailleur. - Deal. Mais est-câque câest vraiment Ă©quitable ton marchĂ© lĂ ? Tâen auras assez de sucettes ? Je lui enseignerai la plongĂ©e avec plaisir, mais je lui demande alors, abrupte, viking, en plissant du regard et comme sur le ton du dĂ©fi. Jâavais une relation particuliĂšre avec le marchandage. Peut-ĂȘtre Ă cause de missions. Peut-ĂȘtre Ă cause dâun truc que jâavais dans le sang. Mikkel se transforme... si si je vous jure ! Le mec timide, rĂ©serve, en retrait, peu locasse..... je me retrouve devant un mec genre dĂ©terminĂ© ! Son regard semble me transpercer, on dirait un marchand de dromadaires qui cherche une faille pour mâentuber ! Mes yeux quittent les siens un instant pour observer sa bouche lĂ©gĂšrement pincĂ©e, sa barbe impeccablement bien taillĂ©e, les traits de son visage, encore sa bouche... ouais bon jâavoue que comme ça il est sexy ! Il se bat pour des sucettes ! Câest franchement pas mignon !? Câest un peu dĂ©stabilisant parce que je ne mây attendais pas.... mais câest aussi super drĂŽle comme situation, dâenfin le faire rĂ©agir autrement quâun soldat trop parfait. Câest vrai quâil nâest pas censĂ© ĂȘtre au courant quâaujourdâhui est mon day-off ». MĂȘme si ma dĂ©gaine peut le laisser sous entendre, il ne pouvait pas en ĂȘtre sĂ»r. Et puis vu comment je me suis jetĂ©e sur lui pour trouver a mâoccuper... finalement jâai bien fait ! Concernant le nombre de sucette Ă dispo... hum... sâil en mange 15 dans la journĂ©e ça va ĂȘtre compliquĂ© en effet, je dois trouver une alternarive. Soit je mets un nombre limite et du coup je change les modalitĂ©s du deal, ou alors je vais devoir trouver plus de fournisseurs ! Mais qui pourrait accepter de me rapporter des sucettes en provenance de la Terre ? John ? Il ne va jamais sur Terre !!! Hum.... je vais devoir mener lâenquete ! Ou alors.... Hum... tu as raison Thor... euh Mikkel .... *merde jâai grillĂ© ma crĂ©dibilitĂ© ! Je dois enchaĂźner !*.... accĂšs illimitĂ© câest trop. On va dire 1 sucette contre 2h de plongĂ©e ! Ăa me parait bien. Tu auras le droit de choisir le goĂ»t en plus *franchement câest important ça ! Câest presque le principal.* »Si jâavais su que je marchanderai avec lui des sucettes... jâaurai cassĂ© moi mĂȘme son compresseur plus tĂŽt. Jâai toujours sa sucrerie dans les mains et je mâamuse Ă la faire passer sous ses yeux de droite Ă gauche puis de gauche Ă droite. Si je peux le perturber et le dĂ©stabiliser en agitant ça sous son nez autant en profiter ! Yâa pas vraiment de rĂšgles quand on parle affaires... et si par la mĂȘme occasion je peux profiter de la vue de ce bel Ăątre alors ma foi je fonce ! Je nâai pas la beautĂ© de Natasha, ou le charisme dâIsia mais moi, je sais rĂ©parer son compresseur en deux trois mouvements ! Je prends juste mon temps. Thor ? Ah oui, de DC Comics, câest ça ? » Toujours, lorsque je ne restais pas taciturne, je m'acharnais Ă rester calme. Je ne m'emportais presque jamais. Parfois, je m'emportais Ă imposer le calme. Il fallait que je sente que ça aille trop loin pour me lancer. Que je sois tĂ©moin de trop de colĂšre. Ăa me poussait Ă intervenir. Je nâaimais pas trop. Je prĂ©fĂ©rais rester froid Ă tout. Je nâaimais pas mâemporter. Alors, je cherchais peu. Je ne cherchais donc pas dans mes interrogations. J'avais des connaissances approximatives et une mĂ©moire trĂšs sĂ©lective sur la culture geek. J'avais eu un pote geek sur ma frĂ©gate, avec qui jâavais eu un passif. Il avait fait la grossiĂšre erreur de se pointer vers moi avec une paire de ciseaux en prĂ©tendant que je devais me faire couper les cheveux. D'aprĂšs lui, jâaurai augmentĂ© mon taux d'attractivitĂ© auprĂšs de la population fĂ©minine. Car ce gars ne parlait qu'en termes statistiques. Il m'avait Ă©voquĂ© aussi un capital sĂ©duction. Il avait dĂ©veloppĂ© pour le fun un modĂšle complexe sur ça sur son temps libre. Bref, il avait fait en tout cas la pire erreur de sa vie Ă tenter et surtout Ă rĂ©ussir Ă me couper les cheveux pendant mon sommeil. Que sâĂ©tait-il passĂ© le lendemain matin ? Eh bien, un militaire norvĂ©gien en tenait un autre au-dessus du pont d'un bateau par la peau du pantalon avec le calbut dĂ©passant - un joli caleçon sponge bob. Vous imaginez qui Ă©tait qui ? Je le tenais bien. Il ne craignait rien. Jâvoulais juste lui faire voir la mer et lui faire mesurer la hauteur de notre bateau. Juste au cas oĂč. Toujours bien de sâen rappeler. D'ailleurs, il en avait fait une approximation. Je ne connaissais pas songe bob avant tout ce manĂšge. Le caporal de notre section nous avait vus. On avait dĂ» laver le pont ensemble en guise de blĂąme avec la brosse Ă main. Avec ce geek, on avait fini bons amis, et si jâĂ©tais restĂ© sur Terre, on se verrait surement encore. C'Ă©tait grĂące Ă lui que j'avais de vagues connaissances sur le cinĂ©ma et les jeux vidĂ©o. Jâavais dĂ©jĂ eu la remarque par lui que je ressemblais Ă Thor. Il mâenquiquinait avec la scĂšne oĂč Thor se faisait couper les cheveux dans Ragnarök. Ăa, et la scĂšne de blanche neige avec la pomme. Thor est nul. Il perd inutilement son marteau en manquant de sang-froid dans Ragnarök Ă le balancer sans rĂ©flĂ©chir contre sa sĆur aĂźnĂ©e. » Si seulement je savais que quelques mois plus tard, je partirai pour lâopĂ©ration Normandie oĂč jây passerai pas mal de temps Ă y faire exploser mon matos, rĂ©duit en miettes par des ennemis Ă l'image de cette scĂšne, Ă commencer par mon famas puis mon fusil Ă pompe⊠Et dans le mĂȘme film il chiale presque Ă ce quâon lui coupe les châveux. » MĂȘme si, en vrai, je pourrai rĂ©agir comme lui⊠Pis il sâest fait plaquĂ© par sa copine de la Terre. » Tiens... moi aussi⊠Le vrai Avengers qui a la classe, pour moi, câest Hawkeye, lâarcher Ćil de Faucon. »Je ne connaissais que les films. Je ne lisais pas les comics. J'avais toujours Ă©tĂ© du genre Ă lire les Tuniques bleues. Je n'Ă©tais pas du tout dans la culture geek. Alors quâelle passe sa sucette devant moi, je reviens Ă notre marchandage. Jâen reste norvĂ©gien, mĂȘme si je regarde la sucrerie, mais jâen reste en fin de compte, assez viking. 1 sucette contre 2 heures de plongĂ©e, câest pas assez. MĂȘme avec le choix du goĂ»t. Jâaime tous les goĂ»ts. » Tant que je ne mangeais pas les vrais fruits, leurs parfums mâallaient tous, et jâaimais bien aussi au coca. LâaccĂšs illimitĂ©, câest trĂšs bien moi jâtrouve. Pourquoi tu veux revenir lĂ -d'ssus ? Tu penses ne pas en avoir assez avoue ? » Je lui demande avec un sourire. 30 sucettes contre 2 heures. Comme ça jâpeux en faire profiter des confrĂšres militaires. » Au marchandage, fallait pas toujours commencer haut j'crois bien ? Je n'Ă©tais pas un spĂ©cialiste, mais j'aimais piller, et, de lĂ , tenter de marchander Ă mon avantage. Tout le monde avait ses petits dĂ©fauts... ses petites lubies... Comment ose t il ! Comment peut il dire que Thor est nul ? Thor c'est .... c'est..." Je ne suis pas d'accord avec toi. Je te trouve dur. Je trouve que tout ce qu'il fait,surtout ses erreurs, le rendent plus humain. MalgrĂ© qu'il soit un Dieu il a des faiblesses et il les combat, c'est chouette. Il n'abandonne jamais ses idĂ©es, il est loyal et humble. Et personnellement, depuis qu'il est cĂ©libataire, j'ai toutes mes chances ! MĂȘme si je parais bien fade Ă cĂŽtĂ© de Nathalie Portman. "Comment ça Thor n'existe pas ? Mais si ! Il est devant moi, la preuve ! Et puis de toutes façons, quand on connait l'existence de la porte des Ă©toiles ou de la citĂ© d'Atlantis, on peut bien croire en l'existence de Thor ou de Hulk. Enfin, s'il y a autant de hĂ©ros chez les comics ou les marvel, c'est pour que tout le monde soit satisfait. Par contre, j'aurai pensĂ© qu'il aurait eu une prĂ©fĂ©rence pour la Veuve Noire....." Bon Monsieur je ne me fais jamais larguer par une femme, je ne perds ou dĂ©truit jamais mon arme et surtout je ne chouine pas pour des cheveux.... Si 1 sucette pour 2 heures c'est pas assez payer, je te propose donc un super deal tu me laisses tresser tes cheveux avant chaque virĂ©e en plongĂ©e que nous ferons, *oui, je veux passer autant de temps que possible avec lui, il me plait bien* et la oui, tu auras un accĂšs illimitĂ© Ă mes sucettes... et pour infos, je plonge avec toi, pas avec tes collĂšgues, je n'ai pas assez pour nourrir toute la citĂ©. "Pourquoi j'ai dit tout ça ? Pourquoi ai je parlĂ© de ses cheveux ?! Parce que j'ai toujours voulu tripoter Thor ? Euh je veux dire les CHEVEUX de Thor ? C'est vrai que mon Mikkel Ă l'air d'avoir d'avoir de beaux cheveux... en fait, il est beau tout court... mais ça il le sait dĂ©jĂ bien sur et en plus on se chamaille pour des sucettes. De vrais gosses. Et puis il me regarde bizarrement, ca façon de poser son menton sur ses mains comme ça, appuyĂ© sur ses genoux, puis de se redresser ca me met mal Ă l'aise. Son regard perçant, plein de volontĂ©, sa carrure Ă©paisse qui me domine clairement.... il les veut vraiment ses sucettes en fait. Je dois rattraper le coup parce que lĂ , il va vraiment finir par me prendre pour une folle. J'ai vraiment un soucis avec les rapports humains, surtout quand il s'agit du sexe opposĂ© et d'un aussi beau spĂ©cimen. En fait, peu importe le sexe, j'etais mal aussi devant Isia. " Euh je voulais pas dire ça en fait... laisse tomber c'Ă©tait idiot. "Je lĂąche la sucette et me retourne vers le compresseur. En fait, je fuis littĂ©ralement son regard qui me perturbe totalement. JâĂ©coute son point de vue sur Thor. Je mâen montre attentif. Jâai le regard qui part un peu sur le cĂŽtĂ© Ă y rĂ©flĂ©chir. Humble ? Mmh je ne le trouve pas si humble ce Thor. Mais peut-ĂȘtre quâil le devient Ă mesure de ses Ă©popĂ©es. Je suis dâaccord avec elle. Il change Ă mesure de ses Ă©popĂ©es, ça ouais je suis dâaccord avec elle. Je suis dur ouais peut-ĂȘtre. Ćil de Faucon me parait avoir le sang-froid que jârĂȘverai avoir. Je le trouve quand mĂȘme plus classe que Thor. Mon regard revient Ă elle lorsquâelle dĂ©clare avoir toutes ces chances avec un personnage de fiction. Jâai un brin de sourire qui sâĂ©chappe. Elle a lâair fan de Thor. Je n'y rĂ©ponds pas et en reste taciturne. Jâcroyais que le plus populaire parmi les filles câĂ©tait, jâsais pas, Iron Man ou Ant Man, les bruns quoi, Bucky dans Captain ou mĂȘme Russo dans Punisher ou mĂȘme Punisher. Hum peut-ĂȘtre peut-ĂȘtre. » Je lui rĂ©ponds Ă propos de Thor dans un air viking et nordique un peu comme ce marin qui nâa pas encore pris la mer et ne se prononce pas encore sur la mer. Ouais. Portman elle est pas mal dans Thor et Star Wars aussi. » Je ne vais pas mentir. Elle est jolie. Je le dis sur un ton un peu plat. La copine de Deadpool, elle est pas mal. Elle a un air sympa. » Morena Baccarin. Mais dâtoute façon câest que du physique tout ça. Faut la personnalitĂ© avec.» Quoi ? Ouais, jâai un cĂŽtĂ©, jâsais pas comment on dit dĂ©jĂ , pas romantique, jâsuis pas fleur bleue ça jamais, mais bon, voilĂ quoi, tout c'que j'sais, c'est que câpas facile dâĂȘtre avec un taciturne. Ăa jâle sais bien. Et mĂȘme le sachant, jâfais pas toujours lâeffort de parler⊠la personnalitĂ© compte. Je souris Ă son Ă©numĂ©ration. Non. Moi je ne dĂ©truis pas mes armes. » Jâacquiesce calme, posĂ©, et dans la force tranquille, comme Ă mon habitude. Mais il ne fallait jamais dire jamais dans la vie. Plus tard oui, jâen dĂ©truirai, mais aujourdâhui je ne le savais pas encore. Alors Ă le dire aujourd'hui, je parais sĂ»r de moi. Pour le reste de lâĂ©numĂ©ration, je ne confirme pas, parce que, je ne sais pas mentir⊠Je suis un piĂštre menteur. Je ne tente mĂȘme pas parce que je nâaime pas ça. Si je suis pilleur, jâespĂšre au moins que jâsuis honnĂȘte. A sa proposition de tressage, je plisse les yeux. Ăa...! Ah ça ! Ăa, ça me parait pas mal du tout. Ăa ouais ça me pĂȘche. Mais ça ne ferait pas un peu fille » que jâaccepte ça ? Ăa ne fait pas un peu atelier coiffure entre copines ? Câest ce que je redoute sur le moment. Il faut dire, jâai passĂ© pas mal de temps dans des bateaux peu mixtes â que quelques femmes et avec couchettes sĂ©parĂ©es et pas toujours â avec alors une ambiance trĂšs garçonniĂšre sur les bateaux. Aussi, je ne rĂ©ponds pas tout de suite et jây rĂ©flĂ©chis. Il ne faudrait jamais que des potes militaires apprennent ça. Jamais. Ah jâhĂ©site. Pour quâon me touche les cheveux, il me faut vraiment un minimum de confiance. A y rĂ©flĂ©chir, du coup, je ne lui rĂ©ponds pas encore. Et, entre temps, Thyra retourne Ă la rĂ©paration du compresseur, me disant de laisser tomber tout ça, comme gĂȘnĂ©e par tout ça. Je la revois alors remettre les mains dans le cambouis. Ăa me rappelle que je lui fais confiance pour le compresseur alors pourquoi pas pour mes cheveux ? Dâaccord ça marche. » Je lui rĂ©ponds, aprĂšs un temps quâelle me dise de laisser tomber. Jâen profite pour piller la sucette quâelle laisse tomber. Ouais, franchement, jâai un gros dĂ©faut quand mĂȘme. Me revoilĂ Ă piller⊠Tressage et accĂšs illimitĂ© Ă tes sucettes Ă chaque plongĂ©e sur ce que tu apporteras en sucettes. » Ăa ne doit pas ĂȘtre simple de trouver des sucettes sur Atlantis tous les jours. Jâveux pas la mettre dans la mouise non plus. Je ne donnerai rien Ă mes confrĂšres militaires et ne limiterai la consommation de sucettes que pour moi pour ne pas te vandaliser mais Ă une seule condition tu ne dis Ă personne que tu me tresses les cheveux. A personne. Si jâapprends que tu as vendu la mĂšche Ă qui que ce soit, je romps notre deal. » Ouais, en vrai, je suis peut-ĂȘtre un peu dur comme gars. Elle nâa peut-ĂȘtre pas tort. Je mâen rends un peu compte. Mais bon on ne se refait pas. Je retourne au dĂ©pliage de papier de la sucette que je viens de rĂ©cupĂ©rer. Et avec ça, je te propose un autre truc. Tu me tresses les cheveux de temps en temps aussi en dehors des plongĂ©es et en Ă©change⊠» Je cherche. Jâinterromps alors mon dĂ©pliage. Je tâoffre un repas du matin ou du midi ou du soir selon le moment de la journĂ©e oĂč tu me tresses. Bref un repas par tressage hors plongĂ©e. Quâen dis-tu ? » Je finis ma proposition sur un regard plus jeunot militaire - plus dĂ©tendu. Je nâai pas encore mis la sucette dans ma bouche. Le deal nâest pas encore conclu. Dans mon dĂ©faut de pilleur, je nâai pas conscience du tout que je la dĂ©valise la pauvre, en obtenant tressage et accĂšs illimitĂ© aux sucettes pour des plongĂ©es et cherchant Ă marchander du hors plongĂ©e en prime⊠Mikkel⊠abuse pas ! Je suis sur mon compresseur, concentrĂ©e pour oublier la grosse boulette que je viens de faire. Je devrais y ĂȘtre habituĂ©e et pourtant je me sens toujours aussi idiote ! Aucun filtre. Les gens croient que je ne sais pas me tenir, alors quâen fait pas du tout ! Câest juste que tout sort de ma bouche comme les enfants.... ça fait de moi une enfant ? Pas Ă©tonnant que mes rapports sociaux soient catastrophiques... la mĂ©canique câest bien, ça ne juge pas un moteur ça...Quoi ? Que vient de me dire Mikkel ? Je me repasse sa phrase dans la tĂȘte Dâaccord ça marche ». Jâen perds mon latin. Je lui jette un regard en coin, jâespere quâil ne remarque pas trop parce que je voudrais juste vĂ©rifier quâil ne se moque pas de moi. Mais on dirait quâil est sincĂšre. Je le vois qui ne perd pas le nord il a rĂ©cupĂ©rĂ© la sucette que jâai laissĂ©e tomber. Je rĂ©flĂ©chis Ă ce que je pourrai bien dire... pour une fois que je reflechis. Mais la, câest de nouveaux le drame ! Mon cĆur va lĂącher, trop de pression sanguine, je redeviens rouge et lĂ mon regard vient se planter dans le sien. Jâai un sourire timide. Tu es sĂ©rieux la ? Enfin je veux dire... tu ne te moques pas de moi ? Parce que si câest pour me faire une mauvaise bague câest vraiment pas digne de Thor ou de Hawkeye tu sais ? »Mais en mĂȘme temps, sâil me demande dâetre dans le secret, câest que peut ĂȘtre il est sĂ©rieux. Si tu me demandes de rester discrĂšte, ce nâest pas un souci. Câest pas comme ci nous Ă©tions dans le secret chaque jour, nâest ce pas ? »Un petit sourire en coin. En mĂȘme temps câest vrai, nous vivons dans le secret et jâai du inventer des bobards comme quoi je bosse sur des nouveaux projets dâaviation pour le gouvernement amĂ©ricain. Faut bien justifier une absence prolongĂ©e et un silence total sur mes activites. Mais si jâavais su quâen plus je devrais garder le secret sur une histoire de tresse.... câest rigolo, je crois que nous sommes de rĂ©els enfants tous les deux. Si jamais tu as envie, enfin je veux dire rien de prĂ©vu et que tu tâennuies et que tâas personne Ă voir, je suis normalement avec mes collĂšgues lĂ oĂč tu mâas trouvĂ©. Donc si tâas envie dâune sĂ©ance de relaxation style papouilles dans les cheveux... enfin tresses je veux dire, tu sais ou me trouver. Parfois je suis Ă la salle de sport je mÂŽentraine regulierement. »Mais pourquoi je dis tout ca ! Il sâen fout de ca il veut juste des sucettes ! Pas mon planning de la semaine ! Mais enfin, le principal câest quâil ait dit oui. Il ne le sait pas mais jâadore toucher les cheveux. Jâai appris Ă faire toutes sorties de tresses, de chignons et de coiffures diverses et variĂ©es. Bien entendu, sur Mikkel je mâinspirerais juste de Ragnar, le beau gosse de la sĂ©rie Viking. Mais chut, je ne vais pas lui dire pour Ă©viter que son regard sur moi ne change. La jâaime bien comment il est, câest comme ci on venait de partager un secret super intime, un truc particulier que personne ne doit jamais savoir sous peine de mourir ! Oui ben jâexagere un peu câest vrai, admettons. En tout cas, jâai lâimpression quâil est diffĂ©rent tout dâun coup. Jâsuis fan je crois. En attendant, je continue de bricoler son compresseur, je dois dĂ©monter quelques piĂšces pour atteindre un point prĂ©cis et dans une dizaine de minutes ça sera malheureusement terminĂ©. Je le regarderai plonger et moi je partirai faire ma journĂ©e de repos je ne sais oĂč. Câest un militaire, il reviendra de sa plongĂ©e, mais si demain il part en mission.... reviendra t il pour se faire caresser les cheveux en Ă©change dâune sucette ? Peut ĂȘtre que si je lui en donne une avant quâil parte en admettant que je sois au courant, ça lui donnera du courage non ? Dans les films yâa toujours un moment oĂč le soldat regarde le ciel, une photo, un arbre, pourquoi pas une sucette et ça le motive.... genre hummm je dois survivre parce que jâai un paquet de sucette qui mâattend ! ». Câest too much oui, mais si câest efficace.... Thyra me regarde en coin puis passe dans les teintes de rouge sur son visage et surtout au niveau de ses joues je crois bien. Que lui arrive-t-il ? Jâen reste viking. Ăa va lui passer. Dâailleurs elle me regarde et laisse Ă©chapper un sourire timide. Câest que tout va bien alors. Pourquoi sâinquiĂ©ter ? De sang-froid, rougir ne mâarrive jamais, jâen ai bien peur, et le voir ne me fait pas vraiment rĂ©agir... Je veux dire, les Ă©motions ne me mettent pas vraiment mal Ă lâaise mĂȘme les pleurs. MĂȘme si je suis sensible Ă la colĂšre que jâai tendance Ă vouloir calmer et en ce sens les pleurs aussi, bien souvent, jâen reste toujours assez froid en apparence⊠Je me dis que les Ă©motions ne font que passer â telles des tempĂȘtes en mer qui finissent bien par retomber. La colĂšre me fait rĂ©agir davantage sans que je nâaie jamais vraiment su pourquoi⊠Câest comme ça... Elle me demande si je suis sĂ©rieux - si je ne me moque pas dâelle. Parce que, si câest le cas, je ne serai ni digne de Thor ni de Hawkeye. Pas digne de Thor, je nâose pas lui dire car elle en est fan, mais cela ne me dĂ©range pas du moins du monde. En revanche⊠pour Hawkeye⊠Ah bah bravo, tu me prends pour un calomnieux ? » Je lui dis viking dans le sourire. Je lui dis taquin alors, Ă ma maniĂšre un peu abrupte. Si, bien souvent, j'avais un langage trĂšs courant voire familier, il m'arrivait de sortir de temps en temps un terme comme ça - plus soutenu. Comme je prenais peu la parole, alors, mes paroles variaient pas mal comme ça. Hum hum. » Jâacquiesce Ă ce quâelle dise que ce nâĂ©tait pas comme sâils Ă©taient dĂ©jĂ dans le secret avec Atlantis et je lui rends en accord un sourire Ă son sourire. Oui, je parle peu, comme, je le crains, Ă mon habitude... De lĂ alors, comme nous paraissons en accord sur notre marchĂ©, elle me donne les deux endroits principaux oĂč je peux la rejoindre pour le tressage en cas de temps libre. Câest notĂ©. » Je lui rĂ©ponds succinct et abrupt. Ăa doit ĂȘtre le soldat qui revient un peu Ă la charge et qui rĂ©pond de maniĂšre sommaire et brĂšve. Je ne sais pas pourquoi, je ne lui donne pas aussitĂŽt en Ă©change ma localisation. Peut-ĂȘtre parce quâelle mâa donnĂ© la sienne et que ça ferait too much de donner la mienne. Par pudeur aussi je crois, car câest mon genre, jâai une sorte de pudeur. Ou bien, tout simplement, par Ă©conomie de mots. Ici, câest lĂ oĂč je plonge, si tu veux plonger. » Je lui rĂ©ponds abrupte et simple et me lance ainsi quand mĂȘme dans un effort Ă quitter ma nature taciturne. Je me frotte lĂ©gĂšrement mes mains, comme toujours, dans la force tranquille, comme si ces derniĂšres Ă©taient talquĂ©es, me montrant prĂȘt Ă lui enseigner la plongĂ©e quand lâoccasion se prĂ©sentera â sans la presser. Il faudra faire ton baptĂȘme en piscine mais sinon ce sera ici. » SĂ©rieux dans mon monitorat, je lui prĂ©cise tout de mĂȘme dĂ©jĂ . Je la laisse travailler sur le compresseur. Puisque le marchĂ© est conclu, je mets sucette en bouche, et, comme pour lâautre sucette, je la croque comme il nâest pas du tout dâusage. Je garde le bĂątonnet en bouche. Juste en bouche, tranquille, sans mĂąchouiller et sans le tourner avec les doigts. Juste comme un cure-dent qu'on garderait un peu en bouche. Jâai lâimpression que bientĂŽt, Thyra aura rĂ©parĂ© en bonne et due forme ce compresseur de plongĂ©e. Câest une bonne chose. Elle est sympa jâtrouve. Je me demande ce quâelle va faire quand mĂȘme avec mes cheveux⊠des trucs virils quand mĂȘme jâespĂšre... ! je plisse les yeux, marin, Ă y songer un peu. Ce garçon est vraiment.... tout lâinverse de moi. Tout ce que je pense sort de ma bouche alors que lui, ne dit rien. Câest comme sâil y avait deux genres de militaires celui qui drague, le beau parleur, celui qui se vante de ses exploits et qui compense quelque chose, et celui qui reste maĂźtre de soi, discret, rĂ©serve, impassible et imperturbable. Et bien Mikkel est de ceux ci. Câest plus agrĂ©able en rĂ©alitĂ©, câest comme une force tranquille qui se dĂ©gage de lui, un fleuve tranquille qui fait son chemin sans dĂ©ranger, sans trop de soucier du superflux qui lâentoure. On pourrait naviguer sans trop craindre la tempĂȘte, on pourrait se baigner sans sâinquieter de ce quâil y a dedans. Il est apaisant, reposant... et pourtant je sens en lui une force qui pourrait exploser avec une petite Ă©tincelle. Lâeau lui va bien. Elle peut ĂȘtre calme et posĂ©e mais elle peut aussi se montrer meurtriĂšre. Enfin la il ne me semble pas bien meurtrier avec sa sucette Ă la bouche. Je lâentends qui la croque et qui sâacharne dessus pour la finir au plus vite, avant de garde le bĂąton coincĂ© entre ses lĂšvres. Pendant encore quelques minutes je mâagace sur le compresseur, parce que certaines piĂšces sont bien serrĂ©es. Je me dĂ©brouille, toute seule surtout puisque jâai ma fiertĂ©, pour desserrer, retirer les piĂšces, dĂ©monter le machin et juste euh... faire un truc. Je ne lui dirais pas ce que câest parce que si ça recommence il saura le faire lui mĂȘme, et sincĂšrement je prĂ©fĂ©rerai le lui faire. Je remonte le tout en un clin dâoeil en faisant croire que câetait un truc bien chiant et me redresse. Je me frotte le nez, lorsque je me rends compte que jâai les mains couvertes de graisse noire... fait chier ! Jâai du me mettre du noir sur le visage !!! Oh non câest ridicule !!! Je dois trouver un truc ! Panique Ă bord !!!Je regarde mes mains, je regarde Mikkel... non quand mĂȘme pas ... si....? Bon allĂ©, SI ! De toutes façons il va aller Ă lÂŽeau ! Bon, et bien voilĂ câest tout bon. Tu peux plonger en toute sĂ©curitĂ©. »Je me rapproche innocente de lui, prĂȘte Ă attaquer aussi vive quâun serpent pour le barbouiller un peu comme moi. Mais quand son regard se pose sur moi alors je me fige, incapable de lancer une quelconque attaque. Non, je ne peux pas. Je ne sais pas si câest son regard, son expression, ou juste parce que je le trouve beau sans maquillage mais je nây arrive pas. Je vais rester seule avec du cambouis sur le visage et seule je vais assumer ma maladresse. Jâai dĂ©jĂ pas mal bousculĂ© ce pauvre jeune homme et jâai dĂ©jĂ de lĂ chance quâil accepte un deal aussi Ă©trange que celui que nous venons de faire. Alors stop les bĂȘtises ! AprĂšs lâavoir saluĂ©, aprĂšs avoir contenu toute lâexcitation qui se propage en moi, je mâĂ©loigne de lui un peu triste quand mĂȘme que cette aventure se termine si vite. Jâai dĂ©jĂ hĂąte de le revoir. Une fois au loin, je me retourne une derniĂšre fois, histoire de faire comme dans les films... sauf que moi... il nây a aucun bel homme qui me court aprĂšs pour me retenir. En fait, je bouscule quelquâun de mon Ă©paule par accident parce que je ne regarde pas oĂč jâen vais. Si ça câest pas romantique ! Au lieu de retourner Ă lâatelier embĂȘter mes collĂšgues le jour de mon repos, je prĂ©fĂšre revenir dans ma chambre, pensive. Je pose mon sac dâoutils dans un coin et mâinstalle sur mon lit aprĂšs avoir pris un papier et un stylo. Je dessine. Je dessine quoi ? La premiĂšre coiffure » que je ferai sur Mikkel ! Ben quoi, on est motivĂ© ou on lâest pas DU RP POUR THYRA 01/08/2018 Ăa ne se voit peut-ĂȘtre pas forcĂ©ment comme ça, mais, Ă vrai dire, je suis un gars un peu curieux. Il mâarrive mĂȘme de poser des questions. Câest peut-ĂȘtre parce que jâaime bien observer. Et en particulier les gestes. Certains disent que je suis observateur. Jâsais pas trop. Peut-ĂȘtre que câest la tare de celui qui ne parle pas. Je lâobserve travailler sur le compresseur. Je le fais norvĂ©gien. Je nâaime pas non plus mâimposer et dĂ©ranger quelquâun dans son travail. Lors dâun instant elle me parait comme sâagacer. Elle bidouille alors â desserre, retire et remonte. Je nâaffiche aucun stress malgrĂ© quâelle manipule lĂ le compresseur de plongĂ©e â un organe mĂ©canique crucial puisque, sans lui, finit le gonflage de bouteilles de plongĂ©e. Si elle est mĂ©canicienne sur Atlantis, câest quâelle a les compĂ©tences. Pas de soucis Ă se faire. Je ne me fais aucun souci. En revanche, par curiositĂ©, je plisse les yeux sur sa façon de faire. Je ne parviens pas y dĂ©terminer un schĂ©ma. Je la regarde elle. Je la regarde de nouveau travailler et donc ses mains. Bon... Je ne parviendrai pas Ă refaire ce quâelle vient de faire jâcrois bien⊠Une fois sa rĂ©paration terminĂ©e, Thyra se redresse et se relĂšve. Elle se frotte le nez. Avec, alors, de la graisse de ses mains de mĂ©canicienne. Toujours assis encore, je lĂšve les yeux sur elle et la regarde avec ses marques de cambouis, les coudes sur les genoux de mes jambes que jâai redressĂ©es, les pieds plats sur le sol. Jâai un sourcil qui se lĂšve et un sourire qui me vient Ă la regarder avec ses peintures de guerre. Je finis par me relever Ă lâaide dâune main et la dĂ©passe de nouveau de la hauteur de mon gabarit. Je la regarde. Elle regarde ses mains. Elle me regarde. Je la regarde viking. Elle mâannonce quâelle a fini et que je peux plonger en toute sĂ©curitĂ© mais je ne lui rĂ©ponds pas encore car elle se rapproche de moi. Taciturne, je la laisse terminer ce quâelle semble entreprendre. Je ne suis pas vraiment une flĂšche mais je sais observer les choses. Elle venait dâobserver ses mains pleines de graisse... Je me doutais un peu de ce quâelle pouvait bien avoir derriĂšre la tĂȘte Ă se rapprocher comme ça de moi... Mais elle semble se figer et sâinterrompre. Viking, je finis par croiser les bras. Je lui souris avec un sourire en coin comme ayant perçu sa tentative que j'trouve marrante mais dont je reste norvĂ©gien, comme, je le crains, Ă mon habitude. Merci Thyra. » Je la remercie enfin et acquiesce. Rentre bien. » Je lui souhaite aprĂšs nos salutations. FIN DU RP POUR MIKKEL 01/08/2018 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Sion n'en est pas doté, c'est qu'on ne la travaille pas assez, non qu'on ne l'aura jamais". "Tout est une question d'entraßnement !" "Tout est une question d'entraßnement !" Pour stimuler sa logique : "On fait 1, 2, 10, 50 sudokus ou mots croisés, et à force de répétition, la logique finit par rentrer", conseille la spécialiste.
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Sujetet dĂ©finition de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s â Tres attentif sur les solutions pour l'Ă©nigme Tres attentif. Aide mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©finition : TRES ATTENTIF . Mots . CroisĂ©s. Mots CroisĂ©s Tricher au Scrabble Synonymes Anagrammeur Liste de Mots. Mots CroisĂ©s > Questions > DĂ©finition : Tres
Le rĂ©alisateur Ira Sachs Keep The Lights On, Love Is Strange Ă©tait en CompĂ©tition Ă Cannes cette anĂ©ne avec Frankie, lâhistoire dâune actrice Isabelle Huppert, dans une composition trĂšs intimiste atteinte dâun cancer qui rĂ©unit sa famille une toute derniĂšre fois Ă Sintra, une station balnĂ©aire portugaise connue pour ses miracles. On est toujours emportĂ©s par la sĂ©rĂ©nitĂ© et la dĂ©licatesse avec lesquelles Sachs traite des Ă©preuves les plus douloureuses. On lâa donc fait rĂ©agir Ă des citations qui rĂ©sonnent fort avec ce film inquiet mais lumineux. Sintra, lĂ -bas! Glorieux Ă©den, sĂ©jour cĂ©leste/Suivi sans fin de monts et de vallons/Mais quelle main saurait peindre ou dĂ©crire/Une moitiĂ© de ce que lâĆil admire? » Lord Byron, Le PĂšlerinage de Childe Harold, 1812 IRA SACHS Je me suis rendu pour la premiĂšre fois Ă Sintra en 1979, pour y passer des vacances avec ma mĂšre et mes deux sĆurs. JâĂ©tais un adolescent qui dĂ©couvrait la vie. Jây suis revenu sept ans plus tard, avec mon coscĂ©nariste Mauricio Zacharias. Il faut ĂȘtre patient pour toucher Ă la beautĂ© de Sintra, il y a tellement de monde. Câest un peu clichĂ© de le dire, mais il faut du temps pour vraiment dĂ©couvrir ce que recĂšle un lieu. Câest intĂ©ressant parce quâaucun personnage du film ne prĂȘte vraiment attention Ă Sintra, ils nâont pas de lien personnel fort avec lâenvironnement. Câest parce que câest avant tout un film de voyage chacun sâautorise Ă ĂȘtre une version diffĂ©rente de lui-mĂȘme, ils sont presque sur une scĂšne de théùtre. Jâai pensĂ© le film comme une performance. Câest autant un film sur Frankie face Ă sa mort prochaine quâun documentaire sur Isabelle Huppert face Ă ce personnage. Ma mise en scĂšne est trĂšs spontanĂ©e, alĂ©atoire et dictĂ©e par les circonstances, le dĂ©cor et les acteurs. Par le possible, pour donner un terme plus gĂ©nĂ©rique.» Eric Rohmer, entretien paru dans Les Inrockuptibles, 1996 Câest drĂŽle que Rohmer ait dit ça parce que, sous son apparente lĂ©gĂšretĂ©, sa mise en scĂšne, que jâai beaucoup Ă©tudiĂ©e, est extrĂȘmement pensĂ©e. Mon directeur de la photo Rui Poças et moi sommes trĂšs inspirĂ©s par ses films, particuliĂšrement ceux dont la photo est signĂ©e NĂ©stor Almendros. Leurs images ont une vraie sensualitĂ©, une comprĂ©hension du plaisir visuel liĂ© aux corps et aux couleurs. Et aussi un sens chorĂ©graphique inouĂŻ. Mais Rohmer avait du temps pour prĂ©parer le tournage de ses sĂ©quences ; nous, nous nâavions que trois semaines pour tourner. Il fallait donc beaucoup planifier. En revanche, je nâorganise pas de rĂ©pĂ©titions avec les acteurs. Je leur donne le texte pour les guider, mais je souhaite prĂ©server leur improvisation Ă©motionnelle. En gĂ©nĂ©ral, il y a toujours quelque chose dâinattendu qui survient. Nous vivons Ă une Ă©poque oĂč lâartiste est oubliĂ©. Il est un chercheur. Je me vois comme ça.» David Hockney, entretien paru dans The Observer, 1991 Cette citation sur lâartiste comme explorateur me fait penser Ă Isabelle Huppert. Je pense que la chose la plus importante pour elle, câest dâĂȘtre dans lâaction, de prendre en charge une vraie part du processus de crĂ©ation des films. Elle a un rapport Ă la fois vorace et sincĂšre Ă la culture, au cinĂ©ma, Ă la musique, au théùtre⊠Peut-ĂȘtre que ma position en tant que cinĂ©aste est la mĂȘme ce que je regarde, je veux le comprendre. Or le film traite de cette difficultĂ© de comprendre quelquâun qui, comme une icĂŽne inaccessible, vous met sans cesse Ă distance. Je me pose une question le film peut-il rĂ©vĂ©ler cette part cachĂ©e et inconsciente du personnage de Frankie? Jâai en tout cas demandĂ© Ă Isabelle dâautoriser le public Ă la connaĂźtre, dâĂȘtre aussi simple et transparente que possible, dâessayer de ne pas se cacher derriĂšre sa technique. La vie est ce que nous en faisons. Les voyages ce sont les voyageurs eux-mĂȘmes. Ce que nous voyons nâest pas fait de ce que nous voyons mais de ce que nous sommes.» Fernando Pessoa, Le livre de lâintranquillitĂ©, 1982 Jâaurais pu mettre cette citation en Ă©pigraphe du film. Câest une vraie chance de pouvoir regarder la vie avec dâautres perspectives que la sienne, et pour moi câest ce que font les cinĂ©astes. Ils sont le pont entre le visible et lâinvisible. Le film part ainsi dâinstants que jâai vĂ©cus personnellement qui ont bouleversĂ© lâidĂ©e que jâavais de la mort. Jâai vu une amie trĂšs proche mourir dâun cancer, et jâai Ă©tĂ© trĂšs prĂ©sent dans les trois derniĂšres annĂ©es de sa vie. Ce qui mâa frappĂ©, câest quâil y a de la vie jusque dans les derniers moments de lâhumour, de lâamour, du sexe. Le film parle de cette variĂ©tĂ© inattendue dâexpĂ©riences. Mon travail consiste Ă trouver des liens entre les peuples, entre les personnes, Ă trouver les points communs, les ressemblances entre les ĂȘtres humains. La tragĂ©die a alors la mĂȘme signification pour tous.» Abbas Kiarostami, entretien paru dans LâHumanitĂ©, 2004 Jâenvisage cette recherche dont parle Kiarostami Ă travers ce qui est spĂ©cifique, et non universel. En tant que cinĂ©aste, jâessaye dâĂȘtre le moins gĂ©nĂ©ral possible, dâĂȘtre attentif aux diffĂ©rences. Câest notamment pour cela que je voulais faire un film au Portugal, parce que je nâen connais presque rien. LâuniversalitĂ© de votre propos, elle apparaĂźt dâabord parce que vous ĂȘtes un bon artiste. Câest pour cela que je me bats pour un cinĂ©ma trĂšs personnel. Parce que dans un monde globalisĂ© lâindividualitĂ© se perd, lâĂ©motion devient gĂ©nĂ©rique. Photographie dâIra Sachs c Julien LiĂ©nard Images c SBS Distribution Frankie dâIra Sachs SBS 1h38 Sortie le 28 aoĂ»t
Chapitre4 : Une fille bien mystérieuse . 6845 mots, Catégorie: G DerniÚre mise à jour 09/08/2022 18:33
Tu le connais ce moment dâembarras, cette gĂȘne insoutenable Ă la vue dâune personne que tu nâas pas envie de croiser soit parce quâelle sĂ©crĂšte en toi des hormones de haine, soit parce que tu nâas tout simplement rien Ă lui dire. Dans le mĂ©tro, dans le bus ou dans la rue, cette imposture sociale peut survenir Ă tout moment. Câest pourquoi on a mis au point pour vous un ensemble de comportements dâurgence Ă adopter, les gestes qui sauvent pour affronter ces instants de torture extrĂȘme. 1. Fuir loin. Plus loin que loin. Si tu es dans le mĂ©tro, tire la sonnette dâalarme quitte Ă provoquer un arrĂȘt dâurgence et finir le tunnel Ă pied. Chope un taxi pour le premier aĂ©roport, vide ton compte et pars huit ans en Nouvelle-CalĂ©donie, change de visage et de sexe. 2. Faire semblant d'ĂȘtre occupĂ© Sors un journal, un livre, un carnet de notes et ton portable. Il faut par tous les moyens que tu crĂ©es une frontiĂšre physique de papier entre toi et le reste du monde. Tu peux rajouter Ă©ventuellement un panneau autour de ton cou signifiant que tu ne souhaites pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©. 3. Dormir Si possible avec un filet de bave sâĂ©coulant Ă grand flot de maniĂšre Ă te rendre irrĂ©sistiblement immonde. En plus si tu tâendors vraiment tu pourras mĂȘme faire un cauchemar oĂč tu croiserais quelquâun que tâas pas envie de croiser Ă lâarrĂȘt de bus. 4. Simuler la surditĂ© Quand la personne sâapproche et te parle, tu sors en vitesse une fiche expliquant que tu as eu un grave accident de parapente au cours duquel tu as dĂ©passĂ© le mur du son ce qui tâa dĂ©truit les tympans irrĂ©mĂ©diablement en revanche pense Ă ne pas rĂ©agir Ă la sonnerie de ton tĂ©lĂ©phone, si on tâappelle. 5. Saisir son portable derniĂšre sortie de secours Adopte un air trĂšs grave et pars sans rien dire genre jâai Ă©tĂ© contactĂ© par le gouvernement pour sauver le monde, je dois pĂ©nĂ©trer dans la premiĂšre bouche dâĂ©gout que je trouve pour mettre au point une stratĂ©gie de contre-attaque contre une invasion imminente de poux mutants. 6. Te faire passer pour un mendiant Assieds-toi et demande de lâargent. Si jamais la personne que tu ne veux pas voir vient quand mĂȘme te faire lâaffront dâune interaction, tu peux au moins espĂ©rer quâelle te file du pognon. 7. Jeter une grenade de dĂ©sencerclement Le seul problĂšme câest quâil faut au prĂ©alable avoir fait des Ă©tudes de policier pour bien savoir lâutiliser au moment opportun. Apparemment, voir une personne quâon a pas envie de voir rentrerait dans les conditions requises donc câest bon. 8. Prendre des devants et dĂ©router l'agresseur Va saluer la personne toi-mĂȘme, fais-lui subir ce quâelle tâaurait fait subir. Parle de lui de livret A et des mouvements sociaux de la SNCF en te dĂ©crottant le nez, postillonne allĂšgrement tout en signalant que tu as une bronchite. Câest bon tu as repris le pouvoir, la personne en face nâa dâautres choix que dâadopter elle-mĂȘme la rĂ©action numĂ©ro 1. 9. Se boucher les oreilles en criant trĂšs fort "LALALALALALA" quand la personne te parle Une attitude clairement hostile, soit, mais qui aura le mĂ©rite de rapidement rebuter ton interlocuteur qui croira que tu as perdu les pĂ©dales depuis que ta meuf tâa larguĂ©e et que tu nâas pas eu ton augmentation. Il repartira en se disant pauvâ michmich, la vie est parfois tellement injuste⊠». 10. Se la jouer mĂ©lomane Fais semblant dâĂȘtre absorbĂ© par ta musique comme pourrait lâĂȘtre un spectateur de concert de jazz les yeux fermĂ©s les mains en lâair, produit quelques sons de jouissance parce que tu trouves que cette musique est tellement bonne alors quâen fait tâĂ©coutes Jean-Jacques Goldman. 11. Se faire tatouer ce top sur le corps Câest doublement intĂ©ressant car non seulement tu affiches ta stratĂ©gie mais en plus tu as du style. 12. La mort Au prĂ©alable il faut toujours penser Ă avoir le matĂ©riel sur toi, une gĂ©lule de cyanure par exemple. Câest un peu radical et ça ne marche pas sâil y a un mĂ©decin dans les parages. Ăvite peut-ĂȘtre si câest juste ta mĂšre que tu veux pas croiser parce que tâas pas rangĂ© ta chambre. Attention toutefois Ă ne pas appliquer tous ces comportements en mĂȘme temps.
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AvecLas Ilusiones, Bruno KARNEL a pour objectif avouĂ© de toucher un public plus large, mais toujours en restant sincĂšrement libre et lui-mĂȘme. On lui souvent fait remarquer, et il lâassume complĂštement dâailleurs, que sa musique Ă©tait trĂšs difficile Ă catĂ©goriser, trop ou pas assez rock, trop ou pas assez folk, trop ou pas assez
Comment enrichir son vocabulaire pour ĂȘtre plus Ă©loquent ? Comment briller en sociĂ©tĂ© en sâexprimant dans un français soutenu ? Une bonne maĂźtrise de la langue française est indispensable pour se faire comprendre et pour convaincre. Plus vous disposerez dâun vocabulaire prĂ©cis, nuancĂ© et Ă©laborĂ©, plus vous serez efficace dans vos interventions. De surcroĂźt, cela permet de sâintĂ©grer et de progresser plus facilement dans le monde professionnel selon un sondage IPSOS rĂ©alisĂ© pour le Projet Voltaire, 80 % des employeurs Ă©cartent un candidat ayant des lacunes en orthographe et en expression, et 80 % font de mĂȘme au moment dâaccorder une promotion. Ainsi, mieux vaut avoir un bon niveau de français. DĂ©couvrez notre dossier complet pour Ă©toffer votre vocabulaire. Comment amĂ©liorer son vocabulaire ?3 astuces pour dĂ©velopper un vocabulaire riche en françaisApprendre des listes de mots pour enrichir son vocabulaireLire davantageMultiplier les jeux de lettresComment apprendre et mĂ©moriser plus efficacement du vocabulaire ?ConnaĂźtre un mot ça veut dire quoi selon la science ?Quelques conseils et mĂ©thodes pour retenir du vocabulaireComprendre la formation des motsVeiller Ă bien comprendre et mĂ©moriser le sens des motsUne rĂ©pĂ©tition rĂ©guliĂšre pour rĂ©activer ses connaissancesUtiliser une application dâentraĂźnement Comment amĂ©liorer son vocabulaire ? Les Ă©tudes de linguistique indiquent quâun Français moyen disposerait, dâune part, dâenviron 3 000 mots de base quâil emploie et entend dans la vie de tous les jours, câest ce quâon appelle le vocabulaire actif. Ce vocabulaire fait gĂ©nĂ©ralement partie du langage courant, et est parfois liĂ© Ă lâactualitĂ©, avec des mots comme flexitarisme », bioplastique » ou ubĂ©riser ». Dâautre part, il y a le vocabulaire passif, constituĂ© des mots que lâon comprend, lorsquâon les lit ou quâon les entend, mais que lâon nâemploie pas spontanĂ©ment. On compte, chez un adulte moyen, quelque 30 000 mots de vocabulaire passif. Pour progresser en français et ĂȘtre plus Ă©loquent, il faut dĂ©velopper son vocabulaire passif, en apprenant de nouveaux mots, plus prĂ©cis et nuancĂ©s. Ensuite, il faut entretenir ce vocabulaire passif pour ne pas lâoublier. Câest en employant rĂ©guliĂšrement un mot quâon pourra lâintĂ©grer Ă son vocabulaire actif. 3 astuces pour dĂ©velopper un vocabulaire riche en français Apprendre des listes de mots pour enrichir son vocabulaire Pour enrichir son vocabulaire en français, la mĂ©thode la plus rĂ©pandue consiste Ă apprendre par cĆur des listes de mots de vocabulaire. Diverses listes existent et permettent dâapprĂ©hender un nombre important de mots utiles du langage courant ou soutenu. DĂ©couvrez notre sĂ©lection issue du corpus Projet Voltaire Expression ». Apprendre cette liste vous offrira la possibilitĂ© de produire un discours plus prĂ©cis et nuancĂ© dans le monde professionnel Lire davantage Pour enrichir son vocabulaire, les livres et la lecture en gĂ©nĂ©ral sont de prĂ©cieux alliĂ©s. Quels que soient les formats ou les genres littĂ©raires romans, poĂ©sie, journaux, ouvrages documentaires, bandes dessinĂ©es, etc., tous les types de textes sont susceptibles de vous apporter du vocabulaire que vous ne connaissez pas encore. Seul impĂ©ratif, quâils soient bien rĂ©digĂ©s et sans fautes. Nâallez donc pas piocher sur les rĂ©seaux sociaux mais plutĂŽt sur les Ă©tagĂšres de la librairie. Lâessentiel est de lire des ouvrages ou des articles qui traitent de sujets qui vous intĂ©ressent vous aurez ainsi envie de poursuivre votre lecture. Exemple En lisant la sĂ©rie de romans Hunger Games », on peut apprendre le mot expiation », citĂ© de multiples fois en rĂ©fĂ©rence aux Jeux de lâExpiation », Ă©dition spĂ©ciale des Hunger Games qui se produit tous les 25 ans. Prenez le temps de noter les mots que vous rencontrez et ne connaissez pas dans un carnet ou dans votre tĂ©lĂ©phone et de chercher leur signification dans un dictionnaire. Faire lâimpasse sur ces mots vous priverait dâune occasion dâĂ©toffer votre vocabulaire et pourrait mĂȘme biaiser votre comprĂ©hension du texte. Multiplier les jeux de lettres Mots croisĂ©s, mots flĂ©chĂ©s, Scrabbleâą, les jeux de lettres sont dâexcellents moyens dâamĂ©liorer son vocabulaire en français. Y jouer, seul ou entre amis, permet dâacquĂ©rir au fil du temps un vocabulaire plus Ă©tendu et de rĂ©veiller les mots de notre vocabulaire passif. Lâaspect ludique de cette forme dâapprentissage favorise la mĂ©morisation des mots qui vous seront dâune aide prĂ©cieuse pour les prochaines parties mais aussi dans votre vie personnelle et professionnelle. Comment apprendre et mĂ©moriser plus efficacement du vocabulaire ? De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, la plus grande difficultĂ© quand on cherche Ă apprendre du vocabulaire soutenu est de retenir ces mots sur le long terme et dâĂȘtre capable de les employer dans une conversation. Savoir comment fonctionne notre mĂ©moire peut donc nous aider Ă retenir plus facilement et efficacement de nouveaux mots de vocabulaire. ConnaĂźtre un mot quâest-ce que ça veut dire selon la science ? DâaprĂšs Laurent Cohen, docteur en mĂ©decine, neurologue, et diplĂŽmĂ© en neurosciences et sciences cognitives, lorsquâune personne connaĂźt un mot, cela signifie que son cerveau a mĂ©morisĂ© un certain nombre dâĂ©lĂ©ments. Par exemple, lorsquâune personne connaĂźt le mot pain », elle lâassocie, dâune part, Ă des Ă©lĂ©ments de forme » du mot sa prononciation ; son orthographe et les lettres pour lâĂ©crire ; son Ă©tymologie du latin panis ; comment lâemployer dans une phrase ; et dâautre part, Ă des Ă©lĂ©ments de sens, Ă sa signification son aspect visuel la forme et la couleur dâun morceau de pain, son goĂ»t, son odeur, sa texture, le son qui est produit lorsque la croĂ»te du pain se casse, par ex. ; des informations sur sa fabrication ingrĂ©dients, rĂŽle du levain, fermentation, pĂ©trissage, cuisson ; ses diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s baguette, pain complet, pain blanc, pain au levainâŠ. Tous ces Ă©lĂ©ments peuvent Ă©galement ĂȘtre associĂ©s Ă des Ă©motions issues de souvenirs ConnaĂźtre un mot, câest donc connaĂźtre une multitude dâinformations qui sây rapportent. Toutes ces informations sont dispersĂ©es dans des aires diffĂ©rentes du cerveau. Lâune des rĂ©gions de lâhĂ©misphĂšre gauche du cerveau se charge ensuite de rĂ©unir toutes ces informations lorsquâon en a besoin. Une connaissance est donc une reconstruction. Pour se souvenir efficacement dâun nouveau mot, il faut donc ĂȘtre capable de le relier avec un maximum de connaissances dĂ©jĂ conseils et mĂ©thodes pour retenir du vocabulaire Comprendre la formation des mots Observer de plus prĂšs comment sont formĂ©s les mots français est trĂšs instructif. On sâaperçoit que beaucoup de mots sont composĂ©s Ă partir dâune mĂȘme racine, Ă laquelle a Ă©tĂ© ajoutĂ© un prĂ©fixe ou un suffixe. Prenons lâexemple du mot anticonstitutionnellement ». Ce mot, rĂ©putĂ© pour ĂȘtre le plus long mot de la langue française, peut sembler difficile Ă comprendre, retenir ou Ă©crire. Essayons de le dĂ©composer anti- » prĂ©fixe, du grec anti, exprimant lâopposition ; constitutionnel » adjectif dĂ©signant quelque chose qui est conforme Ă la constitution dâun Ătat ; -ment » suffixe permettant de former un adverbe indication de maniĂšre. Anticonstitutionnellement » dĂ©signe donc quelque chose qui est en opposition avec la constitution dâun Ătat. Pas plus compliquĂ© que le mot anti-vieillissement » ! De mĂȘme, si vous voulez apprendre et comprendre le mot hĂ©misphĂšre », que vous savez que hĂ©mi » veut dire moitiĂ©, et que sphĂšre » veut dire boule », alors nul besoin de lâapprendre par cĆur, il suffit de retenir sa composition Ă©tymologique. Ătre en mesure de comprendre quelques racines grecques ou latines est donc un avantage pour comprendre et retenir de nouveaux mots. Les vidĂ©os ludiques de la chaĂźne RĂ©veille ton dico » vous aideront Ă parfaire votre connaissance de ces fameuses racines trĂšs utiles Ă la comprĂ©hension de la langue française Veiller Ă bien comprendre et mĂ©moriser le sens des mots Comme tout apprentissage, apprendre du vocabulaire nĂ©cessite de lâattention. Si vous rencontrez des mots dont lâorigine Ă©tymologique nâest pas suffisamment Ă©vidente pour vous Ă©clairer sur sa signification, alors vous pouvez essayer ces quelques conseils pour en mĂ©moriser le sens. â Chercher la dĂ©finition dans le dictionnaire et la noter. â Utiliser des moyens mnĂ©motechniques amusez-vous de la sonoritĂ© du mot, crĂ©ez des images mentales, etc.. â Faire des listes par familles de mots », câest-Ă -dire par champ lexical, par synonymes ou antonymes⊠En effet, plus vous associerez un nouveau mot de vocabulaire Ă dâautres mots que vous connaissez dĂ©jĂ , mieux vous pourrez maĂźtriser son sens. Exemples de listes par champ lexical le vocabulaire de lâart cubisme, pointillisme, fauvisme, impressionnisme, mouvement pictural, salonsâŠ. Une rĂ©pĂ©tition rĂ©guliĂšre pour rĂ©activer ses connaissances Cette mĂ©thode est particuliĂšrement efficace pour enrichir son vocabulaire. Bien souvent, mĂȘme en Ă©tant trĂšs attentives, la plupart des personnes oublient les nouveaux mots quâelles ont appris⊠dĂšs le lendemain. Pour mĂ©moriser efficacement, il faut rĂ©activer notre souvenir, de multiples fois Ă intervalle de plus en plus long. Plus un mot est frais dans notre mĂ©moire, plus on risque de lâoublier facilement. On rĂ©pĂ©tera donc ce nouveau mot Ă lâĂ©crit ou Ă lâoral par exemple aprĂšs 10 minutes,aprĂšs 30 minutes,aprĂšs 3 heures,aprĂšs 8 heures,aprĂšs 24 heures,puis 2 jours,puis une semaine,puis un mois,puis 6 mois⊠Utiliser une application dâentraĂźnement Notre plateforme dâentraĂźnement Projet Voltaire Expression comprend un module de vocabulaire de 600 mots pour ĂȘtre plus efficace et Ă©loquent, en particulier dans un contexte professionnel. BasĂ©e sur la mĂ©thodologie de lâAncrage MĂ©moriel Woonoz, la plateforme prend en compte en temps rĂ©el vos connaissances existantes et votre rythme dâapprentissage, pour vous garantir une mĂ©morisation optimale des nouveaux mots. Projet Voltaire Expression permet Ă©galement de sâentraĂźner sur un module consacrĂ© Ă la syntaxe et Ă la ponctuation. DĂ©couvrir aussi sur le blog du Projet Voltaire fautes dâorthographe, comment ne plus en faire ?Expression Ă©crite comment lâamĂ©liorer ?
Soleilsoleilune femme de 61 ans - Loire. Statut civil: Veuve. Le regard tourné vers la lumiÚre, la vie et la joie, je souhaiterais une relation
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon Japon le display ... Voir le deal Last School - Ou fini la rĂ©alitĂ©? Ou commence l'illusion? Ou l'art de se divertir La boite Ă souvenirs Ancien LS Les Discutions 3 participantsAuteurMessageMilena DawsonRemplacante de DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixNombre de messages 41Age 29Statut Professeur Remplacante DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixAge du Perso 23 ansDate d'inscription 16/01/2008Sujet En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Dim 3 FĂ©v - 2111 La salle des professeurs Ă©tait dĂ©serte. Et tant moeu. Un petit peu de calme ne faisait pas de mal. Milena entra dans la piĂšce lentement, telle une enfant intimidĂ©e de part son statu de nouvelle venue. Ce qu'elle Ă©tait. Mais elle avait l'honneur d'entrer dans la salle des professeurs. Elle se souvint qu'a l'Ă©poque, avec Lorenzo, ils voulaient y rentrer pour gagner un pari. C'Ă©tait Lorenzo qui avait gagnĂ©, elle lui avait du 5 Noises... Alors Ă©videmment, c'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle entrait dans cette piĂšce. Milena jeta un bref coup d'oeil Ă l'horloge qui sruplombait la piĂšce. Dix-neuf heures. Il n'y avait pas grand monde Ă cette heure çi. Le repas allait bientĂŽt commencer, mais Milena n'avait pas faim ce soir. Elle alla s'assoir au rebord de pierre d'une des fenĂȘtres. Elle devait normalement travailler, mais l'enthousiasme n'y Ă©tait guĂšre. Elle allait encore ce couchĂ© tard Ă cause de sa fĂ©nĂ©antise Ă ne pas vouloir prĂ©parer ses cours. Mais elle ne s'en souciait point et admirait le chateau illuminĂ© de toute parts. Ils y Ă©taient tous, mangeant sans doute dans un esprit conviviale. Mais Milena n'Ă©tait pas parmis eux. Elle n'avait pas envie de croiser Lorenzo ce soir. Mais une question lui trottait dans la tĂȘte. Lorenzo Ă©tait-il membre de l'ordre? Elle savait que Dumbledore avait de l'estime envers ses capacitĂ©s, et cela ne l'Ă©tonnerait pas qu'il en fasse partit. Ce soir, elle Ă©tait habillĂ©e d'un simple pull dĂ©coltĂ© bleu cascade et d'un pantalon noir. MalgrĂ© la saison, elle n'avait pas froid. Elle Ă©tait pourtant d'ordinaire frileuse. Elle soupira... Faibles lueurs que celles de la lune et des bougies autour d'elle. Mais ĂȘtre dans l'obscuritĂ© la reposait un peu de sa journĂ©e.[HJPitoyable comme je l'avais prĂ©vu... Escuse moi!] InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Mar 12 FĂ©v - 033 Riffel Lestrange, hĂ©ritier de Rabastan, nouvellement Mangemort, nouvellement prof d'Astronomie, nouvellement dĂ©couvreur de Poudlard, lieu oĂč jamais il n'avait mis les pieds auparavant, ayant eu son Ă©ducation magique Ă Durmstrang. Oui, cette annĂ©e, il avait fait beaucoup de premiĂšres fois. il allait, maintenant, rentrer pour la premiĂšre fois dans une salle des professeurs, avec un statut Ă©gal Ă ceux qui y vivaient... C'Ă©tait tout nouveau, cette sensation de grandeur, de pouvoir, et de respect. Bien sur, ses Ă©lĂšves n'Ă©taient pas le genre Ă l'admirer, et son pouvoir Ă©tait bien limitĂ© en comparaison avec certains sorcieres de sa famille. Cette salle, si convoitĂ©e, n'Ă©tait en faites qu'une sorte de salle de classe amĂ©nagĂ©e, oĂč il ne figurait que quelques tables rassemblĂ©es entre elles, oĂč la penderie prenait un peu plus de place, uĂč les Ă©lĂšves n'Ă©taient que des personnes majeurs, et oĂč, fait plus distinct de la salle de classe, une Ă©trange odeur de cafĂ©-sorcier rĂ©gnait. Riffel, aprĂšs avoir utiliser ses 5 sens pour dĂ©crire la piĂšce, il les utilisa pour dĂ©crire les personnes prĂ©sentes. Une seule femme. D'aprĂšs les dire, elle Ă©tait la remplaçante de Kyarah Narcissia au poste de Professeur de DFCM. Peut ĂȘtre savait elle oĂč la directrice Ă©tait partie ? Un tendre renseignement, qui devait surement aider Bellatrix Ă mettre la main dessus... Riffel, en habit assez ... costumĂ©, entreprit de saluer la sorciĂšre, comme il fallait. " Riffel ... Professeur d'Astronomie, pour vous servir, Mademoiselle. Il ne lui dirait pas son nom entier tout de suite, elle lui demanderait bientĂźt, de toute façon, et mieux valait rester sur une toute premiĂšre impression. Peut ĂȘtre mĂȘme, lorsqu'il murmurerait son nom, il arborerait une once de honte sur son visage... Oui, peut ĂȘtre bien ..; Milena DawsonRemplacante de DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixNombre de messages 41Age 29Statut Professeur Remplacante DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixAge du Perso 23 ansDate d'inscription 16/01/2008Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Mer 20 FĂ©v - 1936 Finalement, Milena voulut rejoindre les autres. Si elle retsait dans son coin, c'Ă©tait certain qu'on se ferait un image d'elle pas terrible... Elle allait se lever lorsqu'un professeur entra. Milena le regarda briĂšvement. Pour finir, elle aurait bien voulu ĂȘtre seule... IndĂ©cise comme jamais... Et ceux qui la connaissait en savait quelque professeur en question s'avança vers elle. Il Ă©tait habillĂ©... Comme si une soirĂ©e Ă©tait prĂ©vue. PlutĂŽt haillĂ© de façon costumĂ©... Mais ce n'Ă©tait pas ça qui frappait Milena. C'Ă©tait sa façon de se prĂ©senter. A la façon gentleman... DĂ©cidemment, les bonnes maniĂšres ne s'effaçait jamais complĂ©tement, Ă la grande admiration de la jeune femme. Il y avait encore des hommes galants en ce monde. Riffel ... Professeur d'Astronomie, pour vous servir, Mademoiselle. Etrangement, le professeur d'Astronomie ne donna point son nom. Cela ne dĂ©rangeait pas la jeune femme, mais elle finirait tout de mĂȘme par lui demander. On ne sait jamais aprĂšs tout... Peut ĂȘtre Ă©tait il du genre de Rogue. En ce cas, restons polie...-Milena Dawson... J'enseigne les DĂ©fences contre les forces du mal... EnchantĂ©e Riffel "..."?Elle attendait que le professeur lui donne son nom. Professeur d'Astronomie... Elle se souvint qu'Ă©tant jeune elle ne suivait rien des cours concernant les planĂštes... Pourtan, cela l'interressait fortement. Mais le professeur, lui, n'Ă©tait pas des plus interressants. VoilĂ pourquoi Milena faisait semblant de suivre le cours... Mais oui, quitte Ă ne pas Ă©couter, autant faire semblant... InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Ven 22 FĂ©v - 304 Riffel regarda de haut en bas la sorciĂšre qui se tenait devant lui. Il commença tout d'abord par ses jambes, sa taille, son petit ventre, sa poitrine, son cou blanc, son visage encore plus blanc, puis, finissant sur son regard, Riffel s'immobilisa pendant une fraction de seconde. Un regard trĂšs expressif, et, grĂące a peu de LĂ©gilimancie que sa tante lui avait enseignĂ©, Riffel put apercevoir de l'Ă©tonnement, mais aussi de la joie presque, ou plutĂŽt, une soif de connaissance, et de la curiositĂ©... Oui, il pouvait voir cela, dans ce regard trĂšs expressif, non pas car il possĂ©dait un don, mais parce qu'il Ă©tait peut ĂȘtre dĂ©jĂ un peu initiĂ© Ă la Legilimancie ... mais bon ... top secret. Puis, Riffel dĂ©tacha son regard, pour Ă©couter les paroles de cette Milena Dawson, et fit 'comme si de rien Ă©tait', en posant son chapeau haut de forme sur la table, ainsi que ses gants de cuirs noirs, inperceptible tellemtn ils se fondaient dans les couleurs de sa robe de sorcier. Dans sa manche, d'ailleurs, figurait sa baguette, cachĂ©e par une petite poche. La main de Riffel pouvait aisĂ©ment tenir sa baguette, et jeter un soritlĂšge. La pratique de ce stratagĂšme Ă©tant si grande que Riffel Ă©tait devenu maintenant un expert, et ses sortilĂšges informulĂ©s Ă©taient devenus trĂšs puissants, et trĂšs discrets... AprĂšs avoir reregardĂ© la sorciĂšre avec un brin de nonchalence, il utilisa de ce stratagĂšme pour faire tomber le mouchoir de la jeune femme. AprĂšs l'avoir vu se pencher, il fit de mĂȘme, par 'galanterie'. La bouche de Riffel arriva petit Ă petit vers l'oreille de Milena. il attrapa le mouchoir de Milena, puis, attendit pendant une seconde. Leur position Ă©tait telle que Milena ne pouvait se relever qu'en se jetant sur le cĂŽtĂ©... Riffel, aprĂšs avoir attendu quelques secondes, murmura, avec une petite voix sadique Ă l'oreille de Milena " Lestrange ..., puis, plus intelligiblement, en se relevant Riffel Lestrange"C'est alors que Riffel aperçut une silhouette dans l'encadrure de la porte. Une silhouette qui semblait un peu ronde, et encore plus jeune que celle de Riffel ou de Milena, un Ă©lĂšve ? ... [A Toi Neville ! Et dĂ©solĂ© pour le Rp de la marde xD Mais j'aurai pu faire mieux, si mon premier Rp ne s'Ă©tait aps effacĂ© -_-'' ] Neville LondubatProfesseur de BotaniqueNombre de messages 14Age 30Date d'inscription 19/02/2008Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Ven 22 FĂ©v - 1351 La nuit Ă©tait tombĂ©e dĂ©jĂ depuis un bon petit moment, et Neville venait tout juste de quitter pour la premiĂšre fois de la journĂ©e la serre dans laquelle il avait donnĂ© son premier cours. La journĂ©e ne s'Ă©tait pas si mal passĂ©e, il aurait pensĂ© avoir plus de problĂšme que cela mais heureusement se ne fĂ»t pas le cas, les Ă©lĂšves nâavaient pas Ă©tĂ© trop mĂ©chants avec lui pour son premier jour en tant que professeur de botanique. Cette matiĂšre l'avait toujours intĂ©ressĂ©, il fut donc ravis de savoir qu'il pouvait occupĂ© ce poste dorĂ©navant a Poudlard, puisque Mme Chourave venait de quitter Poudlard, la retraite peu ĂȘtre. Bref, la journĂ©e n'avait tout de mĂȘme pas Ă©tĂ© de tout repos, elle avait Ă©tĂ© assez longue, les classes d'Ă©lĂšves n'avaient pas cessĂ© de se succĂ©der durant la journĂ©e, ne laissant presque pas de temps Ă Neville pour prendre le temps de manger quoi que ce soit. Mais bon, c'Ă©tait les risques du mĂ©tier, ne pas manger.... Il n'Ă©tait jamais arriver que Neville saute un repas, pour lui c'Ă©tait une chose bien importante pour qu'une journĂ©e se passe bien. Mais bon, ses bonnes vieilles habitudes allaient changer maintenant. AprĂšs avoir fermer Ă double tour la porte de la serre n°5, il prit la route de la salle des professeurs. Jamais jusque lĂ le jeune homme nây avait mit les pieds. Et, Ă©tant donner que maintenant son rang lây autorisait il comptait bien y jeter un Ćil avant de se rentrer au banquet qui⊠Neville consultĂąt sa montre⊠qui Ă©tait commencĂ© dĂ©jĂ quelques minutes ! Neville allongeĂąt et accĂ©lĂ©ra le pas, il nâavait pas tant de temps a perdre, sâil voulait au moins dĂ©poser ses affaires il avait intĂ©rĂȘt a faire vite. Les couloirs Ă©taient dĂ©sert, personne nâĂ©tait lĂ a part quelque fantĂŽme solitaire qui vagabondaient Ă la recherche du repos Ă©ternels peu ĂȘtre, seulement⊠Ils avaient tout simplement pas choisit le lieu idĂ©al pour que leur Ăąme repose a jamais en paix, il y avait toujours des petits malins pour causer des malheur aux pauvres fantĂŽmes, mais il fallait avouĂ© que câĂ©tait assez marrant a voir, câĂ©tait lâattraction principal dâune journĂ©e de voir un fantĂŽme se faire prendre au piĂšge, surtout que les piĂšge Ă©tait de plus en plus malin et sophistiquĂ© ! Bref, Neville marchait tranquille marchait tranquillement dans les couloirs presque dĂ©sertique ainsi chaque pas quâil exĂ©cutait rĂ©sonnait plutĂŽt bruyamment dans les couloirs, dâordinaire Neville nâaurait pas voulu sâimposer autant, il aurait presque marchĂ© sur la pointes des pieds pour que personne ne le remarque mais, maintenant il nâavait pas que ça a faire et surtout, le temps du petit garçon timide et Ă©tourdie comme personne, Ă©tait rĂ©solu ! Il Ă©tait professeur maintenant et comptait se faire respecter en tant que tel ! Il marchait rapidement, et atteint enfin la salle rĂ©servĂ©e aux professeurs aprĂšs un petit bout de marche et de nombreux couloirs traversĂ©. Il ouvrit doucement la porte, le jeune Londubat ne pensait trouver personne dans cette salle lĂ , mais Ă sa grande surprise il y avait deux personnes, en toute logique ils devaient ĂȘtre professeurs ici. CâĂ©tait un homme et une femme, plutĂŽt jolie dâailleurs. Lâhomme avait un drĂŽle dâaccoutrement, ses vĂȘtements dataient un peu tout de mĂȘme, la mode du hante forme Ă©tait dĂ©passĂ© ! Mais bon, il ne se permettrait pas de faire une remarque, dâailleurs un ne voulait pas se faire remarquer mais visiblement lâhomme parlait Ă la jeune femme, Neville perçut deux mots qui le surprirent, et ce fut peu dire. Riffel Lestrange » Lestrange !! Bellatrix Lestrange ! Il Fut Assez surpris il fallait le dire, dâailleurs lâexpression de son visage en disant long yeux exorbitĂ©, teint devenu Ă©trangement blanc, bouche ouverte⊠Et jâen passe des dĂ©tails. Neville fronça presque aussitĂŽt les sourcils, serra trĂšs forts ses poings potelĂ©. -Riffel Lestrange ?! Vous ĂȘtes Riffel Lestrange ?!!A grande enjambĂ©s Neville se rapprochait dangereusement cette homme. Il nâĂ©tait jamais arrivĂ© Neville dâĂȘtre dans un colĂšre pareil aussi rapidement, câĂ©tait assez bizarre comme sensation dâailleurs, quelques seconde auparavant il Ă©tait plutĂŽt heureux, tout roulaient comme sur des roulettes pour lui jusquâà ⊠ces deux petits mots, surtout le dernier Lestranges⊠InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Sam 23 FĂ©v - 216 Riffel, avant de regarder la silhouette qui Ă©tait Ă sa droite, se releva tout d'abord, sa stature aristocratienne toujours en place, puis, tourna la tĂȘte Ă droite, pour observer qui se tenait devant lui. Ce fut une tĂȘte de porcinet, accompagnĂ©e d'un corps quelques peu potelĂ©. D'un geste machinal, Riffel fit sortir de sa poche de robe un petit Ă©tuit et une longue tige faites Ă base de diamants. Dans l'Ă©tui figuraient quelques cigarettes sorcieres, rĂ©putĂ©es 'longue durĂ©es, et eitegnable et rallumable a volontĂ©', bien que cela ne garantissait pas la qualitĂ©, Riffel aimait s'en servir. Il positionna la fine cigarette dans la tige, et, juste aprĂšs avoir fait un mouvement de pognet, synonime de petit sortilĂšge imperceptible, il tira une premiĂšre bouffĂ©e. Pendant une fraction de seconde, la fumĂ©e qu'il rejeta prit la forme d'une tĂȘte de mort, pour s'Ă©vaporer ensuite, en silence, dans la salle des professeurs de Poudlard. Riffel baissa la tĂȘte, et regarda, avec ses yeux noirs, l'arrivĂ©e quelque peu brutale du professeur. Mais quel Ăąge avait il ? Poudlard Ă©tait tombĂ© bien bas, cet Ă©nergumĂšne semblait venir tout droit de Poudlard, il devait faire cours Ă ses amis ! Impensable ... Il savait la nouvelle nature des actionnaires de Poudlard, au conseil d'administration la jeunesse avant tout. Voila pourquoi ils avaient engagĂ© cette Milena, ce Lorenzo auquel il avait Ă©tĂ© juxtaposĂ© lors du Banquet de la rentrĂ©e. Cette Kyarah Black, sa 'cousine', avait, semblait-il, dĂ©cidĂ© de recrutĂ© au berceau les nouveaux professeurs... C'est Ă peine si ce n'Ă©tait aps elle la plus vieille. Non, il y avait tout de mĂȘme Darkane, la Mangemort... Le jeune homme rappelait une description qu'on lui avait fait dans une lettre, une description de Bellatrix, oui, il se souvenait, elle l'avait dĂ©cri deux ans auparavant, dans la mĂȘme lettre lui annonçant la mort de Sirius Black... Mais oui ! C'Ă©tait cela, cette description correspondait au fils des Londubats, ce cher couple d'Auror qui avait valu Ă l'oncle, la tante et au pĂšre de Riffel la prison Ă vie Ă Azkaban. Son pĂšre ne s'en Ă©tait jamais remis. Riffel avait 5 - 6 ans Ă cet Ă©poque, non ? Quelque chose dans ce genre... Oui, c'Ă©tait la famille de Riffel qui avait valu de la souffrance Ă la famille de .. oui, c'Ă©tait cela, Neville ! Et c'Ă©tait l'obstruction et la dĂ©termination Ă ne rien dire des parents de Neville qui avaient emportĂ©s Rabastan, Rodolphus et Bellatrix Ă Azkaban. NĂ©anmoins, Riffel n'Ă©tait pas lĂ pour se venger, au contraire mĂȘme, il lui fallait devenir le contraire de sa famille, ou du moins, le reflet inverse. La rĂ©action du Londubat Ă©tait tout Ă son avantage, il s'emporterait surement si Riffel savait dire les mots qu'il fallait... Il allait, grĂące Ă son expression de visage, donner une impression de tristesse vis Ă vis des parents de Neville, pour que Milena en soit tĂ©moin. Et s'il y arrivait, les yeux de Riffel seraient cachĂ©s par ses cheveux, et seul Londubat pourrait voir son regard cruel, abjecte, et totalement dĂ©pourvu de remords. Lorsque le Londubat marcha de plus en plus vite, Riffel put agitĂ© sa tĂȘte un millimĂ©tre pour que ses cheveux tombent sur ses yeux, les cachants Ă Milena. Et, avec un visage contrit, mais un regard perfide, Riffel lança, dans un ton de voix presque malheureus "Vous ĂȘtes Neville Londubat, n'ets ce pas ? Le fils d'Alice et de Franck ... "La main de Riffel accmpagnĂ© de sa cigarette alla se poser sur sa bouche, exprimant, pour le regard de Milena, de la pitiĂ©, mais pour Neville, un grand sourire plein de dents et carnassier ... Riffel, sa main gauche supportant sa petite cigarette, mis sa main droite proche de sa baguette, au cas oĂč, bien entendu... Se faire battre en duel par un Londubat !? Quelle idĂ©e ! Mieux valait ne pas lui laisser aucune chance ... Milena DawsonRemplacante de DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixNombre de messages 41Age 29Statut Professeur Remplacante DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixAge du Perso 23 ansDate d'inscription 16/01/2008Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Mer 27 FĂ©v - 221 Un soir, lors d'un diner, que risquait-elle Ă rester seule dans la salle des professeurs avec un type en costume qui semblait ĂȘtre un parfait gentleman ? CâĂ©tait la question quâelle sâĂ©tait posĂ© avant de lui demander son nom. Et lorsquâelle en eu la rĂ©ponse, un frisson lui parcourut le sa tendre enfance, consciente dâĂȘtre nĂ© de parents hors du commun, des sorciers, Milena eut pour hĂ©ritage la force caractĂ©rielle de sa mĂšre. Sans doute cette force, cette rĂ©bellion câest Ă©veillĂ© en elle lorsque sa mĂšre sacrifia deux vies pour la sienne⊠Fille dâun mangemort et dâune sorciĂšre aux dons divinatoires imprĂ©visibles, Milena ne sâest jamais rien trouver, en son caractĂšre, quelque chose de semblable Ă celui de son pĂšre. PĂšre dont elle recherche toujours cet apaisement au fond elle portant le doux nom dangereux de vengeance ». Milena donc, tout comme sa mĂšre, nâavait dâordinaire pas peur dâun nom. Et cela, son pĂšre lâavait surement compris lorsque, le jour oĂč elle rĂ©pĂ©ta sans scrupule Voldemort » elle reçu la gifle du siĂšcle. Pour la protĂ©ger », affirmait il⊠Sans doute ce jour lĂ Ă©tait il indigner de voir sa fille nâayant aucune crainte Ă prononcer le nom du Lord, son vĂ©nĂ©rĂ© MaĂźtre. La jeune femme ne le comprit que plus tard, lorsque ces souvenirs remontaient en elleâŠMais non, Milena nâavait pas peur dâun nom. Du moins, elle nâavait pas peur dâun nom Ă lâordinaire, car, ce soir, en la prĂ©sence de cet homme, ce frisson lui parcourut le corps. Un Lestrange ? Ici ? Inconcevable ! Pourtant il Ă©tait bien là ⊠A un mĂštre dâelle lorsquâelle de releva Ă son tour, ayant un mouvement de recul. Quâest ce quâelle pouvait bien faire en un moment pareil ? Heureusement, une voix se fit retentir dans la salle des professeurs. Milena dĂ©tacha son regard de Riffel, et son regard encadra lâentrĂ©e de la salle. Un homme grand, un air surpris, un peu rondouillard... Londubat ? Ca alors⊠Mais que faisait-il ici ? Milena fit un bref calcul dans sa tĂȘte. Il Ă©tait arrivĂ© lorsquâelle Ă©tait en 5Ăšme annĂ©e Ă Poudlard⊠Il devait avoir 18 ans et il Ă©tait dĂ©jĂ professeur ? Impossible⊠Elle-mĂȘme ne pensait pas ĂȘtre recrutĂ©e Ă 23 ans, Lorenzo en avait 20⊠Est-ce que Melle Black recrutait en prioritĂ© les membres de lâOrdre ? Oui⊠Londubat ne faisait partit, elle en Ă©tait sĂ»re et certaine⊠Milena se remĂ©mora lâarticle de la gazette du sorcier dâun jour comme les autres⊠Citation Frank et Alice Londubat, prestigieux Aurors sont internĂ©s Ă St mangouste ! » Oui⊠Devenus fou par la torture dâun mangemort, quâils disaient⊠DâaprĂšs les dires, le mangemort en question nâĂ©tait autre que Bellatrix Lestrange, servante dĂ©vouĂ©e du Lord⊠Quel lien de parentĂ© dĂ©jĂ avait elle exactement avec Riffel ? Aucune importance, les faits Ă©taient lĂ . Neville sâapprocha Ă grands pas de Riffel. Milena sâĂ©cartait de lâhomme depuis un bon moment aussi discrĂštement quâelle le pouvait. OĂč Ă©tait cette fichue table ? Elle semblait si loin alors quâelle nâĂ©tait quâa quelques centimĂštres⊠Sur cette table, elle avait posĂ© sa baguette par nĂ©gligence. Elle pensait ĂȘtre seule pour un bon moment lors de cette soirĂ©e. Erreur monumentale."Vous ĂȘtes Neville Londubat, n'est ce pas ? Le fils d'Alice et de Franck ... "Un ton de pitiĂ© sâĂ©tait glissĂ© dans sa voix⊠Il ne semblait pas concernĂ© par la situation⊠Pourtant, Milena restait mĂ©fiante⊠Les Lestrange⊠Grand Mangemort, infĂąmes manipulateurs⊠Et câest pour cela que Milena arriva Ă la table. Dos Ă elle, elle cherchait sa baguette en glissant ses mains sur la bois⊠Ca y est, elle lâavait enfin trouvĂ©. Elle glissa sa baguette dans sa manche et accrochait ses doigts sur le pull. Elle observait la scĂšne⊠Pour lâinstant, il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de ne pas bouger ni de souffler mots⊠La moindre erreur pourrait lui coĂ»ter cher⊠Neville LondubatProfesseur de BotaniqueNombre de messages 14Age 30Date d'inscription 19/02/2008Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Dim 16 Mar - 1516 Ce fut un choc pour lui dâentendre le nom de cet homme⊠Riffel Lestrange, Lestrange ! Automatiquement, le nom de Bellatrix Lestrange lui venait a la tĂȘte, il nâexistait pas quinze milles Lestrange sur terre Ă©tant donnĂ© que cette famille dĂ©sirait rester pur » ils ne se mĂ©langeais donc pas, quitte Ă se marier avec des cousins⊠Pff, pitoyable. Cette Bellatrix Ă©tait la femme qui avait torturer ses parents, naturellement, Neville mourrait dâenvie de pouvoir les venger un jour, et ce bonhomme devait peu ĂȘtre le fils de cette odieuse et horrible femme, certainement mĂȘme car il paraissait assez jeune. Neville sâĂ©tait rapidement approchĂ© de lâhomme en brandissant sa baguette. Il nâaurait jamais cru quâun Lestrange puisse devenir professeur dans cette Ă©cole pourtant⊠Il fallait le croire, il Ă©tait lĂ en compagnie dâune jeune femme, visiblement elle aussi professeur. Dâailleurs son visage lui rappelais quelque chose, il semblait lâavoir dĂ©jĂ croiser quelque part⊠Mais oĂč ? La question pour le moment ne restait sans rĂ©ponse, Neville restant trop prĂ©occupĂ© a savoir comment un Lestrange, adepte de la magie noire depuis toujours. Neville se planta enfin devant le certain Riffel, serrant sa baguette dans sa main et fronçant toujours les yeux. Il le fixa, Ă©coutant lâhomme lui parler -Vous ĂȘtes Neville Londubat, n'est ce pas ? Le fils d'Alice et de Franck ... » Tout en disant cela, Lestrange le regardait lâair sadique. Il avait beau prendre un ton le plus triste possible, son regard le trahissait, dĂ©bordant de cruautĂ©, mĂ©chancetĂ©, tout comme celui de sa mĂšre tout simplement. CâĂ©tait certainement fait exprĂšs, Neville seul pouvait remarquĂ© la vraie rĂ©action de lâhomme face Ă son entrĂ©e un peu surprenante, tandis que lâautre professeur ni voyait que du feu, elle ne pouvait quâentendre Riffel jouĂ© la comĂ©die, en tout cas câĂ©tait plutĂŽt bien jouĂ©. Neville se sentit encore plus mal dâun coup, ce Riffel Ă©tait tout aussi cruel que sa mĂšre, rien quâĂ sa façon de se comporter face à ça, jouĂ© la comĂ©die pour se faire passer pour un gentil, on aura tout vu. Il faut avouĂ© que les Mangemorts Ă©tait plutĂŽt malin, mĂȘme trĂšs malin, mais ce nâĂ©tait pas pour autant quâil fallait se laisser berner. DorĂ©navant membre officiel de Lâordre du PhĂ©nix, Neville se battra contre ces mages noirs, quittes Ă en perdre la vie si il finit par venger enfin ses parents. Bref, Neville fixait toujours Lestrange dans les yeux serrant encore un peu plus sa baguette. Il lâentendit dire, pff pitoyable comme si un mangemort pouvait Ă©prouver de la pitiĂ©. Neville soupira, et rĂ©pondit presque aussitĂŽt -Je nâai pas besoin de votre fausse pitiĂ©, Lestrange ! » Neville lui avait parler dâun ton sec, tiens ça, ça ne lui ressemblait pas du tout ^^. Neville lĂącha des yeux ce Riffel pour regarder lâautre professeur, trĂšs jolie dâailleurs. Elle nâavait pas lâair de savoir ou se mettre, elle restait silencieuse dans son coin⊠Il lâavait dĂ©jĂ vu, dans les couloirs de lâordre du PhĂ©nix, bien sĂ»r ! Il lui aurait bien sourit mais il avait beau essayer, il nây arrivait pas, trop Ă©nerver du fait dâavoir face Ă lui un Lestrange ! Il reporta a nouveau son regard vers Riffel, mais pourquoi cet homme Ă©tait venue Ă Poudlard ? CâĂ©tait vraiment Ă©tonnant que le directeur lâait laissĂ© enseigner ici, il avait du le berner. Vraiment malin ce Lestrange, mais aussi trĂšs malĂ©fique ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Dim 16 Mar - 1553 Riffel Lestrange redressa sa tĂȘte. Son regard sadique avait disparu, la pitiĂ© s'Ă©tait envolĂ© de ses lĂšvres. C'Ă©tait maintenant un homme qui avait plutot le visage d'un homme d'affaire... RĂ©servĂ©, hautain, peut ĂȘtre aussi scrupuleux, Riffel avait tout d'un sang pur au repos. Mais il savait que Ă partir de maintenant, il allait devoir attaquer. Tant pis ... Sa baguette Ă©tait toujours dans sa manche, invisible aux yeux des deux sorciers de l'Ordre qui se tenaient devant lui. Il ne fallait pas qu'il la montre pour l'instant. Il ne devait leur laisser aucun temps de rĂ©action. Ils mourraient rapidement. Enfin ... Elle mourrait rapidement. Londubat par contre, avait deux possibilitĂ©s. Soit se faire torturer sur place puis devenir aussi fou que ses parents. Soit se faire maĂźtriser sur place et se faire torturer par la famille Lestrange au complet dans leur manoir ... Enfin, ce qu'il fallait maintenant, c'Ă©tait verrouillĂ© la porte sans que les membres du PhĂ©nix s'en aperçoive. Deux personnes Ă combattre, cela pouvait aller, mais un troisiĂšme, cela risquait d'ĂȘtre difficile. Tout doucement, sans bruit, le verrou de la porte tourna ... une fois ... deux fois ... trois fois, et magiquement, pour cette derniĂšre. Les deux sorciers n'avaient rien vu, Ă©tant tournĂ© tous vers Riffel. Personne n'avait vu sa baguette, personne n'avait vu le verrou ... Riffel regarda alors Neville, enlevant ses cheveux de ses yeux, permettant Ă Milena de voir son expression "Je suis dĂ©solĂ© pour vos parents, Mister Londubat. Je n'avait que 5 ans lorsque mon oncle, ma tante et mon pĂšre ont fait ce crime abominable. Heureusement, j'ai pu ne pas subir leur influence, Ă©tant emprisonnĂ©s Ă Azkaban ... Comme vous devez vous en doutez, je n'ai pas Ă©tĂ© Ă Poudlard, mais Ă Durmstrang, au cas oĂč le Seigneur des TĂ©nĂšbres frapperait une nouvelle fois ... Maintenant, si vous continuez Ă m'insulter, je devrais vous rĂ©duire au silence, Mister Londubat, en duel ... "Riffel ne quitta pas Neville du regard. Il Ă©tait un expert de l'Imperium, et il pourrait soumettre la jeune demoiselle avant de la tuer. Ce serait amusant ... D'un geste brusque, Riffel dit " Endoloris !!! "Sa baguette n'avait pas bougĂ© de sa manche, et elle avait dĂ©signĂ© Londubat, qui lui, n'Ă©tait pas armĂ©. Puis, son bras fit un long geste vers Milena, et le sortilĂšge d'Expulsion retentit. La sorciĂšre fut expulsĂ©e sur un mur, au loin, tandis que le Doloris atteignait petit Ă petit sa cible sans dĂ©fences. Riffel sortit sa baguette, puis, d'un geste impatient, mit un soritlĂšge d'impassibilitĂ© sur la porte et les fenĂȘtres, tandis que celles ci ne laissaient plus sortit aucune image. Deux contre un ... Et il gagnait, en plus ... C'Ă©tait surement trop facile, mais bon, il Ă©tait un Mangemort, et pas un enfant de coeur. Le Doloris ferait bien l'affaire sur le jeune Londubat. Une maniĂšre de lui rappeler qui Ă©tait le MaĂźtre. En faites, les paroles qu'il avait dite avant de parler Ă©taient tout simplement pour que les sorciers ne se mĂ©fient pas. Si vous continuez ... Oui, les deux sorciers avaient dĂ» se mĂ©fier, se prĂ©prant mentalement Ă une attaque future. Ils pensaient surement qu'un Mangemort ne mentait jamais, et que, lorsqu'il donnait un avertissement oral, il n'avertissait pas ... physiquement. Quels niais. Ils n'avaient pas du rencontrer Fol Oeuil ... Puis, sans attendre qu'ils ne se relĂšvent, Riffel lança un dernier sort, en direction de la sorciĂšre " Imperium !!! "AussitĂŽt, il sentit un lĂ©ger picotement au niveau de son bras. Il s'y Ă©tait tellement habituĂ© que sa premiĂšre pensĂ©e fut * Attaque Londubat ... Attaque Londubat ... TOUT DE SUITE * Milena DawsonRemplacante de DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixNombre de messages 41Age 29Statut Professeur Remplacante DFCM et membre de l'Ordre Du PhĂ©nixAge du Perso 23 ansDate d'inscription 16/01/2008Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Mar 18 Mar - 042 __Un mangemort, aucun doute. Milena fixait l'homme en face d'elle. Il allait sans doute les attaquer. Neville pointait dĂ©jĂ sa baguette sur lui, Milena n'Ă©tait que spectatrice. Que pouvait-elle bien faire de toute façon? Sans doute aurait elle dut attaquer Lestrange plus tĂŽt. Mais le moment Ă©tait mal choisit. Peut ĂȘtre s'en irait il tout simplement. Hum... Pourquoi se lâimaginait-elle? Un mangemort est le mal incarnĂ©. Lestrange allait sans doute les tuer. Ils avaient l'avantage du nombre, mais Milena, bien qu'elle les connaissait, ne pouvait se rĂ©soudre Ă utiliser les impardonnables. Question de principes... Et puis, si cela se savait, elle risquerait un emprisonnement Ă perpĂ©tuitĂ© Ă Azkaban. Le comble pour un professeur de DCFM. Mais elle savait bien que souvent, tout les professeurs de DFCM Ă Poudlard finisse toujours finissent toujours leur vie ou leur mĂ©tier de façon tragique... Et cela n'Ă©tait pas faux. Pfff... Mais non, encore des paroles en l'air. Un peu comme les paroles de Lestrange, lors de son long discours. Milena avait bien compris son jeu. Elle restait sur ses gardes, mais ne tentait toujours rien... Erreur monumentale. " Endoloris !!! "Elle n'eut pas le temps de rĂ©agir, le sort percuta Neville de plein fouet. La baguette de Milena glissa furtivement et rapidement le long de sa manche. Elle l'empoignait et allait attaquer Lestrange, seulement, il fut le plus rapide. La jeune femme fut propulsĂ©e au loin. Elle s'abattit sur le mur avant de retomber lourdement au sol. Elle avait sentit ses os se craquer sous le choc. Elle jurait intĂ©rieurement. Les portes Ă©taient fermĂ©es, il n'y avait aucune sortie. Elle peina Ă se relever. Mais Ă peine Ă©tait-elle debout qu'elle lĂącha sa baguette. Ses lĂšvres tremblaient. Un frisson lui parcouru le corps. L'impĂ©rium venait de la toucher. Les mots de Riffel rĂ©sonnaient dans son esprit. Non, pas maintenant...! Elle n'avait pas Ă©tĂ© assez sur ses gardes... Cela payait... Milena plongea sa tĂȘte entre ses mains. Non, elle ne devait pas... Pourquoi? Pourquoi marchait-elle vers sa baguette. Son regard lançait la haine mĂȘlĂ© au supplice Ă Lestrange. Milena serrait le point afin de ne pas ramasser sa baguette. L'emprise se resserrait. Elle prit son arme en mains. Elle s'approcha de Neville sans aucune rĂ©sistance. Non pas qu'elle ne voulait pas, mais qu'elle ne pouvait pas. Le pauvre souffrait dĂ©jĂ assez, il fallait qu'elle pointe sa baguette sur lui⊠Non, elle ne pouvait pas lâattaquer⊠CâĂ©tait impensable. Sa main tremblait, car oui, elle essayait tant bien que mal Ă se dĂ©faire du sort. Tout de suite » Ces mots rĂ©sonnaient si forts dans sa tĂȘte⊠Milena regardait Neville, et parvint Ă articuler une formule, contre son Everte StatisâŠNeville dĂ©jĂ Ă terre fut propulsĂ© plus loin. Il Ă©tait rentrĂ© dans une des tables de la salle. Milena DĂ©tourna le regard vers Riffel. Ca yâest, elle lâavait attaquĂ©. Allait-il enfin cesser son petit jeu ? CâĂ©tait lui quâelle voulait attaquer, et non pas Neville⊠Elle sâen voulait tellementâŠAu moins elle n'avait pas commis d'impardonnable sur Neville... Oui, elle aurait du agir plus tĂŽt. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Mar 25 Mar - 2320 Riffel regarda son sortilĂšge impardonnable foncĂ© directement vers le Londubat. Celui-ci souffrit alors, ses tripes devaient ĂȘtre chaude, son cerveau, bouillant, et son coeur, l'endroit oĂč il l'avait touchĂ©, devait ĂȘtre en feu... Oui, Riffel arborait dĂ©sormais un sourire sadique allant d'une oreille Ă l'autre. Une particularitĂ© Lestrange, surement... Riffel regarda ensuite la professeur de Defence Contre les Forces du Mal se faire ensorceler par lui mĂȘme... Son Imperium Ă©tait trĂšs puissant, beaucoup plus que son Doloris, ou que l'Imperium de sa mĂšre, ou de sa tante. Riffel avait devellopĂ© ce don Ă Durmstrang, oĂč il s'en servait pour s'amuser un peu .... Riffel vit donc Milena Dawson se levait, tel un robot, et avançait, baguette brandit, vers Neville Londubat. Le sort fusa, et le jeune Londubat fut projetĂ© quelques mĂštres plus loin, tombant sur une chaise de bois, et la fracassant sous son lourd poids. Riffel rĂ©flechissait. Qu'allait-il faure dĂ©sormais. Il s'Ă©tait laissĂ© emportait, peut ĂȘtre mĂȘme ne pourrait-il jamais refaire de cours d'Astronomie ... Il fallait trouver une solution. Soit effacer la mĂ©moire de ces deux individus, soit les tuer sans laisser aucune preuve. Ou alors, les faire disparaĂźtre ... Oui, les emmener avec lui chez les Lestrange serait un bon plan, surtout pour le jeune Londubat, sa tante, qui en ce moment Ă©tait assez de mauvaise humeur, retrouverait ainsi le plaisir de la torture ... Oui, cela pouvait ĂȘtre bon... Tout d'abord, il pensa Ă rapatrier Londubat. Oui, avec un petit mot doux pour sa tante, lui disant tout son amour de neveu par alliance ... D'un geste de la baguette, il fit apparaĂźtre des cordes qui se dirigĂšrent vers Neville. Elles l'entourĂšrent, et le serrĂšrent si fort qu'il ne put respirer que trĂšs briĂšvement ... Ensuite, il murmura une formule Portus, transformant ainsi ses cordes en portoiloin... 1 ...... 2 ..... 3 !!! Riffel vit la lumiĂšre bleu, et Londubat s'Ă©vapora de la salle des profs. Oui, on pouvait quitter Poudlard grĂące Ă un Portoloin, alors qu'on ne pouvait pas y entrer. Etrange magie qui Ă©tait Ă l'oeuvre... Riffel regarda ensuite Milena Dawson, toujours sous l'emprise de son sortilĂšge, semblant lutter de toutes ses forces pour resister au soritlĂšge de l'Imperium. D'un geste machinal de la baguette, Riffel dĂ©verouilla la porte. Il allait faire s'Ă©vanouir Milena, lui faire boire une petite potion d'oubli, et la transporter 'Ă Sainte Mangouste'... Oui, il pourrait ainsi partir tranquillement sous l'oeuil de tous, avant de transplaner hors de l'enceinte de Poudlard. Un portoiloin Ă©tait dĂ©jĂ bien supect, sĂ»rement que le ministĂšre n'allait rien y faire, mais deux... c'Ă©tait dĂ©jĂ beaucoup plus risquĂ©. Riffel fit alors un geste de la baguette, et murmura Tu vas me suivre sans rĂ©sister... Allez ... On ouvre la porte ... La serrure crocheta. Et on va me suivre gentiement ... StupĂ©fix ! Milena tomba, mais il la rattrapa Ă temps. Il la tenait dans ses bras, prenant la baguette de la jeune sorciĂšre en mĂȘme temps, et commença Ă marcher vers la porte. Quand celle-ci s'ouvrit ... Un jeune homme, devant avoir l'Ăąge de Milena ou de Riffel, se tenait devant lui. Riffel eu alors une vision d'une petite phrase que Narcissa lui avait Ă©crite, sa marraine "Bellatrix s'est amusĂ© avec un des professeur de Poudlard, celui de vol. Tu ne devrais pas l'approcher, car vu comment il s'est fait humilier, il ne doit plus voir les Lestrange en peinture... Je ne vais pas te donner les dĂ©tails, ce serait vulgaire, mais disons qu'il a tout dit, et tout montrĂ© Ă Bella ... " Oui, ce devait ĂȘtre ce prof lĂ , assez beau garçon, complĂštement diffĂ©rent de Riffel, mais pourtant pas trĂšsd angĂ©lique ... Riffel, se remĂ©morant du dicton la meilleure dĂ©fence, c'est l'attaque, dit clairement, mais rapidement Elle semblait s'ĂȘtre complĂštement Ă©vanoui, lorsque je l'ai vu ici ... Mes sortilĂšges de rĂ©animation n'ont pas marchĂ©, je prĂ©fere l'envoyer Ă Ste Mangouste ... Voulez-vous m'aider, au moins jusqu'Ă PrĂ©-Au-Lard ? AprĂšs, je pourrai me dĂ©brouiller ... Lorenzo ChristensenMembre de l'OrdreNombre de messages 92Age 32Statut Membre de l'Ordre et professeur de VolAge du Perso 20 ansDate d'inscription 28/10/2007Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Mer 26 Mar - 2118 Lorenzo Ă©tait inquiet. Il avait rendez vous avec Milena, elle devait lâassister Ă son cour de vol comme ils lâavaient prĂ©vu des semaines auparavant ! Il ne pensait pas le moin du monde que Milena lui avait posĂ© un lapin. CâĂ©tait pas aprĂšs avoir passĂ© une longue partie de leurs Ă©tudes Ă Poudlard Ă aimer Lorenzo que Milena allait lui faire faux bond ! Plus tard, il dĂ©cida de la chercher. Dortoirs, bureau, classes et pour finir, salle des professeurs. Il ne voyait plus dâautre solution que dâaller lĂ -bas⊠En arrivant, il entendit de drĂŽles de bruits⊠Une voix masculine, mais il nâentendit pas ce quâil disait. Tout ceci ne lui inspirait rien de bon. Il sâapprĂ©ta Ă entrer lorsquâil entendit un cliquetis dans la poignet de la porte. Elle venait dâĂȘtre dĂ©vĂ©rouillĂ©. Par reflexe, il sortir sa baguette, prĂšt Ă attaquer. Mais la porte ne sâouvrit pas. Il sâen occupa alors lui se passa alors trĂšs vite. Un professeur, brun, teint blanc, regard noir, tenant Milena par les Ă©paules. Seulement, elle Ă©tait mal en point. Avant quâil ne puisse sâavancer, le professeur en face de lui. Il parla tellement vite quâil Ă©tait peu crĂ©dible. Lorenzo sentait monter en lui de la colĂšre. De la haine. Dans la voix de son interlocuteur, se trouvait le mĂȘme grain que dans la voix de Bellatrix Lestrange. Aucun doute. Il nâĂ©tait autre que Riffel. Il nâĂ©tait jamais tombĂ© face Ă lui, et par consĂ©quent, ne connaissait pas son physique. Il y avait donc une premiĂšre fois Ă tout. Sous le poids de la colĂšre, Lorenzo sâavanca tendit sa baguette et sans mĂȘme attendre, Riffel se retrouva propulsĂ© en arriĂšre. Un sortilĂšge impronnoncĂ©. Il savait un duel inĂ©vitable. Il allait donc pouvoir se vanger de cette chere Bellatrix qui sâĂ©tait jouĂ© de lui. Lâhumiliation. Le temps que Riffel reprenait ses esprits, Lorenzo rattrapa Milena, prit son poul et la posa contre le fauteuil. Il fallait quâelle soit en dehors du champs dâaction. Par magie, il dĂ©placa donc le fauteuil en dehors de la salle des professeurs et ferma la porte. Quelquâun allait vite la retrouver. Le couloir Ă©tait plutĂŽt Que lui as-tu fait ? Etait-elle seule ? De quelle droit tâen prends-tu a elle ?Riffel venait de se lever. Jamais il nâavait du voir quelquâun dâaussi jeune que Lorenzo aussi enervĂ©. Ses veines palpaient Ă travers ses joues. Sa main droite qui tenait sa baguette Ă©tait tellement serrĂ©e que les veines Ă©taient Ă©galement visibles. Quant Ă celle de gauche. Elle Ă©tait refermĂ©e en poing. Le regard de lâItalien Ă©tait meurtrier. Il sâapprocha de Riffel lâattrapa par le col, la baguette appuyĂ©e dans le cou de son adversaire - PARLE ! AVANT QUE JE NE TE TUE !Lorenzo Ă©tait hors de lui. Il allait enfin se venger du mal que lui avait fait la charmante Bellatrix. Les cicatrices morales et physiques allaient toutes ĂȘtres vengĂ©es Ă mort. Elle allait recevoir le cadavre de son cher neveux. Elle nâen serait que ravie ! Revoir son neveux plus tĂŽt que prĂ©vus allait sĂ»rrement lui faire plaisir ! Tu va payer pour ta tante, Lestrange ! Si tu es aussi mou quâelle ne lâest au lit, je te promet une mort rapide ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Mer 26 Mar - 2256 Riffel regarda le jeune homme. Il avait dĂ©jĂ la baguette brandie ? Bien, un duel s'annonçait, tant mieux, c'Ă©tait toujours plus amusant, lorsqu'on pouvait pimenter un peu la vie ... Riffel regarda les yeux mĂ©fiants et pleins d'horreur du jeune professeur. Riffel sentait dans ce regard de lk'amour ... Pfff ... Du n'importe quoi, Ă quoi servait l'amour, seule la passion pouvait rĂ©gner ... Chez certains, c'Ă©tait la passion meurtriĂšre, la passion manipulatrice ... Pour ce jeune homme, c'Ă©tait la passion amoureuse ... En plus, il devait avoir tromper cette jeune donzelle avec Tantine ... Hahaha, elle avait bien dĂ» s'amuser, car en effet, c'Ă©tait bien son genre jeune insouciant et ... en manque . Riffel sauta alors vers le mur. Non pas qu'il ait fait exprĂšs, ridicule, se faire projeter. On voyait bien que ce n'Ă©tait que parce qu'il avait cette jeune femme dans les bras. D'ailleurs, celle-ci fut mise sur un fauteuil et disparut de la salle des profs. Surement voulait il la protĂ©ger. C'Ă©tait bien trop prĂ©visible... Bien, maintenant Riffel allait se relever. Ou Ă©tait sa baguette. Oh non, elle Ă©tait tombĂ©e. Tant pis, il la rĂ©cupĂ©rerait plus tard... Tiens, le jeune Lorenzo essayait d'assouvir sa vengeance. Evidemment, tomber sur le neveu de la personne qui vous avez fait subir les pires tortures physiques et morales, il n'allait pas boire en l'honneur des Lestrange... Il Ă©tait bien impulsif, ce membre de L'Ordre, il plaisait Ă Riffel... Bella avait dĂ©finitivement bon goĂ»t, en matiĂšre de victime. DĂ©jĂ , elle verrait le jeune Londubat, apportĂ© comme un cadeau de NoĂ«l, et bientĂŽt, il verrait la tĂȘte de celui qu'elle avait torturĂ©. Oui, Riffel ne doutait pas, Lorenzo serait aveuglĂ©, aveuglĂ© par son petit amour. Enfin, peut ĂȘtre qu'il rĂ©agissait tout de mĂȘme trĂšs mal. Neville n'avait pas Ă©tĂ© comme ça, il avait simplement tentĂ© de se calmer. Enfin, Londubat n'Ă©tait plus lĂ pour le raconter. DĂ©sormais, cela ne se jouait qu'entre Lorenzo et Riffel. Deux jeunes recrues, deux diffĂ©rents genres, rĂ©prĂ©sentant trĂšs caricaturellement les deux camps, l'un, beau comme un ange, aveuglĂ© par l'amour, et l'autre, aussi machiavĂ©lique que le diable, sĂ©duisant comme le vice, et aussi puissant que l'autre. Le combat du Bien et du Mal, oui, cela sonnait bien "Entre Bien et Mal, l'Eternel Combat"Oui, cela sonnait dĂ©finitivement, certainement, et publicitairement bien... Riffel entendit alors les quelques cris de son homologue masculin Que lui as-tu fait ? Etait-elle seule ? De quelle droit tâen prends-tu a elle ? PARLE ! AVANT QUE JE NE TE TUE Tu va payer pour ta tante, Lestrange ! Si tu es aussi mou quâelle ne lâest au lit, je te promet une mort rapide !Riffel, toujours une baguette sur le coup, rigolait. Il riait au diable, tellement hilarante Ă©tait sa situation. Pourtant, ce qui le faisait rire n'Ă©tait aps trĂšs amusant pour Lorenzo, semblait il. C'est alors que Riffel tourna la tĂȘte. Il Ă©tait comme un chat se frottant Ă la main de son maĂźtre, lui par contre, se frottait Ă la baguette... Mon chĂšre jeune EphĂšbe ... Calme-toi, voyons ... Tranche moi la gorge, vas-y ... Il te suffit d'un sort, n'est ce pas ... Eh bien fais le, pendant que je m'amuse avec ton amie ... Oui, car vois-tu, peut ĂȘtre n'est elle pas mort, mais il existe d'autres façons que l'Avada Kedavra. Tu rĂ©duirais nous, les Mangemorts, si tu disais que nous ne savons faire que ce sortilĂšge inuile. Il existe par contre des choses tuant lentement, sans douleur ... Penses-tu peut ĂȘtre que tu vas rĂ©ussir Ă la guĂ©rir ? A ce que je sache, personne n'est ici. La jeune directrice semble ne pas ĂȘtre lĂ , vu que sa remplaçant est ta jeune promise... Et alors, qu'attends tu pour chercher l'antidote que je possĂšde ? Maintenant, tu vas me dire exactement crois-tu que je m'amuse ? Oui, je m'amuse Ă te voir soufrir ... Pourtant, je n'ai aucune baguette, n'est ce pas ? La mienne est partie Ă quelques mĂštres de lĂ ... Avis !!!! Riffel avait repris la baguette de Milena, toujours cachĂ©e sous sa manche. Une nuĂ©e d'oiseau s'Ă©chappĂšrent d'on-ne-sait-ou, et s'envolĂšrent sur Lorenzo, lui gachant momentanĂ©ment la vue. Une seconde avait suffit Ă Riffel pour s'Ă©chapper de la salle... Il avait donnĂ© la trouille Ă ce jeune empotĂ©. Il se dirgea avec quelques soubresauts vers le fauteuil, et laissa la baguette de Milena sur son ventre... Riffel arriva Ă sa tour. Il parcourut son appartement, en cherchant la baguette de son grand-pĂšre. C'Ă©tait un bijou de famille, la baguette de Rudolf Lestrange. Riffel l'avait arborĂ© Ă Durmstrang, mais aprĂšs que son pĂšre soit rĂ©apparu, il avait pensĂ© lui redonner, et en avait fait fabriquer une autre, mais Rabastan avait dit que c'Ă©tait Ă lui de l'arborer. NĂ©anmoins, Ă Poudlard, il avait prĂ©fĂ©rĂ© la sienne. En effet, la baguette de Rudolf Lestrange n'Ă©tait pas commune un manche d'or, 42 cm de longueur, et en guise d'Ă©lement un filament d'un croc de basilique. Oui, cela existait. En faites, c'Ă©tait des gĂ©nĂ©rations auparavant que la baguette avait Ă©tĂ© fabriquĂ©e. C'Ă©tait l'aĂźnĂ©, toujours, qui en hĂ©ritait. Rabastan en avait hĂ©ritĂ©, puis, c'Ă©tait Riffel. Celui-ci, avec la baguette familiale, fit venir sa propre baguette du haut de sa tour. Puis, il plia ses affaires, et prit comme portoloin un paquet de copie... Riffel Lestrange s'en allait de Poudlard. De toute façon, il n'y avait pas fait beaucoup de biens Ă cette Ă©coile. Et puis, il n'aimait pas enseigner, il prĂ©fĂ©rait ... tuer ... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] En solitaire... Ou pas. [Pv Riffel] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Solitaire [Libre]» Encore et toujours la mĂȘme... PV RiffelPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLast School - Ou fini la rĂ©alitĂ©? Ou commence l'illusion? Ou l'art de se divertir La boite Ă souvenirs Ancien LS Les DiscutionsSauter vers
Cest le pas de fer qu'on trouve pas de fer ça fait des étincelles mais c'est bien plus passionnant. Pour te faire contre le pot de fer? Oui c'était c'est un peu vrai mais alors c'est grave parce qu'évidemment il y a pas de solution parce que peau de fer ne casse jamais rempli de bosses mais ne se casse pas. Alors ça peut durer. Entre un
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Sourcephoto : Giphy. 3. Dormir. Si possible avec un filet de bave sâĂ©coulant Ă grand flot de maniĂšre Ă te rendre irrĂ©sistiblement immonde. En plus si
Edit du 15/08/2018 rafraĂźchissement graphique des 3 fichiers ! Chaque mercredi, je distribue Ă mes Ă©lĂšves une petite fiche format A5 comprenant une liste de 20 mots adaptĂ©s Ă leur classe dâĂąge. Ces mots sont regroupĂ©s 5 par 5, par classe grammaticale. Chaque jour, les Ă©lĂšves Ă©tudient une sĂ©rie de mots la sĂ©rie A pour le jeudi, la sĂ©rie B pour le vendredi, la sĂ©rie C pour le lundi, la sĂ©rie D pour le mardi et rĂ©vision gĂ©nĂ©rale pour le mercredi quâils doivent apprendre par cĆur. Tous les mercredis matins, je dicte les 20 mots appris au cours de la semaine. Je mets parfois au pluriel et je conjugue aussi parfois les verbes aux temps que nous avons dĂ©jĂ Ă©tudiĂ©s en classe. Pour sâentraĂźner, lâĂ©lĂšve doit se faire dicter chaque mot sur lâardoise, son cahier dâessai⊠par un copain Ă lâĂ©cole ou un adulte Ă la maison. Chaque fois quâil a bien Ă©crit un mot, il colorie sur sa fiche un rond en vert. Au bout de 3 ronds verts, lâĂ©lĂšve peut estimer savoir Ă©crire le mot et ĂȘtre prĂȘt pour la dictĂ©e. Le fichier CE2 Le fichier CM1/CM2 AnnĂ©e A/AnnĂ©e B Remarques Pour Ă©tablir la liste des CE2, jâai dĂ©cidĂ© dâutiliser les mots correspondants dans lâĂ©chelle Dubois-Buyse aux Ă©chelons 11 Ă 15 en principe, lâĂ©chelon 11 est classĂ© niveau CE1, mais je le trouve pas mal pour des CE2 dĂ©but dâannĂ©e !. Pour les derniĂšres dictĂ©es de mots, jâai un peu dĂ©bordĂ© dans les Ă©chelons 16 Ă 18 jâavais fini dâexploiter les mots listĂ©s dans les Ă©chelons infĂ©rieurs !⊠Pour les CM1/CM2 en revanche, jâai dressĂ© deux listes de mots depuis mon arrivĂ©e dans lâĂ©cole oĂč je travaille aujourdâhui. La 1Ăšre liste, que jâai remise en page cet Ă©tĂ©, repose elle aussi sur lâexploitation de lâĂ©chelle Dubois-Buyse, comme pour les CE2, si ce nâest que jâai ici mĂ©langĂ© les Ă©chelons correspondant strictement Ă leur classe dâĂąge Ă©chelons 16 Ă 23. Jâai volontairement exclu, en rĂ©digeant ces deux premiers fichiers, des mots que je jugeais trop dĂ©suets ou peu utilisĂ©s par les enfants. Pour que mes Ă©lĂšves de CM ne fassent pas les mĂȘmes dictĂ©es dâune annĂ©e Ă lâautre, jâai constituĂ© lâĂ©tĂ© dernier un 2nd fichier reposant pour sa part sur la liste constituĂ©e par le lexicologue Ătienne Brunet, qui rassemble prĂšs de 1500 mots, les plus frĂ©quents de la langue française. Cette liste rend compte de la langue que lisent les Ă©lĂšves francophones. Jâai parfois pris quelques libertĂ©s, mais cette liste mâa servi de fil-directeur tout au long de la constitution de ce 2nd fichier. Vous pouvez trouver la liste dâEtienne Brunet sur le site Eduscol. NouveautĂ© 2016 Ă la fin de chaque dictĂ©e, les Ă©lĂšves colorient sur un graphique le score quâils ont obtenu, afin de voir leur Ă©volution sur lâannĂ©e ! Vous pouvez tĂ©lĂ©charger cette feuille de scores en cliquant ici !
TRĂSINTĂRESSĂ - 3 - 11 Lettres - Mots-CroisĂ©s & Mots-FlĂ©chĂ©s et Synonymes.
GaĂ«tan Goron pose Ă cĂŽtĂ© d'une grille gĂ©ante de mots croisĂ©e créée pour le journal LibĂ©ration le 10 juillet 2018 Ă Paris AFP - Eric Feferberg publiĂ© le 12 juillet 2018 Ă 9h30. Les grilles de mots croisĂ©s, tradition centenaire de la presse papier, confrontent chaque Ă©tĂ© des millions d'amateurs aux piĂšges ciselĂ©s par les orfĂšvres de la langue qui les composent. Le 14 juillet, LibĂ©ration va cĂ©lĂ©brer cette passion en publiant sur 4 pages sa deuxiĂšme grille gĂ©ante de 51X51 cases. Une grille de 900 mots et dĂ©finitions que GaĂ«tan Goron, le benjamin des verbicrucistes les auteurs, prĂ©pare depuis plusieurs mois pour ses cruciverbistes estivaux. La mĂ©gagrille rend hommage cet Ă©tĂ© Ă Georges Perec, Ă©crivain et grand croiseur de mots, en se privant de "E" comme dans son roman "La disparition". Un exemple "mal qui suit maman dans la chanson dâAlain Souchon" en 4 lettres* solutions en fin de dĂ©pĂȘche.- Le flottement du langage - Ecrivant pour Le Monde, le Canard enchaĂźnĂ©, Notre Temps ou L'HumanitĂ©, les chevaliers des croisĂ©s seraient au total une cinquantaine dans la presse francophone, selon l'association française A la croisĂ©e des mots, qui organise chaque annĂ©e des ont pris la relĂšve des maĂźtres du genre, Michel Laclos 1926-2013 et Robert Scipion 1921-2001, auteurs respectifs de fulgurances telles que "courses Ă pied", en huit lettres* ou "fait aller au cabinet"* en trois lettres."Il y a dans les mots croisĂ©s un flottement entre l'usage normal du langage et son dĂ©tournement", qui rappelle le langage des psychotiques, analyse l'Ă©crivain Emmanuel Venet, psychiatre de profession, et qui a glissĂ© une grille dans son dernier chaque Ă©dition de LibĂ©ration, GaĂ«tan Goron prĂ©pare une grille de 9X11 cases, qu'il commence par la "potence" la premiĂšre ligne verticale et la premiĂšre horizontale.Le verbicruciste, qui a Ă©tĂ© journaliste Ă la radio RFI et arbitre de football, applique ensuite Ă ses dĂ©finitions le style "LibĂ©", rebondissant sur l'actualitĂ© avec une dose d'ironie, et glissant dans ses cases des mots oubliĂ©s et des rĂ©fĂ©rences grĂ© des grilles, les lecteurs comprennent de mieux en mieux le style de l'auteur, et font parfois des demandes trĂšs personnelles. Comme ce pĂšre qui prĂ©parait une chasse au trĂ©sor pour son fils, imaginĂ©e autour d'un pirate cĂ©lĂšbre, et qui a demandĂ© Ă LibĂ©ration qu'on glisse trois indices dans les cases blanches. "Tu m'as tellement fait galĂ©rer avec tes dĂ©finitions que tu me dois bien ça", lançait le pĂšre au verbicruciste... qui a "Victoire intellectuelle" -La discipline, lancĂ©e par le Britannique Arthur Wynne en 1913, inventeur de la case noire, a dĂ©sormais essaimĂ© sur internet, oĂč des sites et applications proposent des milliers de grilles gratuites. Avec des effets supposĂ©s sur l'agilitĂ© mots croisĂ©s restent malgrĂ© tout trĂšs prĂ©sents chez les marchands de journaux, reprĂ©sentant 5% des magazines de jeux publiĂ©s chaque annĂ©e. Plus chers Ă l'achat, les magazines de mots croisĂ©s se placent loin derriĂšre les mots flĂ©chĂ©s, les mots mĂȘlĂ©s mais aussi le sudoku."Les lecteurs restent extrĂȘmement fidĂšles au papier" oĂč l'on "ne zappe pas", affirme Gilles Ballot, directeur gĂ©nĂ©ral adjoint de l'Ă©diteur Keesing. Ce poids lourd du secteur des jeux, avec les marques "Sport cĂ©rĂ©bral" et "Megastar", affichait 80 millions d'euros de chiffre d'affaires en internet comme dans ces magazines ou dans la presse rĂ©gionale, la plupart des grilles reprennent d'anciennes dĂ©finitions. Seuls les niveaux supĂ©rieurs sont des crĂ©ations. Mais s'il peut ĂȘtre difficile de deviner si une grille est l'oeuvre d'un ordinateur ou d'un auteur, le plaisir reste le mĂȘme."Le verbicruciste lance un dĂ©fi Ă distance Ă son lecteur, tente de le surprendre", souligne Yves Cunow, auteur de recueils aux Ă©ditions Larousse et prĂ©sident d'A la croisĂ©e des mots. "Si le cruciverbiste rĂ©sout la grille, il le vit comme une victoire intellectuelle".Emmanuel Venet savoure aussi cette "Ă©motion particuliĂšre quand on trouve un mot on se rend compte qu'il Ă©tait tout prĂšs, qu'il affleurait". Sa dĂ©finition prĂ©fĂ©rĂ©e? "Niche pour chien" en 9 lettres*.* Bobo - Shopping - ENA - AnagrammeSource AFP
Organiserdes jeux. Une autre façon dâexpliquer la mythologie grecque aux enfants est dâorganiser des jeux. Vous pouvez, par exemple, choisir des jeux de cartes qui vont aider dĂ©couvrir la gĂ©nĂ©alogie des dieux et des hĂ©ros. Il y a aussi le choix des puzzles ou du coloriage des personnages Ă rĂ©aliser en fonction de leurs attributs.
Podcasts Archi intĂ©ressant podcast Archi intĂ©ressant » 6/7. Ce podcast met en avant des lieux remarquables pour leur architecture et leur conception. Dans ce dernier Ă©pisode, direction Maisons-Alfort, dans le Val-de-Marne, pour dĂ©couvrir des bureaux en adĂ©quation avec la nature. Un podcast rĂ©alisĂ© en partenariat avec la CitĂ© de lâarchitecture et du patrimoine. Câest Ă Maisons-Alfort, dans le Val-de-Marne, au sud-est de Paris, que lâOffice national des forĂȘts ONF vient dâinstaller son nouveau siĂšge. Sa particularitĂ© une structure en bois qui provient essentiellement des forĂȘts domaniales gĂ©rĂ©es par lâorganisme. Le bĂątiment de 7 600 mĂštres carrĂ©s, conçu par Vincent Lavergne Architecture Urbanisme et Atelier WOA, se veut Ă©cologique et design pour accueillir ses agents. Est-ce lĂ la seule architecture souhaitable et possible dĂ©sormais ? ElĂ©ments de rĂ©ponses en reportage avec la journaliste Judith ChĂ©trit et en dĂ©bat avec le rendez-vous critique de la CitĂ© de lâarchitecture et du patrimoine, Ă©galement partenaire de ce podcast. La petite histoire. 365 collaborateurs pour le siĂšge francilien de lâOffice national des forĂȘts, câĂ©tait devenu trop pour un seul lieu. A lâĂ©troit dans une tour vieillissante du 12e arrondissement, obligĂ©s dâĂ©tendre leurs bureaux du cĂŽtĂ© de Montreuil, parfois contraints de se dĂ©placer dâun site Ă lâautre pour se retrouver, les agents de lâorganisme aspiraient Ă se rassembler dans un mĂȘme bĂątiment et dans des conditions plus en phase avec la sociĂ©tĂ© actuelle. Nous avions intĂ©grĂ© le tĂ©lĂ©travail dĂšs 2017, Ă raison dâun ou deux jours par semaine, relate Jean-Marc Tavernier, directeur du projet immobilier Ă lâONF. Puis il y a eu le Covid, qui a renforcĂ© cette tendance. » Soudain, il nâĂ©tait plus tout Ă fait nĂ©cessaire de gagner de la place, plutĂŽt de changer de type dâespace. InvitĂ©s Ă sâexprimer sur leurs attentes, les membres des diffĂ©rents services ont alors Ă©voquĂ© le souhait de bĂ©nĂ©ficier dâamĂ©nagements prĂ©cis â notamment des abris pour les vĂ©los et des douches â, mais surtout de travailler dans un environnement aussi naturel que possible, et peu Ă©nergivore. Le projet dâun bĂątiment flexible sâest alors imposĂ©, avec des bureaux non cloisonnĂ©s oĂč les fonctionnaires peuvent se relayer, se cĂŽtoyer, se rassembler, ou mĂȘme sâisoler, selon leurs besoins. Aujourdâhui. Le nouveau siĂšge de lâONF sâest implantĂ© sur le terrain de lâEcole vĂ©tĂ©rinaire de Maisons-Alfort, qui a consenti un bail dâune durĂ©e de soixante-dix ans Ă lâorganisme dâEtat. Et comme câest de forĂȘt quâil sâagit, le bois domine parmi les matĂ©riaux de la construction. Les arbres abattus pour faire de la place aux fondations ont resservi dans le bĂątiment. Un menuisier a dâailleurs travaillĂ© sur le site mĂȘme le tronc dâun robinier majestueux. Construire en bois, câĂ©tait un intangible pour lâONF, souligne Jean-Marc Tavernier, mais cela coĂ»te plus cher que le bĂ©ton. » Cette contrainte budgĂ©taire, valable pour toute construction en bois, est gĂ©nĂ©ralement dĂ©passĂ©e par lâemploi dâessences importĂ©es. Ici, on a intĂ©grĂ© diffĂ©rentes essences locales, la principale Ă©tant lâĂ©picĂ©a sous forme de lamellĂ©-collĂ©. Les planchers techniques sont en Ă©picĂ©a, en pin et en douglas. Ailleurs on trouve du robinier, du chĂȘne. Les encadrements de porte sont en hĂȘtre. On a donc un grand nombre dâessences qui sont prĂ©sentes dans les forĂȘts françaises. » Un environnement naturel qui a inspirĂ© lâarchitecte Vincent Lavergne. Il a imaginĂ© un chemin forestier traversant le bĂątiment, avec de part et dâautre de grands troncs, des poteaux triple hauteur, rĂ©partis de maniĂšre un peu alĂ©atoire, explique-t-il. Les poutres qui les relient forment les branches et cette canopĂ©e suspendue de tavaillons venus de toutes les forĂȘts de lâONF joue Ă la fois un rĂŽle acoustique et de diffusion de la lumiĂšre ». Le bois est protĂ©gĂ© par la façade de mĂ©tal, un matĂ©riau lĂ©ger qui fait office dâĂ©corce, montre Samuel Poutoux, de lâAtelier WOA, mais la structure reste visible depuis la rue, notamment lorsque la nuit tombe et que le bĂątiment sâillumine. » LâONF compte 10 000 agents dans toute la France et compte bien faire de ce nouveau site une vitrine de la construction en bois en mĂȘme temps que des Ă©conomies de fonctionnement et dâĂ©nergie. Lâavis des experts. A lâoccasion des rendez-vous critiques de la CitĂ© de lâarchitecture et du patrimoine, architectes et journalistes ont discutĂ© du nouveau siĂšge de lâOffice national des forĂȘts. Un siĂšge qui les a tous sĂ©duits. Isabelle Regnier, du Monde, salue la volontĂ© initiale de crĂ©er une âanti-tourâ oĂč les malheureux salariĂ©s de lâONF seraient moins cloisonnĂ©s », et reconnaĂźt que le but est atteint. Il y a lĂ toute une expĂ©rimentation, un cĂŽtĂ© prototype et dĂ©monstrateur par rapport au bois, mais aussi une rĂ©flexion sur la typologie des bureaux, constate la journaliste. Tout est trĂšs scĂ©narisĂ© lâentrĂ©e par ce quâils appellent âun chemin forestierâ qui conduit dans un grand atrium sur plusieurs niveaux, avec des petits carreaux de bois [les tavaillons] au plafond qui matifient lâacoustique. Jusque-lĂ , rien dâextraordinaire, mais quand on monte au deuxiĂšme Ă©tage, on arrive au point dâorgue du bĂątiment une salle sur deux niveaux, un espace gigantesque, Ă la fois ombragĂ© et lumineux, oĂč les arbres et la nature semblent pĂ©nĂ©trer. LâatmosphĂšre du lieu est trĂšs inspirante. » Waouh » câest ce quâa inspirĂ© Ă lâarchitecte et enseignant Richard Scoffier le nouveau siĂšge de lâONF. Jây ai tout de suite vu un cĂŽtĂ© expressionniste. Il me rappelle la Maison du Chili de Fritz Höger », un bĂątiment de dix Ă©tages de bureaux Ă Hambourg, dans le nord de lâAllemagne, Ă©difiĂ© il y a tout juste cent ans. Ici, bien sĂ»r, on est dans un univers diffĂ©rent. » Et de tempĂ©rer son enthousiasme On passe de merveille en merveille, et câest lĂ que câest un peu embĂȘtant â et je suis gĂȘnĂ© de critiquer car il est tellement difficile de construire â, mais on est immergĂ© dans des ambiances et on ne comprend rien Ă lâarticulation des espaces. » Sophie Trelcat, journaliste spĂ©cialisĂ©e en architecture, ne sây est pas perdue, au contraire. Lâarticulation est extrĂȘmement agrĂ©able entre les plateaux libres et les bureaux fermĂ©s avec ces grandes vitres et le cloisonnement avec le couloir. On nous sert souvent les arguments du flex office en voulant cacher des questions de rentabilitĂ© du lieu de travail. LĂ , pour une fois, câest rĂ©ussi les espaces de travail sont formidables. » Elle note par ailleurs la recherche sur la structure bois inĂ©dite », avec un pilier central et trois grandes poutres en dĂ©calĂ© qui gĂ©nĂšrent un plan en Ă©ventail, lequel contient les plateaux libres câest un espace piranĂ©sien trĂšs intĂ©ressant ». Lâarchitecte et journaliste Philippe TrĂ©tiack loue comme elle ce luxe dâespace libre ». Archi intĂ©ressant » Archi intĂ©ressant » met en avant des bĂątiments Ă lâarchitecture et Ă la conception remarquables. Dans chaque Ă©pisode, Ă©coutez des visites guidĂ©es et des dĂ©bats animĂ©s, rĂ©alisĂ©s en partenariat avec la CitĂ© de lâarchitecture et du patrimoine. Retrouvez ici tous les Ă©pisodes. Archi intĂ©ressant », un podcast produit et rĂ©alisĂ© par JosĂ©fa Lopez pour Le Monde, en partenariat avec la CitĂ© de lâarchitecture et du patrimoine. Reportage Judith ChĂ©trit. Voix off Isabelle Regnier. RĂ©alisation Eyeshot. IdentitĂ© Graphique MĂ©lina Zerbib, AurĂ©lien DĂ©bat. Partenariat Sonia Jouneau, Victoire Bounine. JosĂ©fa Lopez, Caroline Andrieu et Isabelle Regnier Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? 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tres interesse ou pas tellement mots croises