1 Votre petit se rĂ©veille trop tĂŽt car il a faim. À 5h30, votre enfant est dĂ©jĂ  plantĂ© devant votre porte avec une tĂȘte de bienheureux: “Maman, papa, je suis rĂ©veillĂ©â€. Faire comme si vous ne l’aviez ni vu ni entendu n’aide pas. Il vaut mieux se lever, lui servir un petit-dĂ©jeuner lĂ©ger comme un yaourt ou une banane, puis
Ton papa, il est vieux ! » c’est le cri du cƓur poussĂ© par une petite Sacha Ă  la sortie de l’école, la semaine derniĂšre. Elle s’adressait Ă  sa copine, Anna, 5 ans. Le pĂšre d’Anna est ĂągĂ© de 60 ans. Combien de fois a-t-il entendu Vous ĂȘtes le grand-pĂšre de la petite ? » Il dit s’en ficher. Mais dans le fond ? A-t-il parfois des remords ? Des peurs ? Comment se projette-t-il dans l’adolescence de son enfant ? Et dans la vie future de sa trĂšs jeune femme ? Jamais la paternitĂ© tardive n’a Ă©tĂ© aussi triomphante. A 64 ans, ­Julien Clerc, pĂšre d’un LĂ©onard de 3 ans, consacre le titre phare de son nouvel album au sujet Fou peut-ĂȘtre et fier de l’ĂȘtre »... Quoi de plus injuste, pourtant, que ce privilĂšge des hommes de pouvoir enfanter si tard ? Sans pour autant s’atti­rer les foudres de l’opinion, alors que les mĂšres tardives dĂ©clenchent tant de haine. Quoi de plus difficile Ă  vivre pour les enfants aĂźnĂ©s, quand il y en a, et dont c’est plutĂŽt le tour de devenir parents ? Quoi de plus angoissant, si on se projette dans le temps, aussi bien pour l’enfant que pour la mĂšre, en gĂ©nĂ©ral beaucoup plus jeune ? Et pour le pĂšre, en fin de compte, qui doit bien se sentir parfois vaguement irresponsable ? Pour y voir plus clair dans le cƓur de ces hommes, nous leur avons donnĂ© la parole. AprĂšs quoi courent-ils ? Comment vivent-ils la renaissance », parfois vingt-cinq ans aprĂšs leur premier enfant ? Comment leurs aĂźnĂ©s s’accommodent-ils du nouveau venu, si beau, si miraculeux, pour lequel ils sont soudain si disponibles ? Comment se dĂ©brouil­lent-ils avec toutes leurs contradictions ? Ils s’expliquent. PaternitĂ© tardive "J'ai peur de ne pas ĂȘtre lĂ  quand elle aura besoin de moi" Pierre*, 60 ans, pĂšre d’Anna, 6 ans A 30 ans, je suis devenu pĂšre pour la premiĂšre fois avec la naissance de Clara. A l’époque, je me ­disais dĂ©jĂ  que c’était un peu tard et qu’elle serait mon unique enfant. Mais Ă  54 ans, j’ai rencontrĂ© la femme de ma vie ». Elle voulait un enfant, moi je ne savais pas. L’amour a Ă©tĂ© le plus fort. ­Notre fille, Anna, a aujourd’hui 6 ans, et moi j’en ai 60. Je pourrais ĂȘtre son grand-pĂšre. Ces six derniĂšres annĂ©es ont Ă©tĂ© intenses, extĂ©nuantes mais irrempla­çables. La mĂšre d’Anna est sortie de sa grossesse trĂšs fatiguĂ©e. La premiĂšre annĂ©e, c’est moi qui me suis levĂ© trois fois par nuit pour les biberons. Quelques mois plus tard, j’ai eu un grave problĂšme cardiaque. Depuis, ma santĂ© est fragile. Je continue pourtant Ă  assumer les trois quarts des tĂąches qu’implique l’éducation de notre fille. Je comprends maintenant ce que veulent dire les femmes lorsqu’elles revendiquent qu’élever un enfant est un vĂ©ri­table travail
 J’ai du temps pour elle, plus que j’en avais pour ma fille aĂźnĂ©e, et une patience quasi illimitĂ©e A l’approche de la soixantaine, on est moins en forme qu’à 20 ou 30 ans, mais plus disponible et plus sage, car on n’a plus besoin de privilĂ©gier ses dĂ©sirs et ses ambitions. Je suis donc un bon grand pĂšre. Et rĂ©trospectivement, je considĂšre ces derniĂšres annĂ©es comme les plus belles de ma vie, parce que je vois ma fille grandir et devenir merveilleuse, c’est un immense privilĂšge. J’ai du temps pour elle, plus que j’en avais pour ma fille aĂźnĂ©e, et une patience quasi illimitĂ©e. Elle n’en abuse pas car elle est Ă©tonnamment Ă©quilibrĂ©e. Peut-ĂȘtre mon grand Ăąge et ma sagesse la rendent-elle secure » ? Le grand incon­vĂ©nient est, qu’à mon Ăąge, il y a de bonnes raisons de croire que je ne serai pas lĂ  assez longtemps pour l’accompagner aussi loin que je le voudrais, au moins jusqu’au sortir de l’adolescence, en lui ayant transmis le plus d’atouts possible, donnĂ© tout l’amour et l’attention que je pouvais sur une pĂ©riode assez longue. Je vis donc dans la crainte de disparaĂźtre, pas pour moi, mais par peur de ne pas ĂȘtre lĂ  quand elle aura besoin de moi. Donc la question est lĂ©gitime a-t-on le droit de faire des enfants quand on a l’ñge d’ĂȘtre grand-pĂšre ? Si je devais manquer trop tĂŽt Ă  ma fille, je pourrais rĂ©pondre non, mais pour l’instant je suis lĂ , je l’aime et, oui, c’est un bonheur de la voir grandir. PaternitĂ© tardive "J’avais envie d’un enfant, mais pour de mauvaises raisons" François*, 57 ans, pĂšre de LĂ©o, 1 an Jusqu’à la naissance de LĂ©o, j’ai vĂ©cu en Ă©ternel adolescent. Je vivais pour moi, j’étais assez vaniteux, frimeur, les femmes me servaient de miroir, mes aventures Ă©taient destinĂ©es Ă  me prouver mon pouvoir de sĂ©duction. En vĂ©ritĂ©, je n’aimais que moi. Et surtout je me sentais trop immature pour faire un enfant. Mon mĂ©tier, designer, passait avant tout et, Ă  mes yeux, ne prĂ©sentait pas une stabilitĂ© et une rĂ©gularitĂ© suffisantes pour fonder une famille. C’est ainsi que, peu Ă  peu, je me suis retrouvĂ© dans la peau d’un quinqua cĂ©libataire alors que tous mes potes s’étaient mariĂ©s et avaient des enfants. A ce stade de la vie, le futur fonce vers vous Ă  une vitesse grandissante, et la grande crainte est de se retrouver seul comme un vieux con. Est-ce un hasard ? En plein dans cette phase, Ă  55 ans, j’ai rencontrĂ© une femme, Caroline, avec qui je me sentais bien. Elle venait d’avoir 40 ans, avait dĂ©jĂ  un fils, et lorsque notre histoire est devenue sĂ©rieuse, elle a voulu un enfant de moi. J’étais perdu car j’avais envie d’un enfant, moi aussi, mais pour de mauvaises raisons l’envie de ressembler aux hommes de mon Ăąge, la peur de disparaĂźtre sans laisser une empreinte. J’espĂšre et je sens que je ne serai jamais un vieux con avec lui J’aimais beaucoup Caroline, je trouvais qu’elle Ă©duquait trĂšs bien son premier fils. Fina­lement, j’ai acceptĂ©. Nous avons eu un mal de chien Ă  faire ce bĂ©bĂ© et, pour elle, ça a virĂ© au cauchemar, elle a dĂ» suivre des traitements. Plus je la voyais s’épuiser, plus je l’aimais. Enfin, aprĂšs toutes ces galĂšres, LĂ©o est nĂ©. J’ai mĂȘme assistĂ© Ă  l’accouchement, alors que j’avais rĂ©pĂ©tĂ© toute ma vie que ça n’arriverait jamais. Tandis que Caroline accouchait, jusqu’à la derniĂšre seconde j’ignorais quelle serait ma rĂ©action en voyant le bĂ©bĂ©, et quand il est apparu ça m’est tombĂ© dessus d’un coup je ne savais pas que tant d’amour Ă©tait possible. Depuis ça ne m’a jamais quittĂ©, rien d’autre n’a d’importance. Je veux protĂ©ger ma femme et notre fils de tout mon cƓur, leur donner tout l’amour du monde. C’est un peu tard, bien sĂ»r – oui, j’ai l’ñge d’ĂȘtre grand-pĂšre –, mais je vais tout donner pour rattraper le temps perdu. Je me fous de mon Ăąge, j’espĂšre et je sens que je ne serai jamais un vieux con avec lui. Pour lui, je resterai en ­phase avec son Ă©poque. Cet enfant a boule­versĂ© mes repĂšres ce n’est pas moi qui ai fait un petit homme, c’est lui qui a fait de moi un homme. Enfin. PaternitĂ© tardive "Lou n’a pas de place dans la famille les autres ne veulent pas la voir" Marc*, 63 ans, pĂšre de Lou, 6 ans J’aime faire des enfants. Au grand dĂ©sespoir de mes enfants ! J’en ai eu quatre d’un premier mariage deux garçons et deux filles qui ont aujourd’hui entre 30 et 40 ans. Et je suis dĂ©jĂ  grand-pĂšre six fois. Ensuite, j’ai eu une fille d’un deuxiĂšme mariage. Elle a 25 ans. Jusqu’à une date rĂ©cente, elle n’avait pas de bons rapports avec les premiers, mais ils ont fini par s’entendre en se liguant contre moi Ă  l’occasion de mon troisiĂšme mariage. Je suis tombĂ© amoureux, il y a trois ans, d’une femme dans la trentaine elle a l’ñge de mon aĂźnĂ©e. Je n’avais pas particuliĂšrement envie d’un enfant, mais MĂ©lanie est tombĂ©e enceinte par accident, et nous nous sommes posĂ© la question de garder le bĂ©bĂ© ou non. J’ai dit Ă  MĂ©lanie que seul son bonheur m’importait et que nous ferions ce qu’elle dĂ©ciderait. Sans me demander si mon Ăąge Ă©tait un problĂšme. Ni cadeau de naissance, ni visite Ă  la maternitĂ©, ni bouquet de fleurs Lou est nĂ©e. C’est ma passion. Une passion que je n’ai pas Ă©prouvĂ©e auparavant, mĂȘme si j’ai aimĂ© et pris soin de tous mes enfants. Ses ­frĂšres et sƓurs doivent le sentir, alors Lou n’a pas de place au sein de notre ­famille
 enfin leur » famille les autres ne veulent pas la voir. Ni cadeau de naissance, ni visite Ă  la maternitĂ©, ni bouquet de fleurs. Je suis assez fortunĂ©, et peut-ĂȘtre qu’ils ont peur de voir s’envoler leur hĂ©ritage. Évidemment, ma mĂšre, ĂągĂ©e de 95 ans, est bien trop vieille et fatiguĂ©e pour jouer son rĂŽle de grand-mĂšre
 C’est le problĂšme des hommes qui font un enfant Ă  60 ans il faut ĂȘtre en mĂȘme temps pĂšre et grand-pĂšre, car les vrais grands-parents sont trop ĂągĂ©s. RĂ©sultat nous devons garder notre fille non-stop. MĂ©lanie mĂšne sa carriĂšre tambour battant, et mĂȘme si nous engageons des nounous, je veux jouer complĂštement mon rĂŽle de pĂšre, et c’est fatiguant. Depuis cette naissance, ma grande maison de famille semble vide, les enfants ne viennent plus en week-end. C’est un paradoxe cruel Lou est un petit ĂȘtre isolĂ© alors que j’ai une trĂšs grande famille. Pour vaincre cette fatalitĂ©, la semaine derniĂšre, ma femme m’a demandĂ© de faire Ă  Lou un petit frĂšre
 PaternitĂ© tardive l'avis du psy Marie Claire Les pĂšres tardifs » sont-ils plus nombreux qu’avant ? Bernard This* Non, de nos jours, ce sont les femmes qui sont enceintes plus tard. Il y a toujours eu des hommes qui Ă©pousent souvent aprĂšs un divorce des femmes plus jeunes et refont des enfants sur le tard. Certains mĂȘme qui disent – ou pensent – Je te laisse un enfant en hĂ©ritage. ». Comme si un enfant pouvait ĂȘtre un hĂ©ritage ! Un pĂšre vieux » peut-il ĂȘtre un handicap pour son enfant ? Il ne jouera peut-ĂȘtre pas au foot avec son fils
 Et l’identification au pĂšre sera plus difficile. Mais il y a aussi des avantages parfois moins de problĂšmes d’argent, plus de disponibilité  En fait, ce n’est ni bien ni mal. Tout dĂ©pend de ce qu’on fait de sa paternitĂ©. J’ai envie de dire Profitez ! S’il n’y en a pas pour longtemps ce qui n’est pas sĂ»r, utilisez au moins ce temps pour construire une belle relation. » Certains jouent les pĂšres grands-pĂšres, d’autres prennent le rĂŽle de la mĂšre
 Peut-on cumuler les fonctions ? PĂšre et grand-pĂšre du mĂȘme enfant, c’est impossible ! Cela relĂšve de l’inceste. Dans une famille, chacun est situĂ© sur une ligne de l’arbre gĂ©nĂ©alogique et doit y rester. Quant Ă  ceux Ă  qui on reproche de materner », ils sont juste paternels. Ils assument leur rĂŽle. C’est quoi le rĂŽle d’un bon pĂšre » ? DĂ©jĂ , cesser de se poser la question
 Et ĂȘtre capable d’entrer en relation affective avec la mĂšre et l’enfant. Être prĂ©sent, au sens fort ici et avec. Aimer l’autre en l’aidant Ă  dĂ©velopper tout son potentiel. CrĂ©er une relation trinifiante »  DĂšs qu’on est trois, on peut multiplier les Ă©nergies de chacun. Pas juste les additionner. C’est ça une famille chacun aide l’autre Ă  se rĂ©aliser au mieux, dans sa fiertĂ© d’ĂȘtre. Il n’y a pas d’ñge pour ça. * Coauteur, avec Raymond Belaiche, de DĂ©jĂ  pĂšre avant la naissance » Ă©d. Belin. Propos recueillis par Marie-Claude Treglia Chaqueenfant avance Ă  son propre rythme: certains bĂ©bĂ©s acquiĂšrent la position assise trĂšs tĂŽt tandis que d’autres prennent plus de temps. Il est inutile de s’alarmer si votre bout’chou ne s’assied pas Ă  l’ñge de 6 mois. En revanche, consultez votre pĂ©diatre si votre bĂ©bĂ© rencontre des difficultĂ©s Ă  maintenir sa tĂȘte Ă  l’ñge de 4 mois. De mĂȘme s’il est incapable Personne n’aime se rĂ©veiller aux aurores en entendant des pleurs ou des cris. Il vous arrive probablement de penser avec nostalgie aux grasses matinĂ©es que vous faisiez avant l’arrivĂ©e du petit. La bonne nouvelle c’est qu’il existe une solution pour retarder le moment de son rĂ©veil ! Qu’est-ce qu’un lĂšve-tĂŽt ? Un enfant lĂšve-tĂŽt » se rĂ©veille avant 6 heures du matin et ne parvient pas Ă  se rendormir sans votre intervention. Il gĂ©mit et pleure pour vous le faire savoir. Sachez qu’un enfant de plus de 6 mois, bĂ©nĂ©ficiant d’assez de sommeil et en bonne santĂ©, devrait se rĂ©veiller entre 6 heures et 7h30 du matin. Il y a 8 raisons possibles pour que votre petit veuille commencer sa journĂ©e avant 6 heures du matin. Une fois que vous aurez identifiĂ© la cause, il sera plus facile de mettre en place la solution adĂ©quate. problĂšme de santĂ© Lorsqu’un bĂ©bĂ© est malade, il rĂ©veille habituellement ses parents pour leur signaler qu’il ne se sent pas bien. Lorsque son Ă©tat de santĂ© n’est pas au beau fixe, un bĂ©bĂ© communique sa douleur et son mal-ĂȘtre, mĂȘme au beau milieu de la nuit. Sachez par exemple qu’une otite est d’autant plus douloureuse lorsque l’enfant est couchĂ©. Portez une extrĂȘme attention Ă  ses pleurs Ă  la vivacitĂ© et l’intensitĂ© ainsi qu’à sa tempĂ©rature corporelle. En cas de doutes ou de symptĂŽmes apparents, contactez votre pĂ©diatre. De mĂȘme, les allergies, les coliques et un rhume peuvent perturber le sommeil de votre enfant. Une autre cause frĂ©quente mais encore trop peu souvent diagnostiquĂ©e est l’apnĂ©e obstructive du sommeil. Pourtant, environ 3% des enfants en souffriraient. Pour vĂ©rifier si votre bambin en serait atteint, rĂ©pondez aux questions suivantes Votre enfant ronfle-t-il rĂ©guliĂšrement ? En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, votre enfant respire-t-il fortement par la bouche en dormant ? Son lit est-il mouillĂ© par la transpiration ? A-t-il un sommeil perturbĂ© ? Si vous rĂ©pondez par l’affirmative pour chacune des questions prĂ©cĂ©dentes, contactez votre pĂ©diatre et demandez-lui de vĂ©rifier les amygdales et les vĂ©gĂ©tations adĂ©noĂŻdes. Les poussĂ©es dentaires ne se classifient pas vraiment dans la catĂ©gorie des soucis de santĂ©. Elles constituent plutĂŽt une Ă©tape incontournable du dĂ©veloppement d’un enfant ĂągĂ© entre 6 et 30 mois. NĂ©anmoins, ces Ă©pisodes peuvent fortement perturber son sommeil. Sachez que ce n’est seulement lorsque votre petit prĂ©sente des signes de gĂȘne, de douleur et se sent grognon en journĂ©e qu’une poussĂ©e dentaire pourrait vĂ©ritablement troubler son sommeil. S’il ne s’en plaint pas pendant les moments d’éveil, je vous invite Ă  prendre connaissance des autres raisons possibles pouvant expliquer un rĂ©veil trop matinal. Pour toutes les causes de gĂšnes physiques vous ne pourrez malheureusement pas agir seul afin de faire reculer l’heure du rĂ©veil. La source de problĂšme est hors de votre portĂ©e. Il vous faudra consulter votre pĂ©diatre ou un spĂ©cialiste pour obtenir une solution d’ordre mĂ©dical. faim Les besoins de votre enfant Ă©voluent au fil des mois. La taille de l’estomac d’un nouveau-nĂ© est bien trop petite pour qu’il puisse dormir toute une nuit sans manger. En moyenne, il devrait ĂȘtre nourri toutes les trois heures. En se dĂ©veloppant, il pourra manger de plus grande quantitĂ© en journĂ©e, ce qui devrait vous permettre de rĂ©duire le nombre des repas nocturnes. Pour vous assurer que la faim ne perturbe pas le sommeil de votre enfant, vĂ©rifiez rĂ©guliĂšrement auprĂšs de votre mĂ©decin que la frĂ©quence des repas et les quantitĂ©s consommĂ©es en journĂ©e correspondent Ă  ses besoins en apports nutritionnels en tenant compte de son Ăąge. siestes trop courtes Les enfants ne fonctionnent pas exactement comme les adultes lorsqu’il s’agit du sommeil. Cela peut sembler insensĂ© mais au plus un enfant dort en journĂ©e, au plus et au mieux il dormira la nuit. Nous avons tendance Ă  penser que si un enfant ne fait pas de sieste, il rĂ©cupĂ©ra les heures de sommeil manquĂ©es la nuit en dormant plus longtemps. Or, la rĂ©alitĂ© est toute autre. Si votre enfant ne se repose pas assez le jour ou ne bĂ©nĂ©ficie pas d’un sommeil de qualitĂ© en dormant par exemple dans une poussette ou dans une voiture, un rĂ©veil trop matinal peut en ĂȘtre la consĂ©quence dĂ©sagrĂ©able. Le tableau ci-dessous vous indique quels sont les besoins en sommeil selon l’ñge de votre enfant. Âge Temps de repos la nuit Temps de repos en journĂ©e Temps de repos moyen 0 – 3 mois heures 7 heures 14 – 17 heures 4 – 11 mois 11 heures heures 12 – 15 heures 1 an 11 heures – 2 heures 12 – 14 heures 2 ans 11 heures heures 12 – 14 heures 3 ans heures heures 11 – 13 heures 4 ans heures Pas de sieste 11 – 13 heures 5 ans 11 heures Pas de sieste 10 – 11 heures 6 ans heures Pas de sieste 10 – 11 heures Traduction française de Sleep Lady Solutions, Average Sleep Needs by Age, 2014 de luminositĂ© dans la piĂšce Lorsque vous faites irruption dans la chambre de votre bout de chou pendant ses siestes ou la nuit, est-il nĂ©cessaire d’allumer la lumiĂšre pour l’apercevoir ? Si ce n’est pas le cas, il est possible que la chambre ne soit pas assez sombre. Le niveau de luminositĂ© pourrait ĂȘtre la cause de votre problĂšme. Les paupiĂšres fines de votre enfant ne permettent pas de bloquer la lumiĂšre alors que son rythme circadien ou horloge interne en dĂ©pend fortement. En effet, Ă  partir de son deuxiĂšme mois d’existence, il parvient Ă  distinguer le jour de la nuit grĂące Ă  la lumiĂšre naturelle qui lui sert principalement de repĂšre. Toute source de lumiĂšre peut amener votre enfant Ă  s’imaginer qu’il est l’heure de se rĂ©veiller. Pour Ă©liminer ce problĂšme, pensez Ă  installer des stores ou des rideaux occultants afin de bloquer la lumiĂšre de l’extĂ©rieur pendant les siestes et la nuit. Evitez Ă©galement les instants de repos dans une poussette ou dans la voiture car les enfants ne bĂ©nĂ©ficient que d’un sommeil lĂ©ger dans ces circonstances Ă  cause de la luminositĂ© gĂȘnante. des signes de fatigue Un enfant extĂ©nuĂ© a gĂ©nĂ©ralement besoin de plus de temps pour s’endormir et se rĂ©veillera plus souvent pendant la nuit. Sachez que si vous ratez son heure naturelle d’endormissement, l’hormone liĂ©e au stress le cortisol va le restimuler. A ce moment-lĂ , il retrouvera de l’énergie comme s’il avait consommĂ© un Reed Bull. Il deviendra plus agitĂ© et sera plus difficile Ă  consoler. Un petit en manque de sommeil est Ă©galement plus sujet Ă  des cauchemars. Si vous voyez que votre enfant somnole, se frotte les yeux, est irritable, voir inconsolable, mĂȘme aprĂšs avoir mangĂ©, il a probablement atteint le stade de l’épuisement. Mettez-le alors dĂšs que possible au lit. Cela vaut aussi bien pour les siestes que pour la nuit. De plus, pour vous assurer que votre petit ne soit pas trop fatiguĂ© le soir venu, il ne peut y avoir plus de 4 heures entre la fin de sa derniĂšre sieste et le coucher. DĂšs lors que chaque bambin est unique, il n’existe pas un horaire universel applicable Ă  tous les petits. Afin de programmer idĂ©alement les moments de repos de votre enfant, gardez un journal de bord pendant une semaine ou deux. Indiquez-y les moments oĂč vous apercevez des signes de fatigue ainsi que l’heure Ă  laquelle vous l’avez couchĂ©. Vous Ă©tablirez ainsi un horaire qui vous assurera qu’il ne sera pas trop Ă©puisĂ© en Ă©tant mis au lit. Les signes de fatigue Ă  observer sont les suivants diminution de l’activitĂ© physique Ă©tat plus calme mouvements plus lents et maladroits diminution de l’expression verbale succion plus faible ou ralentie regard dans le vide bĂąillements succion du pouce ou de la tĂ©tine caresses au doudou ou partie du corps d’un parent jeu avec ses cheveux ou ceux d’un parent Ă©tat de somnolence au moment de se coucher Tout comme parler et marcher, trouver le sommeil est une compĂ©tence qui s’enseigne et s’apprend. Soyez le dodo coach de votre petit en le mettant au lit Ă©veillĂ©. Les premiers mois, bĂ©bĂ© peut trouver les bras de MorphĂ©e en Ă©tant au sein ou avec un biberon en bouche. A partir du quatriĂšme mois, je recommande de laisser au moins une fois par jour votre enfant commencer son instant dodo en Ă©tant Ă©veillĂ© dans son lit. Ainsi, il apprendra Ă  devenir un dormeur indĂ©pendant. Avec le temps, faites-le pour chaque moment de repos et vous dĂ©couvrirez qu’il ne rĂ©clamera plus votre prĂ©sence pour parvenir Ă  fermer les yeux. Ainsi, lorsqu’il se rĂ©veillera aux petites heures, il saura Ă  quelle technique faire appel pour retrouver le sommeil seul voir point suivant. d’associations au sommeil nĂ©gatives Le terme association au sommeil » regroupe tous les actes posĂ©s par un tiers qui aident un bĂ©bĂ© Ă  s’endormir. Les enfants de tout Ăąge, et mĂȘme les adultes, ont des associations au sommeil, qu’ils en soient conscients ou non. Les associations au sommeil nĂ©gatives impliquent gĂ©nĂ©ralement un parent qui fait un ou plusieurs des gestes suivants pendant le sommeil diurne et / ou nocturne laisser son enfant s’endormir au sein ou au biberon le bercer jusqu’à ce qu’il s’endorme dormir Ă  cĂŽtĂ© de son lit tenir sa main jusqu’à ce qu’il s’endorme conduire une voiture ou se balader en poussette pour qu’il s’endorme Si votre petit n’a pas appris Ă  s’endormir seul, il ne parviendra trĂšs probablement pas Ă  se rendormir en pleine nuit sans votre aide. Votre but sera de remplacer ces associations nĂ©gatives. Les associations de sommeil positives impliquent gĂ©nĂ©ralement que l’enfant fasse un ou plusieurs des gestes suivants, sans l’intervention d’un tiers mordre, frotter ou tenir un doudou sucer un ou plusieurs doigts sucer une tĂ©tine frapper les pieds contre le matelas de berceau ou la tĂȘte contre les barreaux du lit basculer d’avant en arriĂšre Ă©mettre des petits sons vocaux brancher un appareil Ă  bruits blancs du coucher arrive trop tard L’heure idĂ©ale pour coucher un enfant se situe entre 19h et 20h. Si l’heure Ă  laquelle votre enfant est mis au lit se situe au-delĂ  de cet intervalle, pensez Ă  l’avancer pour Ă©viter qu’il ne soit trop Ă©puisĂ© au moment de se coucher. Soyez attentifs aux signes de fatigues mentionnĂ©s ci-avant pour dĂ©terminer le moment idĂ©al pour mettre votre enfant au lit. Les parents justifient souvent un coucher plus tardif par le fait qu’un ou les deux parents rentrent tard le soir et souhaitent passer un moment agrĂ©able avec leur enfant chĂ©ri. Dans ces cas-lĂ , je conseille d’en profiter plutĂŽt le matin, avant de partir au travail attention Ă  ne pas le rĂ©veiller trop tĂŽt pour le cĂąliner. Lui offrir un sommeil suffisant et de qualitĂ© devrait ĂȘtre votre prioritĂ©. Dormir suffisamment favorise, entre autres, son dĂ©veloppement physique, le renforcement de son systĂšme immunitaire, la gestion de ses Ă©motions et son apprentissage. Votre enfant est tout simplement un lĂšve-tĂŽt A lecture des 8 raisons mentionnĂ©es ci-avant, vous rĂ©alisez que vous n’avez pas encore l’ombre d’une piste pour retarder le rĂ©veil de votre enfant. Certains parents m’ont confiĂ© ĂȘtre des petits dormeurs et pensent que leur progĂ©niture est identique. MĂȘme si vous avez l’impression que votre enfant n’a pas besoin de beaucoup de sommeil, sachez que tous les petits, sans exception, doivent bĂ©nĂ©ficier d’énormĂ©ment de temps de repos pour bien se dĂ©velopper. Dans le cas oĂč votre bambin se lĂšve rĂ©guliĂšrement avant 6 heures du matin, repassez en revue la liste des facteurs causant des rĂ©veils trop matinaux et essayer d’identifier avec l’aide de votre partenaire la ou les raisons qui poussent votre enfant Ă  se lever avant les poules. Sachez que si vous modifiez un ou plusieurs Ă©lĂ©ments de votre routine pour retarder l’heure du rĂ©veil, le changement n’apparaitra pas soudainement du jour au lendemain. Le processus d’ajustement peut prendre des jours, voire des semaines. Soyez patients et persĂ©vĂ©rants et vous atteindrez votre objectif.
Bebe1 An Se Reveille Trop Tot . Parlez-lui dĂ©pourvu aller dans sa chambre dans le but de le rassurer. Par exemple, dites-lui que vous l’entendez et que vous ĂȘtes tout prĂšs. S’il ne se calme pas, allez le voir pour vous assurer que tout voltampĂšre bien. Pour le rĂ©conforter, vous pouvez d’abord facilement le caresser et lui vocifĂ©rer doucement plutĂŽt que de le prendre tout
Le temps de sommeil dont on a besoin varie avec l’ñge. En cause? La qualitĂ© du sommeil n’est pas la mĂȘme Ă  3 et Ă  60 ans. Tout au long de notre vie, l’éventail de nos nuits se dĂ©ploie trĂšs largement. Nourrissons, nos besoins de sommeil peuvent aller jusqu’à 17 heures. Cette quantitĂ© nĂ©cessaire diminue ensuite jusqu’à l’adolescence pour s’établir dans une fourchette de 7 Ă  8 heures. Et, aprĂšs 65 ans, c’est encore un peu moins. Mais, souligne une Ă©tude parue rĂ©cemment dans la revue scientifique Neuron, c’est davantage la capacitĂ© Ă  dormir que les besoins qui se rĂ©duisent en vieillissant. Un constat que partage le Dr Sylvie Royant-Parola, psychiatre, spĂ©cialiste du sommeil et prĂ©sidente du rĂ©seau de soins MorphĂ©e Globalement, sur vingt-quatre heures, la durĂ©e de sommeil n’est pas trĂšs modifiĂ©e. Mais lorsque l’on prend de l’ñge, on dort avec un rythme diffĂ©rent, et le sommeil est souvent fractionné». Notre sommeil change en qualité L’enfance, pĂ©riode de mise en route du sommeil Que se passe-t-il dans la prime enfance? Le rythme naturel d’endormissement se met en place Ă  partir de quatre Ă  six semaines, grĂące aux donneurs» de temps que sont l’alternance du jour et de la nuit, les repas, mais aussi l’heure du coucher et du lever c’est ainsi que, petit Ă  petit, le bĂ©bĂ© va faire ses nuits». La durĂ©e des cycles de sommeil, elle, passe progressivement des 50 Ă  60 minutes du nouveau-nĂ© aux 90 Ă  120 de l’adulte, dĂšs 3 Ă  4 ans. ParallĂšlement, les siestes, au nombre de trois dans les toutes premiĂšres semaines, vont disparaĂźtre. Vers 6 mois, il n’y en a plus que deux, vers 18 mois plus qu’une, et entre 4 et 6 ans, elles sont peu Ă  peu totalement supprimĂ©es on estime qu’à 4 ans, la moitiĂ© des enfants pratiquent encore la sieste en dĂ©but d’aprĂšs-midi, contre 5 % Ă  6 ans et 1 % Ă  7 ans. Mais elles vont rĂ©apparaĂźtre aprĂšs la cinquantaine
 » LIRE AUSSI - De combien d’heures de sommeil avez-vous besoin? Une sieste de 20 minutes trĂšs positive D’aprĂšs le Pr Matthew Walker, coauteur de l’article de Neuron, 10% des adultes de 55 Ă  64 ans font la sieste, et 25% entre 75 et 84 ans. Pour une moitiĂ© d’entre eux, elle survient de façon imprĂ©vue cela tĂ©moigne de nuits moins reposantes, plus hachĂ©es et plus courtes. La durĂ©e du sommeil profond et rĂ©parateur, qui augmente pendant la petite enfance, baisse entre 6 et 10 ans pour se stabiliser autour de 25% du temps total de sommeil. Avec l’ñge, ce sommeil devient moins profond, avec des ondes lentes moins amples. Ces modifications ont un retentissement important. Car un sommeil plus fragile et davantage d’éveils nocturnes peuvent donner l’impression d’avoir moins dormi. Sans compter que passĂ© un certain Ăąge, comme l’explique le Dr Sylvie Royant-Parola On va au lit plus tĂŽt, on devrait donc se rĂ©veiller plus tĂŽt, ce que gĂ©nĂ©ralement, on ne fait pas. D’oĂč un temps passĂ© au lit trop important, et, en arriĂšre-plan, un sommeil fractionnĂ© et une somnolence tout au long de la journĂ©e.» Bien souvent, les personnes ĂągĂ©es n’ont pas leur quota de repos et s’en plaignent - Ă  raison! Mais, souligne le Dr Sylvie Royant-Parola, elles peuvent y remĂ©dier Comme le sommeil de la personne ĂągĂ©e se modifie, il faudrait qu’elle se couche relativement tard, qu’elle se lĂšve une fois rĂ©veillĂ©e, et qu’elle fasse une petite sieste - pas plus de 20 minutes.» Enfin, pour mieux marquer la diffĂ©rence jour/nuit et ne plus lutter pour s’endormir le soir venu, on a tout intĂ©rĂȘt Ă  se promener au grand air. Et ce, Ă  tout Ăąge!
Maisdepuis trois semaines, il se rĂ©veille systĂ©matiquement vers 6h en hurlant. D'ailleurs, certains jours, il met du temps Ă  se calmer mĂȘme qd on l'a dans les bras. Souvent, quand on arrive dans la chambre, il jette sa sucette et son doudou et s'Ă©nerve qd on le sort de la gigoteuse ( mais il s'Ă©nerve aussi si on ne fait rien et qu'on le laisse dans son lit!).
tout cela est normal. Il faut de la patience, beaucoup de gentillesse et parfois
 un peu de fermetĂ©. Et la nuit il en faut pour montrer Ă  son enfant qu’il doit dormir et qu’on ne va pas se lever sans arrĂȘt. Ă©galement, Comment eviter les rĂ©veils nocturnes de bĂ©bĂ© ? Vous parlez du rituel du soir. Il doit ĂȘtre le plus bref possible en particulier Ă  partir du moment oĂč l’enfant est dans son lit. En effet lors des micro-rĂ©veils de nuit, qui sont parfaitement normaux, l’enfant a souvent besoin pour se rendormir des mĂȘmes “signaux” de sommeil que le soir et donc du mĂȘme rituel 
 Pourquoi mon bĂ©bĂ© de 20 mois se rĂ©veille la nuit ? Reflux, poussĂ©e dentaire, otite
 Dans 20 % des cas, les rĂ©veils multiples sont liĂ©s Ă  une cause organique qui empĂȘche l’enfant de bien dormir. Toutefois, la plupart du temps, il s’agit de problĂšmes comportementaux. Comme les adultes, les enfants se rĂ©veillent plusieurs fois pendant la nuit. ensuite Comment faire pour que mon bĂ©bĂ© se rĂ©veille plus tard ? Rassurez-vous, des solutions existent pour grappiller quelques minutes de sommeil en plus . Voici quatre conseils pour qu’il se rĂ©veille plus tard le matin . 
 Ne sautez pas la sieste. 
 L’envoyer se coucher tĂŽt. 
 Ne pas le laisser se lever. 
 Comprendre ce qui peut pertuber son sommeil. Ainsi que Comment faire pour que bĂ©bĂ© dorme plus longtemps la nuit ? Tamisez la lumiĂšre, essayez de ne pas lui parler et de le changer de couche trĂšs dĂ©licatement, uniquement si c’est nĂ©cessaire. Pendant la journĂ©e, stimulez-le. Sortez vous promener avec lui et, lors des siestes, laissez les rideaux ouverts et ne vous empĂȘchez pas de faire un peu de bruit. Comment arrĂȘter les rĂ©veils nocturnes ?Pourquoi bĂ©bĂ© se rĂ©veille plusieurs fois la nuit ?Pourquoi mon bĂ©bĂ© se rĂ©veille toutes les heures la nuit ?Comment reconnaĂźtre terreur nocturne bĂ©bĂ© ?Comment dĂ©caler le biberon de la nuit ?Comment dĂ©caler l’heure de rĂ©veil de bĂ©bĂ© ?Pourquoi mon enfant se lĂšve trop tĂŽt ?Comment dĂ©caler biberon du matin ?Comment dĂ©caler les biberons pour qu’il fasse ses nuits ?Quand bĂ©bĂ© ne se rĂ©veille plus la nuit ?Comment aider bĂ©bĂ© Ă  enchaĂźner les cycles de sommeil ?Quelle plante pour Ă©viter les rĂ©veils nocturnes ?Quel mĂ©dicament pour eviter les rĂ©veils nocturnes ?Est-ce grave de se rĂ©veiller plusieurs fois la nuit ?Comment dĂ©caler l’heure de rĂ©veil de bĂ©bĂ© ?Comment faire pour que mon bĂ©bĂ© se rĂ©veille plus tard ?Pourquoi je me rĂ©veille plusieurs fois dans la nuit ?Pourquoi on se rĂ©veille plusieurs fois dans la nuit ?Quel Ăąge terreur nocturne bĂ©bĂ© ?Quelle est la diffĂ©rence entre un cauchemar et une terreur nocturne ?Quand s’arrĂȘte les terreurs nocturnes ?Aller plus loin Comment arrĂȘter les rĂ©veils nocturnes ? Ă©teignez les appareils Ă©lectroniques et fuyez les Ă©crans au moins une heure avant d’aller vous coucher ; Ă©vitez de dormir avec des animaux, qui perturbent le sommeil ; limitez autant que possible l’alcool, la nourriture trop riche et Ă©picĂ©e et n’importe quelle activitĂ© trop excitante le soir. Pourquoi bĂ©bĂ© se rĂ©veille plusieurs fois la nuit ? Entre 3 mois et 6 mois, la structure du sommeil n’est pas encore bien solide, et l’enfant se rĂ©veille plusieurs fois dans la seconde partie de la nuit. C’est normal et frĂ©quent le sommeil est trĂšs fragile entre 2 cycles. Il peut cependant rester calme dans son lit, les yeux ouverts et se rendormir. Pourquoi mon bĂ©bĂ© se rĂ©veille toutes les heures la nuit ? Un bĂ©bĂ© peut avoir trop chaud, dormir sur un matelas trop dur, ou encore avoir des reflux discrets mais trĂšs gĂȘnants. Et puis, il peut aussi avoir faim, surtout lorsqu’il est Ă©levĂ© au sein. Enfin, il peut ĂȘtre angoissĂ©. L’essentiel est de lui parler de tout ce qui peut l’inquiĂ©ter. Comment reconnaĂźtre terreur nocturne bĂ©bĂ© ? Pendant une terreur nocturne , l’enfant peut crier, et mĂȘme hurler; sembler terrifiĂ©; ĂȘtre assis dans son lit; avoir les yeux grand ouverts, mais son regard est vide; avoir un discours qui n’a aucun sens; ĂȘtre agitĂ©, dĂ©sorientĂ© et en sueur; ĂȘtre agressif; ne pas supporter qu’on le touche ni qu’on le tienne. Comment dĂ©caler le biberon de la nuit ? S’il continue Ă  s’endormir trĂšs tĂŽt, il faut dĂ©caler l’ensemble des biberons, c’est Ă  dire dans la nuit, lui donner seulement 1/2 biberon pour que le biberon suivant soit vers 8-9 heures du matin, puis dĂ©caler les autres biberons pour que le dernier soit vers 19 heures. Comment dĂ©caler l’heure de rĂ©veil de bĂ©bĂ© ? L’idĂ©al est de laisser dans son lit jusqu’à 6h15 au moins un enfant qui se rĂ©veille Ă  5h30. S’il est plus grand, on peut pousser jusqu’à 6h30, peut-ĂȘtre mĂȘme 7h pour lui laisser le temps de se rendormir. Pourquoi mon enfant se lĂšve trop tĂŽt ? Des siestes trop courtes Cela peut sembler insensĂ© mais au plus un enfant dort en journĂ©e, au plus et au mieux il dormira la nuit. Nous avons tendance Ă  penser que si un enfant ne fait pas de sieste, il rĂ©cupĂ©ra les heures de sommeil manquĂ©es la nuit en dormant plus longtemps. Comment dĂ©caler biberon du matin ? Comment dĂ©caler les heures de bĂ©bĂ© ? Donnez-lui Ă  manger dĂšs qu’il a faim ou essayez de dĂ©caler progressivement l’heure du biberon en l’avançant de 10-15 minutes. Il vous faudra aussi modifier petit Ă  petit les heures de rĂ©veil et de coucher. Pas la peine de vous y prendre trop Ă  l’avance. Comment dĂ©caler les biberons pour qu’il fasse ses nuits ? S’il continue Ă  s’endormir trĂšs tĂŽt, il faut dĂ©caler l’ensemble des biberons, c’est Ă  dire dans la nuit, lui donner seulement 1/2 biberon pour que le biberon suivant soit vers 8-9 heures du matin, puis dĂ©caler les autres biberons pour que le dernier soit vers 19 heures. Quand bĂ©bĂ© ne se rĂ©veille plus la nuit ? De 6 Ă  12 mois bĂ©bĂ© fait presque ses nuits Vers l’ñge de 8 ou 9 mois, il peut dormir de 6 Ă  12 heures par nuit sans se rĂ©veiller pour rĂ©clamer Ă  manger. Comment aider bĂ©bĂ© Ă  enchaĂźner les cycles de sommeil ? Utiliser du bruit blanc pendant les siestes. Cela peut aider bĂ©bĂ© Ă  enchaĂźner un autre cycle de sommeil et faire une sieste plus longue ! Essayer de rendormir votre bĂ©bĂ© Ă  la fin d’un cycle en le berçant, en lui redonnant sa tĂ©tine, en le cĂąlinant, en lui susurrant des mots doux. Quelle plante pour Ă©viter les rĂ©veils nocturnes ? Insomnies et rĂ©veils nocturnes nos atouts naturels La valĂ©riane. Ce n’est pas un hasard si la valĂ©riane vient du latin valere » qui signifie bien se porter ». 
 La camomille romaine. La camomille est la plante herbacĂ©e de l’endormissement par excellence. 
 Le tilleul. 
 Le houblon. 
 La passiflore. 
 La fleur d’oranger. Quel mĂ©dicament pour eviter les rĂ©veils nocturnes ? Les hypnotiques, appelĂ©s couramment somnifĂšres, sont des mĂ©dicaments qui facilitent le sommeil. Ils aident Ă  s’endormir et peuvent Ă©galement contribuer au maintien du sommeil, lorsque leur durĂ©e d’action est suffisamment longue. Est-ce grave de se rĂ©veiller plusieurs fois la nuit ? Le fait de se rĂ©veiller plusieurs fois pendant une longue nuit revient exactement au mĂȘme que de dormir trĂšs peu de temps, voire de ne pas dormir du tout, avec toutes les consĂ©quences nĂ©fastes pour la santĂ© que cela peut entraĂźner, dĂ©montre une Ă©tude publiĂ©e le 8 juillet 2014 dans la revue amĂ©ricaine Sleep Medicine. Comment dĂ©caler l’heure de rĂ©veil de bĂ©bĂ© ? Il peut donc ĂȘtre utile d’avancer un peu l’heure du coucher. Essayez d’envoyer vos petits au lit 20 minutes plus tĂŽt. Si cela s’avĂšre efficace, vous pouvez avancer d’encore 20 minutes – jusqu’à ce que vous ayez trouvĂ© l’heure de coucher idĂ©ale pour votre enfant. Comment faire pour que mon bĂ©bĂ© se rĂ©veille plus tard ? L’idĂ©al est de laisser dans son lit jusqu’à 6h15 au moins un enfant qui se rĂ©veille Ă  5h30. S’il est plus grand, on peut pousser jusqu’à 6h30, peut-ĂȘtre mĂȘme 7h pour lui laisser le temps de se rendormir. Pourquoi je me rĂ©veille plusieurs fois dans la nuit ? – Rester trop longtemps au lit de 20 heures Ă  8 heures, par exemple peut accentuer le phĂ©nomĂšne. l’organisme fait alors moins la diffĂ©rence entre le jour et la nuit, favorisant endormissement en journĂ©e et rĂ©veil la nuit. Pas plus de huit heures couchĂ© », conseillent les spĂ©cialistes. Pourquoi on se rĂ©veille plusieurs fois dans la nuit ? Les rĂ©veils nocturnes s’expliquent par des cycles de sommeil perturbĂ©s Ă  cause du stress ou de mauvaises habitudes alimentation inadaptĂ©e, Ă©cran avant de dormir, etc.. La relaxation et les plantes sont d’une grande aide pour bien dormir la nuit
 Quel Ăąge terreur nocturne bĂ©bĂ© ? Les terreurs nocturnes touchent presque exclusivement les enfants plus ĂągĂ©s, en gĂ©nĂ©ral entre 4 et 12 ans. Quelques cas de terreurs nocturnes chez des bĂ©bĂ©s ont Ă©tĂ© recensĂ©s, dĂšs 18 mois, mais il s’agit lĂ  de quelque chose d’excessivement rare et les parents peuvent dormir tranquilles pendant la petite enfance. Quelle est la diffĂ©rence entre un cauchemar et une terreur nocturne ? Contrairement aux cauchemars qui rĂ©sultent d’une anxiĂ©tĂ© passagĂšre, les terreurs nocturnes sont plus graves et peuvent cacher une angoisse vĂ©ritable. Survenant gĂ©nĂ©ralement au dĂ©but de la nuit, elles peuvent ĂȘtre particuliĂšrement impressionnantes. Quand s’arrĂȘte les terreurs nocturnes ? Les solutions face aux terreurs nocturnes des enfants La technique des Ă©veils programmĂ©s en dĂ©but de nuit peut ĂȘtre essayĂ©e. Dans tous les cas, parlez-en Ă  votre pĂ©diatre, mais un traitement n’est le plus souvent pas nĂ©cessaire et cette parasomnie disparaĂźt habituellement Ă  l’adolescence. Aller plus loin RĂ©fĂ©rence 1 RĂ©fĂ©rence 2 RĂ©fĂ©rence 3 RĂ©fĂ©rence 4 Reference 5
UnbĂ©bĂ© qui se lĂšve tĂŽt peut commencer Ă  perdre l’équilibre entre les muscles du dos et de l’abdomen et les repousser lorsqu’il en a l’occasion. Cela peut ralentir le processus et le faire sauter de la falaise. A quel Ăąge arrĂȘter bĂ©bĂ© ? Chaque bĂ©bĂ© avec un ton diffĂ©rent doit ĂȘtre respectĂ©, mais gĂ©nĂ©ralement entre 9 et 12 mois lorsque le bĂ©bĂ© se lĂšve. Quoi qu’il en
02 Jan 2021 Magalie Quinti PĂ©diatrie Jour aprĂšs jour, bĂ©bĂ© fait des exploits qui nous Ă©merveillent, il apprend vite et sa motricitĂ© de dĂ©veloppe mais attention n’allez pas plus vite que la musique, il y a certaines choses que bĂ©bĂ© doit apprendre tout seul et notamment la position je ne peux pas asseoir mon bĂ©bĂ© ?Tous les parents ont qu’une seule hĂąte c’est d’asseoir son bĂ©bĂ© et de le voir marcher mais parfois cette hĂąte prĂ©cipite certaines Ă©tapes du dĂ©veloppement de la motricitĂ© de bĂ©bĂ©. Nous prĂŽnons de plus en plus la motricitĂ© libre pour les bĂ©bĂ©s et ce n’est pas pour rien. Il y a notamment un super livre que je conseille Ă  tous mes patients qui est De la naissance aux premiers pas » de MichĂšle tout, il est important de diffĂ©rencier deux choses, le fait que bĂ©bĂ© tient assis et sa capacitĂ© Ă  se mettre assis tout seul et il y a une grande diffĂ©rence entre les deux. En effet, Ă  partir du moment oĂč bĂ©bĂ© tient sa tĂȘte et son dos, la position assise ou semi-assise avec du soutien pour manger par exemple peut ĂȘtre possible sur un court temps. Mais ce n’est pas parce que vous mettez votre bĂ©bĂ© dans une chaise haute qu’il est capable de s’asseoir tout bĂ©bĂ© apprend Ă  s’asseoir tout seul aprĂšs plusieurs Ă©tapes cruciales de son dĂ©veloppement moteur. En effet avant de s’asseoir bĂ©bĂ© apprend Ă  Se retourner du dos au ventreSe retourner du ventre au dosRamper en arriĂšreRamper en avantMarcher Ă  4 pattesS’asseoir en positon semi-assiseIl y a donc quelques mois qui passent entre le dĂ©but des acquisitions motrices et le fait que bĂ©bĂ© puisse s’asseoir seul. Grosso modo un bĂ©bĂ© va apprendre Ă  s’asseoir tout seul entre 6 et 9 mois. Pas de panique, si votre bĂ©bĂ© met plus de temps pour apprendre Ă  s’asseoir seul ce n’est pas si grave, il est surement en train de faire d’autres apprentissages. Vous pouvez Ă©galement faire certains jeux d’éveil avec votre bĂ©bĂ© pour l’aider dans ses acquisitions motrices comme vous le propose MichĂšle Forestier dans son livre. Vous pouvez Ă©galement consulter un psychomotricien ou un kinĂ©sithĂ©rapeute spĂ©cialisĂ© dans la petite enfance pour aider votre enfant dans certaines acquisitions si vous trouvez qu’il y a beaucoup de retard. Quels sont les risques d’asseoir mon bĂ©bĂ© trop tĂŽt ?Caler votre bĂ©bĂ© avec des coussins pour qu’il puisse s’amuser assis et dĂ©couvrir le monde n’est pas la meilleure des idĂ©es. En effet, asseoir un bĂ©bĂ© trop tĂŽt peut engendrer diffĂ©rentes rĂ©actions ou de ses mouvements InstallĂ© dans cette position assise sans qu’il soit capable de s’y mettre ou de sortir de cette position l’empĂȘche de bouger librement et donc entraine une diminution des mouvements voire mĂȘme une immobilitĂ©. Cette position est passive et comme il ne sait pas comment bouger pour sortir de cette position, il reste passif, il est prisonnier de cette position. Il peut uniquement jouer avec les objets Ă  portĂ©e de main et ne va pas explorer l’ peur de tomber et l’instabilitĂ© Mettre un bĂ©bĂ© assis sans qu’il en soit capable seul signifie qu’il n’a pas encore la musculature adĂ©quat pour rester stable dans cette position. Il contractera ses muscles et se figera pour essayer de rester stable et pourra Ă©galement dĂ©velopper une peur de tomber. De plus, un bĂ©bĂ© assis trop tĂŽt est souvent un bĂ©bĂ© qui n’a pas suivi les Ă©tapes de dĂ©veloppement de la motricitĂ© et donc n’aura pas forcĂ©ment les diffĂ©rents rĂ©flexes pour se rattraper lors d’une chute par positions d’adaptation Etant donnĂ© que la station assise lui a Ă©tĂ© imposĂ©, votre bĂ©bĂ© ne saura pas comment en sortir et il pourra prendre des mauvaises positions d’adaptation pour tenir assis. Il n’est pas rare de voir ces bĂ©bĂ©s se dĂ©placer assis sur les fesses au bout d’un certain temps par exemple ou s’asseoir avec les jambes Ă©cartĂ©es et les pieds en dedans ce qui bloque totalement les hanches, le dos peut ĂȘtre trop arrondi ou trop raide Ă©galement ce qui empĂȘche toute aisance de Ă  la marche Chaque Ă©tape du dĂ©veloppement moteur est essentielle pour une bonne acquisition de la marche. La position allongĂ©e permet au bĂ©bĂ© de se muscler, le ramper permet une bonne latĂ©ralitĂ© et coordination des ceintures, le 4 pattes renforce la musculature et la coordination, permet d’explorer l’espace en toute sĂ©curitĂ©, de dĂ©velopper ses sens notamment visuel et spatial. Il aura donc une meilleure perception de son corps dans l’espace et saura se mettre en position assis mon bĂ©bĂ© trop tĂŽt, que puis-je faire ? Vous avez assis votre bĂ©bĂ© trop tĂŽt parce que vous pensiez bien faire, vous pensiez qu’il Ă©tait mieux pour lui de pouvoir mieux apprĂ©cier le monde en position verticale qu’allongĂ© sur le ventre ou sur le dos, pas de panique ce n’est pas pour cela que votre enfant va mal partir dans la vie ! Vous l’avez bien vu, une fois que votre enfant est habituĂ© Ă  ĂȘtre en position assise ou verticale il ne veut plus rester trop longtemps allongĂ© il faudra donc user de divers stratagĂšmes pour que votre bĂ©bĂ© continue son apprentissage en position horizontale. En effet, le but n’est pas de l’obliger Ă  rester allongĂ©, le laisser pleurer pendant des pouvez commencer Ă  jouer avec votre bĂ©bĂ© lors du change, le faire rouler d’un cĂŽtĂ© et de l’autre puis doucement de jouer avec sur un tapis d’éveil, lui faire toucher ses mains, ses pieds, rouler
 Restez avec votre bĂ©bĂ© au dĂ©but afin qu’il se sente rassurĂ©. Evitez de laisser votre bĂ©bĂ© trop longtemps dans un transat ou un siĂšge semi-assis avant qu’il puisse s’asseoir car ça favorisera sa volontĂ© d’ĂȘtre en position verticale avant qu’il puisse le faire tout bĂ©bĂ© a des difficultĂ©s dans son dĂ©veloppement moteur, n’hĂ©sitez pas Ă  faire une sĂ©ance d’ostĂ©opathie avec un ostĂ©opathe spĂ©cialisĂ©e en Quinti OstĂ©opathe pĂ©diatrique A Beausoleil, Monaco et Cap d’Ail Articles similaires
3 Éloigner les appareils Ă©lectroniques. Si vous avez du mal Ă  vous rĂ©veiller le matin, c'est peut-ĂȘtre que vous passez trop de temps sur votre smartphone avant de vous endormir. C'est bien

RĂ©veils nocturnes multiples vers quel Ăąge le sommeil agitĂ© de bĂ©bĂ© se rĂšgle-t-il ? Mon fils de 3 ans se rĂ©veille pratiquement toutes les nuits depuis sa naissance. Tant qu’il ne sortait pas de son lit, il pleurait et nous appelait. Maintenant il vient vers 4h du matin dans notre chambre, il rĂ©clame son lait ou attend qu’on le recouche. On a parfois l’impression qu’il veut juste vĂ©rifier qu’on est bien lĂ . » Comme Alicia, de nombreux parents connaissent le calvaire des nuits entrecoupĂ©es de cris et de larmes, oĂč bĂ©bĂ© se rĂ©veille en hurlant. La fatigue s’accumule de jour en jour et l’exaspĂ©ration grandit problĂšmes de sommeil font partie du dĂ©veloppement normal d’un enfant. Mais lorsqu’ils deviennent rĂ©currents et entravent la vie familiale et la vie de couple, ils acquiĂšrent une dimension pathologique. En thĂ©orie, le sommeil du tout-petit se rĂšgle progressivement entre six mois et un certains enfants continuent de s’éveiller plusieurs fois pendant la nuit au-delĂ  de 12 mois. Que faire face Ă  un enfant qui pleure, rĂ©clame Ă  boire, se glisse dans le lit conjugal toutes les nuits ? Les parents sont souvent dĂ©munis On a tout essayĂ©, rien ne marche. Elle se lĂšve quoi qu’il arrive. J’espĂšre que l’école remettra tout ça dans l'ordre », soupire bĂ©bĂ© pleure et se rĂ©veille en hurlant ?Reflux, poussĂ©e dentaire, otite
 Dans 20 % des cas, les rĂ©veils multiples sont liĂ©s Ă  une cause organique qui empĂȘche l’enfant de bien dormir. Toutefois, la plupart du temps, il s'agit de problĂšmes comportementaux. Comme les adultes, les enfants se rĂ©veillent plusieurs fois pendant la nuit. Chez les petit, les cycles de sommeil ne dĂ©passent pas 60 minutes, explique le Dr FrĂ©dĂ©rique Aussert, mĂ©decin spĂ©cialiste des troubles du sommeil au sein du RĂ©seau MorphĂ©e. A la fin de chaque pĂ©riode, ils vont se rĂ©veiller trĂšs briĂšvement puis replonger dans le sommeil. Celui qui ne s’est pas endormi tout seul aura beaucoup plus de mal Ă  gĂ©rer les rĂ©veils nocturnes. Il aura besoin de l’intervention de l’adulte pour l’aider Ă  se rendormir. »D’autres facteurs sont susceptibles de provoquer des rĂ©veils incessants. Unenfant qui a l’habitude de solliciter ses parents toute la journĂ©e sera tentĂ© de faire la mĂȘme chose la nuit. L’amĂ©nagement de l’espace joue un rĂŽle important un lit mal placĂ©, un espace de jeu inexistant
 BĂ©bĂ© doit ĂȘtre Ă  l’aise dans son environnement pour dormir sereinement. Le cumul de changements dans l’environnement d’un bĂ©bĂ© naissance d’un cadet, dĂ©mĂ©nagement, reprise du travail de la mĂšre, dĂ©cĂšs dans la famille
 peuvent aussi crĂ©er un sentiment d’insĂ©curitĂ© chez l’enfant qui va se rĂ©percuter sur son faire quand bĂ©bĂ© se rĂ©veille la nuit ?Les enfants sont des Ă©ponges ils ressentent les Ă©motions de leurs parents et se sentent parfois responsables de leurs inquiĂ©tudes. Dans nombre de mes consultations j’ai entendu des parents Ă©grener leurs angoisses et faire remonter des blessures anciennes, observe la psychologue Lyliane Nemet-Pier. Et quelques jours plus tard, l’enfant ne se rĂ©veillait plus la nuit ». Il est important de mettre des mots sur les souffrances, surtout quand elles arrivent au sein de la famille. Cette maman de deux enfants en sait quelque chose. Notre couple allait mal depuis des mois. Du jour oĂč j’ai dĂ©couvert que mon mari me trompait et que nous avons pris la dĂ©cision de nous sĂ©parer, notre fils de 16 mois a fait des nuits complĂštes. »TrĂšs souvent nous rentrons aussi Ă©puisĂ©s le soir et ne sommes pas assez disponibles pour nos bambins. HappĂ©s par les obligations du quotidien bain, repas, mĂ©nage
, on ne s'accorde aucun moment de rĂ©pit et de dĂ©tente avec nos bĂ©bĂ©s. Dans cette course effrĂ©nĂ©e, l’enfant ne rencontre pas ses parents et ne reçoit pas sa dose d’affection pourtant indispensable avant la longue sĂ©paration de la nuit », affirme Lyliane Nemet-Pier. De la mĂȘme maniĂšre, un enfant mis au lit rapidement sans rituel rassurant aura plus de difficultĂ©s Ă  s’endormir. Le retour Ă  la maison doit ĂȘtre un moment entiĂšrement dĂ©diĂ© Ă  chacun de ses enfants. Je conseille aux parents quand ils rentrent de se poser ne serait-ce que 10 minutes pour jouer, Ă©changer avec leur bĂ©bĂ©. »Combien de fois un bĂ©bĂ© se rĂ©veille par nuit ?Il n’y a pas de chemin tout tracĂ© face aux difficultĂ©s de la nuit. Mais prendre systĂ©matiquement son enfant dans son lit, lui donner un biberon de lait ou se coucher Ă  ses cĂŽtĂ©s, ne semble rĂ©soudre ni Ă  tous les coups, ni durablement les problĂšmes de sommeil en agissant ainsi, on renforce le symptĂŽme et on crĂ©e un conditionnement, insiste Lyliane Nemet-Pier. Le bĂ©bĂ© se rĂ©veillera d’autant plus qu’il sait ce qu’il va obtenir. » En cas de multiples rĂ©veils nocturnes donc, plus de huit fois par nuit avant trois mois et cinq fois jusqu'Ă  deux ans, mieux vaut rassurer son enfant, puis lui expliquer que la nuit n’est pas terminĂ©e et que papa et maman ne veulent pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©s », suggĂšre la psychologue. Soyons aussi vigilant quant Ă  la possibilitĂ© que ces rĂ©veils nocturnes ne cachent un plus gros troubles du sommeil se rĂšglent mieux, en moyenne, en s'interrogeant sur ce qui se passe le jour. Un enfant qui a passĂ© une journĂ©e active, qui a eu des Ă©changes avec ses parents, acceptera plus facilement de se coucher », souligne le Dr FrĂ©dĂ©rique Aussert. Prendre le repas dans une atmosphĂšre calme sans tĂ©lĂ©vision peut aider Ă  l'endormissement car les enfants trop sollicitĂ©s par des images ont plus de mal Ă  se retrouver par la suite tout seul dans leur lit, face Ă  eux-mĂȘmes. Le rituel du coucher constitue un moment clĂ© car il permet au petit d’évacuer ses angoisses. Une histoire, un cĂąlin, une lumiĂšre tamisĂ©e, il n’en faut parfois pas beaucoup plus. Le rituel ne doit pas ĂȘtre expĂ©diĂ©, mais il a un dĂ©but et une fin ». Et lorsqu’il est terminĂ©, il vaut parfois mieux sortir de la chambre quitte Ă  revenir si l’enfant nous rappelle. Plus on reste Ă  cĂŽtĂ© de lui au moment du coucher, plus on lui donne comme message que la nuit est terrifiante et qu’il ne peut s’y plonger seul, analyse la psychologue. En grandissant, l’enfant doit apprendre Ă  affronter cette longue sĂ©paration de la nuit de maniĂšre autonome. »*Lyliane Nemet- Pier est l'auteur de "Cet enfant qui ne dort pas..." et "Aimer ses enfants sans se laisser dĂ©vorer" chez Albin Michel*Le RĂ©seau MorphĂ©e est un centre de santĂ© consacrĂ© aux troubles du sommeil et Ă  leur prise en charge

Pourles petits bouts qui crapahutent avant 9 mois, Marion Pujol indique : " les premiers pas de bébé à 9 mois, c'est un peu trop tÎt. Ils ont notamment pour effet de fragiliser l'équilibre et

AprĂšs ses 4 mois rĂ©volus, votre enfant dĂ©couvre la diversification alimentaire. Au lait s’ajoutent progressivement les lĂ©gumes, les fruits, la viande, les fĂ©culents
C'est une Ă©tape importante du dĂ©veloppement de l'enfant La diversification alimentaire Ă  quel Ăąge et comment ? La diversification alimentaire consiste Ă  introduire des aliments autres que le lait aliments solides dans l'alimentation du nourrisson allaitĂ© ou recevant du lait pour nourrissons. Elle conduit progressivement Ă  une alimentation familiale vers l’ñge de 1 Ă  2 ans. L'Ăąge de la diversification a beaucoup changĂ© au fil du temps. Actuellement, la diversification est dĂ©butĂ©e chez un nourrisson en bonne santĂ© au plus tĂŽt aprĂšs l'Ăąge de 4 mois rĂ©volus et au plus tard Ă  l'Ăąge de 6 mois. La diversification chez les enfants Ă  risque d'allergie est identique Ă  celle des enfants non allergiques. Il n’y a pas d’ordre particulier Ă  respecter pour introduire les diffĂ©rents groupes d’aliments entre 4 et 6 mois lĂ©gumes, fruits, volaille, poisson, viande, Ɠufs, lĂ©gumes secs lentilles, haricots, pois chiches
, fĂ©culents pĂątes, riz, semoule, pain mĂȘme complets, produits laitiers. Les groupes alimentaires peuvent ĂȘtre introduits de façon concomitante en proposant quotidiennement des aliments diffĂ©rents. Une fois ladiversification commencĂ©e, il est recommandĂ© d’introduire sans tarder les allergĂšnes alimentaires majeurs tels que les produits laitiers, l’oeuf et l’arachide, que l’enfant soit Ă  risque d’allergie personnes allergiques dans la famille ou non. Il est dĂ©conseillĂ© de commencer la diversification avant l'Ăąge de 4 mois rĂ©volus ; la retarder au-delĂ  de 6 mois, mĂȘme chez les enfants Ă  risque d'allergie alimentaire pĂšre, mĂšre, frĂšre ou sƓur allergique. Le lait pour nourrissons ne couvrent pas suffisamment les besoins nutritionnels nĂ©cessaires au bon dĂ©veloppement de l'enfant Ă  partir de cet Ăąge. Posez toutes vos questions Ă  votre mĂ©decin traitant ou Ă  votre pĂ©diatre lors de la consultation de suivi de votre nourrisson. La base de l'alimentation le lait, toujours le lait Le lait est indispensable Le lait doit rester la base de l'alimentation de votre enfant. Donnez-lui au moins 500 ml de lait par jour le vĂŽtre ou un lait infantile "1er Ăąge". Puis, progressivement, supprimez un biberon ou une tĂ©tĂ©e, puis deux. Lorsque votre bĂ©bĂ© fait au moins un repas complet sans lait par jour, vous pouvez passer Ă  un "lait 2e Ăąge" plus riche en fer utilisable de 4-6 mois Ă  1 an ou continuer l'allaitement. Lorsque votre petit a huit mois, donnez-lui quatre repas par jour, dont deux repas diversifiĂ©s et pas plus et deux tĂ©tĂ©es ou deux biberons de lait. La "carie du biberon" une menace pour la santĂ© des bĂ©bĂ©s L'utilisation du biberon lors de l'endormissement de l'enfant ou son utilisation entre les tĂ©tĂ©es dans la journĂ©e peut provoquer le dĂ©veloppement de multiples caries trĂšs prĂ©coces dĂšs l'apparition des premiĂšres dents. Quand l’enfant s’endort avec son biberon, le lait, le jus de fruit ou la boisson sucrĂ©e demeure dans la bouche, laissant les dents de lait en contact avec le liquide sucrĂ©. La salive, dont la production diminue pendant le sommeil, ne peut pas faire son travail de nettoyage des dents. Le processus carieux se dĂ©veloppe rapidement dĂ©butant par les incisives supĂ©rieures, il s'Ă©tend ensuite aux autres dents de lait. Les dents noircissent. Elles sont fragilisĂ©es et se fracturent. Leur perte prĂ©coce a un retentissement sur la capacitĂ© de l'enfant Ă  manger et des consĂ©quences sur l'Ă©volution des dents dĂ©finitives. Puis-je remplacer un biberon par un laitage ou du fromage ? Oui, Ă  la place d'une tĂ©tĂ©e ou d'un biberon, et s'il en est friand, vous pouvez donner Ă  votre bĂ©bĂ© du yaourt ou du fromage blanc de temps en temps. Ne mettez pas de miel dans le biberon ou dans le yaourt de votre enfant jusqu'Ă  l'Ăąge d'un an, car il existe un risque de botulisme maladie infectieuse grave affectant le systĂšme nerveux, provoquĂ©e par les spores d’une bactĂ©rie contenues dans les poussiĂšres, dans certains sols, mais aussi dans le miel. Vous pouvez Ă©galement lui donner du fromage rĂąpĂ© sur sa purĂ©e, mais veillez Ă  ce que le fromage soit pasteurisĂ© pour Ă©viter le risque de gastro-entĂ©rite. Voici un repĂšre d'Ă©quivalence une quantitĂ© Ă©quivalente de calcium est apportĂ©e par 1 yaourt, 20 g de fromage ou environ un verre moyen 150 mL de lait. Introduisez les lĂ©gumes dans l'alimentation de votre bĂ©bĂ© Les lĂ©gumes peuvent ĂȘtre introduits dĂšs les 4 mois rĂ©volus de l'enfant. Choisissez des lĂ©gumes bien tolĂ©rĂ©s par l'estomac de votre bĂ©bĂ© les haricots verts, les Ă©pinards, les courgettes sans pĂ©pins et sans peau, les blancs de poireaux, les carottes. Évitez les lĂ©gumes riches en fibres, comme la partie verte des poireaux, les salsifis... plus difficiles Ă  digĂ©rer. CĂŽtĂ© prĂ©paration, les lĂ©gumes doivent ĂȘtre mixĂ©s finement, cuits Ă  l'eau ou Ă  la vapeur, sans ajout de sel. N'hĂ©sitez pas Ă  les introduire au repas du midi, en complĂ©ment du lait. Donnez-les Ă  votre bĂ©bĂ© au biberon ou Ă  la petite cuillĂšre. Introduisez les fruits dans l'alimentation de votre bĂ©bĂ© Les fruits peuvent ĂȘtre introduits dĂšs les 4 mois rĂ©volus de l'enfant, traditionnellement aprĂšs les lĂ©gumes en raison de l'attrait des bĂ©bĂ©s pour le sucrĂ©. Une fois par jour, vous pouvez lui mixer des compotes de fruits cuits ou crus bien mĂ»rs. Puis, Ă  partir de 8 Ă  10 mois, vous pouvez mixer plus grossiĂšrerment les fruits poire, fraise, banane, pĂȘche... Introduisez la viande, le poisson et les Ɠufs dans l'alimentation de votre bĂ©bĂ© La viande et le poisson sont introduits entre 4 et 6 mois, le plus souvent un peu aprĂšs les lĂ©gumes et les fruits. Ils sont des sources de fer utile pour prĂ©venir l'anĂ©mie par carence en fer frĂ©quente chez le nourrisson. Les viandes, dont le jambon cuit, sans gras ni couenne, sont bonnes pour votre petit. Toutefois, limitez les abats et la charcuterie. En revanche, tous les poissons conviennent qu'ils soient gras ou maigres, frais ou surgelĂ©s les poissons panĂ©s sont exclus de l'alimentation de votre enfant Ă  cet Ăąge. Quant aux Ɠufs, votre bĂ©bĂ© doit les manger durs Ă  cet Ăąge. Donnez-lui de la viande, du poisson ou de l'Ɠuf une seule fois par jour. Donnez du poisson Ă  votre nourrisson 2 fois par semaine en variant les espĂšces. Ne dĂ©passez pas 10 g de viande ou poisson soit 2 cuillĂšres Ă  cafĂ© ou 1/4 d'Ɠuf dur, une fois par jour. Au dĂ©but, mixez ou Ă©crasez finement tous ces aliments. Au fur et Ă  mesure que votre enfant grandit, augmentez progressivement les quantitĂ©s. Une alimentation Ă©quilibrĂ©e dĂšs le plus jeune Ăąge Alimentation de votre bĂ©bĂ© attention aux quantitĂ©s ! De six Ă  huit mois, votre bĂ©bĂ© a besoin de 10 g par jour de viande, poisson ou Ɠuf soit l'Ă©quivalent de deux cuillĂšres Ă  cafĂ© de viande ou de poisson ou 1/4 d'Ɠuf dur. Les petits pots sont assez salĂ©s, mais manquent parfois de matiĂšre grasse Le contenu des petits pots pour nourrissons est Ă©quilibrĂ© pour votre enfant. MĂȘme s'il vous paraĂźt fade, ne le resalez pas. S'ils ne contiennent pas de matiĂšre grasse, ajoutez-en une cuillĂšre Ă  cafĂ©. L'eau est indispensable Ă  votre enfant quand il a soif C'est la seule boisson nĂ©cessaire quand votre enfant a soif. En cas de chaleur ou de fiĂšvre, proposez-lui frĂ©quemment de l'eau pour Ă©viter une dĂ©shydratation. Les jus de fruits, trĂšs riches en sucre, sont inutiles avant six mois et ne sont pas indispensables aprĂšs cet Ăąge. Introduisez les fĂ©culents dans l'alimentation de votre bĂ©bĂ© Les farines infantiles Si votre enfant est un "petit mangeur", vous pouvez commencer Ă  lui en proposer entre quatre et six mois farines 1er Ăąge. À partir de six mois, les farines peuvent ĂȘtre mĂ©langĂ©es Ă  un laitage ou Ă  une soupe de lĂ©gumes, en petites quantitĂ©s. Elles lui fournissent de l'Ă©nergie. Les pĂątes, les pommes de terre, les lĂ©gumes secs, le riz Proposez de temps en temps des lĂ©gumes secs lentilles, pois chiches, haricots secs
 en purĂ©e lisse dĂšs 4 Ă  6 mois, en veillant Ă  ce que l’enfant les digĂšre bien. Ces aliments sont riches en fibres, contiennent aussi du fer et des protĂ©ines et sont conseillĂ©s Ă  tout Ăąge. Entre 4 et 6 mois, vous pouvez prĂ©parer Ă  votre bĂ©bĂ© des pommes de terre moulinĂ©es et mĂ©langĂ©es Ă  une soupe de lĂ©gumes. Pour les pĂątes, le pain, le riz, la semoule de blĂ© et les biscuits, votre bĂ©bĂ© pourra les apprĂ©cier d'abord en petite quantitĂ©, puis en quantitĂ© progressivement augmentĂ©e. Un point sur le gluten Le gluten entre dans la composition de nombreuses cĂ©rĂ©ales les diffĂ©rentes espĂšces de blĂ© blĂ© dur, Ă©peautre, kamut ; l'orge ; les hybrides de ces variĂ©tĂ©s par exemple, le triticale, issu du croisement du blĂ© et du seigle. L'introduction du gluten est possible dĂšs le 5 Ăšme mois. Le gluten est introduit en petites quantitĂ©s et augmentĂ© progressivement jusqu'Ă  l'Ăąge d'un introduction prĂ©coce dĂšs le 5Ăšme n'a pas d'influence sur la survenue d'une Ă©ventuelle intolĂ©rance au gluten ultĂ©rieure maladie cƓliaque. Faut-il utiliser des matiĂšres grasses dans la prĂ©paration des plats ? Oui, car le besoin en lipides est plus Ă©levĂ© chez les nourrissons que chez les adultes, les graisses Ă©tant indispensables Ă  son bon dĂ©veloppement. Compte tenu de ces besoins importants de lipides graisses, un ajout systĂ©matique de graisses est nĂ©cessaire dans tous les plats salĂ©s, faits maison ou en petit pots du commerce, s'ils n'en contiennent pas. PrivilĂ©giez les matiĂšres grasses d'origine vĂ©gĂ©tale huile olive, colza et Ă©vitez les fritures. Vous pouvez aussi ajouter au repas une noisette de beurre frais non cuit. Quelques astuces pour une diversification rĂ©ussie La diversification est une pĂ©riode de transition parfois difficile Ă  mettre en quelques conseils De 4 Ă  8 mois, proposez Ă  votre bĂ©bĂ© des aliments mixĂ©s prĂ©paration lisse, puis moulinĂ©e de 8 Ă  10 mois prĂ©paration moins lisse. Les morceaux ne sont introduits qu'Ă  partir de l'Ăąge de 10 mois. Cette progression prĂ©vient la survenue de troubles de l'oralitĂ© et en particulier le refus des morceaux. Si votre enfant refuse un aliment, n'insistez pas et proposez-lui Ă  nouveau le lendemain ou quelques jours aprĂšs. Ses goĂ»ts Ă©voluent. Variez les aliments et apprenez-lui Ă  dĂ©couvrir de nouvelles saveurs. Évitez tout conflit pendant le repas qui doit rester un moment d'Ă©change et de plaisir. Respectez les horaires des repas et Ă©vitez le grignotage entre les repas. Diversification alimentaire cuillĂšre ou biberon ? Faites manger votre bĂ©bĂ© avec une cuillĂšre souple qu'il pourra "tĂ©ter". Cela Ă©vitera qu'il fasse une fausse-route. Mais au debut de la diversification ou s'il est fatiguĂ©, votre bĂ©bĂ© apprĂ©ciera un biberon avec des lĂ©gumes mixĂ©s et mĂ©langĂ©s au lait. ComitĂ© de nutrition de la SociĂ©tĂ© française de pĂ©diatrie. Diversification alimentaire Ă©volution des concepts et recommandations. Archives de PĂ©diatrie 2015;22457-460 Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail. Pas de miel pour les enfants de moins de un an. Site internet Anses. Maison-Alfort France ; 2016 [consultĂ© le 10 novembre 2021] ComitĂ© de nutrition de la SociĂ©tĂ© française de pĂ©diatrie. Allaitement maternel les bĂ©nĂ©fices pour la santĂ© de l'enfant et de sa mĂšre. Archives de PĂ©diatrie 2013;20S29-S48 Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et des produits de santĂ©. Vitamine D chez l’enfant recourir aux mĂ©dicaments et non aux complĂ©ments alimentaires pour prĂ©venir le risque de surdosage. Point d'information du 27 janvier 2021. Site internet Ansm. Saint Denis La Plaine France ; 2021 [consultĂ© le 9 novembre 2021] CollĂšge national des pĂ©diatres universitaires. CollĂšge national hospitalier et universitaire de chirurgie pĂ©diatrique. Alimentation et besoins nutritionnels. ECN 2021. 8Ăšme Ă©dition Elsevier Masson Fiche conseil pour prĂ©server le capital dentaire de votre enfantFiche pratique - PDF, Ko 1000 premiers joursManger Bouger L’importance des dents de lait et les risques liĂ©s aux caries chez le tout-petit 7 examens de suivi mĂ©dical entre les 3 mois et 18 mois de l'enfant

Avrai dire, tout dĂ©pend de l’ñge de votre enfant. En-dessous de 1 an, il est difficile de faire comprendre Ă  un enfant qu’il se lĂšve trop tĂŽt. En effet, il se rĂ©veille parce qu’il a faim ou
Votre bĂ©bĂ© commence Ă  s’asseoir par lui-mĂȘme et vous vous demandez si vous pouvez l’installer dans une chaise haute? Ou, au contraire, il ne semble pas se relever et vous vous inquiĂ©tez de savoir si c’est normal?La position assise est une Ă©tape importante dans le dĂ©veloppement psychomoteur d’un bĂ©bĂ©. C’est vers l’ñge de six mois que bĂ©bĂ© commence Ă  s’asseoir son dos est suffisamment musclĂ© pour maintenir sa colonne et son cou soutient le poids de sa tĂȘte qui jusqu’ici l’entraĂźnait vers l’avant. On considĂšre qu’à neuf mois, un bĂ©bĂ© est capable de s’asseoir par lui-mĂȘme, sans appui ni aide coussins, parents, etc..Asseoir bĂ©bĂ© une bonne idĂ©e? Il est dĂ©conseillĂ© de forcer la position assise la chaise haute et autres ne peuvent ĂȘtre utilisĂ©s qu’à partir du moment oĂč l’enfant se maintient droit par lui-mĂȘme. Si vous asseyez votre bĂ©bĂ© avant qu’il soit en mesure de le faire, cela peut fragiliser ses muscles ou l’habituer Ă  une mauvaise position. Il vaut donc mieux privilĂ©gier les assises inclinĂ©es balancelle et encourager bĂ©bĂ© Ă  s’asseoir plutĂŽt que de le forcer Ă  se maintenir droit stimulez-le afin qu’il lĂšve sa tĂȘte pour voir ses jouets, amĂ©nagez son espace de jeu pour qu’il puisse bouger librement sans se blesser en tombant, Ă  s’asseoir Apprendre la position assise ne se fait pas du jour au lendemain. La premiĂšre Ă©tape-clĂ© est le soutien de la tĂȘte tant qu’il ne peut pas maintenir sa tĂȘte par lui-mĂȘme sans qu’elle le dĂ©sĂ©quilibre, il ne pourra pas se tenir assis. Vers 4 mois, lorsqu’il est couchĂ©, bĂ©bĂ© relĂšve sa tĂȘte pour observer son entourage. Les muscles du cou et de la nuque se fortifient et, petit Ă  petit, sa tĂȘte ne sera plus un poids 6 mois, c’est au tour des muscles du dos d’ĂȘtre suffisamment robustes bĂ©bĂ© va alors apprendre Ă  s’asseoir. Il va relever le haut de son corps en prenant appui sur ses bras et, petit Ă  petit, il n’aura plus besoin d’aide pour se maintenir assis mĂȘme si les risques de chute sont toujours prĂ©sents. Vers 7 mois, il se tient droit sans appui et commence Ă  attraper les objets qui l’ bĂ©bĂ© sait s’asseoir, vous pouvez l’installer dans une chaise haute. S’il semble grognon, refuse de manger ou prĂ©sente des troubles de l’équilibre, cela signifie qu’il est encore trop tĂŽt pour utiliser une chaise haute ou que celle-ci n’est pas adaptĂ©e trop grande, mauvais maintien, etc..Quand s’inquiĂ©ter? Chaque enfant avance Ă  son propre rythme certains bĂ©bĂ©s acquiĂšrent la position assise trĂšs tĂŽt tandis que d’autres prennent plus de temps. Il est inutile de s’alarmer si votre bout’chou ne s’assied pas Ă  l’ñge de 6 mois. En revanche, consultez votre pĂ©diatre si votre bĂ©bĂ© rencontre des difficultĂ©s Ă  maintenir sa tĂȘte Ă  l’ñge de 4 mois. De mĂȘme s’il est incapable de relever son buste et de s’asseoir avec appui vers l’ñge de 8 articles peuvent Ă©galement vous intĂ©resser Enfant hypersensible 6 conseils pour l’aider Ă  gĂ©rer ses Ă©motions À partir de quel Ăąge bĂ©bĂ© commence-t-il Ă  dessiner? Parole d’expert comment contourner le sexisme dans l’éducation des enfants? Pour ne rien manquer de nos conseils et actualitĂ©s, suivez Mamans & Femmes d’Aujourd’hui sur Facebook, Instagram et Pinterest, et inscrivez-vous Ă  notre newsletter. Sans oublier nos pages Femmes d’Aujourd’hui et DĂ©lices!
Enattendant, si vous avez un bĂ©bĂ© lĂšve tĂŽt, comment faire patienter votre petit bout dans son lit ? A vrai dire, tout dĂ©pend de l’ñge de votre enfant. En-dessous de 1 an, il est difficile de faire comprendre Ă  un enfant qu’il se lĂšve trop tĂŽt. En effet, il se rĂ©veille parce qu’il a faim ou parce qu'il a assez dormi. A titre
Vous avez tout essayĂ© mais rien n’y fait votre enfant ne dort jamais Ă  20h et pousse facilement jusqu’à 22h, voire plus. Vous ne savez plus quoi faire pour faire en sorte qu’il dorme tĂŽt. Au-delĂ  du fait que vous n’avez plus de soirĂ©e, votre enfant manque de sommeil en se levant Ă  7h pour aller Ă  la crĂšche ou l’école, cela fait court la nuit. Voici des pistes de rĂ©flexion Ă  explorer pour rĂ©soudre le problĂšme. Sommaire Vous n’ĂȘtes pas seuls ! Et si c’était un couche-tard ? La traduction d’un besoin Les signes d’endormissement Ne pas s’engager dans une lutte pour le coucher RĂ©duire la durĂ©e de la sieste Rassurer votre enfantProfitez de +400€ d'avantages, des conseils d'expertsde nombreux Ă©chantillons, des coffrets offerts, dites-nous oĂč vous en ĂȘtes Vous n’ĂȘtes pas seuls !Les parents ont souvent en tĂȘte l’idĂ©e qu’un enfant ça dort Ă  20h. Du moins chez les autres. Eh bien figurez-vous que vous n’ĂȘtes pas les seuls Ă  vous torturer les mĂ©ninges pour faire dormir votre petit loulou plus tĂŽt. C’est juste que les autres parents n’en parlent pas ! Entre 2 et 6 ans, les problĂšmes d’endormissement sont si c’était un couche-tard ?Les enfants, c’est finalement comme les adultes ils ont chacun leur heure pour se coucher. Il n’est pas impossible que votre enfant soit plutĂŽt du genre Ă  se coucher tard tout simplement parce que c’est son rythme naturel de sommeil. L’autre hypothĂšse c’est que vous avez loupĂ© le coche
 Eh oui, peut-ĂȘtre 20h est trop tard pour votre enfant qui aurait bien Ă©tĂ© dormir 30 minutes ou 1h plus tĂŽt. Le train de sommeil Ă©tant passé  il faut donc attendre le traduction d’un besoinSi votre enfant s’endort tard, c’est peut-ĂȘtre aussi parce qu’il n’a pas assez profitĂ© de vous. Vous rentrez tard du travail ? Peut-ĂȘtre en amĂ©nageant un temps calme de jeu en tĂȘte-Ă -tĂȘte durant 10-15 minutes chaque jour, vous pourrez ainsi remplir son rĂ©servoir d’amour et il pourra aller se coucher plus signes d’endormissementCe n’est pas toujours simple de repĂ©rer les signes d’endormissement d’un enfant. MĂȘme quand il sait parler, il ne va pas forcĂ©ment l’exprimer avec des mots. Il se touche le visage, se frotte les yeux ou la tĂȘte il est temps qu’il aille au lit ! Veillez Ă  ce que l’ambiance soit calme et tamisĂ©e afin que toutes les conditions soient rĂ©unies pour un coucher pas s’engager dans une lutte pour le coucherLe coucher ne doit pas ĂȘtre un moment de tension forcer votre enfant Ă  se coucher n’est pas forcĂ©ment une riche idĂ©e. Vous avez beau lui expliquer qu’il doit dormir, mettre en place un rituel du coucher, s’il n’est pas fatiguĂ©, vous ne pourrez rien y faire. Vous risquez mĂȘme d’entretenir une certaine peur du la durĂ©e de la siesteParfois aussi un enfant qui a du mal Ă  s’endormir le soir dort en fait trop ou trop tard durant la sieste. RĂ©duire le temps de sieste ou coucher votre enfant plus tĂŽt permettra peut-ĂȘtre qu’il s’endorme moins tard le soir. À tester !Rassurer votre enfantEnfin, les problĂšmes d’endormissement peuvent aussi ĂȘtre dus Ă  une angoisse, une peur du noir ou de faire des cauchemars. Certaines acquisitions peuvent aussi perturber le sommeil interrogez-vous sur ce que vit votre enfant Ă  la maison ou Ă  l’école, peut-ĂȘtre vous trouverez un dĂ©but de rĂ©ponse expliquant ce problĂšme du si l’on en croit Isabelle Filliozat, la production de la mĂ©latonine, hormone du sommeil, se rĂ©gule Ă  6 ans et, comme par magie, les enfants s’endorment plus tĂŽt Ă  partir de cet Ăąge-lĂ . Patience donc
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Onne le met pas debout trop tĂŽt Il est prĂ©fĂ©rable de ne pas positionner un enfant debout sans que cela ne soit naturel pour lui et que cela ne vienne de sa propre initiative. Il doit vivre ses propres expĂ©riences ! Une fois prĂȘt, et lui seul sent qu’il l’est, il se lĂšve et entame ses premiers dĂ©placements.
© Konstantin Youganov Fotolia Pour que l’enfant s’approprie le moment du coucher de maniĂšre sereine, il doit savoir que le sommeil est quelque chose de positif pour lui, qu’il est en sĂ©curitĂ© dans son lit et que vous avez confiance en lui. Insomnies du jeune enfant et de l’enfant d’ñge scolaireRefus du coucher et difficultĂ©s d’endormissementLes peurs diversesLes parasomniesLes cauchemarsLes troubles de l’éveil ou parasomnies du sommeil profondLes autres parasomniesLe pipi au lit ou Ă©nurĂ©sieMouvements anormaux liĂ©s au sommeilLes rythmies du sommeilSursauts et myoclonies du sommeilLe syndrome des jambes sans reposRonflements et apnĂ©esDĂ©finitionDu ronflement aux apnĂ©esLes diffĂ©rents types d’apnĂ©esLes symptĂŽmesLe traitementQuestionnaire de sĂ©vĂ©ritĂ© apnĂ©ique de l’enfantLa narcolepsie Insomnies du jeune enfant et de l’enfant d’ñge scolaire Refus du coucher et difficultĂ©s d’endormissement C’est le mĂȘme scĂ©nario tous les soirs. Votre enfant refuse d’aller se coucher et vous supplie de le laisser rester avec vous sur le canapĂ© du salon. Cris, pleurs, hurlements
 Lorsque l’heure de son dodo arrive, toute la famille vit un vrai calvaire. Votre enfant est-il capricieux ou souffre-t-il d’un rĂ©el trouble de sommeil ? Pas toujours Ă©vident de faire la part des choses. Le refus d’aller se coucher peut ĂȘtre secondaire Ă  l’installation progressive de mauvaises habitudes de sommeil. C’est aussi un moment oĂč un enfant peut tester ses parents, en cherchant Ă  repousser les limites fixĂ©es
 peut-ĂȘtre le fait-il aussi dans la journĂ©e ? Parfois aussi, l’horaire de coucher est inadaptĂ© trop tĂŽt, votre enfant peut avoir du mal Ă  s’endormir et peu Ă  peu craindre cette attente pendant laquelle il s’ennuie
 trop tard, il a pu lutter contre le sommeil, ce qui peut aboutir Ă  un certain Ă©nervement qui n’est pas propice Ă  l’endormissement. Ces situations peuvent gĂ©nĂ©rer de l’angoisse et de l’incomprĂ©hension. Dans les insomnies dites conditionnĂ©es », les enfants n’ont pas appris Ă  s’endormir seuls. En exprimant des peurs, ils s’assurent accompagnement et rĂ©confort au moment du coucher. La prĂ©sence du parent est rendue nĂ©cessaire lors du coucher, dĂšs la mise au lit et jusqu’à l’endormissement. Les rituels de coucher sont prolongĂ©s de façon excessive et deviennent de ce fait peu efficaces. L’insomnie conditionnĂ©e empĂȘche l’enfant d’apprendre Ă  s’endormir seul. L’autoriser Ă  s’endormir dans le lit des parents est, pour cette raison, fortement dĂ©conseillĂ©, car l’enfant est alors dans l’impossibilitĂ© de gagner une autonomie qui lui est pourtant nĂ©cessaire face Ă  la situation du coucher. Enfin, s’il souffre d’un trouble du sommeil cauchemars rĂ©currents, difficultĂ©s d’endormissement
, l’enfant peut aussi redouter le moment du coucher. L’apprentissage du sommeil est dĂ©terminant. Il n’est pas nĂ©cessaire de maintenir une lumiĂšre, mĂȘme de faible intensitĂ© comme une veilleuse, par exemple dans la chambre du bĂ©bĂ©. Il n’a pas peur du noir. Au contraire, l’alternance lumiĂšre/obscuritĂ© facilite l’endormissement. Mais sĂ©curiser son enfant dans le noir oblige parfois le parent lui-mĂȘme Ă  se confronter Ă  nouveau Ă  sa propre peur du noir. Si pour certains, cela ne pose aucun problĂšme, d’autres au contraire, projettent plus volontiers leurs propres inquiĂ©tudes. Attention, penser que le protĂ©ger de sa peur en restant prĂšs de lui ou en le laissant dormir avec vous ne fait que renforcer son idĂ©e qu’il existe quelque chose de dangereux Ă  s’endormir seul. Certains enfants dĂ©veloppent ainsi de rĂ©elles phobies lors du coucher. Chez les plus ĂągĂ©s, la peur d’ĂȘtre le dernier Ă  s’endormir est frĂ©quente et peut induire un Ă©tat de panique Ă  l’idĂ©e que personne ne puisse leur rĂ©pondre ou leur porter secours. Les peurs diverses L’enfant plus ĂągĂ© est de plus en plus conscient de son environnement. Apparaissent alors les peurs du noir, des monstres ou autre mĂ©chant loup » ! Autant de raisons pouvant justifier le refus du coucher. Le rĂŽle des parents est de pouvoir mettre l’enfant en confiance lors du coucher. Le convaincre qu’il peut s’endormir seul dans l’obscuritĂ© sans crainte, sera indĂ©niablement un facteur de sĂ©curitĂ©. Pour que l’enfant s’approprie le moment du coucher de maniĂšre sereine, le sommeil doit lui ĂȘtre enseignĂ© comme un comportement positif et non comme une situation de sĂ©paration difficile ou un moment conflictuel, et lui montrer qu’il est en sĂ©curitĂ© dans son lit et que vous avez confiance en lui. Il convient donc plutĂŽt de rassurer l’enfant, en l’écoutant attentivement pour comprendre ce qui lui fait peur. Cela peut ĂȘtre, par exemple, un monstre en 3D au pied de son lit ; ne pas rĂ©futer qu’il a vu un monstre, mais lui expliquer que c’est son esprit prĂȘt Ă  dormir qui l’a fait apparaĂźtre. En effet, il a pu avoir des hallucinations hypnagogiques, ce qui est normal chez l’enfant de 3-4 ans. Il s’agit d’illusions apparaissant au moment de l’endormissement, vĂ©ritables rĂȘves Ă©veillĂ©s ». Il faudra alors chercher avec lui des solutions pour le chasser symboliquement, mais efficacement. Un dessin le reprĂ©sentant jetĂ© Ă  la poubelle, peut finir la discussion. La peur peut aussi ĂȘtre la continuitĂ© de craintes cumulĂ©es dans la journĂ©e. Si le comportement de votre enfant s’est modifiĂ© avec des moments de repli, des colĂšres intenses, une certaine agitation, un manque d’appĂ©tit, il conviendra d’évoquer un malaise psychologique plus profond et de prĂ©voir une consultation chez un pĂ©dopsychiatre ou un psychologue. Les thĂ©rapies comportementales voir Que faire en cas de difficultĂ©s » mettent en place un vĂ©ritable entraĂźnement qui intĂšgre tous les paramĂštres, y compris celui de l’environnement du sommeil. Elles habituent l’enfant Ă  son propre lit, diminuent la charge anxieuse associĂ©e Ă  sa chambre, mais permettent Ă©galement de modifier les attitudes parentales qui ont parfois tendance Ă  entretenir inconsciemment le fait que l’enfant soit dĂ©pendant de ses parents pour s’endormir. . Les parasomnies Les parasomnies sont des comportements anormaux survenant pendant le sommeil. Elles peuvent ĂȘtre moteurs le sujet bouge, verbales il parle ou sensorielles et sont classĂ©es en fonction du moment de leur apparition au cours du cycle de sommeil. Chez l’enfant, il s’agit de manifestations tout Ă  fait bĂ©nignes, qui ne deviennent anormales que si elles se rĂ©pĂštent trop souvent. Les cauchemars Les cauchemars mauvais rĂȘves peuvent apparaitre tĂŽt entre 1 ou 2 ans. Ils surviennent souvent en milieu ou fin de nuit. Les cauchemars peuvent devenir problĂ©matiques lorsqu’ils sont frĂ©quents plusieurs fois par semaine, Ă©ventuellement toujours sur le mĂȘme thĂšme. AprĂšs un cauchemar, l’enfant est rĂ©veillĂ© et encore tout effrayĂ© de ce qu’il vient de vivre. Des cauchemars isolĂ©s, avec des contenus variables ne sont pas des signes d’alerte et surviennent de maniĂšre habituelle chez les jeunes enfants. Le problĂšme apparaĂźt lorsqu’ils sont rĂ©currents car ils peuvent entraĂźner la crainte d’aller au lit. DĂšs 5 ans, il est possible en consultation de travailler avec l’enfant en le faisant dessiner ou modeler avec de la pĂąte Ă  modeler, ou mimer son mauvais rĂȘve. Dans tous les cas, l’objectif est d’aider l’enfant Ă  transformer le cauchemar en un rĂȘve qui se finit bien ou de le faire disparaĂźtre. Les troubles de l’éveil ou parasomnies du sommeil profond Les terreurs nocturnes, les Ă©veils confusionnels et le somnambulisme sont des troubles trĂšs frĂ©quents chez l’enfant. Ils correspondent Ă  un phĂ©nomĂšne d’éveil partiel en phase de sommeil lent profond. Les terreurs nocturnes Les terreurs nocturnes se traduisent par un Ă©veil » brutal en fait l’enfant n’est pas vraiment rĂ©veillĂ© souvent accompagnĂ© par un cri et des pleurs. L’enfant s’assoit sur son lit, les yeux sont grands ouverts, il semble en proie Ă  une terreur intense. Il est couvert de sueur, sa respiration est forte, saccadĂ©e, son cƓur bat vite. Il peut sauter du lit. Il ne rĂ©pond pas quand on lui parle, ne reconnait pas son entourage. Il peut prononcer des paroles incohĂ©rentes. Les essais pour le rĂ©veiller sont souvent infructueux et peuvent entraĂźner des rĂ©actions agressives ou provoquer un rĂ©flexe d’échappement hors du lit. Elles durent de 1 Ă  20 minutes puis l’enfant se rendort. Les terreurs nocturnes sont relativement frĂ©quentes entre 4 et 8 ans presque 15% des enfants de moins de 10 ans en ont fait de façon occasionnelle. Les terreurs nocturnes rĂ©pĂ©titives sont plus rares environ 1 Ă  3% des enfants de moins de 15 ans. L’épisode est gĂ©nĂ©ralement unique durant la nuit. Les Ă©veils confusionnels TrĂšs souvent confondus avec les terreurs nocturnes, ils sont frĂ©quents chez l’enfant de moins de 5 ans. Ils surviennent lors d’une sieste ou en dĂ©but de nuit et peuvent se rĂ©pĂ©ter durant cette derniĂšre. Progressivement, l’enfant grogne, pleure puis il s’agite et peut sortir de son lit, il repousse celui qui cherche Ă  le consoler. L’enfant semble rĂ©veillĂ© mais en rĂ©alitĂ© dort profondĂ©ment. Ces accĂšs peuvent durer de quelques minutes Ă  plus d’une heure. Le somnambulisme Si le somnambulisme peut dĂ©buter dĂšs que l’enfant est capable de marcher, il est plus frĂ©quent chez les 6-12 ans. Il s’agit d’une manifestation trĂšs banale – 15 Ă  40% des enfants de 1 Ă  15 ans ont fait au moins un accĂšs de somnambulisme – qui touche aussi bien les garçons que les filles, mais les accĂšs rĂ©pĂ©tĂ©s sont beaucoup plus rares 1 Ă  6% des enfants sont rĂ©ellement somnambules, faisant plusieurs accĂšs par mois. L’enfant a les yeux grands ouverts. Le visage est inexpressif, sa dĂ©marche est lente. Le somnambule rĂ©alise des actes relativement Ă©laborĂ©s Ă©viter des meubles, descendre des escaliers mais il peut Ă©galement se blesser, en particulier dans une maison qu’il ne connaĂźt pas. L’enfant est gĂ©nĂ©ralement docile si on n’essaye pas de le rĂ©veiller. Ces Ă©pisodes durent habituellement moins de dix minutes. Il existe une forme plus agitĂ©e de somnambulisme, beaucoup plus rare, qui survient essentiellement chez l’adolescent. Au cours de cet accĂšs un peu particulier, la dĂ©marche est anxieuse. L’adolescent est agitĂ© et parle davantage et de façon incohĂ©rente. Lorsqu’on le touche, il se recroqueville. Les stimulations augmentent son Ă©tat d’agitation et il peut avoir des rĂ©actions violentes. Le risque de blessure est plus Ă©levĂ©. Quels sont les facteurs communs Ă  ces trois parasomnies ? Le plus souvent ces symptĂŽmes surviennent par pĂ©riodes ; par exemple, tous les soirs pendant 15 jours ou 3 semaines, puis plus rien pendant un mois. Dans 60 Ă  80% des cas, la parasomnie est hĂ©rĂ©ditaire antĂ©cĂ©dents chez le pĂšre ou la mĂšre. Elle survient au cours de la premiĂšre partie de la nuit, 1 Ă  3 heures aprĂšs l’endormissement. L’enfant ne se souvient pas de cet Ă©pisode le lendemain matin. Le rĂ©veiller est particuliĂšrement difficile du fait du sommeil lent profond. Il refusera le plus souvent les consolations. Le contenir ou le rĂ©veiller peut entraĂźner un rĂ©flexe d’échappement, l’enfant peut sortir de son lit, se mettre Ă  courir ou ĂȘtre violent. Toutes les parasomnies sont causĂ©es par un certain nombre de facteurs communs stress, anxiĂ©tĂ©, fiĂšvre, activitĂ© musculaire intense trop tardive ; distension de la vessie boisson trop abondante le soir ; privation ou rythme irrĂ©gulier de sommeil. Certaines maladies du sommeil se combinent parfois avec des parasomnies. Ceci arrive dans les cas oĂč terreurs nocturnes ou somnambulisme sont anormalement frĂ©quents. Le mĂ©decin recherchera un syndrome obstructif baisse du dĂ©bit d’air Ă  l’intĂ©rieur des poumons ; un syndrome de mouvements pĂ©riodiques des membres ; une hypersomnie. Terreurs nocturnes ou cauchemars ? La terreur nocturne et l’éveil confusionnel sont trĂšs souvent confondus avec le cauchemar. Celui-ci apparaĂźt en seconde partie de nuit, au cours d’une pĂ©riode de sommeil paradoxal, alors que les terreurs nocturnes apparaissent en premiĂšre partie de nuit au cours du sommeil lent profond. L’enfant qui vient de faire un cauchemar est parfaitement rĂ©veillĂ©, il pourra raconter son rĂȘve, il s’en souviendra le lendemain matin. DiffĂ©rences entre terreurs nocturnes et cauchemars [table-wrap bordered= »true » striped= »true »] Terreurs nocturnes Cauchemars Horaire 1Ăšre partie de la nuit 2e partie de la nuit SymptĂŽmes Hurle, signes de peur intense Appels, peur moins intense Contenu mental Pauvre ElaborĂ© AmnĂ©sie Oui Non CapacitĂ© Ă  rĂ©pondre Difficile Facile Etat de conscience Confus Normal RĂ©-endormissement Facile Difficile [/table-wrap] A quel moment faut-il s’inquiĂ©ter ? Dans l’immense majoritĂ© des cas ces symptĂŽmes sont caractĂ©ristiques d’une phase Ă©volutive de l’enfant et ne nĂ©cessitent pas d’inquiĂ©tude particuliĂšre. Par mesure de prĂ©cautions, il vaut mieux s’assurer que la chambre ne comporte pas de danger. En effet, mĂȘme si cela est rare, l’enfant peut se lever, ouvrir des portes, des fenĂȘtres, descendre des escaliers, sortir de chez lui. La prĂ©vention d’éventuels accidents, en particulier de dĂ©fenestration, est donc primordiale. Les risques croissent si les Ă©pisodes sont trĂšs frĂ©quents supĂ©rieurs Ă  un par semaine ; il existe des antĂ©cĂ©dents familiaux importants ; la durĂ©e des Ă©pisodes excĂšde dix minutes ; l’enfant prĂ©sente un rĂ©flexe d’échappement. Terreurs nocturnes ou hallucinations hypnagogiques ? Plus rarement, les terreurs nocturnes peuvent parfois ĂȘtre confondues avec des hallucinations dites hypnagogiques ». Ces derniĂšres surviennent Ă  l’endormissement dans un demi-sommeil, au moment oĂč l’enfant se contrĂŽle moins bien. Leurs manifestations sont variĂ©es. Elles peuvent ĂȘtre physiques avec des sursauts ou une impression de tomber, d’avoir un bras trop long ; visuelles l’enfant croit voir un monstre ou un loup derriĂšre le rideau ; auditives les bruits de la maison ne sont plus familiers, la machine Ă  laver grogne ; tactiles l’enfant a l’impression que des bestioles envahissent son lit. Ces hallucinations apparaissent souvent vers 2 ou 3 ans. Elles sont amplifiĂ©es par la peur du noir, une anxiĂ©tĂ© trop importante et peuvent expliquer certaines oppositions au coucher. Ce n’est pas de l’épilepsie Beaucoup plus rarement, on pourrait confondre les terreurs nocturnes et les Ă©veils confusionnels avec une crise d’épilepsie. Cependant, cette derniĂšre prĂ©sente des particularitĂ©s il n’y a pas de pĂ©riode calme ; les accĂšs trĂšs courts moins d’une minute ; les crises sont rĂ©pĂ©tĂ©es au cours d’une mĂȘme nuit ; les crises peuvent avoir lieu tant en seconde partie de nuit que durant la journĂ©e ; elles sont identiques d’un accĂšs Ă  l’autre ; les mouvements sont brusques et anormaux, souvent stĂ©rĂ©otypĂ©s se dĂ©roulant toujours selon le mĂȘme schĂ©ma. Le rĂŽle du mĂ©decin La prise en charge dĂ©pend de l’ñge de l’enfant, de l’importance et de la frĂ©quence des parasomnies. Dans les formes simples troubles apparaissant Ă©pisodiquement et si l’enfant a moins de 12 ans, le mĂ©decin a pour rĂŽle de rassurer l’enfant et ses parents et d’informer sur les mĂ©canismes du trouble. En revanche, chez les jeunes enfants ou dans le cas d’un adolescent, il envisagera une prise en charge psychologique. En effet, dans ces deux situations, la grande frĂ©quence des parasomnies et leur persistance Ă  un Ăąge tardif tĂ©moignent souvent d’un stress important. Que peuvent faire les parents ? Il ne faut pas tenter de rĂ©veiller la personne et intervenir le moins possible en restant neutre. Si les dĂ©ambulations sont importantes, il convient de mettre en place l’ensemble des mesures destinĂ©es Ă  protĂ©ger la personne contre toute possibilitĂ© de blessures Ă©viter les lits en hauteur, les coins de meubles agressifs en mĂ©tal, fermer les fenĂȘtres par des verrous haut placĂ©s, rideaux Ă©pais aux fenĂȘtres, protection des escaliers par des barriĂšres. Les parents de jeunes enfants ayant des accĂšs de somnambulisme peuvent essayer de modifier les horaires de sommeil et Ă©ventuellement restaurer une sieste. Les mĂ©dicaments Ils ne sont prescrits que dans les cas oĂč les parasomnies perturbent le cercle familial, ou si les dĂ©ambulations sont prolongĂ©es et/ou dangereuses. Les tranquillisants et les anxiolytiques sont souvent efficaces. Plusieurs cas particuliĂšrement graves hypersomnie, Ă©pilepsie, parasomnies pouvant devenir trĂšs frĂ©quentes, violentes ou entraĂźner d’importantes perturbations au sein du cercle familial peuvent pousser le mĂ©decin Ă  procĂ©der, durant le sommeil du patient, Ă  un examen d’analyse des variables physiologiques importantes Ă©lectroencĂ©phalogramme, rythmes respiratoire et cardiaque
. Les autres parasomnies Somniloquie La somniloquie est le fait de parler pendant le sommeil. C’est trĂšs frĂ©quent chez l’enfant. Ces paroles sont probablement le reflet de l’activitĂ© mentale. Les Ă©pisodes de somniloquie peuvent survenir en sommeil lent et en sommeil paradoxal. Le discours est souvent confus au cours du sommeil lent alors qu’il est cohĂ©rent et mĂȘme comprĂ©hensible lorsqu’il survient en sommeil paradoxal. Ce dĂ©calage est dĂ» au fait que les paroles sont directement liĂ©es Ă  un rĂȘve durant le sommeil paradoxal. Paralysie du sommeil Elle se produit quand l’atonie due au sommeil paradoxal abolition du tonus musculaire persiste au moment d’un Ă©veil. Ces paralysies s’accompagnent d’une angoisse importante. Elles surviennent quelquefois chez des sujets tout Ă  fait normaux, et plus frĂ©quemment dans des cas familiaux spĂ©cifiques, en dehors de celui de la narcolepsie. Bruxisme Le bruxisme est le fait de grincer des dents pendant le sommeil. Les mouvements de friction peuvent, Ă  la longue, entraĂźner des problĂšmes orthodontiques. Classement des parasomnies [table-wrap bordered= »true » striped= »true »] Sommeil lent profond Sommeil paradoxal Autres parasomnies Terreur nocturne Cauchemar Hallucination hypnagogique Éveil confusionnel Paralysie du sommeil EnurĂ©sie Somnambulisme Trouble du comportement Rythmie Myoclonie Crampe Bruxisme [/table-wrap] Le pipi au lit ou Ă©nurĂ©sie Quand parle-t-on d’énurĂ©sie ? Elle correspond Ă  une Ă©mission involontaire d’urine, survenant pendant la nuit, qui apparaĂźt Ă  un Ăąge ou la propretĂ© est habituellement acquise ou persiste l’enfant n’a jamais Ă©tĂ© propre. L’incontinence nocturne disparaĂźt gĂ©nĂ©ralement entre 18 mois et 3 ans, mais elle peut durer, sans que cela soit anormal, jusqu’à un Ăąge beaucoup plus tardif. On ne pourra donc pas parler d’énurĂ©sie avant l’ñge de 5 ou 6 ans. Les diffĂ©rents types d’énurĂ©sies Il y a deux familles d’énurĂ©sies. On parle d’énurĂ©sie primaire si la propretĂ© n’a jamais Ă©tĂ© acquise, et d’énurĂ©sie secondaire si celle-ci est apparue aprĂšs une pĂ©riode de propretĂ© nocturne de plus de 6 mois. Les Ă©nurĂ©sies peuvent ĂȘtre mono-symptomatique, c’est-Ă -dire isolĂ©e et nocturne plus frĂ©quente chez les garçons ; due Ă  une immaturitĂ© vĂ©sicale, associĂ©e Ă  des pertes involontaires d’urine dans la journĂ©e plus frĂ©quente chez les filles. L’énurĂ©sie est une affection assez frĂ©quente. L’hĂ©rĂ©ditĂ© joue un rĂŽle dĂ©terminant. En effet, si 12 Ă  15% des enfants sont Ă©nurĂ©tiques, ce chiffre passe Ă  45% lorsqu’un des parents l’a Ă©tĂ©, et mĂȘme Ă  75% si les deux parents ont souffert de ce trouble. Dans 6% des cas, il touche des garçons. Les Ă©pisodes Ă©nurĂ©tiques peuvent survenir Ă  tous les stades de sommeil, mais ils sont un peu plus frĂ©quents au cours du sommeil lent profond, en premiĂšre partie de nuit. Les causes de l’énurĂ©sie Les origines de l’énurĂ©sie ne sont pas encore totalement identifiĂ©es. Plusieurs facteurs sont vraisemblablement en cause un retard de maturation des capacitĂ©s d’éveil lorsque la vessie est pleine ; une diminution de la capacitĂ© de la vessie, en relation avec les contractions vĂ©sicales au cours de la nuit ; un excĂ©dent d’urine liĂ© Ă  une diminution de la sĂ©crĂ©tion nocturne de l’hormone antidiurĂ©tique ; dans moins de 10% des cas, les causes sont de nature psychopathologiques. Elles accompagnent surtout les Ă©nurĂ©sies secondaires. Mais le plus souvent, elle est un symptĂŽme complĂštement isolĂ© chez un enfant gai, tonique, dans une famille Ă©quilibrĂ©e et rassurante. S’il arrive que l’enfant soit plus anxieux, plus solitaire et moins communicatif qu’un autre, c’est, dans la plupart des cas, davantage la consĂ©quence de l’énurĂ©sie et des jugements nĂ©gatifs qu’elle entraĂźne, plutĂŽt que sa cause. Que peuvent faire les parents si un enfant n’est pas propre Ă  5-6 ans ? Ils peuvent commencer par rĂ©gulariser les heures de lever et de coucher, Ă©viter les privations de sommeil et enfin demander Ă  l’enfant de passer aux toilettes avant de se coucher. Il convient de le rassurer en lui expliquant que ce n’est pas grave, que probablement plusieurs de ses petits copains de classe font aussi pipi au lit. Mais il est important de ne pas banaliser le problĂšme et de responsabiliser l’enfant en lui demandant, par exemple, de mettre ses draps et ses vĂȘtements sales Ă  laver ou d’aider Ă  refaire son lit avec des draps propres. Les parents peuvent ensuite l’aider Ă  remplir un calendrier mictionnel » adaptĂ© Ă  son Ăąge oĂč seront notĂ©es les nuits sĂšches ou humides reprĂ©sentĂ©es par un soleil et une pluie, ou par des gommettes de diffĂ©rentes couleurs. Plusieurs nuits sĂšches pourront ĂȘtre rĂ©compensĂ©es. Tous ces petits moyens sont nĂ©cessaires et souvent suffisants, ils permettent Ă  l’enfant de prendre conscience du problĂšme et de s’impliquer dans sa prise en charge. Ils aboutissent Ă  une solution dans 25% des cas. Si au bout de trois mois, l’énurĂ©sie persiste, il est important de consulter votre mĂ©decin. Quel est le rĂŽle du mĂ©decin ? Il Ă©liminera une Ă©ventuelle cause organique par un examen neurologique et gĂ©nito-urinaire, associĂ© Ă  un examen des urines, voire par une exploration urologique. Ces causes mĂ©dicales sont rares. Elles sont envisageables en cas d’énurĂ©sie secondaire ou d’énurĂ©sie par immaturitĂ© vĂ©sicale. Il peut s’agir d’une infection urinaire, d’une malformation, beaucoup plus rarement d’une Ă©pilepsie nocturne, d’un syndrome d’apnĂ©es du sommeil, de mĂ©dications somnifĂšres, d’une allergie, d’un diabĂšte
 Le mĂ©decin prendra en charge l’enfant et tiendra un calendrier mictionnel assidu. En collaboration avec un kinĂ©sithĂ©rapeute, il pourra mettre en place des sĂ©ances de rééducation permettant Ă  l’enfant de prendre conscience du rĂŽle de ses sphincters. La rĂ©ussite de cette dĂ©marche dĂ©pendra de la qualitĂ© des relations tissĂ©es entre le mĂ©decin et l’enfant, mais Ă©galement de la motivation et de la coopĂ©ration active de l’enfant, qui ne peut ĂȘtre espĂ©rĂ©e avant l’ñge de 8 ou 9 ans. Cette prise en charge pourra aboutir Ă  une psychothĂ©rapie plus spĂ©cifique, en particulier chez l’adolescent. Si l’enfant est motivĂ©, le mĂ©decin pourra prescrire l’utilisation d’un systĂšme d’alarme. Cette mĂ©thode est efficace puisqu’il existe un succĂšs thĂ©rapeutique d’environ 80% dans un dĂ©lai de 10 Ă  20 semaines, si les conditions d’utilisation sont bien comprises et correctement suivies par l’enfant. Les traitements mĂ©dicamenteux ne se justifient chez le prĂ©adolescent qu’aprĂšs l’échec des autres mĂ©thodes, ou quand le retentissement psychologique de l’énurĂ©sie est important. Mouvements anormaux liĂ©s au sommeil Les rythmies du sommeil Mathieu est un petit garçon de 4 ans en parfaite santĂ©. Pourtant, son comportement de sommeil inquiĂšte beaucoup ses parents. En effet, Ă  peine mis dans son lit, Mathieu se met Ă  quatre pattes, se balance violemment d’avant en arriĂšre et se cogne la tĂȘte contre le montant de son lit. Un chantonnement accompagne ses mouvements. Ils rĂ©apparaissent parfois dans la nuit. Si cette scĂšne semble ĂȘtre tirĂ©e d’un film d’horreur, il ne s’agit en rĂ©alitĂ© que d’un jactatio capitis nocturna, la plus impressionnante des rythmies. Dans ce cas, l’enfant passe simplement trop de temps dans son lit par rapport Ă  ses besoins de sommeil, il suffit alors de retarder son heure de coucher pour qu’elles disparaissent. Qu’est-ce qu’une rythmie ? Les rythmies sont des mouvements de balancement de la tĂȘte et du corps, survenant au moment de l’endormissement. Parfois violentes, elles peuvent provoquer le dĂ©placement du lit et s’accompagner de vocalisations. TrĂšs frĂ©quentes dans les premiers mois de vie 60% des nourrissons de 9 mois se balancent dans leur lit en chantonnant, elles peuvent parfois durer plus longtemps 8% des enfants de 4 ans ont encore des rythmies. Ce trouble rĂ©gresse en gĂ©nĂ©ral assez rapidement quelques mois, voire quelques annĂ©es. Un trouble Ă©motionnel est dans la plupart des cas Ă  l’origine des rythmies persistant jusqu’à l’adolescence. Que peuvent faire les parents ? Chez le jeune enfant, il n’est pas utile de s’inquiĂ©ter puisqu’il s’agit d’un trouble tout Ă  fait bĂ©nin. Si les mouvements sont violents, il faudra rembourrer le pourtour du lit et Ă©viter que celui-ci ne se dĂ©place ou fasse du bruit. Faire en sorte que l’enfant ne passe pas trop de temps dans son lit sans dormir. S’il se balance, par exemple pendant une demi-heure avant de s’endormir, il sera prĂ©fĂ©rable de le coucher une demi-heure plus traitements mĂ©dicaux sont Ă  envisager seulement Ă  un stade oĂč la rythmie devient source d’embarras pour les enfants plus ĂągĂ©s, au point qu’ils refusent de dormir en prĂ©sence de leurs copains. Dans ce cas, comme dans celui des terreurs nocturnes et du somnambulisme, les anxiolytiques sont parfois efficaces. Sursauts et myoclonies du sommeil Les sursauts surviennent au moment de l’endormissement. Ils correspondent Ă  une secousse involontaire et brutale du corps et peuvent rĂ©veiller l’enfant ou l’empĂȘcher de s’endormir. Ils peuvent ĂȘtre associĂ©s Ă  des hallucinations visuelles, auditives ou corporelles qui sont autant de sources d’inquiĂ©tudes pour l’enfant et peuvent expliquer une opposition au coucher et une peur du noir. Les myoclonies sont des secousses musculaires plus brĂšves, plus localisĂ©es qui surviennent en plein sommeil. Le syndrome des jambes sans repos Le syndrome des jambes sans repos touche aussi les enfants. GĂ©nĂ©ralement, les symptĂŽmes sont les mĂȘme que pour les adultes inconfort aux jambes bulles pĂ©tillantes le long des jambes » et difficultĂ©s Ă  s’endormir ou Ă  rester endormi car il faut bouger les jambes pour que les sensations dĂ©sagrĂ©ables disparaissent. Parfois, ces symptĂŽmes sont pris pour des douleurs de croissance. Le dĂ©ficit d’attention TDHATrouble du dĂ©ficit de l’attention avec ou sans hyperactivitĂ©. More semble plus frĂ©quemment observĂ© chez ces enfants. C’est pourquoi il est important de vĂ©rifier quantitĂ© et qualitĂ© du sommeil devant une suspicion de TDHATrouble du dĂ©ficit de l’attention avec ou sans hyperactivitĂ©. More 
 Le traitement associe des rĂšgles d’hygiĂšne de sommeil ; une restriction des stimulants cafĂ©, thĂ©, boissons aux colas
 ; l’utilisation de supplĂ©ments en fer chez les enfants souffrant de rĂ©serves basses, mesurĂ©es par le dosage de la ferritine, via une analyse sanguine. Ronflements et apnĂ©es Chez le jeune enfant, le ronflement est trĂšs frĂ©quent. 10% des enfants ronflent mais seuls 2 Ă  4% font de l’apnĂ©e du sommeil. Dans la majoritĂ© des cas, les ronflements sont anodins. DĂ©finition Lors de la respiration, l’air, avant d’arriver aux poumons, passe par le nez, le pharynx, le larynx et la trachĂ©e ; un obstacle au niveau de l’une ou l’autre de ces voies aĂ©riennes supĂ©rieures va entraĂźner une vibration de la colonne d’air et produire un bruit. C’est le ronflement. Chez l’enfant, les obstacles les plus frĂ©quents se situent soit au niveau du nez, en raison d’une inflammation rhinite, soit au niveau du pharynx en raison de grosses amygdales et/ou du dĂ©veloppement excessif des vĂ©gĂ©tations. En cas d’apnĂ©es, le bruit du ronflement s’accompagne d’un arrĂȘt de la respiration, et souvent d’une reprise respiratoire irrĂ©guliĂšre et bruyante. Du ronflement aux apnĂ©es Chez la plupart des enfants, le ronflement est sans consĂ©quence. Un enfant atteint d’un ronflement dit simple », ronfle mais son sommeil est calme. Il est dans la journĂ©e bien Ă©veillĂ©, calme, et ne prĂ©sente aucun trouble du comportement. L’enfant est attentif et il est capable de se concentrer sur son travail scolaire. Mais chez certains enfants, le ronflement peut s’accompagner d’une augmentation des efforts respiratoires et de perturbations du sommeil. Il y a alors un syndrome d’apnĂ©es du sommeil qui doit ĂȘtre explorĂ© sur le plan mĂ©dical, et traitĂ© si besoin. Les consĂ©quences du syndrome d’apnĂ©es ne sont pas anodines – retard de croissance ; – consĂ©quences mĂ©taboliques prise de poids, diabĂšte ; – troubles du comportement, symptĂŽmes d’hyperactivitĂ© ; – troubles de la concentration avec impact sur les apprentissages scolaires ; – facteur de risque cardiovasculaire Ă  long terme, notamment l’hypertension artĂ©rielle de l’enfant trĂšs rare dans cette tranche d’ñge. Pas de panique cependant ! Lorsque que l’on dort, s’arrĂȘter de respirer pendant quelques secondes est normal. Faire une petite vidĂ©o de votre enfant dans son sommeil, peut aider ce dernier Ă  Ă©valuer les symptĂŽmes. Les diffĂ©rents types d’apnĂ©es Il existe deux types d’apnĂ©es les apnĂ©es centrales la commande de la respiration par le cerveau fonctionne mal, plus frĂ©quentes chez le nouveau-nĂ©, et les apnĂ©es obstructives il y a un obstacle qui gĂȘne au passage de l’air, plus frĂ©quentes chez l’enfant. Les enfants souffrant d’un syndrome d’apnĂ©es obstructives n’oublient pas de respirer. Ils font, au contraire, d’intenses efforts pour respirer, pour faire passer l’air dans des voies aĂ©riennes supĂ©rieures partiellement obstruĂ©es. L’air passe avec difficultĂ© et parfois pas du tout. Chez ces enfants, le ronflement est interrompu par des arrĂȘts respiratoires de plusieurs secondes ; la reprise de la respiration s’accompagne d’un ronflement plus intense, puis le ronflement reprend son rythme. Ce syndrome touche 1 Ă  3% des enfants d’ñge prĂ©scolaire. La frĂ©quence du syndrome d’apnĂ©es obstructives du sommeil diminue aprĂšs l’ñge de 6 ans avec la diminution de volume des amygdales et des vĂ©gĂ©tations et l’augmentation de calibre des voies aĂ©riennes supĂ©rieures avec la croissance. Le syndrome d’apnĂ©es du sommeil est plus frĂ©quent dans certaines populations d’enfants ‱ quand un parent est atteint d’un syndrome d’apnĂ©e du sommeil ; ‱ en cas d’obĂ©sitĂ© ; ‱ quand les parents fument le risque est multipliĂ© par deux ; ‱ en cas d’infections respiratoires Ă  rĂ©pĂ©titions ou dans certaines maladies gĂ©nĂ©tiques comme la trisomie 21 par exemple. Les symptĂŽmes En cas de syndrome d’apnĂ©es, le sommeil de l’enfant est agitĂ©. Son ronflement est irrĂ©gulier interrompu par des arrĂȘts de la respiration. Il transpire beaucoup pendant son sommeil. Il dort souvent le cou en hyperextension, la bouche ouverte. Il transpire beaucoup. Dans la journĂ©e, l’enfant est somnolent ou, Ă  l’inverse, hyperactif. Il est irritable. Il a des difficultĂ©s Ă  se concentrer Ă  l’école. Ses rĂ©sultats scolaires peuvent ĂȘtre dĂ©cevants. Les enfants porteurs d’un syndrome d’apnĂ©es du sommeil respirent frĂ©quemment la bouche ouverte, y compris dans la journĂ©e. Ils ont souvent une voix nasillarde ou enrouĂ©e du fait de l’obstruction provoquĂ©e par l’hypertrophie des vĂ©gĂ©tations ou des amygdales. Si le syndrome d’apnĂ©es du sommeil est sĂ©vĂšre, il peut entraĂźner un retard de poids, plus rarement de taille. Mais Ă  l’opposĂ©, un enfant obĂšse est plus Ă  risque de faire un syndrome d’apnĂ©es du sommeil et s’il n’est pas traitĂ©, cela favorisera la prise de poids. Le diagnostic prĂ©cis est fait par un examen du sommeil, idĂ©alement une polysomnographie, qui Ă©tudie la qualitĂ© de la respiration pendant le sommeil. Le traitement Le traitement associe, suivant les cas, des mesures d’hygiĂšne de vie, un bilan ORL, un bilan allergologique, un avis orthodontique et une rééducation par un kinĂ©sithĂ©rapeute spĂ©cialisĂ© en maxillo-faciale. Il doit y avoir un suivi rĂ©gulier, jusqu’à amĂ©lioration du sommeil. Si l’enfant est obĂšse, un suivi des apports alimentaires et la mise en place d’activitĂ©s physiques adaptĂ©es choisies avec lui sont essentiels. Si l’enfant est allergique et s’il prĂ©sente par exemple une rhinite, un bilan allergologique en vue d’une dĂ©sensibilisation ou d’un traitement adaptĂ©, sera nĂ©cessaire. Pour tous, une consultation ORL s’impose. En effet, chez l’enfant dans 3/4 des cas, l’hypertrophie des amygdales et des vĂ©gĂ©tations est la seule cause du syndrome d’apnĂ©es du sommeil. Attention, l’examen de la cavitĂ© buccale ne suffit pas Ă  faire le diagnostic, une naso-fibroscopie est indispensable pour voir les amygdales internes. L’ablation des amygdales et des vĂ©gĂ©tations fait disparaĂźtre tous les symptĂŽmes dans 80% des cas. La disparition du ronflement est particuliĂšrement spectaculaire. Mais, chez un petit nombre d’enfants, les symptĂŽmes peuvent rĂ©apparaĂźtre plusieurs annĂ©es plus tard. Chez les enfants pour qui le ronflement et les symptĂŽmes persistent aprĂšs l’intervention, un enregistrement de sommeil est indispensable. Certaines anomalies maxillo-faciales doivent ĂȘtre dĂ©pistĂ©es prĂ©cocement par les orthodontistes pour ĂȘtre traitĂ©es efficacement et permettre l’amĂ©lioration de la respiration nocturne. Ces anomalies doivent ĂȘtre suspectĂ©es devant un visage allongĂ©, un menton en retrait, un palais ogival vertical ! et des fosses nasales Ă©troites, une position anormalement basse de la langue, une respiration buccale exclusive ou privilĂ©giĂ©e et des anomalies de l’articulĂ© dentaire plus ou moins Ă©videntes, pour les non spĂ©cialistes. Les thĂ©rapeutiques orthopĂ©diques de disjonction maxillaire rapide et les dispositifs fonctionnels de type activateurs pourront corriger le syndrome d’apnĂ©es des enfants concernĂ©s, en complĂ©ment de l’adĂ©noĂŻdectomie-amygdalectomie. Il convient donc de toujours prendre l’avis d’un orthodontiste lorsqu’un syndrome d’apnĂ©es du sommeil a Ă©tĂ© diagnostiquĂ© chez un enfant ou un adolescent. Pour les enfants dont le syndrome obstructif persiste aprĂšs chirurgie ORL et/ou aprĂšs les soins orthodontiques adaptĂ©s ou quand ceux-ci sont longs Ă  rĂ©aliser, un traitement complĂ©mentaire temporaire par ventilation avec une machine qui envoie de l’air sous pression et un masque nasal on parle de CPAP ou de machine de ventilation Ă  pression positive, comme chez les adultes pendant la nuit, peut ĂȘtre proposĂ©. Questionnaire de sĂ©vĂ©ritĂ© apnĂ©ique de l’enfant L’équipe du laboratoire de sommeil de Saint Antoine a validĂ© un questionnaire de dĂ©pistage du syndrome d’apnĂ©es chez l’enfant de 3 Ă  12 ans . Si vous avez des doutes, vous pouvez remplir le questionnaire en cliquant sur l’image ci-dessous La narcolepsie La narcolepsie est une anomalie de la vigilance. Elle est caractĂ©risĂ©e principalement par la survenue d’épisodes de sommeil brutaux et inattendus parfois associĂ©s Ă  des cataplexiesLa cataplexie est un brusque relĂąchement du tonus musculaire tension prĂ©sente dans les muscles au repos. La cataplexie dure de moins d’une seconde Ă  plusieurs minutes. Elle peut arriver de plusieurs fois par jour Ă  quelques fois dans la vie entiĂšre. Si les cataplexies sont complĂštes, le co... More Ă©pisodes de chute brutale du tonus musculaire pouvant entraĂźner le fait de lĂącher involontairement un objet ou une perte d’équilibre. Elle est rare chez les enfants et dĂ©bute gĂ©nĂ©ralement au cours de l’adolescence voir la description complĂšte Pour toute question sur le sommeil de l’enfant, le RĂ©seau MorphĂ©e met Ă  votre disposition un forum Internet anonyme et gratuit sur lequel des spĂ©cialistes du sommeil rĂ©pondent Ă  vos questions. Contenus complĂ©mentaires Le sommeil de l’enfant Les bonnes pratiques L’environnement du sommeil de l’enfant Questions frĂ©quentes Questionnaire de sĂ©vĂ©ritĂ© apnĂ©ique de l’enfant
Bebe1 An Se Reveille Trop Tot . Parlez-lui dĂ©pourvu aller dans sa chambre afin de le rassurer. Par exemple, dites-lui que vous l’entendez et que vous ĂȘtes tout prĂšs. S’il ne se calme pas, allez le voir pour vous assurer que tout va bien. Pour le rĂ©conforter, vous pouvez d’abord simplement le caresser et lui murmurer doucement plutĂŽt que de le prendre tout sans
1 jour de vie, 2 mois, 3 ans, 13ans
 que peut-on attendre de nos chers bambins ? J’ai parfois entendu certains parents dire Ă  un bĂ©bĂ© qui venait de revenir de la maternitĂ© on le laisserait pas pleurer lĂ  ??? ». Je ne m’attarderai pas, dans cet article, Ă  parler des pleurs, mais plutĂŽt de ce qu’un parent attend d’un enfant. Je me suis dĂ©jĂ  rendue compte que j’en demandais parfois trop » Ă  mon petit loulou. Ce jour-lĂ , je me lĂšve en Ă©tant stressĂ©e pourquoi ? Je dois impĂ©rativement ĂȘtre plus tĂŽt au boulot, un rendez-vous important ». DĂšs le moment ou mon petit garçon se lĂšve, tout se passe normalement pour lui. Il descend tranquillement et aime prendre encore son biberon. Sauf que moi, je sais que ce jour-lĂ , on dĂ©bute un traitement homĂ©opathique et qu’il doit prendre IMPERATIVEMENT un mĂ©dicament avant son biberon. Mon ton de voix, ma façon de lui prĂ©senter est dĂ©jĂ  diffĂ©rente de d’habitude et le voila me dire non maman, j’ai pas envie ! ». Alors lĂ , je ne me reconnais pas, je m’énerve fort » et crie, sur lui, pour qu’il le prenne. Arrive ce qu’il doit arriver, il pleurt et je culpabilise d’avoir criĂ©. Pourquoi est-ce que j’ai criĂ© ? Mais en mĂȘme temps, je veux qu’il se presse. RĂ©sultat, il prend encore plus de temps Ă  prendre son mĂ©dicament parce que j’ai criĂ© et me voila en train de rĂ©flĂ©chir Ă  ce que je veux de lui. Il a 3 ans 1/2, qu’est-ce qu’un petit garçon, Ă  cet Ăąge, peut imaginer d’un rendez-vous important », d’ĂȘtre pressĂ©e, de devoir absolument prendre un mĂ©dicament. Alors ce n’est pas parce que dans SA rĂ©alitĂ© un rendez-vous important est diffĂ©rent du nĂŽtre, qu’on ne doit plus, nous, pouvoir y faire face. Apprendre Ă  accepter le rythme de l’enfant, c’est apprendre Ă  gĂ©rer notre rythme diffĂ©remment. La fois d’aprĂšs, JE me suis levĂ©e plus tĂŽt, J’AI prĂ©parĂ© au soir un maximum et surtout, je lui ai expliquĂ© la veille comment le matin se dĂ©roulerait afin qu’il puisse dĂ©jĂ  anticiper, entendre et comprendre que le rythme peut parfois ĂȘtre perturbĂ©. Je ne fais pas un article sur la meilleure façon de gĂ©rer un matin difficile mais seulement une rĂ©flexion d’une psychologue sur ce qu’on attend rĂ©ellement de nos enfants
 Je terminerais sur les belles paroles de mon loulou, qui, lorsque je me suis excusĂ©e platement de mon empressement et de ma colĂšre injustifiĂ©e, m’a tout simplement rĂ©pondu c’est pas grave maman » . Nous avons encore beaucoup Ă  apprendre de nos enfants
.

jen peut plus je n'arive pas a m'en remettre c'est trop dur et moi aussi se qui me manque c'est de le toucher de sentir son odeur et ses calins c'etait mon bebe et sera toujours mon bebe . 0 0. Par priscilla. le 1 avril 2010, j'ai perdu mon bébé BIDOU, j'ai du prendre la terrible décision d'euthanasier mon petit persan;agé de 3 ans il était soigné pour la teigne et il a fait un

Ca veut dire accepter qu'elle dĂ©jeune avec des ailes. Vos petites tĂȘtes blondes se lĂšvent aux aurores y compris le week-end ? Voici quelques prĂ©cieux conseils pour les occuper et vous permettre de grappiller quelques minutes de sommeil. Non, il ne s'agit pas de les coller devant la tĂ©lĂ© ou de leur demander de passer l'aspi quoi que ?, mais de les rendre un minimum autonomes pour qu'ils puissent s'affairer tout seuls comme des grands, au petit matin. 1- PrĂ©parez le petit-dĂ©j la veille Sortir les cĂ©rĂ©ales et dresser la table du petit-dĂ©j la veille va vous Ă©viter d'avoir Ă  vous extirper du lit pour nourrir vos petits ĂȘtres affamĂ©s. Ils n'auront plus qu'Ă  attraper le lait et le jus de fruits dans le frigo et Ă  laisser les lieux presque aussi propres qu'ils les auront trouvĂ©s. 2- Chacun son verre Pour Ă©viter qu'ils ne profitent de votre sommeil pour boire leur lait chaud dans votre flĂ»te en cristal ou ne se chamaillent pour obtenir LE bol vert il n'y en a qu'un Ă©videmment, faites en sorte que chacun possĂšde son assiette, son bol et son verre rien qu'Ă  lui. Et s'il peut y avoir leur nom inscrit dessus, ça Ă©vitera toutes tergiversations Ă©ventuelles. A vous de vĂ©rifier le soir qu'ils sont bien rangĂ©s Ă  leur place dans le placard ou sur la table et pas croupissant, sales, dans le lave-vaisselle... Ils vont mĂȘme apprĂ©cier ! 3- Affichez-leur un mĂ©mo Mettre leur bol dans l'Ă©vier, faire leur lit, s'habiller et ne pas en profiter pour revĂȘtir une robe de princesse ou un costume de super-hĂ©ros... Inculquer Ă  ses enfants une petite routine quotidienne et leur fournir un dĂ©but d'indĂ©pendance en leur affichant une liste de choses Ă  faire le matin va vous permettre, Ă  vous, de rester un peu plus longtemps sous la couette. 4- Couchez-les un peu plus tard Si votre petit se lĂšve Ă  l'aube, peut-ĂȘtre que repousser trĂšs sensiblement l'heure de son coucher lui permettrait de dormir jusqu'Ă  une heure plus raisonnable ? Ça vaut en tous cas le coup d'essayer ! 5- Sortir les jouets Le mieux pour les occuper pendant que vous ronflez paisiblement est de laisser leurs jouets et leurs livres Ă  portĂ©e de mains et de leur dire qu'ils peuvent jouer et bouquiner dĂšs le saut du lit. Youpi gĂ©nĂ©ral ! 6- Vous lever... Vous pensiez peut-ĂȘtre pouvoir y Ă©chapper, rien qu'une fois, mais non. AprĂšs avoir abattu toutes vos cartes, il ne vous restera plus qu'une issue vous lever. En mĂȘme temps, ils ont beau se lever tĂŽt, ce sont bien les seules personnes capables de vous mettre de bonne humeur alors que vous avez encore les yeux qui piquent ! Et puis, en devenant parents, vous Ă©tiez conscients que vous alliez faire l'impasse un temps sur les grasses mat', ça fait partie du jeu ! Quelquun a une suggestion, une idĂ©e pour un bĂ©bĂ© qui se lĂšve trop tĂŽt? Le sommeil a toujours Ă©tĂ© problĂ©matique pour ma petite derniĂšre, qui a maintenant 16 mois. Le jour, elle dort trĂšs peu (elle peut faire 2 siestes de 30 minutes, et c'est son maximum). Le soir, on la met au lit vers 19h30. Mais de toute façon, peu importe Ă  quelle heure on la couche (on a Ă  peu prĂšs tout L’activitĂ© principale d’un bĂ©bĂ© durant ses premiers mois est le sommeil. Alors il est important de lui amĂ©nager un espace qui le mette en confiance et facilite son endormissement. L’utilisation d’un matelas au sol est une des bases de la pĂ©dagogie Montessori. On vous en dit Ă  Sylvie d'Esclaibes, directrice d'Ă©cole Montessori, fondatrice du centre de formation Apprendre Montessori, auteure* de nombreux ouvrages sur la pĂ©dagogie. Nombreux sont les parents ayant envie d’appliquer les principes de la pĂ©dagogie Montessori dans l’éducation de leur enfant. L’un des principes de base formulĂ© par Maria Montessori est que l’enfant doit pouvoir accĂ©der librement Ă  son environnement, cela signifie que sa maison, sa chambre doit ĂȘtre un terrain sĂ»r dans lequel il peut Ă©voluer en toute autonomie. Cet environnement doit lui offrir l’opportunitĂ© de se concentrer sur le dĂ©veloppement de ses ses premiĂšres mois, le tout-petit va passer beaucoup de temps Ă  dormir. Ainsi son espace de repos doit vraiment ĂȘtre pensĂ© pour lui permettre de se sentir en sĂ©curitĂ© et en mĂȘme temps lui offrir la possibilitĂ©, encore une fois, de se pouvoir en toute la pĂ©dagogie Montessori l’enfant ne dort pas dans un lit Ă  barreaux mais directement sur un matelas posĂ© sur le sol pour qu’il puisse ĂȘtre autonome c’est Ă  dire pouvoir se lever et se coucher comme il le souhaite. En effet, dans un lit Ă  barreaux, le tout-petit est comme dans une “petite prison”. Il n’est pas en confiance car dĂ©pendant du dĂ©sir de l’adulte. Le lit au sol est vraiment un principe important de la pĂ©dagogie Montessori. Quel Ăąge pour un lit montessori ?Les premiers mois dans la pĂ©dagogie Montessori, on recommande le cododo, le bĂ©bĂ© est mieux prĂšs de sa mĂšre. Plus il grandit, plus il acquiert une certaine sĂ©curitĂ©, des repĂšres qui lui permettront ensuite de dormir seul. DĂšs le moment oĂč l’enfant ne dort plus avec sa maman, il peut dormir sur un matelas au sol. Lorsqu’il est tout-petit, il n’y a pas de risque qu’il tombe et se fasse mal car il bouge trĂšs peu. Les premiers mois, vous pouvez utiliser un topponcino en plus du matelas. Il s’agit d’un un matelas, trĂšs souple, sur lequel on peut poser en permanence le bĂ©bĂ© et donc le maintenir dans une chaleur identique tout au long de la journĂ©e. Bien au chaud et dans une odeur connue, le nouveau-nĂ© est rassurĂ©. La forme de ce petit matelas permet de dĂ©poser facilement l'enfant dans son lit sans le rĂ©veiller aprĂšs s’ĂȘtre endormi dans les bras. Rien ne vous empĂȘche Ă©galement de mettre le bĂ©bĂ© dans une turbulette il garde les bras libre. La couverture est dĂ©conseillĂ©e. Ensuite, quand il grandira, il est important de sĂ©curiser l’espace en disposant par exemple des coussins ou des boudins autour du matelas. Un lit au sol n'est pas en soi dangereux mais il est important de prĂ©voir des amĂ©nagements pour que le bĂ©bĂ© ne se fasse pas mal. Les parents raffolent du lit cabane c'est un lit qui s'inspire du lit au sol, avec un matelas par terre et une structure en bois l'encadrant qui donne cette impression de cocon. Un lit cabane se compose d'un sommier en bois et d'une structure toujours en bois, en forme de cabane. Le plus souvent, ces lits sont Ă©quipĂ©s d'une barriĂšre de sĂ©curitĂ© amovible. Le matelas n'est pas posĂ© sur le sol mais bien sur le sommier qui est toutefois bas. Il n'y a pas d'Ăąge pour le lit cabane Montessori. DĂšs que votre enfant peut dormir seul dans son lit, vous pouvez l'y mettre. Lire aussi IdĂ©es dĂ©co 6 lits cabanes pour dĂ©corer la chambre de votre enfantQuel matelas choisir pour un lit Montessori ? Pas de recommandations spĂ©cifique. Il est important de choisir un matelas pas trop haut pour que le bĂ©bĂ© ne risque pas de se blesser en tombant. Optez pour un matelas plutĂŽt grand 70x140 dans lequel le bĂ©bĂ© peut se mouvoir librement. Le matelas ne doit ni trop ferme, ni trop mou. L’épaisseur idĂ©ale se situe entre 12 et 15 cm. PrivilĂ©giez une matiĂšre et une garniture biologique. Lire aussi Quel lit Montessori pour mon bĂ©bĂ© ? Être prĂȘt Ă  se lancer Vous hesitez encore Ă  utiliser un matelas au sol ? Sachez qu'il tout Ă  fait normal d'avoir des apprĂ©hensions. Peur que BĂ©bĂ© se lĂšve tout le temps, qu'il fasse une chute... En rĂ©alitĂ©, il s'agit d'une vraie habitude de vie Ă  s'approprier. Comme nous le dit Sylvie D'Esclaibes, " il est important de se sentir prĂȘt, de ne le faire parce que "c'est la mode" ou que tout le monde autour de vous dit que c'est bien." IdĂ©alement, poursuit notre interlocutrice, "mieux vaut dĂ©marrer le plus tĂŽt possible pour que l'enfant s'habitue, et persister quand on se lance." Aussi, il faut aussi ĂȘtre cohĂ©rent avec l’endroit oĂč est confiĂ© l’enfant. Si chez son assistante maternelle, il dort dans un lit Ă  barreaux alors cela peut ĂȘtre confusant pour lui". Toutefois, les crĂšches plĂ©biscitent depuis plus en plus les couchages au sol. Pour vous rassurer, hormis le tapis Ă  cĂŽtĂ© du lit, vous pouvez ajouter des barriĂšres de sĂ©curitĂ© ou un contour de matelas. Il existe aussi des lits Ă  barreaux au sol avec une ouverture. Si vous avez peur que votre enfant sorte tout le temps du lit, vous pouvez installer une petite barriĂšre Ă  la porte de la chambre. L’enfant sera libre dans son espace. Ce n’est pas la mĂȘme chose que dans un lit oĂč il est entravĂ© dans ses mouvements. TĂ©moignage Claire, maman de 2 enfants, 24mois et 6 mois. “Mon 1er Ă  eu un lit Ă  barreaux mais il est passĂ© avec matelas au sol sans souci Ă  ses 20 mois.. Les siestes il reste dans son lit et la nuit aussi. Il suffit de bien leur expliquer quand ils n'ont pas Ă©tĂ© habituĂ©s dĂšs la naissance. Le matin il se lĂšve, va chercher un livre ou un jeu et il retourne dans son lit. Finis les cris "Mamaaaan" tous les matins pour que je le sorte du lit Ă  barreaux. LĂ  il vit sa petite vie et ne se sent plus emprisonnĂ© derriĂšre les barreaux. Mon 2Ăšme qui vient d'avoir 6 mois a Ă©tĂ© avec le matelas au sol dĂšs sa naissance. Sur un matelas 60*120 au dĂ©but. Et depuis 1 semaine sur un 90*190 cela lui permet d'avoir plus de place quand il roule, je mets juste des petits coussins en bordure si jamais il sort du matelas."*150 activitĂ©s Montessori Ă  la maison, c'est malin ; Aider son enfant Ă  se concentrer grĂące Ă  la mĂ©thode Montessori aux Ă©ditions s'inspire !

Salut comme le dit mon titre, ma fille de 8 mois refuse ses bibs durant la journĂ©e. Elle en prend un entier au petit matin ( 4h30-5h) de 180-210 ml et ensuite, tout au long de la journĂ©e, je rĂ©ussis Ă  lui en faire boire 1 vers 12h (150 ml) de peine et de misĂšre, mĂȘme chose vers 17 h et vers 21 h elle prend entre 102-150 ml. Lorsque j'Ă©cris de peine et de misĂšre, je lui fait

Il se rĂ©veille pour mieux dormir Parfois, aux alentours de 5 ou 6 heures du matin, les enfants ont une phase de rĂ©veil nocturne. Le sommeil n'est pas linĂ©aire il est fait de cycles. Votre tout-petit peut se trouver, Ă  l'aube, au dĂ©but d'un cycle, donc en phase de sommeil lĂ©ger. Vous pensez qu'il se rĂ©veille parce que vous l'entendez s'agiter. Dans la nuit, ou Ă  l'aube, la majoritĂ© des tout-petits ouvrent un Ɠil et se rendorment. Les parents ne s'en aperçoivent pas. Ce qu'il faut faire. Essayez de le laisser gĂ©rer tout seul son rĂ©veil. Surtout, n'y allez pas ! Il peut trĂšs bien apprendre Ă  patienter un peu dans son lit. Laissez-le tranquille, rĂȘver, gazouiller... puis retomber dans les bras de MorphĂ©e ! Disposez dans son lit un ou deux jouets qu'il aime bien. Cela l'occupera. Il se lĂšve tĂŽt car il est sensible Ă  la lumiĂšre C'est peut-ĂȘtre le jour qui se lĂšve qui rĂ©veille votre petit dormeur. Il peut trĂšs bien imaginer que c'est pour lui aussi l'heure de se lever. Il est donc logique qu'il vous appelle. Ce qu'il faut faire. Si vous ne pouvez pas installer des volets, des rideaux sombres et Ă©pais feront l'affaire. Vous pouvez aussi opter pour des rideaux occultants. Il se lĂšve tĂŽt car c'est sa nature A chaque enfant son rythme de sommeil et ses propres besoins. Ce qu'il faut faire. Vous pouvez essayer d'adapter son heure de rĂ©veil aux horaires de la famille, sans trop le forcer. DĂ©calez un peu l'heure du coucher. Essayez aussi de jouer sur les siestes. S'il dort trois heures l'aprĂšs-midi, rĂ©veillez-le un peu avant. Il rattrapera peut-ĂȘtre cette heure le matin. Vous pouvez espĂ©rer un lĂ©ger mieux, mais pas un changement radical. Il est rare que les petits lĂšve-tĂŽt » se transforment en enfants capables de grasses matinĂ©es. Quand on a Ă©tĂ© un dormeur ou un lĂšve-tĂŽt dans sa petite enfance, on le restera probablement toute sa vie... Maria Poblete avec le Dr HĂ©lĂšne de Leersnyder, pĂ©diatre, spĂ©cialiste des troubles du sommeil*.* Auteur de L'Enfant et son sommeil , Ă©d. Robert Laffont.© Enfant Magazine Paroles de papa Depuis qu'il a 6 mois, Hugo se rĂ©veille entre 5 et 6 heures du matin, tous les jours ! Sur les conseils du pĂ©diatre, nous avons repoussĂ© l'heure du coucher d'une demi-heure. Les premiers temps, Hugo dĂ©calait lĂ©gĂšrement son rĂ©veil. Mais, depuis quelques semaines, retour Ă  la case dĂ©part. On se dit qu'il est comme ça, c'est un couche-tĂŽt et un lĂšve-tĂŽt. Mais il doit comprendre aussi que nous sommes fatiguĂ©s. Nous lui avons expliquĂ© que nous avions besoin de dormir ! Je lui ai installĂ© quelques jouets dans son lit. Je pense qu'il finira par comprendre que, pour nous, 5 heures du matin, c'est la pleine nuit ! » Fabien, papa de Hugo, 18 matin, il dĂ©barque dans votre lit
 que faire ? ktx1.
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