LenumĂ©ro que vous avez demandĂ© n'est pas attribuĂ© ou n'est pas accessible Votre appel ne peut aboutir Pfff, putain Alors alors Dis-moi qu't'es restĂ© avec elle Tu m'disais : "C'est la bonne et bordel, qu'elle est belle" On refaisait le monde, sur le canap' de l'appart Maintenant j'voudrais savoir oĂč tu te caches sur la carte Alors alors On s'est promis de pas s'lĂącher, alors alors, et je
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Ils parlent derriĂšre ton dos ha J'ai jamais changĂ©, moi, j'ai toujours la mĂȘme go Ma premiĂšre garde Ă  v' kch, kch, elle a fini au dĂ©pĂŽt Igo, j'brasse mieux qu'toi, tu sais mieux qu'toi J'Ă©tais pas fou, j'savais que j'Ă©tais vouĂ© pour le succĂšs J'rappe sans thĂšme, sans grigri, c'est pas sorcier Lhedra teqtel kima lflous, destin corsĂ© Destin corsĂ©, j'suis l'mec qui traĂźne en bas Quand j'suis pas lĂ , igo, c'est qu'j'dĂ©taille au 12 Ouais, ouais, fais pas la tantouze ou traĂźne pas avec moi T'as peur des embrouilles, qu'est-ce tu fous avec moi ? Dieu m'en est tĂ©moin, QLF, Super SaĂŻyen DTF, la fusion, on t'choque comme Broly T'as pas fait attention, sous la table, y a l'brolic Crrk, crrk, clique, clique ra, ra, ra, pah Y a plus d'balles dans l'chargeur, igo, on va t'niquer tes morts C'Ă©tait l'Ă©poque, j'avais les lacets dĂ©faits hey Putain d'sourire, d'grandir, on Ă©tait pressĂ©s PosĂ© dans le bĂąt', j'rĂȘvais d'avoir mon FĂ©fĂ© Mais la poisse s'est montrĂ©e donc j'ai vendu la CC, hey [Refrain RKM] Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise [Couplet 2 RTI] On veut du cash, point barre point barre Chacun veut manger sa part ahhh Et j'me mĂ©fie des bĂątards, moi Les gens bien, de nos jours, se font rares rares, rares Aujourd'hui, ça va bien mais demain, j'en sais rien Que nous rĂ©serve le destin ? Que nous rĂ©serve le destin ? Bats les couilles qu'ils soient pleins J'veux ma part du pain mais j'm'Ă©gare du droit chemin hein À la base, j'faisais du rap, igo, j'avais que 16 piges J'me rappelle, tu m'disais "claquĂ©", lĂ , j'en fais du chiffre À prĂ©sent, tu parles de moi comme si j'Ă©tais ton ami Allez, casse-toi d'lĂ , t'es bon qu'Ă  sucer des bites Mais qu'est-ce tu connais ? Fais pas genre tu m'connais La rue t'a pistonnĂ©, la haine dans l'pistolet T'es sorti, t'es retombĂ©, tu t'presses, t'es affolĂ© T'as cru qu'ça plaisantait, ouais, gros Dans les affaires, y a des gens qui s'perdent Ils sont en perte, perte, igo, c'est la merde Descendent au plus bas, bas dans l'enfer Parient leur vie pour pouvoir se refaire J't'analyse, j't'observe J'te sens venir tout comme Kaiji Et puis j'me canalise, j'roule un teh J'mets le siĂšge massant dans l'Audi [Refrain RKM] Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Oup's... 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Dieu m'en est tĂ©moin, QLF, Super SaĂŻyen DTF, la fusion, on t'choque comme Broly T'as pas fait attention, sous la table, y a l'brolic Crrk, crrk, clique, clique ra, ra, ra, pah Y a plus d'balles dans l'chargeur, igo, on va t'niquer tes morts C'Ă©tait l'Ă©poque, j'avais les lacets dĂ©faits hey Putain d'sourire, d'grandir, on Ă©tait pressĂ©s PosĂ© dans le bĂąt', j'rĂȘvais d'avoir mon FĂ©fĂ© Mais la poisse s'est montrĂ©e donc j'ai vendu la CC, hey [Refrain RKM] Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise [Couplet 2 RTI] On veut du cash, point barre point barre Chacun veut manger sa part ahhh Et j'me mĂ©fie des bĂątards, moi Les gens bien, de nos jours, se font rares rares, rares Aujourd'hui, ça va bien mais demain, j'en sais rien Que nous rĂ©serve le destin ? Que nous rĂ©serve le destin ? Bats les couilles qu'ils soient pleins J'veux ma part du pain mais j'm'Ă©gare du droit chemin hein À la base, j'faisais du rap, igo, j'avais que 16 piges J'me rappelle, tu m'disais "claquĂ©", lĂ , j'en fais du chiffre À prĂ©sent, tu parles de moi comme si j'Ă©tais ton ami Allez, casse-toi d'lĂ , t'es bon qu'Ă  sucer des bites Mais qu'est-ce tu connais ? Fais pas genre tu m'connais La rue t'a pistonnĂ©, la haine dans l'pistolet T'es sorti, t'es retombĂ©, tu t'presses, t'es affolĂ© T'as cru qu'ça plaisantait, ouais, gros Dans les affaires, y a des gens qui s'perdent Ils sont en perte, perte, igo, c'est la merde Descendent au plus bas, bas dans l'enfer Parient leur vie pour pouvoir se refaire J't'analyse, j't'observe J'te sens venir tout comme Kaiji Et puis j'me canalise, j'roule un teh J'mets le siĂšge massant dans l'Audi [Refrain RKM] Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcoolise Sous le porche, deux bicots, igo Vas-y, sors le couteau, couteau Dis pas qu't'es mon poto, puto Une vague de soucis, igo, on s'alcooliseTracklist de On ira oĂč ?Ecoutez gratuitement et tĂ©lĂ©chargez Biko - DTF extrait de On ira oĂč ? [2019]. Partagez et commentez ! Pour tĂ©lĂ©charger "Biko - DTF", cliquez sur l'icone du store de votre choix. UZI - Meilleur qu'hierBigflo & Oli - Les autres c’est nousGazo - KMTDJ Hamida - A la bien summer editionNaza - Big DaddyJul - Extraterrestre menu mobile HomeNewsRap FRHip-Hop/Rap USR&B/SoulVariĂ©tĂ©Pop/RockÉlectroAlternativeTOP MP3Top iTunesTop iTunes Rap/Hip-HopTop iTunes R&B/SoulTop iTunes VariĂ©tĂ©Top iTunes Pop/RockTop iTunes ElectroTop iTunes Singles ×

Dismoi que je suis fou, car ça me plaĂźt Si tu veux m’attribuer un adjectif, c’est de toi-mĂȘme que tu le feras ; cela n’engage que toi, car moi, je ne t’impose rien. Qualifie-moi d’une

Si tu me tĂ©lĂ©phones LyricsAllo? Oui c'est moiSi tu me tĂ©lĂ©phonesFais bien attentionQue ce ne soit pas ma mĂšre qui prenne la communicationIl te faudrait lui expliquer qui tu esCe que tu faisEt depuis combien de temps on se connaĂźtSi tu me tĂ©lĂ©phonesPrends garde chĂ©rieSi par malheur mon pĂšre est lĂ  j'aurai bien des ennuisCar je devrai lui expliquerSur le champ tes sentimentsEt la situation de tes parentsQu'est-ce que ça peut bien leur faire?Tout ça ne les regarde pasSi moi je t'aime c'est bien mon affaireChĂ©rie et c'est pourquoiSi tu me tĂ©lĂ©phonesEssaie de choisirLe jour oĂč mes parents auront eu envie de sortirCar s'ils Ă©taient Ă  mes cĂŽtĂ©sComprends-moi je ne pourrais pasTe dire Ă  quel point je suis fou de toiTe dire Ă  quel point je suis fou de toiOh baby, Ă  quel point je suis fou de toiViens contre moi, babyReviens tout prĂšs, tout prĂšsPlus prĂšs, encore plus prĂšsOuais, ouais, ouais, ouais vas-yOuais, ouais, ouais, ouaisOne more timeOne more timeQu'est-ce que ça peut bien leur faire?Tout ça ne les regarde pasSi moi je t'aime c'est bien mon affaireChĂ©rie et c'est pourquoiSi tu me tĂ©lĂ©phonesEssaie de choisir, ouiLe jour oĂč mes parents auront eu envie de sortirJe te dirais, oui c'est vraiViens chez moi, ne tarde pasCe soir je veux t'aimer tout contre moiCe soir je veux t'aimer tout contre moiCe soir je veux rĂȘver tout prĂšs de toiCe soir je veux t'aimer tout contre moiWriters clement nicolas, georges garvarentzLyrics powered by from French Sixties LoadingYou Might Like LoadingFAQs for Si tu me tĂ©lĂ©phones

Maisqu'est-c'tu fous là ? J'te croyais chez ton pÚre mais tu te fous de moi J'ai toujours été droite et j'vivais pour toi J'avais confiance en toi, j'pouvais crever pour toi Et toi t'oses baiser cette
Paroles de la chanson Allo par Baek Allo Ouais Landi, ça va ? Ouais moi t'inquiĂštes ça avance Euh attends deux secondes y'a quelqu'un qui arrive lĂ  ça va me dĂ©ranger Attends j'suis occupĂ© lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone Pas l'temps de te parler lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone J'm'en fous de toi tasse-pĂ© lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone Attends j'vais te rappeler lĂ  je suis au tĂ©lĂ©' Attends j'suis au tĂ©lĂ©' J'ai Landi au tĂ©lĂ©' +33 au tĂ©lĂ©' Attends j'suis au tĂ©lĂ©phone J'suis lĂ , avalez mon jus moi j'arrive comme un mĂ©tĂ©ore D'eux, je ne parlerai plus aprĂšs c'son, on ne parle pas des morts Chez moi t'es l'gars l'plus nul alors qu'chez toi t'es trĂšs fort J'suis lĂ  pour pĂ©ter ton cul je suis pas lĂ  pour pĂ©ter l'score On a des enfants sympas c'est trĂšs gore Sans ma bebar je ressemble Ă  Trevor MĂȘme si je suis trĂšs riche et je sais qu'aprĂšs la mort je n'emporterai mĂȘme pas mon trĂ©sor J'vais peut-ĂȘtre percer parce que j'ai pactisĂ©, fils de pute j'vois pas l'rapport? Rien qu'tu bouffe des bites dis moi pourquoi tu mange pas de porc? Tout ira bien tant qu'Mowgli dort Tous tes sales chiens j'les bousille fort J'veux faire du bruit plus que la norme Les gens me dĂ©guisent avec des cornes Ils ont la bouche de la mĂȘme forme Qu'un sale putain d'Boustiflore Attends j'suis occupĂ© lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone Pas l'temps de te parler lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone J'm'en fous de toi tasse-pĂ© lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone Attends j'vais te rappeler lĂ  je suis au tĂ©lĂ©' Attends j'suis au tĂ©lĂ©' J'ai Landi au tĂ©lĂ©' +33 au tĂ©lĂ©' Attends j'suis au tĂ©lĂ©phone Tu veux quoi? On quadrille ton corps Pendant qu'toi tu patine au mort Pas d'leçons Ă  recevoir de mecs qui claquent tout leurs RSA dans des "parions sport" J'fais crari on dort Tes amis ont tort Tu parie ton or Ta mamie on tord Je sais mĂȘme pas si je me rapproche du vide ou si c'est moi qui attire les porcs [?] je vis dans le Mordor Pourquoi tu fais la go belle tu ressemble Ă  Totor De la hargne et de la haine on me met dans le motor Je suis brillant comme Messi, ma peau est fait de phosphore J'veux mes thunes c'est pas mon problĂšme pour moi l'argent est inodore J'rap comme si j'avais connu l'Ă©poque des dinosaures J'ai l’Ɠuf du Roi c'est c'que m'dis Zod T'as pas d'inspi', un effet de mode J'te rĂ©ponds pas bitch J'rĂ©ponds pas aux ordres Elle va rien sentir mĂȘme si la terre lui sert de god Attends j'suis occupĂ© lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone Pas l'temps de te parler lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone J'm'en fou deux toi tasse-pĂ© lĂ  je suis au tĂ©lĂ©phone Attends j'vais te rappeler lĂ  je suis au tĂ©lĂ©' Attends j'suis au tĂ©lĂ©' J'ai Landi au tĂ©lĂ©' +33 au tĂ©lĂ©' Attends j'suis au tĂ©lĂ©phone
Ilsdisent que tu reviendras pas, que t’es malade, que t’es mort J’aimerais que tu sois lĂ , juste pour leur donner tort . Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens ? C’est vrai, ça fait longtemps . Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens ? C’est vrai, ça fait longtemps, qu’tu dis rien J’ai cherchĂ© dans le quartier mais non
- Le numĂ©ro que vous avez demandĂ© n'est pas attribuĂ© ou n'est pas accessible, votre appel ne peut aboutir- Pfff... PutainAlors alorsDis-moi qu't'es restĂ© avec elleTu m'disais "C'est la bonne et bordel, qu'elle est belle"On refaisait le monde, sur le canap' de l'appartMaintenant j'voudrais savoir oĂč tu te caches sur la carteAlors alorsOn s'est promis de pas s'lĂącher, alors alors, et je crois bien qu'on s'est ratĂ©T'as changĂ© de numĂ©ro ou t'avais pas envie de me parler quand je t'ai appelĂ©, hein ?Alors alorsEst-ce que t'as fini tes Ă©tudes ? T'avais plein d'rĂȘves, mais juste pas assez d'thuneJ'ai une liste de tout c'que j'voudrais direToi qui rĂ©pondais prĂ©sent quand on parlait d'avenirAlors alorsOn devait faire le tour de la TerreTu sais, moi, ma valise est encore prĂȘteEt si jamais tu nous reviens, est-ce que j'vais te reconnaĂźtre ?Faut pas qu'on laisse mourir nos promesses.. nonAlors alorsT'es oĂč ? Tu m'manquesC'est fou ! J'y penseChaque jour, j'te vois partout !Ils disent que tu reviendras pas, que t'es malade, que t'es mortJ'aimerais que tu sois lĂ , juste pour leur donner tordAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens ?C'est vrai, ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens ?C'est vrai, ça fait longtemps, qu'tu dis rienJ'ai cherchĂ© dans le quartier mais non, nonJ'ai fait le tour de la Terre mais non, nonJ'ai demandĂ© Ă  ta mĂšre mais non, nonPas d'nouvelles pas d'nouvellesJ'ai attendu tout l'Ă©tĂ© mais non, nonJ'ai espĂ©rĂ© tout l'hiver mais non, nonMais comme dit le proverbe, ah !Bonne nouvelleAlors alorsT'es parti, chercher ton Eldorado ?Tout le monde t'adore-adoreOn s'kiffait Ă  mort, amoreT'es peut-ĂȘtre Ă  Bora-Bora, en maillot ou en tongsSi c'est une de tes blagues, celle lĂ  elle est trop longueAlors Alors, comment c'est ailleurs ?J'attends un SMS ou un pigeon voyageurY'a encore nos tagues sur le banc, lisibles et entiersFaut qu'tu vois comme la ville a changĂ©e..Alors alorsTu sais que je suis un peu rĂąleurT'as toujours eu du retard, t'Ă©tais jamais Ă  l'heure-Ă  l'heureAllĂŽ allĂŽ ? Y'a comme une latenceC'est plus que du retard lĂ , c'est une absenceAlors alorsDes nouvelles ? MĂȘme si elle sont mauvaisesJ'ai fait tous les hĂŽpitaux, appelĂ© tous les hĂŽtelsSi t'en as marre, dis le moi en face, cash ! Tu sais, j'ai passĂ© l'Ăąge de jouer Ă  cache cacheAlors alorsFaut qu'tu sortes de ta planqueOn suffoque dans la penteOn supporte plus l'attenteJ'en ai marre, t'as tellement le dĂ©nouementEst-ce ça t'plait, de savoir que tu nous manques ?Alors, dis moi qu'est-ce tu deviens ?C'est vrai, ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est-ce tu deviens?C'est vrai, ça fait longtemps, qu'tu dis rienJ'ai cherchĂ© dans le quartier mais non, nonJ'ai fait le tour de la Terre mais non, nonJ'ai demandĂ© Ă  ta mĂšre mais non, nonPas d'nouvelles pas d'nouvellesJ'ai attendu tout l'Ă©tĂ© mais non, nonJ'ai espĂ©rĂ© tout l'hiver mais non, nonMais comme dit le proverbe, ah !Bonne nouvelleAlors, alors, alors, alors...Alors, alors, alors, alors... tu nous manques frĂ©rotAlors, alors, alors, alors... Ouais, on a cherchĂ© partout !Alors, alors, alors, alors... ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens?C'est vrai, ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens?C'est vrai, ça fait longtemps, qu'tu dis rien Maisqu'est ce que tu veux qu'j'te dise, tu sais les tensions durent RĂ©minissences sombres aux couleurs d'amĂ©thyste, Mais qu'est ce que tu veux qu'j'te dise, tu sais mon Ăąme est triste - Ouais de toutes façons fais ce qui te plais, hein Mais qu'est ce que tu veux que je dise d'autre que ce que je suis Chaque jour me dicte ces lignes, On

ja****b đŸ”„đŸ”„ J'adore mes nouvelles chemises! Grand vendeur! C'Ă©tait ma premiĂšre commande avec ce vendeur. AchetĂ© 2 chemises. 1 blanc noir et 1 or noir. CommandĂ© le 10 mars. ExpĂ©diĂ© le 16 mars livrĂ© le 2 avril - Mo USA a initialement commandĂ© la taille grande mais rĂ©alisĂ©e, aprĂšs avoir lu les critiques, j'aurais dĂ» dimension. Erreur recrue! Envoyant un vendeur pour changer de taille, il a rapidement envoyĂ© un message, il s'en occuperait! Merci! Les deux chemises ont l'air incroyables! Taille si vous aimez un tshirt de fit. Pas 100% coton comme je l'avais demandĂ© dans la section QA, un peu extensible. Coton Blend Polyester peut-ĂȘtre? Ne me dĂ©range pas. La balise de logo Balmain a l'air parfaite. Logo blanc croustillant, tshirt noir. Aimer! 💜 Le logo d'or est Ă©galement magnifique sur l'autre chemise noire. Pas jaune yay! J'hĂ©sitais au dĂ©but de la Colombie-Britannique, les critiques mitigĂ©es, mais je recommande vraiment ce vendeur pour les tshirts. Super de meilleurs prix. Une bonne communication a corrigĂ© mes erreurs de dimensionnement. En fait, j'ai dĂ©jĂ  passĂ© un autre ordre de chemises de ce vendeur. đŸ”„đŸ”„

Dismoi Lyrics: Yeah, yeah / Tu m'dis quand c’est bon / C’est bon lĂ  ? Ça y va ? / Hey / Dis-moi, toi qui m’écoute / Est-c'que tu rĂȘves aussi d’un monde oĂč les gens ne meurent plus Ă  Le tour du monde avec 
 le passĂ© composĂ© ! Aujourd’hui par cette chanson de Bigflo&Oli on va aborder le passĂ© composĂ©. Tout d’abord regardez le clip . Vous pouvez suivre le texte au-dessous de la vidĂ©o . En bas vous trouverez la fiche d’une activitĂ© pour travailler la comprĂ©hension du texte . Alors alors Bigflo & Oli Alors alors Dis-moi qu’t’es restĂ© avec elle Tu m’disais “C’est la bonne et bordel, qu’elle est belle” On refaisait le monde, sur le canap’ de l’appart Maintenant j’voudrais savoir oĂč tu te caches sur la carte Alors alors On s’est promis de pas s’lĂącher, alors alors, et je crois bien qu’on s’est ratĂ© T’as changĂ© de numĂ©ro ou t’avais pas envie de me parler quand je t’ai appelĂ©, hein ? Alors alors Est-ce que t’as fini tes Ă©tudes ? T’avais plein d’rĂȘves, mais juste pas assez d’thune J’ai une liste de tout c’que j’voudrais dire Toi qui rĂ©pondais prĂ©sent quand on parlait d’avenir Alors alors On devait faire le tour de la Terre Tu sais, moi, ma valise est encore prĂȘte Et si jamais tu nous reviens, est-ce que j’vais te reconnaĂźtre ? Faut pas qu’on laisse mourir nos promesses.. non Alors alors T’es oĂč ? Tu m’manques C’est fou ! J’y pense Chaque jour, j’te vois partout ! Ils disent que tu reviendras pas, que t’es malade, que t’es mort J’aimerais que tu sois lĂ , juste pour leur donner tort Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens ? C’est vrai, ça fait longtemps Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens ? C’est vrai, ça fait longtemps, qu’tu dis rien J’ai cherchĂ© dans le quartier mais non, non J’ai fait le tour de la Terre mais non, non J’ai demandĂ© Ă  ta mĂšre mais non, non Pas d’nouvelles pas d’nouvelles J’ai attendu tout l’étĂ© mais non, non J’ai espĂ©rĂ© tout l’hiver mais non, non Mais comme dit le proverbe, ah ! Bonne nouvelle [Bigflo & Oli] Alors alors T’es parti, chercher ton Eldorado ? Tout le monde t’adore-adore On s’kiffait Ă  mort, amore T’es peut-ĂȘtre Ă  Bora-Bora, en maillot ou en tongs Si c’est une de tes blagues, celle lĂ  elle est trop longue Alors Alors, comment c’est ailleurs ? J’attends un SMS ou un pigeon voyageur Y’a encore nos tags sur le banc, lisibles et entiers Faut qu’tu vois comme la ville a changĂ©e.. Alors alors Tu sais que je suis un peu rĂąleur T’as toujours eu du retard, t’étais jamais Ă  l’heure-Ă  l’heure AllĂŽ allĂŽ ? Y’a comme une latence C’est plus que du retard lĂ , c’est une absence Alors alors Des nouvelles ? MĂȘme si elle sont mauvaises J’ai fait tous les hĂŽpitaux, appelĂ© tous les hĂŽtels Si t’en as marre, dis le moi en face, cash ! Tu sais, j’ai passĂ© l’ñge de jouer Ă  cache cache Alors alors Faut qu’tu sortes de ta planque On suffoque dans la pente On supporte plus l’attente J’en ai marre, il m’tarde tellement le dĂ©nouement Est-ce ça t’plait, de savoir que tu nous manques ? Alors, dis moi qu’est-ce tu deviens ? C’est vrai, ça fait longtemps Alors, dis moi qu’est-ce tu deviens? C’est vrai, ça fait longtemps, qu’tu dis rien J’ai cherchĂ© dans le quartier mais non, non J’ai fait le tour de la Terre mais non, non J’ai demandĂ© Ă  ta mĂšre mais non, non Pas d’nouvelles d’nouvelles J’ai attendu tout l’étĂ© mais non, non J’ai espĂ©rĂ© tout l’hiver mais non, non Mais comme dit le proverbe, ah ! Bonne nouvelle Alors, alors, alors, alors, alors
 Alors, alors, alors, alors, alors
 tu nous manques frĂ©rot Alors, alors, alors, alors, alors
 Ouais, on a cherchĂ© partout ! Alors, alors, alors, alors, alors
 ça fait longtemps Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens? C’est vrai, ça fait longtemps Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens? C’est vrai, ça fait longtemps, qu’tu dis rien VoilĂ  une fiche pour l’exploitation de la chanson en classe de Fle si l’on veut travailler sur la comprĂ©hension et sur le passĂ© composĂ© , Alors alors, la fiche J’ajoute les solutions des activitĂ©s proposĂ©es dans la fiche, Alors alors solutions Pour approfondir le passĂ© composĂ© , je vous renvoie Ă©galement Ă  ces articles du blog le passĂ© composĂ© des verbes du premier groupe le passĂ© composĂ© des verbes du deuxiĂšme et troisiĂšme groupes ÉcoutezPapa Allo de Alonzo, 361,895 Shazams. Connectez-vous Ă  Apple Music. Inscrivez-vous ou essayez gratuitement pendant 3 mois.
Doll approuvĂ©e par OhmyCulture, ou plutĂŽt Velma-aod. Allez y faire un tour. Notes de l'auteur Ă  lire obligatoirement, eh oui. Bonjour les gens ^^. Alors dĂ©jĂ  j'voulais vous dire merci Ă  vous tous parce que je reçois pas mal d'encouragements et de fĂ©licitations et tout alors franchement, merci beaucoup, ça me touche. *^* Ensuite, j'aimerais vous dire que je reçois des demandes pour s'abonner, alors sachez que je trouve qu'il n'y a pas assez de monde pour crĂ©er encore le systĂšme d'abonnĂ©s, mais en mĂȘme temps, je suis presque harcelĂ©e alors si vous voulez vous abonner, envoyez moi un message, et voilĂ , pour l'instant il n'y a pas de banniĂšres donc pas de conditions, juste un petit mot pour me prĂ©venir. J'ai tout de mĂȘme voulu vous expliquer la signification du mot bipolaire c'est quand on a des sauts d'humeur, de doux Ă  agressif et vice-versa, donc voilĂ , j'espĂšre que vous me demanderiez pas la signification. ^^ Et pour finir, je tiens Ă  INTERDIRE ellement les Ăąmes sensibles de lire, ça va contenir des grosses scĂšnes de violence, enfin bref. Au fait, si vous voulez vous tenir au courant des derniĂšres nouvelles, je vous invite Ă  lire TOUTES les notes de l'auteur, sans exception. 3 Allez, bonne lecture. ; Chapitre 1 "Une.. PrĂ©sence." Je me reveillai dans une piĂšce, sans meubles particuliers, mise Ă  part le lit sur lequel j'Ă©tais couchĂ©e.. Mais qu'est-ce qu'il s'Ă©tait passĂ© ? Mes souvenirs revinrent petit Ă  petit... - Baisse le volume ! Tu te crois oĂč Kylie, y a les voisins !! Et voilĂ , pour la Ă©niĂšme fois, ma mĂšre me criait dessus parce que j'avais montĂ© le son. Pff. Elle ouvra bruyamment la porte, sans prĂ©venir. - Kylie, tu as 17 ans, tu es bientĂŽt majeure, pourquoi n'es-tu pas en train de faire quelque chose de ta vie ? Tu as tes Ă©tudes et... - Maman, c'est les grandes vacances. - Et alors ? Tu pourrais rĂ©viser tes leçons ! Au lieu de rester lĂ  Ă  Ă©couter cette musique en gĂȘnant tout le monde ! Je la laissais parler un bon moment, je n'avais aucune envie d'Ă©couter son discours qu'elle me passait toute ma vie. Une fois qu'elle eut finit, je demandais rapidement Ă  ma mĂšre, craignant sa rĂ©ponse. - Maman, demain je peux aller en boĂźte ? Elle Ă©carquilla les yeux, je la sentais mal cette rĂ©ponse. - T'es folle ? T'as pas entendu ce que je viens de te dire ? NON. Tu as 17 ans en plus ! - Maman, s'il te plaĂźt. Et puis, je suis responsable. - Ouais, c'est ça, tu restes ici un point c'est tout. Elle quitta aussitĂŽt la piĂšce en claquant la porte, et j'entendis "non mais je rĂȘve..". Pff. Je me jettais sur mon lit, en sortant mon portable, envoyant un message Ă  Linda, ma meilleure amie. - Devines quoi ? - Tu viens en boĂźte ? - Juste le contraire. =='' - Ah ouais pas de chance. == La journĂ©e se passa ensuite un peu prĂšs normalement, je m'endormis lendemain, je convains ma mĂšre de me laisser dormir chez Linda. Quoi qu'il arrive, je devais aller en boĂźte. Je pris un sac, rangea mes talons, oui, il fallait que je mette des talons pour faire croire que j'ai 18 ans une sublime robe, ainsi que le nĂ©cĂ©ssaire pour faire croire Ă  ma mĂšre que je dormais vraiment chez elle. Une fois arrivĂ©e chez elle, ni une ni deux, nous nous prĂ©pariĂąmes pour aller Ă  cette fameuse boĂźte. Une fois prĂȘtes nous nous rendĂźmes lĂ  bas. AprĂšs avoir eu un peu chaud face au vigile qui pouvait dĂ©tecter notre faux age, nous rentrĂąmes. Une heure passĂ©e, je n'en pouvais plus, j'avais le dĂ©faut de ne pas pouvoir rĂ©sister Ă  l'alcool contrairement Ă  Linda. Je dĂ©cidais de la stopper dans sa danse endiablĂ©e. - Bon, Linda j'vais y aller. - Ah ? Je vais te raccompagner. - Non restes, j'y vais t'inquiĂštes. - Bon, d'accord fais attention Ă  toi. -Bye. Je sortais de la boĂźte. Il faisait trĂšs sombre, et j'avais trĂšs peur. Oui, je sentais comme une.. PrĂ©sence. Soudain, on m'attrapa par l'arriĂšre, plaquant un flingue sur ma hanche. J'eus peur, ... Je me retournais et vit... Un homme Ă  capuche noire. Je ne pouvais pas bien voir son visage. - Ecoutes moi bien, je ne comptes pas te faire de mal si tu avances doucement vers la voiture noire sans hurler. Il plaqua rapidement sa main sur ma bouche en appuyant fermement sur le flingue. Il me fit monter Ă  l'arriĂšre d'une voiture noire avant de rentrer en place conducteur. Il posa l'arme prĂšs de lui. - Ton prĂ©nom et ton Ăąge ? me lança t'-il. - Mon Ăąge ? - Oui, ton Ăąge. - Je ne donne pas mon Ăąge aux inconnus, ni mon prĂ©nom d'ailleurs. Il pointa l'arme vers moi, je dĂ©cidais d'ĂȘtre plus coopĂ©rative, enfin, je n'avais plus le choix. - Kylie, 17 ans. - Hm d'accord. Il ne parlait plus, un silence de mort s'Ă©tait installĂ©. - Et toi ? - Comment ? - Et toi, tu t'appelles comment ? - Tu as vraiment besoin de le savoir ? - Bah, je t'ai donnĂ© mon prĂ©nom, Ă  toi de faire de mĂȘme non ? C'est injuste sinon. - Bon, tu le veux tant que ça ? J'm'appelle Zayn. Entre temps, j'avais pu voir lorsqu'il avait enlevĂ© sa capuche une mĂšche blonde, ainsi que de trĂšs beaux yeux, c'Ă©tait un trĂšs bel homme. - EnchantĂ©e Zayn. Non, je n'Ă©tais pas vraiment enchantĂ©e, pas du tout mĂȘme. - Tu es enchantĂ©e ? - Pas vraiment, pour ne pas dire pas du tout. Il laissa Ă©clater un rire. - Tu es diffĂ©rente. - DiffĂ©rente, moi ? Euh.. Compliment ? Il m'ignora, et le silence s'installa Ă  nouveau. C'Ă©tait loin, trĂšs loin, si loin que je crois m'ĂȘtre endormie... C'Ă©tait donc cet homme ? Non, je ne pouvais y croire. Je me levais rapidement, et me dirigeais vers la porte. Je tirais sur la poignĂ©e, c'Ă©tait fermĂ©. Je rĂ©essayais avec un peu plus de force, mĂȘme rĂ©sultat. Je ne pus m'empĂȘcher de Ă  ce moment lĂ , je tapais contre la porte. AprĂšs plusieurs essais, la porte ne s'ouvrait toujours pas. Je retournais donc m'Ă©crouler sur le matelas, fixant le plafond. "Alors, je suis bel et bien coincĂ©e ici ?" Pas le temps de rĂ©flĂ©chir, j'entendis la porte Ă©mettre quelques sons, j'eus peur, je cherchais Ă  l'aide de mes yeux une arme posssible dans la piĂšce, sans succĂšs. La porte s'ouvrit finalement, c'Ă©tait l'homme qui m'avait "kidnappĂ©". - Tu pourrais faire moins de bruit non ? - Laisse moi sortir. - Et pourquoi ça ? Tu n'es pas bien ici ? Je saisit cette occasion pour m'enfuir, avant qu'il ne me rejoint trĂšs rapidement. - OĂč tu comptes aller comme ça ? Dans sa main gauche, il tenait son flingue. - En quoi ça te regarde ? Je courus vers la porte, j'actionna la poignĂ©e, elle aussi Ă©tait fermĂ©e. C'est Ă  cet instant qu'il pointa son arme vers ma jambe et tira, sans soucis. Je reçus la balle en plein dans mes mollets. Je ne sais pas si le sang a giclĂ©, ou encore si je me suis vidĂ©e de mon sang mais je me souviens ĂȘtre tombĂ©e au sol, avant qu'une deuxiĂšme balle rejoint mon Ă©paule. LĂ , je sais que j'ai eu trĂšs mal et ensuite.. Le Trou noir. Je sortis de ma torpeur quelques heures plus tard, je mis un certain temps Ă  rĂ©ussir Ă  ouvrir mes paupiĂšres qui semblaient collĂ©s. Quand je rĂ©ussis Ă  ouvrir les yeux, la premiĂšre chose que je vis fut Zayn, assis sur le bord du lit, la tĂȘte entre les mains. Il dĂ»t sortir que je m'Ă©tais rĂ©veillĂ©e car il se tourna vers moi. Il se retourna et me vit rĂ©veillĂ©e. Je n'arrivais plus Ă  bouger, mais la seule chose que je voulais c'Ă©tait fuir, fuir loin d'ici. A peine avais-je bougĂ© ma jambe qu'une douleur effroyable m'envahit. - Ne bouge plus, je viens de retirer la balle. Je voulais ĂȘtre loin de lui, alors mĂȘme si je souffrais le martyr, il fallait que je m'en aille. Je m'appuyais sur le bord du lit ainsi que sur le matelas, je rĂ©ussis Ă  garder l'Ă©quilibre. Je n'en pouvais plus, ça faisait trop mal. Zayn se leva, et arriva derriĂšre moi. Il me porta et me plaça sur le lit, j'essayais par tout les moyens possibles de me dĂ©battre. - Laisse.. Laisse-moi.. J'Ă©tais faible, et je dĂ©testais ça. Il me plaça tout en douceur, dans les draps, ce qui m'Ă©tonnais. Un ĂȘtre comme lui, doux ? C'Ă©tait tout bonnement impossible. Il n'avait pas hĂ©sitĂ© Ă  me tirer dessus, et voilĂ  qu'il s'occupait de moi... - Excuse moi.. - Excuse moi ? Tu me tires deux balles et tu veux que je t'excuse ? - Je.. - Oui, tu l'as bien fais exprĂšs, alors non, je ne peux pas t'excuser. Il m'a regardĂ©, son regard Ă©tait redevenu pareil que le jour oĂč je l'avais rencontrĂ©, c'Ă©tait sa pupille. - Excuse moi. Il quitta aussitĂŽt la piĂšce. Je me dirigeai vers la porte, avec beaucoup de difficultĂ©s et d'efforts, je rĂ©ussis Ă  atteindre la poignĂ©e de porte. C'Ă©tait ouvert. Je pris les escaliers, trĂšs lentement, la douleur Ă©tait intenable. - J'ai faim. Il releva aussitĂŽt la tĂȘte, je peux vous dire qu'il Ă©tait beau.. Je disais qu'il releva aussitĂŽt la tĂȘte. - On se fait des oeufs ? - Mouais, tu sais cuisiner ? Je te fais pas Ă  manger. - JE te fais Ă  manger. me dit-il, avec un grand sourire. - En quelle honneur ? - Pour me faire pardonner. Je ne sais pas, c'Ă©tait un coup.. de colĂšre, je rentrais d'une dis*** avec un ami. - Pas besoin de te justifier, c'est le devoir d'un kidnappeur non ? Faire souffrir les otages. - Je ne fais pas ça pour moi. - Pour qui alors ? Pour moi peut-ĂȘtre ? Il ne me rĂ©pondit pas et parti dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, il se ramenait avec des assiettes d'omelettes. Je pris mon assiette et montai les escaliers, un peu plus rapidement que tout Ă  l'heure, la douleur s'Ă©vaporait au fur et Ă  mesure. ArrivĂ©e dans la piĂšce qui maintenant allait ĂȘtre ma chambre, je me mis sur le lit, dĂ©gustant seule ces omelettes sans accompagnement. Je ne l'avais pas fait paraĂźtre mais ces aller-retours m'avaient achevĂ©e, je souffrais tellement. Je n'en pouvais plus. Je pris le couteau que Zayn avait laissĂ© maladroitement et me l'enfonça dans l'Ă©paule, histoire de sortir la balle. Zayn dĂ©barqua. - Qu'est ce que tu fais ? me demandait-il, presque hurlant. - Je retire cette balle qui me fais tant.. Il ne m'avait pas laissĂ© finir ma phrase, il Ă©tait accouru auprĂšs de moi pour retirer le couteau. - Rends le moi non ? - Ce n'est pas comme ça. - Et alors ? Je dois bien m'en occuper ! Il m'ignora complĂštement, m'immobilisa le bras avant de m'enlever la balle, ça faisait trĂšs mal, mais pas plus mal que la douleur qui m'hantait peu de temps avant. Il prit la bande que j'avais posĂ© sur le lit et me banda le bras, rĂ©pĂ©tant la mĂȘme opĂ©ration avec mon mollet. - T'as dĂ©jĂ  fait ça avant ? Il sorti de la piĂšce et ce n'est que 5 minutes aprĂšs que j'entendis une conversation que je n'aurais pas dĂ» entendre.. Notes de l'auteur Quelles sont vos premiĂšres impressions ? Allez j'veux tout savoir, foncez tout me raconter. *^* Chapitre 2 "Non, ne m'approches plus." Quand j'entendis une conversation que je ne devais pas entendre. Il Ă©tait devant la porte, j'entendais ces paroles Ă  moitiĂ©, et je n'avais plus de force pour me lever et me rapprocher, non je n'entendais rien. Les seules paroles que je puisse entendre furent celles-ci - Alors, comment elle s'appelle celle-ci hein ? - Kylie, elle a 17 ans. - Ahah, l'abĂźme pas trop hein, faut qu'elle soit bien pour.. - Ouais ouais et.. Ils discutĂšrent un bon moment, quand Zayn arrivait dans la chambre, sans prĂ©venir. Il avait sĂ»rement fini. Tout de mĂȘme, depuis tout Ă  l', quelques questions me trottaient, oui, je voulais avoir les rĂ©ponse. Je ne le laissais pas le temps de s'installer que je lui demandais rapidement. - Si ce n'est pas pour toi que tu fais ça, c'est pour qui ? - Les autres. - Les autres ? - Oui. - Qui ça les autres ? Je les connais ? Ils m'en veulent ? -... Tu dois te reposer. Et c'est bien sĂ»r sur de telles paroles qu'il quitta la chambre. Il n'avait pas du tout rĂ©pondu Ă  ma question, il n'avait fait que m'enrichir de doutes. Je n'avais pas vraiment d'ennemis, simplement les pestes de... C'Ă©tait eux ? Impossible. Je ne pense pas qu'il obĂ©irait Ă  ce genre de filles.. A force de maintes rĂ©flexions, je m'endormis. Mes jours Ă©taient comptĂ©s, ça je le savais bien. AprĂšs une petite sieste, je me rĂ©veillais enfin. J'osais espĂ©rer ĂȘtre dans un mauvais cauchemar, et dans la minute d'aprĂšs me rĂ©veiller auprĂšs de ma mĂšre, et mes amis. Mais non, j'Ă©tais coincĂ©e dans cet endroit, avec quelqu'un que je ne connaissais mĂȘme pas et qui n'avait pas du tout l'intention de m'aider. La douleur que j'avais avant Ă©tais moins intense qu'avant, j'avais donc plus de facilitĂ© Ă  marcher. Je me levais, et pris les escaliers. Il Ă©tait allongĂ© sur le canapĂ©, et je ne pus m'empĂȘcher de le contempler, c'Ă©tait plus fort que moi. Il ouvra brusquement les yeux. - Tu fais quoi lĂ  ? Je rĂȘve ou tu.. - T'imagines rien du tout. Pff. - J'ai encore rien dis tu sais. Tu te trahis toute seule. - Tu comptes faire quoi de moi ? Il fallais que je change de sujet, sachant dĂ©jĂ  ce qu'il allait me dire ? - Change pas de sujet. Tu veux vraiment savoir bah je compte.. Son tĂ©lĂ©phone sonna, au mauvais moment bien sĂ»r. Avant d'hĂ©siter quelques secondes, il rĂ©pondit. - AllĂŽ ? Disait il. - Ouais Zayn, c'est moi, James, alors tu nous la livre quand ? - Quand tu veux mec. - Et l'autre elle Ă©tait bonne ? Il semblait m'avoir oubliĂ©e. - Ouais mais un peu abĂźmĂ©e quand mĂȘme, tu fais attention Ă  celle-ci hein ? - Depuis quand on fait attention aux pu.. Je n'avais pas bien entendu, il allait me traiter de *** ? D'un coup de colĂšre je pris le tĂ©lĂ©phone et raccrocha. - T'allais dire quoi Ă  l'instant ? - Tu veux vraiment savoir ? - Bah rĂ©pĂšte si t'es un homme. - J'allais dire pu... Il n'avait pas eu le temps de finir sa phrase, par pulsion, ma main avait atterri sur sa joue. Ses pupilles changĂšrent, son regard devint plus agressif. Il m'attrapa le bras et le serra trĂšs fort, si bien que je ne pouvais plus le bouger. - Qu'est ce que tu viens de faire lĂ  ? J'Ă©tais tĂ©tanisĂ©e. Il y avait Ă  peine cinq minutes il Ă©tait aussi doux qu'un agneau et lĂ .. C'Ă©tait Ă  peine si j'osais lui adresser la parole. Quelques minutes aprĂšs je sentais la pression pratiquĂ©e sur mon bras diminuer et je saisis donc cette occasion pour courir dans ma chambre. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'il me rattrape. N'ayant pas de quoi fermer la porte Ă  clĂ©s, je fit barrage derriĂšre la porte. J'arrivais Ă  rĂ©sister pendant 5 minutes, avant qu'un gros coup m'Ă©jecta au sol. Je me retrouvais maintenant Ă  terre, en face de lui, et dans ces mains il tenait un flingue. Il voulait me tuer ? Non, il ne pouvait pas, il devait me "livrer" Ă  ces complices. - Tire. Dis-je, d'un ton faussement serein. De toute maniĂšre, je n'ai rien Ă  perdre. Tu m'as enlevĂ© ma famille, mes amis, alors maintenant Ă  quoi ça sert de vivre ? Tire, achĂšve moi. Tu n'as qu'Ă  appuyer. - Ne me tente pas. Me dit-il d'un ton froid. - De toute maniĂšre, tu n'en es pas capable. Tu veux que je te dises ce que tu es ? Un lĂąche, une personne qui n'a mĂȘme pas le droit d'exister. Alors tire ! Je prĂ©fĂšre mourir plutĂŽt que de rester en ta compagnie. Tu ne.. Il avait tirĂ© sur l'Ă©paule droite, celle qui n'avait pas encore Ă©tĂ© blessĂ©e. Je perdis une nouvelle fois connaissance. Mes paupiĂšres se rouvraient. J'avais encore du mal Ă  bien voir, ce n'est qu'aprĂšs quelques clignement que ma vue devint plus clair. Il Ă©tait une nouvelle fois assis sur le bord du lit, fixant droit devant lui. Je bougeais lĂ©gĂšrement la jambe, histoire de lui montrer que j'Ă©tais rĂ©veillĂ©e. Il tourna le regard, et ce que je vis m'Ă©tonna. Il avait le regard triste et perdu, je devinais dĂ©jĂ  ce qu'il allait me dire. - Excuses moi, je... - Dis moi, tu es bipolaire ? Notes de l'auteur Alors, ce chapitre vous a plu ? Trop de suspense hein ? A votre avis, il est bipolaire ou pas ? Signification notes de l'auteur au tout dĂ©but 3Ăšme paragraphe Epliquez moi tout, pourquoi, et tout le reste, j'vous attends. *^* Chapitre 3 "Non, Ă©cartes toi de moi." - Dis moi, tu es bipolaire ? Il s'est levĂ©, Ă©vitant de croiser mon regard. Je le fixais d'un air insistant, je voulais connaĂźtre la rĂ©ponse Ă  ma question. - Non, c'est juste que parfois je ne me contrĂŽles pas.. - Pourquoi tu ne me l'a pas dit ? Il faut se soigner et.. - Mes raisons ne te regardent pas, mĂȘle toi simplement de ce qui te regarde, c'est tout, ne commence pas Ă  fouiner dans mes affaires. Il m'avait parlĂ© d'un ton si froid.. Pour dĂ©tendre l'atmosphĂšre, je dĂ©cidais de prendre l'un des coussins qui se trouvaient sur le lit, avant de lui lancer en pleine figure. Ce fut le dĂ©but d'une bataille de polochon, je pense qu'Ă  ce moment l'on ne pensait Ă  rien tout les deux, non, nous Ă©tions de simples amis. Je commençais Ă  penser que si nous nous Ă©tions rencontrĂ©s dans d'autres circonstances nous aurions pu dĂ©velopper une belle amitiĂ©. AprĂšs avoir fini, je lui posais la question fatale, oui je ne l'avais toujours pas oubliĂ©e cette question. - Tes amis comptent faire quoi de moi ? - Comment ? - Ne fais pas semblant de ne pas me comprendre. dis-je d'un ton agacĂ©. - Ne te prĂ©occupe pas de ça.. - Comment ? Tu veux que je fasses comme si je savais que le lendemain j'allais revoir ma mĂšre, lui faire des cĂąlins et.. - Tu veux vraiment savoir ? - A ton avis ? lui crachais-je. - Ils vont te et te tuer aprĂšs. Je fus abbatue. Il disait ça comme si c'Ă©tait quelque chose qu'il faisait tout les jours, livrer des femmes Ă  une mort certaine. Je ne m'Ă©tais pas trompĂ©e, cet homme Ă©tait bien un monstre. - VoilĂ  pourquoi je ne voulais pas te le dire, je savais que tu serais abbatue.. lança t'il. - Quoi, je devrais sauter de joie ? - Juste que j'aime pas te voir triste.. - Rassure toi, moi j'aime tout simplement le fait que je ne te verrais plus, dĂ©gage. - Ecoutes,.. - Tu ne comprends pas ? Je ne veux plus te voir, te parler, tu as gĂąchĂ© ma vie et tu veux que je t'Ă©coute ? - Laisse moi jus.. - Oui, laisse moi, c'est ce que je te demande. Il ne me rĂ©pondit pas et quitta la piĂšce, en prenant le soin de bien refermer la porte. Je sais, j'avais Ă©tĂ© injuste en ne lui laissant pas le temps de s'expliquer, mais Ă  prĂ©sent mes jours Ă©taient comptĂ©s, quant Ă  ces rĂȘves d'enfance que j'avais, Ă  prĂ©sent gĂąchĂ©s.. Le pire c'est que je n'ai mĂȘme pas eu le temps de dire adieu Ă  ceux que j'aime, donc oui, mes derniers instants seront et resteront les pires de ma vie. Moi qui m'imaginais mourir avec des cheveux blancs, accompagnĂ©e du sosie de Zac Efron comme mari, non je vais mourir jeune Ă  17 ans. Quelle fin. Durant 3 heures, je fis la liste de mes fantasmes les plus fous, de mes rĂȘves que je n'allais jamais rĂ©aliser, je pensais Ă  toutes ces chansons tristes que je voulais Ă©couter, Ă  toutes ces danses folles que j'avais rĂ©alisĂ©es avec mes amies.. Je n'avais pas mĂ©ritĂ© de mourir comme ça. L'on toqua Ă  la porte, c'Ă©tait Zayn, sĂ»rement, j'entendis sa voix Ă  travers la porte beugler "C'est bon, t'es plus fĂąchĂ©e ?", bien sĂ»r, il ouvra la porte, sans attendre ma rĂ©ponse. - Je t'ai fais quoi ? J'Ă©tais en piteux Ă©tat, tout ces souvenirs et ces rĂȘves m'avaient fait sangloter, mes yeux Ă©taient bercĂ©s de larmes, si bien que je devais cligner plusieurs fois des yeux pour Ă©viter d'avoir la vue trouble. - Ky..Kylie ? - Qu'est ce que je t'ai fait pour que tu me dĂ©testes Ă  ce point ? Il prit place prĂšs de moi, visiblement affectĂ© par mon Ă©tat pitoyable. Moi, Ă©nervĂ©e, lui donnait des coups contre son torse, ces coups n'Ă©taient pas bien forts, il m'avait trop affaiblie en me tirant toutes ces balles. - Excuse moi, petite soeur... Je cessa tout de suite mes pleurs, mes coups. - Tu, tu m'as appelĂ© petite soeur ? Notes de l'auteur Hello les Kyliens J'ai trouvĂ© le surnom qu'il fallait je vous ai fait attendre avec cette partie hein ? En plus de mon virus non soignable appelĂ© flemmardise, mon ordi Ă  eu un gros et gĂ©ant beug, du coup, j'ai pas pu tout faire. Bon alors racontez moi tout, cette partie vous a plu ? Je vous attends. *^* Au fait, il est possible que je parte pour la Normandie, du coup, j'aurais peut-ĂȘtre pas Internet, dĂ©solĂ©e. ' Chapitre 4 "Un cauchemar, un souvenir, ou un rĂȘve ?" - Tu, tu m'as appelĂ©e petite soeur ? Il tourna son regard vers moi, se rendant compte de son immense erreur. - Excuses moi, je.. Je me suis trompĂ© de personne. "Cette homme ne sait vraiment pas mentir." Pensais-je. Il avait marquĂ© un temps d'arrĂȘt dans sa phrase, ce qui pouvait exprimer sa gĂȘne ou tout simplement le fait qu'il cherchait un mensonge. C'Ă©tait mon psy qui m'avait appris cela, un psy que ma mĂšre avait convoquĂ© pour l'on ne sait quelle raison.. Ou tout simplement je ne m'en souviens plus. - Il est temps que tu me parles de toi non ? Tu avais une soeur ? - Excuse moi, je ne peux pas t'en parler.. Dit-il, sortant un papier de sa poche avant de le serrer. Le papier Ă©tait assez vieux, dĂ©chirĂ©, mais pourtant, on parvenait Ă  lire quelques mots. Lorsqu'il remarqua le fait que je visionnais son papier, il s'empressa de le ranger. - Je veux que tu me parles d'elle. Ce papier Ă  quelque chose Ă  voir lĂ  dedans ? Il hocha la tĂȘte. Cette histoire avait l'air trĂšs douleureuse pour lui, ses yeux devinrent rouges, et il serra de plus en plus fort ce mystĂ©rieux Ă©crit. - Excuses moi, je ne peux pas t'en parler, je n'y arrive pas. - Ecoute, je vois bien que tu souffres, pour je ne sais quelle raison, je vois bien aussi que cette soeur Ă©tait trĂšs importante pour toi, mais sache que pour te libĂ©rer de tout ça, tu dois en parler pour avoir la chance de l'oublier.. Ou mĂȘme de souffrir moins que maintenant. Dis-je. Et puis si tu ne veux que personne ne le sache, ce n'est pas un problĂšme, je ne serais plus de ce monde ! Je lui souriais, ce qui l'encouragea sĂ»rement Ă  me dĂ©voiler ce qui se passait. Il plongea sa tĂȘte dans ses mains, nous Ă©tions tout les deux devenus adeptes de cette position. - On habitait dans une maison, Ă  la forĂȘt.. Je vivais avec ma soeur, elle avait sept ans, et moi dix. Ma mĂšre Ă©tait femme de foyer et.. Il appuya sa tĂȘte contre ses mains, et reprit son souffle un moment pour pouvoir parler. - Et.. notre pĂšre nous battait, moi, ma mĂšre ainsi que ma soeur. J'arrivais Ă  subir, j'Ă©tais un peu le pilier de ma mĂšre et ma soeur. Si je m'effrondais, elles aussi s'effondraient. Ma bipolaritĂ© ne touchait que mon pĂšre bizzarement, ce qui me valut des coups en plus. Ma mĂšre voulait le quitter, mais mon pĂšre la faisait chanter. "Si tu me quittes, tes enfants quitteront ce monde." Ma mĂšre Ă©tait entiĂšrement soumise, et ma soeur trĂšs seules consolations furent l'Ă©criture, elle ne tarda pas Ă  exprimer toutes ces souffrances sur des bouts de papiers, que mon pĂšre, non, plutĂŽt l'autre bĂątard n'hĂ©sitait pas Ă  dĂ©truire. Un jour, ma mĂšre dĂ©cida de tenter quelque chose, pendant que mon pĂšre Ă©tait absent. Elle nous emmenait dehors et dit aussitĂŽt "Mes enfants, vous n'avez pas mĂ©ritĂ© de vivre une telle vie. Non, je vous offre la libertĂ©, fuyez chez votre tante, je ne peux pas vous accompagner, votre pĂšre appelera. Zayn, toi qui est si fort, protĂšges ta soeur, ne vous quittez plus des yeux." Nous pleuriĂąmes quelques minutes, nous savions que nous n'allions plus jamais revoir ma mĂšre. Nous partĂźmes, et une tempĂȘte arriva. Ma soeur se trouva bien vite sĂ©parĂ©e de moi, tandis que moi trouvais le chemin de la maison de ma tante. Je ne l'ai plus revue, et le seul souvenir que j'ai d'elle c'est... Ce petit bout de papier. Ma mĂšre est morte avec mon pĂšre, non, plutĂŽt ce ce Au fur et Ă  mesure, les larmes dĂ©gpoulinaient le long de ses joues. Je n'avais jamais vu Zayn pleurer, ce fut un choc pour moi. - Pourrais-tu me montrer ce papier ? Il me le tendit, sans m'adresser de regard. Je pus lire "Comment se fait-il que le monde aie peur de la mort ? La mort n'est qu'un rĂȘve, fermer les yeux, ne plus se rĂ©veiller, rĂȘver infiniment. Vivre dans le silence et au monde des rĂȘves, que demander de plus ? Non, moi je n'ai pas peur de la mort, je l'attends et impatiemment." Une larme coula le long de ma joue. Cette histoire est tellement triste.. Par rĂ©f.***, je pris Zayn dans mes bras. - Comment Ă©tait-elle ? Parmis cette horde de larme, je vis de dos, un sourire Ă©clairer de peu ce visage. - Elle te ressemblait beaucoup, tĂȘtue, sensible, susceptible, douce et innocente. Nous restiĂąmes un bon moment ainsi, je ne pouvais plus lui en vouloir, c'Ă©tait impossible. Il se leva subitement, se dirigea devant la porte et et agita la main. - Repose toi. Il me parlait avec ce petit ton agaçant et prĂ©tentieux que je dĂ©testais tant, avant de quitter la piĂšce. - MĂȘme quand t'es triste, tu es toujours autant Ă©nervant toi. Soufflais-je. Je m'emmitouflais dans la couette, et fis une sieste. " Cette petite fille, qui paraĂźssait avoir aux alentours de 6 ans courait, criant un nom que je ne pu comprendre. Elle hurlait, quitte Ă  se casser la voix, pleurant. Elle se mit Ă  genoux, les larmes continuaient de couler. La pluie s'abattait sur elle, ses vĂȘtements Ă©taient dĂ©chirĂ©s. Sa cheveulure brune collait son visage, ses jambes Ă©taient Ă©corchĂ©s, munies de quelques bleus. Elle entendit un cri, elle se leva et couru de toutes ses forces, coinçant son pied dans une branche. Elle fit donc de ce que l'on aurait pu faire en 5 minutes, 10 minutes. Un homme semblait la poursuivre, cette petite fille courait de plus en plus lentement. La fatigue et la douleur se mĂ©langeaient, elle s'arrĂȘta devant un grand tronc, et s'Ă©vanouit, semblant avoir perdu connaissance." Je me rĂ©veillais, il Ă©tait 8 heures. Je transpirais et haletais. Ce n'Ă©tais la premiĂšre fois que je faisais ce genre de cauchemar. Non, c'Ă©tais les cauchemars de mon enfance, voilĂ  pourquoi ma mĂšre avait appelĂ© un psy, pour comprendre la raison de tels cauchemards. Je n'eut pas le temps de rĂ©flĂ©chir plus, Zayn dĂ©barqua en catastrophe dans ma chambre. - Pourquoi tu hurles comme ça ? - Je.. Je.. La fille, elle courait et... - Calme toi, je ne comprends pas un traĂźtre mot de ce que tu me racontes, non, on en parlera demain, faut que tu dormes. Il s'apprĂȘtais Ă  refermer la porte quand je l'interpella. - Zayn, attends ! Restes avec moi.. Il me fit un petit sourire malicieux et vint me rejoindre. Je m'aggripais ausitĂŽt Ă  lui, et m'endormis sur le coup. Le lendemain, je me rĂ©veilla. Le cauchemar s'Ă©tait envolĂ©, comme si le fait que Zayn soit proche de moi Ă©tait la clĂ© de mes cauchemars.. Impossible. A mon rĂ©veil, j'Ă©tais au salon, avec Zayn qui avait dans les mains un bol de cĂ©rĂ©ales, regardant la tĂ©lĂ©. - Qu'est ce que je fais lĂ  ? - Je t'ai simplement ramenĂ©e au salon. - Et pourquoi ça ? Je ne t'ai rien de mandĂ© moi. - Sachant que quand je ne suis pas lĂ  tu hurles comme une folle dingue, il fallait bien que je sois Ă  tes cĂŽtĂ©s. - N'importe quoi toi ! Je fus vite coupĂ©e par la tĂ©lĂ©, par le journal. " Une adolescente de 17 ans portĂ©e disparue, aprĂšs une soirĂ©e. Sa meilleure amie, avait avouĂ© qu'elles Ă©taient parties toutes les deux sans autorisation Ă  la boĂźte de nuit de *****. Depuis, la jeune fille n'a plus rĂ©apparue, Ă  l'image, une photo d'elle ainsi que le numĂ©ro Ă  appeler." Je vis la photo et c'Ă©tait.. Notes de l'auteur Coucou les Kyliens ! Vous ĂȘtes de plus en plus nombreux merci! Alors dĂ©jĂ , dĂ©solĂ©e pour le temps que j'ai mis Ă  poster ce chapitre, mon ordinateur beugue trop ! Bref, j'ai trouvĂ© un ordinateur pour vous mes amours, c'est le plus important ! Alors, ce chapitre vous a plu ? Vous avez apprĂ©ciez cette dĂ©couverte du passĂ© de Zayn *^* Je veux tout savoir. Mp mes bĂ©bĂ©s. ^^ Coucou, 3 chapitres sont en cours d'Ă©criture et je dois penser aussi Ă  mes vacances et mon ordinateur qui beug.. DĂ©solĂ©e de vous faire patienter. Chapitre 5 "Je suis perdue..." Je vis la photo et c'Ă©tait.. MOI. Attendez, stop, pause, pouce, coupez tout. Cette fille lĂ , c'Ă©tait moi ? J'Ă©carquilla les yeux, maintenant on m'aurait confondue avec un poisson. Je me mis Ă  les frotter frĂ©nĂ©tiquement, croyant Ă  une illusion ou un truc du genre. Je jettais un petit coup d'oeuil Ă  Zayn, juste pour voir. Lui Ă©tait neutre. Il avait presque l'air ennuyĂ©. Je crois qu'il ne rĂ©alisait pas. "VoilĂ  une mĂšre ayant perdu sa fille, la mĂšre de la disparue." A l'entente de cette phrase, mon coeur fit un bond, mes yeux se remplis de larmes rapidement et mes oreilles se dĂ©collĂšrent pour mieux capter les paroles de la boĂźte magique. Je la vis, elle, mon modĂšle, cette femme forte que j'ai toujours admirĂ©. Cette femme avec qui je n'ai aucune ressemblance physique mais que j'ai toujours voulu ressembler mentalement. Elle Ă©tait appuyĂ©e par Linda, je n'aurais jamais cru que mon absence l'affecterait Ă  un tel point. "S'il vous plaĂźt.. Ma fille, Kylie me manque beaucoup, si vous la voyez ramenez la moi, je vous en supplie, que ce soit une question d'argent ou pas je vous donnerais tout ce que j'ai." Il n'en fallut pas plus, j'arracha des mains la tĂ©lĂ©commande de Zayn, et Ă©teignit la tĂ©lĂ©. C'Ă©tait trop. Je m'Ă©croula au milieu de la piĂšce, et me mit Ă  pleurer trĂšs fort. Je pensais Ă  chacun de nos moments.. Zayn voulut me consoler, il posa une main sur mon Ă©paule mais je le repoussa violemment. - Calme toi, c'est rien du tout. Quoi ? Alors lĂ , toute ma tristesse se trans a en rage incontrolable. Il avait osĂ© dire que ce n'Ă©tait rien ? Je me leva en un bond, et m'approcha de lui, le visage durcit de colĂšre. - Tout ça c'est de ta faute ! Tu te rends pas compte ? Ma mĂšre putain ! - Oh, c'est bon c'est.. Gifles, doubles gifles. Des gifles tellement fortes que j'en ai eu mal. Ces paupiĂšres ont changĂ©, et lui aussi avait eu le visage durci. C'est ce moment prĂ©cis que ma rage m'a quittĂ©, et que j'ai couru vers la cuisine. Bon, c'Ă©tait pas la meilleure piĂšce, mais la plus proche, mais elle n'Ă©tait pas Ă©quipĂ©e pour qu'on puisse la fermer, avant que je ne m'en rendes compte, Zayn s'Ă©tait aussi retrouvĂ© dans la piĂšce, avec une arme. Il se trimballe avec une arme c'est ça hein ? Il l'avait pointĂ©e cette fois-ci entre mes deux yeux, oui, j'avais signĂ© mon arrĂȘt de mort. Je ne sais pas pourquoi, mais Ă  ce moment lĂ  j'ai eu comme une force qui m'a poussĂ© Ă  me rapprocher. J'avançais Ă  petits pas vers lui. Et puis lui appuyais de plus en plus sur la gachette. "Je n'ai plus rien Ă  perdre." me rĂ©pĂštais-je sans cesse. Je me jettais aussitĂŽt dans ces bras, je lui ai fait un cĂąlin et j'ai pleurĂ©. Vous ne comprenez pas ma rĂ©action ? Rassurez vous moi non plus. Je ne sais pas c'Ă©tait un besoin, j'avais besoin de faire sortir toute la souffrance que je gardais en moi. Alors je le serrais de plus en plus fort. Et lui restais immobile, il avait relĂąchĂ© son bras, et aprĂšs quelques minutes laissĂ© son arme. Il m'entoura alors de ces bras musclĂ©s. - Pourquoi tu fais ça ? Notes de l'autrice Coucou les... Ahlala arrĂȘtez avec vos regards remplis de hhaine ! Peace mes Kyliens Peace ! Pardon de l'attente ordi qui beug au max et problĂšmes familaux. Pardonnez moi mes amours, venez me gronder en mp . <3 ABANDON DE L'HISTOIRE. Ohmydollz c'est plus ce que c'Ă©tait..
Alorsalors Dis-moi qu't'es restĂ© avec elle Tu m'disais: C'est la bonne et bordel, qu'elle est belle On refaisait le monde, sur le canap' de l'appart Maintenant j'voudrais savoir oĂč tu te caches sur la carte Alors alors On s'est promis de pas s'lĂącher, alors alors, et je crois bien qu'on s'est ratĂ© T'as changĂ© de numĂ©ro ou t'avais pas envie de me parler quand je t'ai appelĂ©, hein? Vous ĂȘtes en couple mais vous ne comprenez pas pourquoi votre homme vous prive de nouvelles ? Vous avez l’impression de ne pas pouvoir compter pour lui et vous aimeriez bien lui dire ? Comment faire rĂ©agir un homme afin qu’il vous Ă©crive ou vous appelle ? Il arrive parfois que les hommes prennent de la distance dans une relation. Si vous ĂȘtes dans cette situation et que cela dure plus longtemps que d’habitude, il est nĂ©cessaire de prendre des mesures afin de faire rĂ©agir positivement votre homme ! Mesdames, dĂ©couvrez-vite dans cet article, toutes les astuces vous permettant de faire rĂ©agir un homme afin qu’il s’implique davantage dans votre couple. Pourquoi les hommes ne vous donnent pas de nouvelles ? Vous pouvez imaginer que votre partenaire n’a plus de pensĂ©es ou de sentiments pour vous, mais pourtant, un homme aura parfois une bonne excuse qui pourra expliquer son silence. Il est nĂ©cessaire de ne pas s’emporter dans une communication Ă  sens unique ou de ne pas le mettre en porte-Ă -faux tant que celui-ci ne s’est pas expliquĂ©. J’ai longtemps Ă©tĂ© tentĂ© de dire que les hommes Ă©taient capables de faire deux choses en mĂȘme temps mais je considĂšre aujourd’hui que c’est plutĂŽt faux ! N’espĂ©rez pas recevoir de message s’il arrive Ă  destination pour un voyage professionnel car il aura du mal Ă  se repĂ©rer tout en pensant Ă  vous envoyer un SMS. De mĂȘme, si votre homme a une journĂ©e de travail bien remplie, vous ne recevrez aucune nouvelle. Il a besoin d’ĂȘtre concentrĂ© Ă  100% sur ce qu’il fait ou vit. NĂ©anmoins, il existe des astuces pour faire rĂ©agir un homme qui est trop distant Ă  votre goĂ»t. Est-ce que la dispute peut rĂ©tablir l’ordre ? Dans certains cas, pour faire rĂ©agir un homme, il est nĂ©cessaire de s’exprimer avec fermetĂ© sans pour autant aller Ă  la dispute. Toutefois, je vous invite Ă  prendre le temps d’exprimer vos envies, de bien faire passer votre message afin que votre homme comprenne vos attentes exactes et qu’il fasse avancer petit Ă  petit la situation. Ne vous attendez pas Ă  voir un changement radical du jour au lendemain car agir ainsi serait contre nature, surtout si votre partenaire est trĂšs indĂ©pendant. Au contraire, fĂ©licitez-le lorsqu’il fait un petit pas en avant et que vous sentez que cela va dans le bon sens. Prenez soin de lui donner envie de vous adresser des nouvelles et de ne pas voir vos attentes comme des contraintes, au risque de le brusquer et de le faire partir dĂ©finitivement. Soyez imaginative dans vos messages et ne rĂ©pĂ©tez pas tous les jours la mĂȘme chose. Soyez intĂ©ressante et demandez-lui en autant dans vos Ă©changes. Quelle attitude adopter pour faire rĂ©agir un homme ? L’exercice en coaching que je propose demande que vous vous munissiez d’une feuille et d’un stylo afin de trouver le message le plus clair possible que vous pourriez faire passer Ă  votre partenaire. Qu’attendez-vous CLAIREMENT de lui et de la nouvelle communication que vous souhaitez instaurer ? Prenez toutes les notes qui vous passent par la tĂȘte. Dans un deuxiĂšme temps, je vous demanderai d’imaginer la situation idĂ©ale, celle qui vous conviendrait et qui vous permettrait d’ĂȘtre rassurĂ©e. Une fois en tĂȘte, vous pouvez l’écrire lĂ  encore prĂ©cisĂ©ment. L’objectif est de prĂ©parer le dialogue avec pour mission de transmettre votre message et non seulement de Dire les choses ». Pour faire rĂ©agir un homme distant, il faut avoir un dialogue constructif, dĂ©tailler ses arguments et votre relation idĂ©ale. Attention cependant car il peut lui aussi demander Ă  ce que vous l’écoutiez et que vous compreniez ses arguments. Votre homme vous comprendra plus facilement et il pourra alors changer son comportement mais cela doit parfois aller dans les deux sens ! Il ne donne plus de nouvelles, est-ce que cela signifie qu’il est moins amoureux ? Lorsqu’un homme ne vous donne plus de nouvelles, il est lĂ©gitime que vous pensiez Ă  une perte de ses sentiments. Comme je vous l’ai expliquĂ© dans cet article, il y a de nombreux facteurs importants qui peuvent expliquer son attitude. Si vous avez l’impression que son comportement est trop rĂ©current, alors je vous invite Ă  prendre une lĂ©gĂšre distance pour retrouver une forme de dĂ©fi autour du dicton Suis moi je te fuis, fuis moi je te suis ». Par la suite, vous ne devrez surtout pas vous mettre en demande. Si il ne vous donne plus de nouvelle, ce n’est pas pour entendre des Je t’aime » ou encore Mais pourquoi tu ne m’écris plus », ce serait une attitude nĂ©faste par rapport Ă  votre situation. C’est tout l’inverse, moins vous allez vous plaindre pour proposer des moments agrĂ©ables et plus vous pourrez raviver la flamme entre vous. Vous savez dĂ©sormais comment agir pour reprendre le contrĂŽle et relancer le positif dans votre couple. Je vous souhaite sincĂšrement le meilleur et penser POSITIF 🙂 Bonne communication Ă  toutes. Votre Love Coach personnel pour savoir Pourquoi il ne me donne plus de nouvelles ? », Alexandre CORMONT Tas verrouillĂ© mes sentiments pour toi faut qu'tu l'saches Dis-moi comment faire pour me faire pardonner J'avoue j'ai pas Ă©tĂ© sincĂšre, j'ai pas tout donnĂ©, J'avoue j'ai fais l'fou, mon coeur j'suis dĂ©solĂ© Les sentiments restent malgrĂ© qu'tu m'as laissĂ© Et dis moi quoi dire, quoi Dis-moi quoi faire Je garderais espoir, nan je
NoxiousElle veut que j'quitte la tess, que j'arrĂȘte de vendre la cess Re-fouJ'suis dedans pour niquer la hess et pour changer mon adresseLe pognon, y a que ça Ă  faire, le bonheur, c'est la richesse Kichta Face Ă  ta meuf, t'es pas djib, je me demande ce qu'il t'arriveNous, on s'en sort comme on peut, j'vends le pilon et la beuhJ'arrive comme un mafieux, ça dĂ©gĂ©nĂšre, j'ai mon feuToujours un pied dans la street comme un putain de OGC'est nous les boss de la ville, c'est nous les boss de la ville[Refrain]Quand l'tĂ©lĂ©phone sonne, j'dis AllĂŽ »Car c'est sĂ»rement pour les pesosOuais j'suis perdu dans la zone, j'Ă©coute plus mi corazĂłnDĂ©ter' pour faire de la mailleQuand l'tĂ©lĂ©phone sonne, j'dis AllĂŽ »SĂ»rement pour les pesosJ'Ă©coute plus mi corazĂłn, ouais j'suis perdu dans la zoneDĂ©ter' pour faire de la mailleJ'fais les comptes Ă  zĂ©ro heure, j'espĂšre finir millionnaireFaut des millions d'auditeurs et j'fais ma loi comme sĂ©nateurDe-zĂ©, j'connais pas la peur, dans mon bled, c'est d'jĂ  la guerreIls font bosser nos mineurs et les assassinent aprĂšsY a des millions d'morts au CongoL'ordre est donnĂ© par les blancosChez nous, y a pas d'sot mĂ©tier, on s'applique dans le tail-dĂ©J'attends pas d'ĂȘtre retraitĂ© pour regretter c'que j'ai fait[Refrain]Quand l'tĂ©lĂ©phone sonne, j'dis AllĂŽ »Car c'est sĂ»rement pour les pesosOuais j'suis perdu dans la zone, j'Ă©coute plus mi corazĂłnDĂ©ter' pour faire de la mailleQuand l'tĂ©lĂ©phone sonne, j'dis AllĂŽ »SĂ»rement pour les pesosJ'Ă©coute plus mi corazĂłn, ouais j'suis perdu dans la zoneDĂ©ter' pour faire de la maillePas d'appel manquĂ© au bigo, je dois dĂ©crocherFaut la villa pour la mama, elle a trop charbonnéÀ la porte, y avait les huissiersOn veut le million d'euros, au bigo je dis AllĂŽ »La peugueuf est dans l'cello'J'suis toujours dans l'illĂ©gal, ma tipĂšre est yomb de moiJ'fais plaisir Ă  mes dĂ©mons[Refrain]Quand l'tĂ©lĂ©phone sonne, j'dis AllĂŽ »Car c'est sĂ»rement pour les pesosOuais j'suis perdu dans la zone, j'Ă©coute plus mi corazĂłnDĂ©ter' pour faire de la mailleQuand l'tĂ©lĂ©phone sonne, j'dis AllĂŽ »SĂ»rement pour les pesosJ'Ă©coute plus mi corazĂłn, ouais j'suis perdu dans la zoneDĂ©ter' pour faire de la maille
tun'as qu'Ă  lancer un rĂ©fĂ©rendumdum sur le sujet ( vi quand je crois en tenir une bonne je la rabĂąche , c'est un de mes rares dĂ©fauts ) Wesh papa Allo Tu rĂ©ponds pas tu saoules T'es oĂč? Allo J'ai besoin de sous, d'habits Allo L’école ça me rend fou, j'm'ennuie Allo, allo Wesh t'es jamais lĂ  Allo Ils disent tous que je suis riche car j'suis ton fils c'est chaud Ils t’écoutent tous ici c'est trop Rien Ă  foĂ»tre qu'tu sois une star j'veux mon pĂšre moi Allo, allo Fils, j'suis en voyage pour le taff Je m’arrĂȘte pas Clip, concert, studio J'finis tard ne m'en veux pas Fils faut des lovĂ©s bientĂŽt j'vais tout stopper 20 ans que j'suis dans le game tu grandis je nous vois pas Qu'est-ce qu'il t'manque t'as la Play, Asics, Piwi, Philipp Plein Tout ce que tu veux j'te le paye Mais sache qu'on a rien sans rien Tiens toi bien la vie c'est pas un film c'est pas Gomorra Attends j'dois raccrocher lĂ  je monte sur scĂšne rappelle-moi ! Wesh papa Allo Tu rĂ©ponds pas tu saoules T'es oĂč? Allo J'ai besoin de sous, d'habits Allo L’école ça me rend fou, j'm'ennuie Allo x2 Wesh t'es jamais lĂ  Allo Ils disent tous que je suis riche car j'suis ton fils c'est chaud Ils t’écoutent tous ici c'est trop Rien Ă  foutre qu'tu sois une star j'veux mon pĂšre moi Allo x2 Fils "so comman" parle moi de l'Ă©cole c'est quoi cette histoire J'ai pas de diplĂŽmes J'rendais inquiĂšte ma mĂšre seul Fais pas comme moi J'te laisserais jamais rapper J'te laisserais jamais tant fumer Jamais boire J'te laisserais jamais ĂȘtre moi ouais j't'aime trop pour ça J'sais qu'on rattrape pas le temps J'ai ratĂ© de bons moments Quand je suis la j'en fait trop J'essaye de combler le manque Dis Ă  tes potes que l'album arrive qu'ils s'inquiĂštent pas J'suis le papa qui a le plus de style avoue qu'je mens pas ! Wesh papa Allo Tu rĂ©ponds pas tu saoules T'es oĂč? Allo J'ai besoin de sous, d'habits Allo L’école ça me rend fou, j'm'ennuie Allo x2 Wesh t'es jamais la Allo Ils disent tous que je suis riche car j'suis ton fils c'est chaud Ils t’écoutent tous ici c'est trop Rien Ă  foĂ»tre qu'tu sois une star j'veux mon pĂšre moi Allo x2 La la la la la la x2 Wesh papa Allo Rien Ă  foĂ»tre qu'tu sois une star j'veut mon pĂšre moi Allo x2 La la la la la la x2 Dis Ă  tes potes que j'suis riche du cƓur je m'la pĂšte pas Laisse-leur Alonzo toi viens embrasser ton papa ! Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM Toutchange dans la vie.. ta famille, tes amies, et d'autres connaissances. Mais, ya des changements que t'aimerais vraiment Ă©viter, tu vois! En c'moment, c'est c'qui s'passe dans ma vie et, j'connais pas toutes les causes de ces changements; j'voudrais les savoir tu sais. Par contre, ya des changements que j'voudrais voir depuis quelques
[Couplet 1]Demande-toi pourquoi toi, des phases en kilosPourquoi pas un autre, pourquoi cette feuille, et pourquoi ce styloReprĂ©senter tes frĂšres ? Facile, pas d'inquiĂ©tudes, grandMais pourquoi tu t'en crois capable, et surtout pour qui tu t'prendsT'es qu'un mouton dans l'Ă©quation du thĂ©orĂšmeDeux rappeurs ne s'entendent que pour parler mal d'un troisiĂšmeLa route est longue, arrĂȘte de croire qu'les gars s'aimentTu lutteras d'ta premiĂšre rime Ă  ton premier chĂšque SacemFerme ta gueule et bosse ton rap, deviens grave fortPas besoin d'faire le mec hardcore si tu mets tout l'monde d'accordNe deviens pas ce jeune connard, aucun principeQui rajoute des violons, qui pense que sa merde est un classiqueN'Ă©coute pas tes nouveaux potes, c'est des soluces qui durent ap'Qui disent "Mon frĂšre, on est ensemble", qui disent "C'est plus que du rap"FrĂšre, les coups d'main c'est rare comme pĂ©ter l'million avant l'ĂągeNe cĂŽtoie les rappeurs que par intĂ©rĂȘt Ă  ton avantageTu crois en toi, accroche-toi Ă  tout ça, mais...Ne laisse jamais personne te dire "Jamais !"Cette musique c'est une maladie, tu peux pas faire l'deuil"J'arrĂȘte le rap !" c'est l'fossoyeur qui s'fout d'la gueule d'un cercueilSe jeter Ă  l'eau, comme un freestyle sur les quais d'SeineEt pourquoi toi sur cette affiche, qu'est c'que tu fous sur cette scĂšneSi t'as plus Ă  dire que les autres Ă©cris un bouquinSi tu choisis l'rap, imbibe de vĂ©ritĂ© ton messageSi on t'appelle "Sale imposteur", calcule pas ou nieTu prends des sous, t'sais pas rapper LaouniUn jour tu deviendras quelqu'un, Ă  un autre rangTout c'que tu peux, prends "Quoi ? Alors t'es devenu quelqu'un ?"Ils t'parleront d'ta concurrence, te laisse pas faireNe laisse, ĂŽ grand jamais, personne te dire c'que t'as Ă  faireC'est dans la vie comme dans l'rap, des bĂątards courtoisLe temps qu'ça dure, trouves-en un sincĂšre, vraiment content pour toiT'es fou toi ! RĂ©alise c'que tu vis, faut qu'tu captes !Les gars d'ton Ăąge tuent pour la paye, et toi on t'paye pour du rapDes p'tites sommes, mais pour les gars d'chez toi c'est l'LotoLe seum du RSA, derriĂšre les "Bsahtek, poto !"Tu croques le rap, les soucis tu laisses, ta citĂ© tu fuisNe dis jamais "Envie je n'ai pas, fatiguĂ© je suis"Ton caĂŻd n'est pas si mĂ©chantArrĂȘte de t'foutre de leur gueule c'est pas qu'du rap, mec, c'est la vie des gensAttends, attends... J'en suis lĂ  ! Yep !Fallait qu'ça pĂšte un jour, ma carriĂšre sent le sans-plombMiroir, miroir, dis-moi qui est le championSors le oinj' vite fait... Comme Ă  l'ancienne...Moi, j'dormais dehors, Jack et Daniel's sont mes seuls pistonsCe son n'a pas lieu d'ĂȘtre sans remercier Malik et FistonDes rĂȘves de misĂ©reux concerts, champagne et villaAu temps oĂč Karismatik ne s'appelait pas "Abdelillah"Cette grande Ă©poque, oĂč on pouvait s'appeler la mif', sans tarifRegarde c'que c'est devenu sans Djamal et sans LarifTrouver l'payeur quand c'est la gloire qu'on rançonneL'instru qui frappe, le rappeur cogne, et puis le tĂ©lĂ©phone qui sonne...[Transition]"- Ouais, allĂŽ ?- Ouais, allĂŽ, Sofiane ?- Ouais, ouais !- Ouais, c'est Karim le producteur de Sinik ! Tu vas bien ?- Ouais, ouais, et toi ?- Ouais, j'ai Ă©coutĂ© ton truc, on pourrait s'voir ?- Ouais, pas d'soucis !"[Couplet 2]À l'Ă©poque, Six-O-Nine c'Ă©tait plus qu'un espoir"Il commence son histoire", "On a kiffĂ© ton truc, on voulait t'voir"Le rendez-vous est pris, signĂ© en quelque sorteImagine un p'tit footballeur qu'a l'PSG devant sa porteCertains redoutent la gloire, plus qu'l'Ă©chec ils la craignentJ'ai compris qu'j'Ă©tais pas une fourmi quand j'ai rencontrĂ© la reineRefuser c'est d'la folie, trahir c'est gĂȘnantJ'ai choisi mon miroir, et ma conscience dit qu'la rĂ©ponse est "Nan"J'ai pas l'profil d'une victime, c'est chacun sa teamMon Ă©quipe c'est Kalla' et Nock-pi, mes amis intimesDis-neuf ans, dĂ©cider d'tout gagner ou d'tout perdreLogique de continuer avec ceux qui m'ont trouvĂ© dans la merdeNe pense qu'Ă  toi, le seul juge de c'que t'as souffertReste pas avec des mecs qui veillent Ă  c'que tu restes sous terreSi c'Ă©tait Ă  refaire, assurĂ©ment j'ferais autrementMais les choses sont telles qu'elles sont, et ce n'sera jamais autrementJ'Ă©tais l'enfant seul d'Oxmo, sans la peur des coupsJ'suis tellement d'la rue, que j'crois qu'j'ai accouchĂ© par une bouche d'Ă©goutPas pour l'oseille, j'voulais qu'ma musique t'appartienneSeulement changer la vie d'certains, comme certains ont changĂ© la mienneJ'ai cassĂ© les portes des radios, des freestyles partoutDe la voix, d'la prĂ©sence, du charisme j'arrache toutJ'sais qu'pour redĂ©marrer, ça prendra des moisMais la leçon est prise en vrai, la seule arme c'est moiLe mercato commence, te fous pas d'moi j'ai pas d'dreamFaire paniquer les gens c'est simple, comme un coup d'fil de La FouineFif a des couilles, Stick et Rap2Tess gĂ©-charJ'entame la Booska-Tape un peu comme un lion au milieu des chatsPour le peura, j'me suis rĂ©veillĂ© Ă  7hTrop modeste ou trop lent Ă  me rendre compte que j'leur faisais peurTrahis pas tes principes, ton idole n'est qu'un hommeLa rue n'est pas une pute qu'on peut trouver sur " Ă  l'espoir qu'la vie n'est pas si nulleVivre dans ses rĂȘves sans s'rĂ©veiller, ĂȘtre Ă  un doigt du ridiculeOn meurt adolescent alors qu'on sait s'taperUne femme, des gosses Ă©coute mon peura comme la deuxiĂšme vie d'un rescapĂ©[Couplet 3]J'ai fait la guerre de cent ans, Ă  remballer Jeanne d'ArcSi tu savais d'oĂč j'viens, pour moi le rap c'est Center ParcsDemande Ă  ma ville, j'suis qu'un rappeur sans apĂŽtresSi moi j'suis trop caillera, c'est mieux pour eux qu'ils aient pas vu les autresPerdre mes frĂšres, c'est l'Ă©tape que j'ai pas franchieLe mĂȘme Ă©quipe et 2011 signe le retour des affranchisSurprise comme l'apparition d'mes frĂšres dans ma tracklistIl ne manquait qu'Instrukshen pour complĂ©ter ma BlacklistEt la musique a parlĂ©, sorti mes roues d'ses bĂątonsCes chapes de plombs, ces plafonds, j'ai cassĂ© avec mon frontAvoir du poids c'est bien, savoir rapper c'est l'orVivant parce que j'suis fort si j'Ă©tais nul, j'serais mortJ'te conseille d'arrĂȘter lĂ  si t'as pas pris d'thunesCertains recherchent une major, Ă  l'heure pile oĂč on en fabrique uneCeux qui n'me connaissent pas diront "C'est qui Haada ?"INM Mafia oublie le passĂ©, tout dĂ©marre de lĂ J'vois les rappeurs horribles, j'vois les chanteuses horriblesSans potentiel, t'as dĂ©pensĂ©, t'as pas d'buzz ? HorribleLe rapport de la rue au rap, j'te l'donne en un coursJ'ai battu mon record avec mes treize bagarres en vingt joursLes labels veulent ma rime, les citĂ©s veulent ma tĂȘteLes rappeurs cherchent ma crĂ©dibilitĂ© quand j'aimerais faire la fĂȘteJ'crĂšverai pas pour le rap, pour une seule chose j'en bute unPersonne peut dire Ă  mes garçons "Ton pĂšre Ă©tait une putain"

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PARTIE 1 – À mes seize ans, le juge me dit “aujourd’hui, tu ne sors pas” »Ton enfance se dĂ©roule exclusivement Ă  Chevilly Larue ?Nan, je suis nĂ© dans le vingtiĂšme. Mais j’ai grandi Ă  Chevilly. À cinq ans, je vais Ă  Chevilly. Quinze ans de vie, c’est long Ă  raconterÇa se passe normalement, bon aprĂšs j’arrive Ă  un Ăąge oĂč tu dois ĂȘtre dans le cursus scolaire, oĂč tu dois ĂȘtre chez toi, oĂč tout doit bien se passer, tu dors Ă  huit heures ou neuf heures du soir. Moi, je suis plus chez moi et je vrille un peu. Y’avait rien d’extraordinaire, j’étais dans un quartier, on Ă©tait une petite dizaine Ă  traĂźner ensemble, y’en avait trois-quatre on Ă©tait un peu plus dissipĂ©s que les autres, rien de mĂ©chantQuel est ton rapport Ă  l’école ?En fait, je suis quelqu’un d’éclairĂ©, je suis vif d’esprit. À l’école ça se passe bien, du moment que j’ai envie de travailler. Tu sais, y’a toujours ce truc a de trĂšs grandes capacitĂ©s, mais
 », tu vois ? Donc oui, quand je voulais m’intĂ©resser oui. Mais peut-ĂȘtre que ça me soulait un peu... Bon aprĂšs je sais pas lĂ , ça revient loin Ă  cinq, six ans, sept ans, j’ai pas vraiment de souvenirs. Mais lĂ  oĂč je commence Ă  arriver au collĂšge, j’ai un peu de souvenirs et je commence Ă  en avoir marre, j’étais distrait par autre choseTu es trĂšs vite dĂ©scolarisĂ© ?J’ai Ă©tĂ© virĂ©, enfin non, j’ai fini mon annĂ©e scolaire. À la rentrĂ©e [suivante] je viens, et la principale me dit que je suis plus sur les listes. Vous m’avez pas virĂ©, y’a pas eu de conseil de discipline, y’a rien eu. Comment ça j’suis plus sur les listes ? Nan t’es plus sur les listes ». Ok, jusqu’à preuve du contraire, jusqu’à seize ans, on doit me trouver une autre Ă©cole. Je suis dans le 94, donc l’acadĂ©mie de CrĂ©teil elle doit me trouver une Ă©cole, c’est obligatoire non ? Ils m’ont jamais trouvĂ© d’école. J’ai des potes Ă  moi qui ont vrillĂ© beaucoup moins qu’moi, qui Ă©taient beaucoup moins fous que moi. Ils se sont fait virer de mon collĂšge conseil de discipline. On leur a trouvĂ© un collĂšge lĂ -bas, ils se sont fait virer, on leur a trouvĂ© un collĂšge lĂ -bas ils se sont fait virer. J’ai mĂȘme pas eu cette chance d’avoir un deuxiĂšme collĂšge moiAprĂšs par la suite, j’ai eu des problĂšmes avec la justice. Et j’avais un juge pour enfants. De treize ans jusqu’à dix-sept il me suit ; c’est le mĂȘme juge pour enfants, monsieur Lanquetin je m’en rappelle. C’était un bon mec. Il me place, je parle avec lui, il essaye de faire du social fais du box thaĂŻ, fais un peu de truc ». Il parle avec moi, c’est un juge pour enfants ; il me suivait aussi, dans le cadre de la pĂ©dagogie, c’était pas que pĂ©nal. Je lui dis que j’aime bien la restauration, il m’envoie Ă  ChambĂ©ry Ă  quatorze ans, faire un prĂ©apprentissage. Ça dure quatre mois, je fais des conneries, je me fais virer. Je repars trois mois aprĂšs, moi tout seul Ă  ChambĂ©ry, je vais habiter lĂ -bas. Je trouve mon appart’ et tout, moi je vais habiter lĂ -bas de moi-mĂȘme parce que j’aimais bien la villeT’as quatorze ans lĂ  ?À quatorze ans ouaisComment vis-tu le fait d’ĂȘtre en marge aussi tĂŽt dans ta vie ?Je m’en rends mĂȘme pas compte. Je m’en rends compte le soir, quand mes potos ils rentrent chez eux, et que finalement aprĂšs bon il reste que les majeurs dehors. Je vois qu’on n’a pas accĂšs aux mĂȘmes choses. Comme j’ai expliquĂ©, le cursus scolaire c’est un peu le lycĂ©e, c’est un peu les nanas, le sport ensemble, les activitĂ©s. Ou les sorties scolaires ; ils vont en Angleterre, tout ça. J’ai jamais connu tout ça. Donc lĂ  je me sens un peu diffĂ©rent. Je sens que y’a un truc, y’a un problĂšme. On se voit, c’est mes amis d’enfance, ça bouge pas. Mais quand je suis plus avec eux ils savent trĂšs bien que je suis un loup ; ils rentrent chez eux, mais ils savent trĂšs bien que moi [pendant ce temps] je nique tout. Ils savent trĂšs bien que je suis un loup. AprĂšs le soir j’ai mes autres potos, je connais un peu tout le monde dans la villeD’oĂč te vient cette attirance pour la rue depuis ton plus jeune Ăąge ?Ça je peux pas l’expliquer. Je sais pas, jusqu’à aujourd’hui je sais pas. C’est plus fort que toi. Parce que dĂ©jĂ  aujourd’hui, mĂȘme si je te le dis pas Ă  toi, j’aurais l’honnĂȘtetĂ© de me le dire, d’ĂȘtre honnĂȘte avec moi-mĂȘme, parce que j’ai un enfant. Donc, mes parents, je suis obligĂ© de comprendre leur situation – quand ton fils il dĂ©conne et t’essaye de comprendre pourquoi. Et que le petit il est lĂ , il te dit je sais pas ». Aujourd’hui, ne serait-ce que si je savais
 Je sais mĂȘme pasComment Ă©tait le modĂšle familial chez toi Ă  l’époque ?Je pense que ça c’est totalement faux, les modĂšles
 Pour savoir, faut vivre dans une autre famille, tu comprends ? Quand un oiseau il Ă©clore de l’Ɠuf, et qu’on lui dit qu’une tĂ©lĂ© ça s’appelle une voiture, il va grandir et croire qu’une tĂ©lĂ© ça s’appelle une voiture. Tu peux pas savoir si t’es pas confrontĂ© Ă  autre chose. Si on lui dit pas bah non, ça c’est une tĂ©lĂ© », [il ne pourra jamais savoir.]Moi mes parents, je les ai toujours respectĂ©s, ils m’ont toujours respectĂ©s, y’a de l’amour, c’est comme tout le monde. C’est pas qu’ils ont lĂąchĂ©, moi ils ont Ă©tĂ© prĂ©sents. Mon pĂšre il m’a vraiment cassĂ© la tĂȘte, jusqu’à plus savoir quoi faire. Mais aujourd’hui j’en ai conscience de ça j’ai un enfant. Tu le crĂ©es, tu veux t’investir pour lui et t’as mĂȘme pas un retour, il en a mĂȘme pas conscience. Alors qu’en vĂ©ritĂ© moi je les respectais mes parents, je les aimais mais c’était l’incomprĂ©hension totale. Mais c’est pas des caprices de riche, loin de lĂ Par quels moyens es-tu entrĂ© dans le monde de l’illicite ?J’ai volĂ©. La drogue, c’est venu tard. J’étais pas attirĂ© par ça. J’ai jamais Ă©tĂ© attirĂ© par ça de toute façon. AprĂšs c’est une question de survie, c’est une question de vie aprĂšs. Mais moi, je volais. J’escroquais un peu. Et aprĂšs j’allais braquer. J’étais pas conscient j’avais une enveloppe de treize mille francs, j’allais pas la cacher, je la gardais tous les jours sur moi. J’allais au restau, je ressortais, j’allais encore au restau alors que je venais de manger. J’allais Ă  l’hĂŽtel, j’allais Ă  La TĂȘte Dans Les Nuages, j’allais Ă  Aqua Boulevard ; j’étais jeune, j’avais treize piges. Et mon pĂšre il entendait ça, il me cherchait partout. Il l’entendait dans le quartier, ça parlait beaucoupEt ça c’était pour vol ? Pour quinze mille francs ?Ouais j’avais volĂ© quinze mille francs en espĂšcesTu avais quel Ăąge lors de ta premiĂšre incarcĂ©ration ?Ma premiĂšre peine c’est Ă  seize ans. En fait, j’avais un juge pour enfant. À quinze ans, j’avais soixante-dix antĂ©cĂ©dents. Je me souviens un petit peu. Mais c’étaient pas des affaires criminelles et Ă  l’époque, majeur pĂ©nalement c’était Ă  seize ans. Donc le jour de mes seize ans par contre, j’étais dans le bureau [du juge] et il m’a dit tu vas jamais sortir de ta vie ». Il a dit Ă  mon pĂšre je vous aime beaucoup, ça fait longtemps qu’on se connaĂźt, mais aujourd’hui votre fils il sort pas »Je rentre en prison, je fais un an. Je ressors, je fais un mois et dix jours dehors, je refais un an [en prison] encore. Je ressors, je retombe, lĂ  je fais deux ans et demi. Je suis dans l’incomprĂ©hension de la police, de l’État, Ă  l’époque ; j’en ai rien Ă  foutre. Mais [le juge] y’avait un truc particulier quand mĂȘme je le trouvais naĂŻf. Mais en fait aujourd’hui, j’ai de la maturitĂ© j’ai compris qu’en fait il croyait en moi. Soixante-dix antĂ©cĂ©dents, ça veut dire que j’étais plus de quarante fois dans son bureau pour une affaire. Et il me disait lĂšve ta main droite et dit “sur mon honneur que je recommencerai pas” ». Je lui disais putain, c’est ça aujourd’hui qui m’arrive ? ». Je levais la main et je le faisais. Mais je l’aimais bien le jour oĂč il m’a mis en prison, je ne lui en voulait pas du toutT’as pas eu l’impression de te sentir trahi ?Pas du tout. J’ai toujours Ă©tĂ© conscient tu joues, tu perds. Moi j’étais pas un garçon mauvais, j’étais attachantC’est terrifiant de se retrouver en prison pour la premiĂšre fois ?Peut-ĂȘtre Ă  vingt-cinq ans, peut-ĂȘtre Ă  vingt ans, peut-ĂȘtre Ă  seize ans aussi, je sais pas. Moi j’avais seize j’étais totalement inconscient, j’en avais rien Ă  foutre. À partir du moment oĂč t’es pas chez toi, dans le cocon familial – oĂč t’es protĂ©gĂ©, y’a de l’amour. DĂšs que tu sors dehors, c’est la mĂȘme chose, partout si demain tu te fais niquer c’est parce que tu croyais que tu maĂźtrisais. Dehors je reste qu’avec des loups. Et quand je suis en prison je suis qu’avec des loups, donc y’a pas de problĂšmeLĂ  tu parles chronologiquement, donc quand je te parle, j’ai seize ans dans ma tĂȘte. MĂȘme Ă  seize ans, quand je suis sorti de prison au bout d’un an, je trouvais que j’étais trĂšs mature comme garçon, pour quelqu’un de seize ans. J’avais conscience aussi j’ai jouĂ©, j’ai perdu, faut assumer. Moi j’ai jamais Ă©tĂ© un mec qui disait la police nique ta mĂšre ! ». Je sais me tenirEst-ce que la prison transforme les gens ?Oui moi je peux le dire, ça forge. C’est pas une fiertĂ©. Tout ce qui s’est passĂ©, mĂȘme le plus grand mal que j’ai pu faire dans ma vie, aujourd’hui je m’en sers pour avancer dans le positif, parce que je regarde ma situation actuelle. Si maintenant je fais le bilan d’hier et qu’aujourd’hui c’est la mĂȘme chose, ça sert Ă  rien, finalement j’ai rien compris. Donc, parlons pas que de la prison, parlons du fait que j’ai dormi dehors. J’ai dormi dehors, tout seulT’avais quel Ăąge ?Onze ans, douze ans, treize ans
Ça t’est arrivĂ© plusieurs fois ?C’est arrivĂ© plusieurs fois. Y’a des fois t’as de l’argent, des fois t’en as pas. J’ai une fiertĂ©, je vais jamais taper de l’argent ou je vais jamais demandĂ© de l’argent, jamais. Donc, ça m’arriveAujourd’hui, j’ai un toit. Comment t’expliquer ? Tu sais que si tu rentres des ronds, aprĂšs c’est personnel, t’achĂštes de la pierre. Tu te dis ça, plus jamais ». Donc finalement, ça c’est personnel, on n’est pas dans un truc d’apologie, c’est moi qu’ai souffert. Donc je me dis, oui ça moi putain moi j’ai connu moi. Plus jamais. MĂȘme moi si je meurs, mon fils jamais. ». Donc je me sers finalement de çaTu t’es dĂ©jĂ  dit cette fois c’est la derniĂšre » ?Oui, la deuxiĂšme fois. J’avais dix-sept ansTu t’es dit lĂ  je replonge pas » ?Ouais, c’était la premiĂšre fois donc c’était par rapport Ă  mes parents. Puis aprĂšs un mois aprĂšs je retombe. Maintenant je te parle de la deuxiĂšme fois oĂč je suis incarcĂ©rĂ©. La deuxiĂšme fois que je tombe mes parents ils viennent pas me voir. Quand t’es mineur, y’a que ça, les potes ils donnent pas les parloirs, aux potes mineurs. La deuxiĂšme fois mes parents ils ne viennent pas me voir, j’ai pas de parloir. Ils sont Ă©nervĂ©sComment tu le vis de ne pas avoir de visite la deuxiĂšme fois ?Je m’en rappelle mĂȘme plus. Mais comme j’y ai dĂ©jĂ  Ă©tĂ© une fois, j’ai fait un an, je reviens dans la mĂȘme prison un mois aprĂšs, j’arrive, j’appelle mes potos, ils me renvoient tout. Puis y’a le confort, y’a tout, on se dĂ©brouille. Moi c’est juste les parents, l’ignorance. C’est mes parents. J’ai privĂ© mes parents de quelque chose quand mĂȘme dans ma vie, c’est d’avoir le contact avec eux. Tu fais des enfants, c’est pour les Ă©lever. Je ne leur ai pas laissĂ© cette occasionTu t’en veux ?À mort, Ă  mortT’as l’impression de leur avoir enlevĂ© une partie de leur rĂŽle ?Exactement. DĂ©jĂ  moi je me suis enlevĂ© une partie, mais bon je suis responsable. Mais eux ils ont rien demandĂ©Comment t’expliques les aller-retours en prison ?Parce que je suis dehors, ça y est, j’appartiens Ă  la rueÇa veut dire quoi appartenir Ă  la rue » ?Ça veut dire que je vis dehors. Si je rentre pas chez moi, y’a un moment j’suis en total dĂ©calage avec la moitiĂ© de la population. Je suis dehors, c’est que j’appartiens Ă  la rue. J’ai fait un morceau dans mon album qui s’appelle La Rue » et quand j’explique ça c’est que c’est tout ce que tu sais faire au final. Putain, je sais que lĂ  elle m’aide pas au final, elle me donne pas Ă  manger. J’fais pour toi tu me le rends mĂȘme pas. J’en suis conscient mais je reste avec toi. C’est que, je te dis un truc j’ai un voile. Je t’appartiens. C’est çaPARTIE 2 – Pour arriver oĂč j’en suis, j’ai portĂ© mes couilles »Comment es-tu rentrĂ© dans le monde du rap ?Aujourd’hui j’ai travaillĂ© pour ça. Le rap, j’ai pas voulu en faire moi. C’est des amis qui sont en studio, j’essaye une fois. Et aprĂšs, par la suite, j’ai un ami Ă  moi, Mister You, qui rappe. [À l’époque,] il commence Ă  ĂȘtre dans un truc, y’a un engouement, il sait oĂč il veut allerVotre rencontre s’est faite en prison ?En fait, c’était vite fait. Il Ă©tait lĂ  deux mois. On s’est vus que un mois en fait. Je crois qu’il avait pris dix jours ou quinze jours de mitard. Moi ça faisait quatorze ou quinze mois que j’étais lĂ , j’avais Ă©tĂ© un peu au mitard. Lui, il tirait son chariot – je savais qu’il s’appelait Younes, on se disait bonjour – et je lui dis tu vas oĂč ? ». Il me dit je vais au mitard ». Je lui dis t’as jamais Ă©tĂ© ? », il me dit nan ». Je lui dis bon Ă©coute, comme ça, comme ça, comme ça, comme ça, mange ». Je lui ai expliquĂ© tu vas maigrir quoi qu’il arrive ». Mais quand il va au mitard, il est libĂ©rable du mitard. Mais quand t’es au mitard tu vois aucun autre ĂȘtre humain. Il me dit quand on se revoit plus tard t’es la derniĂšre personne physique que j’ai vu dans la prison. Tu m’as marquĂ©. Tout ce que tu me disais quand j’étais au mitard ça se passait. Je pensais Ă  toi »Explique-nous l’idĂ©e marketing de Mister You pour le projet “Prise D’otage”J’ai Ă©tĂ© rĂ©cupĂ©rer une plaquette. On l’a coupĂ©e, on a mis trois joints dans chaque CD. Mais le mec du magasin il savait pas. On lui ramĂšne les cinq cent premiers CD, et il nous rappelle. Et You’ il voulait pas dĂ©crocher. Il nous dit faut en ramener encore les gars ». Il savait pas. Donc je lui ramĂšne cent CD. LĂ  il rappelle et quand il rappelle il insiste trop, et You’ il veut pas rĂ©pondre. Je lui dit allĂŽ, tu peux passer me voir ? ». Il est venu, il m’a dit je comprenais pas ». Y’a des gens ils vont prendre dix euros on leur donne ça, dans la rue. LĂ  ils ont ça et le CD, il comprenait pas. C’est pas bien les gars, la police
 ». Nous on n’avait pas pensĂ© Ă  tout ça. Il nous dit la prochaine fois, je vais vĂ©rifier tous les CD ». Mais c’était une belle idĂ©e qu’il avait eu. C’est des beaux coups marketings, c’est comme ça qu’il faut marquer les chosesOn entend souvent Y’a pas de voyous dans le rap » Je suis le premier Ă  le dire, toute ma vie. Mais regarde, moi. AprĂšs, je vais pas le dire parce que c’est pas glorifiant, et je suis le premier Ă  avoir souffert, vraiment. Mais je connais pas la vie des autres. Mais combien m’ont dit tu vois ce mec-lĂ  ? C’est un haut-parleur poto, il raconte ta vie. Prends le haut-parleur et fais-le. ». Quand tu vas parler, dĂ©jĂ  on sait tout de suite. Ce serait faire le fou d’te dire ouais j’suis un gangster », je suis un mec normal. Mais voilĂ , moi pour arriver lĂ  oĂč je suis aujourd’hui, j’ai portĂ© mes couilles, c’est tout ce que j’ai Ă  dire. Et que celui qui dise que c’est pas vrai vienne me le dire en faceEt je revois des gens, on s’est vus y’a deux jours, beaucoup plus fous que moi, que je cĂŽtoyais Ă  l’époque. Et on boit un verre, on boit deux verres, on boit quatre verres et y’en a un il me dit wAllah il rappe lui ? ». Le mec il savait mĂȘme pas, pour te dire il Ă©coute mĂȘme pas de musique. Il dit wAllah il rappe lui ? Mais wAllah c’est un vrai cas sociaux vous savez pas vous ». On Ă©tait ensemble, seize ans on a fait la prison ensemble, on Ă©tait deux bĂ©bĂ©s braqueurs, il Ă©tait fou. Pour te dire, je sais de quoi je parleDans “Corleone”, les prods sont exclusivement faites par Kore ?Non, y’a trois ou quatre compositeurs sur l’album. Mais c’est Kore et la famille. J’avais tout Ă  disposition. Moi ce que je veux c’est manger. Tu me ramĂšnes Ă  manger, j’vais pas dire nan nan, moi je suis difficile j’ai mes habitudes, je mange un peu dans cette boulangerie, un peu dans celle-lĂ . ». Moi j’veux des balles qui rentrent dans le chargeur pour tirer. J’ai les balles, je tire. On me ramĂšne quatorze, quinze balles, je prends, je tireJe suis ouvert Ă  tout, j’ai une prod’ de Dayway sur mon album, qui n’a rien Ă  voir avec [mon univers]. J’étais servi, et Kore aussi est trĂšs fort. J’avais besoin de ça. Ce qu’il utilise quand il place des prods c’est Wale, c’est lĂ -bas, Rick Ross, bien sĂ»r que je veux en bĂ©nĂ©ficierAs-tu eu le droit au fameux tu as changĂ© » pour cet album ?Mais si tu me le demandes, c’est parce que t’es un mĂ©dia ou que t’as un avis personnel ?Non, moi j’aurais un avis personnel je te le dirais
J’y ai eu le droit, ouiQu’est-ce que tu penses de ça ?C’est complĂštement con. Mais vraiment complĂštement con. C’est comme si tu regardes la Tour Eiffel et tu t’dis putain, Notre-Dame c’est beau ». Tu sais mĂȘme pas de quoi tu parles. Quand je fais un morceau comme “Mon FrĂšre”, si tu mets pas d’émotion dans le morceau, ne fais pas le morceau. Dans le troisiĂšme couplet, si j’ai pas un moment oĂč y’a un pont, adouci, qui monte, pour faire ramener bien [l’émotion]Commercial ? J’ai “Les LovĂ©s” qu’est rentrĂ© sur Skyrock, “Le Glock” est rentrĂ© par la force des choses, l’intro est rentrĂ©e par la force des choses, et aujourd’hui Laurent Bouneau veut jouer “Barbade”. C’est-Ă -dire que “Corleone”, c’est pas un titre auquel Laurent Bouneau [croyait]. Je le respecte beaucoup, parce qu’il me donne du respect. Parce qu’à la base, c’est pas un morceau pour les radios ça. Mais un morceau comme “Corleone”, c’est du rap Ă  100%. Ça a commencĂ© dĂšs ce morceauParce que c’est quoi un morceau commercial ? “Tout Le Monde Veut Des LovĂ©s”, c’est commercial ? J’ai fait un morceau avec Cheb Najim, qu’est vraiment pas
 “Tout Le Monde Veut Des LovĂ©s” et ce morceau-lĂ , c’est vraiment incomparable. Mais c’est commercial Ă  mort. Personne me le dit [Ă  l’époque]. J’ai fait un morceau avec LĂ©a Castel, j’en ai fait plein des morceaux comme ça. MĂȘme Ă  l’époque avec Mister You sur “LibertĂ© Provisoire” on prend une instru house et on rappe dessus. Et c’est marrant, c’est du commercial, si vous appelez ça du commercial. Mon message c’est le mĂȘme, sauf qu’aujourd’hui j’ai des prods lourdes. C’est comme si tu manges chez Franprix, un jour je te dis tiens aujourd’hui je te fais un kif mange du truc », tu me dis ah putain, je kiffe », mais sur le Coran depuis le dĂ©but tu sais pas que tu manges du Franprix. Tu fais le mec qui dit moi je mange pas ça » mais tu manges du Franprix. Tu vois ce que je veux t’expliquer ? Je reste le mĂȘmeDonc tu assumes jusqu’au bout ?Pour devoir assumer, c’est qu’il y a un problĂšme. J’ai pas Ă  assumer quelque chose qui n’existe pas. Pour ĂȘtre honnĂȘte, je me suis cassĂ© le cul pour faire cet album. Et si vraiment j’avais voulu, je l’aurais fait en dix jours. J’aurais donnĂ© un EP comme “NĂ© Pour Mourir” – je l’ai fait en dix jours “NĂ© Pour Mourir”. Je l’aurais fait en dix jours, je l’aurais donnĂ©, ils m’auraient dit ouais, chant-mĂ© ». Je fais un album, pour moi c’est qualitatifDeuxiĂšme chose j’ai toujours proposĂ©, je suis un artiste, n’oublions pas. Mon public il grandit autour de moi, je ne suis la pute Ă  personne. Quand j’ai fait mon premier morceau, j’ai attirĂ© quelqu’un. Ça a grossi autour de moi, parce que je propose. Si aujourd’hui je suis Ă©nervĂ© je vais faire un morceau qui est Ă©nervĂ© ils vont dire putain, il Ă©tait Ă©nervĂ© ». C’est moi qui vous ramĂšne dans mon monde, non ? Je sors un projet, c’est un monde diffĂ©rent, je te ramĂšne dans mon monde. C’est pas toi qui va commander sur Internet. Ça veut dire que par exemple, ils disent pour le projet de Lacrim, je voudrais ça, je voudrais ça, je voudrais ça » et moi je te fais la musique ; je suis plus un artisteLe morceau “Oz” trĂšs important pour moi. C’est le morceau prĂ©fĂ©rĂ© de pas mal de gens finalement – malgrĂ© que les gens critiquent le Vocoder. Je peux pas faire autrement mon frĂšre, je peux pas faire autrement. Et dans le couplet, quand je parle de ma mĂšre, quand je parle de ça
 Je peux pas, c’est pas possible, faut mettre de l’émotion dans les choses. C’est un vrai morceau de musique. Et il est caillera de fouÀ ce titre, quels sont les retours sur ton utilisation du Vocoder ?DĂ©jĂ , je suis plus dans ce truc lĂ  normalement. Je suis un artiste, je viens, je dĂ©livre, je respecte mon publicAprĂšs, n’oublie pas que je sors de prison, y’a un gros buzz autour de moi. Y’a pas forcĂ©ment que mon public derriĂšre moi, y’a aussi les haineux, les gens qui prennent au premier degrĂ©. Moi je peux t’assurer que dans le top trois de mes morceaux avant mon album, “D’oĂč Je Viens” il fait partie de ce top trois. Dans “D’oĂč Je Viens”, y’a un pont de huit mesures Ă  la fin en Vocoder. Personne ne m’en a jamais parlĂ©. Je m’essaye. Quand je dit je m’essaye », ça veut dire attention les gars, je m’essaye, c’est pour bientĂŽt ». Quand je vais en concert, depuis que j’ai sorti cette musique, je pose le micro, je n’ai jamais cette partie-lĂ  en concert, jamais. C’est les gens qui la chantent. Je sais que quand ce morceau va arriver, faut que derriĂšre [je sois prĂȘt], parce que lĂ  Ă  la fin c’est chaud. Donc pourquoi aujourd’hui, t’as mangĂ© les pĂątes hier et tu dis j’ai jamais mangĂ© de pĂątes ». Pourquoi ? Je te crois pas poto. Mais t’es fou ou quoi ? Tu crois que je suis amnĂ©sique moi ?Par exemple, “Les LovĂ©s”, c’est un morceau qui est sur Sky’ ; y’a pas de Vocoder dedans. J’ai jamais fait du Vocoder pour gagner de l’argent. J’ai dit dans un freestyle on m’parle de Vocoder on dirait qu’j’suis Cheba Djenet ». J’suis pas un chanteur de raĂŻ, moi. Ils sont au nord, pour les battre, j’vais au nord / J’suis pas un repenti braquer dans une Audi / Rapper nos putains d’life sur quelques mĂ©lodies ». Ne m’en veux pas frĂšre, je fais de la musique, tu veux quoi ?Maintenant, le meilleur compromis pour moi pour fermer la gueule aux gens, c’est le morceau avec Durk. Il fait deux millions de vues en quatre jours, mais y’a beaucoup de haineux dans les deux millions. Sinon il aurait fait un million cinq cent mille. Donc cinq cent mille haineux ; je vous les donne. Mais moi, je suis pas fou dans ce que je fais. Si t’écoutes Lil Durk, si tu connais Lil Durk, si t’adhĂšres Ă  Lil Durk ; Lil Durk c’est du Vocoder. Et c’est un mec de la rue. Regarde bien, je suis un mec qui travaille. Je me dis, Lil Durk, je kiffe ce qu’il fait je fais pareil ». En France c’est balais dans le cul, moi j’ai pas de balais dans le cul. Je voyage, j’écoute de la musique. Les trucs de BPM Ă  88, 90, Alchemist, faut arrĂȘter les gars. Je parle avec des gens des fois ils me disent mais c’est quoi ce son de
 ? ». Personnellement, c’est pas les mĂȘmes prods que L’entourage moi, c’est pas les mĂȘmes prods que 1995. Faut arrĂȘter on est dans un truc, on Ă©volue, c’est de la musique. Faut ĂȘtre fraisDe toute façon, depuis “Faites Entrer Lacrim”, ceux qui suivent bien et qui connaissent ma musique, ils savent. Ils me le disent nan mais t’inquiĂšte pas, ton Ă©volution je l’ai sentie direct sur “Toujours Le MĂȘme”. “FaĂźtes Entrer Lacrim” c’est [le dĂ©but]. “Toujours Le MĂȘme”, je commençais Ă  arriver. Y’a le morceau avec Niro, oĂč je rappe comme c’est Lacrim et y’a le morceau “Dos En Or”, faut pas oublier il y a du Vocoder sur le refrain. Les gens ils en ont jamais parlĂ© de ça. Qu’est-ce que vous me voulez aujourd’hui ? Quel morceau, quel hit, pseudo-hit, j’ai fait ? Aucun. Quel morceau a marchĂ© pour le grand public ? “Tout Le Monde Veut Des LovĂ©s”. Y’a du Vocoder dedans ? Non. Le reste moi c’est des morceaux rap que j’ai voulu faire comme ça. C’est pas du commercial ma gueule, tu es fou toi ?Mais t’es sympa, faut que je me justifie comme ça. Tu me poses les bonnes questionsHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum

Putain [Bigflo & Oli:] Alors alors. Dis-moi qu't'es restĂ© avec elle. Tu m'disais: "C'est la bonne et bordel, qu'elle est belle". On refaisait le monde, sur le canap' de l'appart'. Maintenant j'voudrais savoir oĂč tu te caches sur la carte. Alors alors, on s'est promis de pas s'lĂącher. Alors alors, et je crois bien qu'on s'est ratĂ©.

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 AprĂšs un rapide coup d’Ɠil, je pu constater qu’il s’agissait d’Anya 
 Bon, vu que c’est elle, je vais rĂ©pondre 
 - Allo ?- Nathaniel ? Je te dĂ©range ?- Non non pas du tout. Qu’est ce qui se passe ?- Fait tes affaires, on part pour Hein ? Comment ca ?- Ta mĂšre veut te voir, elle a quelque chose d’important Ă  te Elle ne peut pas me le dire par tĂ©lĂ©phone ?- Visiblement non. Je suis dans le jet privĂ©, je suis Ă  Toussus-le-Noble dans 1h environ. A de Attends !Trop tard, elle avait raccrochĂ©e 
 Mais c’est quoi cette histoire bon sang ? Pourquoi partir Ă  New-York ? Qu’est ce qu’elle me veut l’autre en plus ? Bon, va falloir prĂ©venir Melvut que je pars, et que je vais avoir besoin qu’il me dĂ©pose Ă  l’aĂ©roport 
 D’ailleurs il est ou ce con ? Ah, sur le balcon entrain de parler avec sa chĂ©rie au tĂ©lĂ©phone. Comment faire pour attirer son attention sans le dĂ©ranger ? 
 Hum 
- HEY MELVUT ! Je pars Ă  New-York, tu peux me dĂ©poser Ă  l’aĂ©roport s’il te plait ?- Heu, attends Nate, deux secondes 
 Oui ma puce, oui je te rappelle, Nate a un truc important Ă  me dire 
 Non, pas autant important que nous deux, non, t’en fait pas 
 Mais non je te promets qu’il y a personne d’autre que toi 
 Mais oui 
 !Ptain mais le mec quoi 
 On dirait un petit chien lĂ  
 J’attrapa le tĂ©lĂ©phone, lassĂ© de l’entendre se justifier Ă  chaque phrases - Bon Dounia, no stress, il te trompe pas 
 T’es la seule nana qui s’intĂ©resse Ă  lui, ce qui est surprenant d’ailleurs. Bref, je te le fauche pour deux heures, il te rappellera. Ah et j’y pense, voilĂ  comment on expĂ©die une conversation vite fait bien Bon, je rĂ©sume vite fait la situation. Je dois partir pour New York, ma mĂšre veut me voir apparemment. D’ici une heure je dois ĂȘtre Ă  l’aĂ©roport. Tu peux m’y mener ?- Heu, bah oui si tu Merci l’ami, je te revaudrais ca. Bon, une bonne chose de faite. Maintenant fallait que je fasse mes affaires. C’était pas long, mais bon 
 Dans un sens, j’avais des centaines de fringues chez moi 
 Ca fait d’ailleurs longtemps que j’y ai pas mis les pieds en y repensant 
 J’étais parti de lĂ -bas Ă  14 ans pour venir vivre dans le sud de la France 
 Ca va me faire bizarre d’y remettre les pieds, et surtout de revoir ma mĂšre », que je n’ai pas vu depuis que je suis parti. Bizarre n’est-ce pas ? Que voulez-vous de toute façon, on choisit pas ses parents. Allez, trĂȘve de bavardage, direction l’aĂ©roport 
_________________DerniĂšre Ă©dition par Nathaniel T. Tsubasa le Jeu 14 Oct - 1435, Ă©ditĂ© 2 fois Nathaniel T. TsubasaAdminMessages 1621Date d'inscription 26/04/2010Age 33Localisation MarseilleFootball-LifeClub Paris SGPopularitĂ© 29/200NationalitĂ©s Japon-Etats-UnisSujet Re [Nate Tsubasa] Road to USA Ven 10 Sep - 446 Part 2AprĂšs une demi heure de route, une pointe Ă  190km/h dans un tunnel, un PV pour avoir grillĂ© un feu et un PV pour stationnement interdit, Melvut avait rĂ©ussi Ă  me mener Ă  l’aĂ©roport. Je ne pensais pas arriver vivant, mais bon. AprĂšs s’ĂȘtre saluĂ© tel deux amis qui se quittent Ă  tout jamais, Malvut reparti, la larme Ă  l’Ɠil. Ca va, pleure pas Melvut, je reviens dans pas longtemps 
 J’étais confortablement installĂ© sur un fauteuil quand un mec de la rĂ©ception s’approcha de moi, le sourire aux Excusez moi jeune homme, vous n’ĂȘtes pas dans un parc, je vous prierai de bien vouloir quitter les Pardon ? Belle maniĂšre de traiter les clients Client ? Mais oui, et moi je suis la reine d'Angleterre !- Nathaniel Tsubasa, fils de Reira Tsubasa, dirigeante des hĂŽtels La chaine d’hĂŽtels de luxe ?!- Bravo, monsieur est lĂ , la plus belle chose arriva - Ah ! Monsieur Tsubasa, content de vous Bonjour Monsieur De Un problĂšme ?- Cet homme veut me mettre Ă  la porte parce que je ne suis qu’un Ah bon ? 
 Gaston, vous ĂȘtes M’enfin !Et bam, dans les dents. J’adore la tĂȘte des gens quand ils apprennent que je suis le fils d’une femme qui possĂšde prĂšs d’un millier d’hotel Ă  travers le monde 
 Bon ok, on est loin des hĂŽtels Hilton, mais quand mĂȘme, ca en jette je trouve. Finalement, je vis Anya arriver au loin en courant, me faisant de grand signe. Elle manqua Ă  plusieurs reprise de tomber au sol, car courir avec des talons, elle n’avait pas l’habitude. Et puis encore une fois, le spectacle en valait le dĂ©tour. Je n’ai jamais vĂ©ritablement parler d’Anya, mais je vais rĂ©gler ce petit souci. Anya Vledasava est une russe qui est ma nourrice depuis ma naissance. Elle a 54 ans, doit peser 
 150 kilos pour 1m70 et que je considĂšre comme ma vĂ©ritable mĂšre. Donc vous comprendrez que la voir courir avec des talons, sa fait Nathaniel, dĂ©pĂȘche-toi ! Il ne faut pas perdre de Mais il se passe quelques choses de grave pour que tu sois autant pressĂ© ?- Non, mais les toilettes du jet son en panne et je dois aller aux 
 Ok 
Je la vis donc me passer Ă  cĂŽtĂ© en direction des premiers toilettes qu’elle put voir. A chaque fois que je prenais le jet de ma mĂšre, c’était jamais le mĂȘme. Je me souviens que l’ancien jet avait Ă©tĂ© abattu durant un voyage entre les USA et l’Australie, au dessus de l’Iraq. Un autre avait prit feu en plein air quand j’étais dedans aussi. C’était la premiĂšre fois que je sautais en parachute d’ailleurs. Et la derniĂšre je crois aussi. Bref, on avait environ 5h de vol si tout se passe bien, je vais en profiter pour dormir, vu qu’avec ce foutu dĂ©calage, j’allais avoir du mal 
 AprĂšs environ 5h de vol donc, j’entendis le pilote du jet nous annoncer qu’on allait atterrir. Enfin, j’en ai ras le bol de l’avion moi, je veux prendre l’air un peu. Nous voilĂ  donc Ă  l’aĂ©roport de Teterboro Ă  New-York 
 Maintenant, fallait partir Ă  la maison, l’Upper East Side. Revoir New-York me fit avoir une boule Ă  l’estomac 
 Revenir ici aprĂšs 3 ans, ca me fait bizarre 
 Ce qui Ă©tait bizarre aussi, c’était de reparler anglais 
 En France, j’avais totalement abandonnĂ© l’anglais pour apprendre le français, ainsi que quelques mots de turc pour emmerder Melvut, ou encore des mots d’arabes pour comprendre certaines personnes, que ce soit Ă  Marseille ou Ă  Paris 
 LĂ , reparler anglais, ca me faisait bizarre. Et ne parlons mĂȘme pas du japonais, que je pratique qu’avec l’équipe nationale ou quand je vais au Japon. Quoi qu’il en soit, j’étais enfin arrivĂ© sur place le Tsubasa Hotel, principal hĂŽtel de toute la chaine hĂŽteliĂšre de ma mĂšre
_________________ Nathaniel T. TsubasaAdminMessages 1621Date d'inscription 26/04/2010Age 33Localisation MarseilleFootball-LifeClub Paris SGPopularitĂ© 29/200NationalitĂ©s Japon-Etats-UnisSujet Re [Nate Tsubasa] Road to USA Lun 13 Sep - 2103 Part 3L’immeuble Ă©tait vraiment impressionnant quand mĂȘme 
 Et dire que j’y avais vĂ©cu pendant dix ans 
 Je connaissais les lieux par cƓur, et mĂȘme maintenant, je savais encore Ă  quoi pouvait ressembler l’intĂ©rieur de l’immeuble. Des lieux comme ceux lĂ , on ne les oublis pas. Je pouvais voir les gardiens devant l’hĂŽtel, deux colosses que ma mĂšre avait Ă  l’époque engagĂ© pour surveiller les lieux. Sergei et Kamui si je me souviens bien de leur nom. De mĂ©moire, il n’y a jamais eu de problĂšme avec eux. Deux mecs de plus de 2m pour plus de 150kg, ca fait reculer en simple signe de tĂȘte, Anya me fit comprendre qu’il fallait que j’arrĂȘte de rĂ©flĂ©chir et que j’entre 
 A peine eu je le temps de franchir la porte d’entrĂ©e que de lointain souvenir furent leur apparition 
 Ce hall, combien de fois j’avais pu y courir. C’est ici que j’avais fais mes premiers pas de footballeur aux USA, en me servant de deux canapĂ©s comme poteau et d’un pot de fleur comme gardien 
 Les rĂ©ceptionnistes et les grooms Ă©taient fous avec moi. Je faisais des conneries, mais ils n’avaient rien droit de dire, sinon ils risquaient leur place. C’était la bonne Ă©poque. Nous avions rendez vous au 29Ăšme Ă©tage pour rejoindre le bureau de ma mĂšre. AprĂšs quelques secondes dans l’ascenseur, nous Ă©tions enfin arrivĂ©s Ă  destination. Le 30Ăšme Ă©tage Ă©tait notre maison, un loft gigantesque avec une vue imprenable sur New-York. Alors que j’allais pour ouvrir la porte du bureau de ma mĂšre, la porte s’ouvrit sans que j’y touche. Un homme en ressorti et fut surpris de me Tient, tu dois ĂȘtre Nathaniel. Je suis content de te voir enfin. On aura l’occasion rapidement de se voir de toute façon 
Quoi ? Mais c’est qui ce mec ? Je vis par la suite ma mĂšre arriver en rigolant. C’était la premiĂšre fois que je la voyais rire. Je n’en revenais pas. Elle me passa devant sans mĂȘme me jeter un regard et se dirigea vers l’ Suivez-moi, on monte Ă  l’ bonjour maman. Ça fait 3 ans qu’elle ne m’a pas vu, et elle se contenta juste de me dire Suivez-moi ». Je rĂȘve 
 AprĂšs avoir tapĂ© le code d’accĂšs, l’ascenseur dĂ©bloqua l’accĂšs au dernier Ă©tage. Quand les portes se rĂ©ouvrirent, je fus surpris de voir la maison totalement submergĂ© de cartons, des cartons entreposĂ©s un peu partout. Mais qu’est-ce qui pouvait bien se passer ici ?!- C’est quoi ce bordel ?Ma mĂšre tourna la tĂȘte vers moi, et pour la premiĂšre fois depuis 
 fiou 
 des annĂ©es, elle me fit un sourire avant de me prendre dans ses bras. J’y suis, elle est malade, elle va quitter la maison pour un hĂŽpital. Ou pas remarque 
 Quoi qu’il en soit, la sentir me serrer contre elle, ce fut Ă  la fois trĂšs agrĂ©able, car dans mes souvenirs les plus lointain, c’était quand j’étais bĂ©bĂ© qu’elle me faisait ca, mais Ă©galement dĂ©rangeant 
 Pourquoi elle faisait ca ? J’étais son fils ok, mais ne pas me donner de nouvelle pendant 3 ans, je trouve ca juste totalement dĂ©gueulasse de sa Nathaniel, je suis heureuse de te Ah bon ? Je suis surpris de l’ Cela faisait tellement longtemps 
 !- Alors, j’ai vu que tu Ă©tais un petit prodige en France ?- Hein ? 
 Tu regardes le foot ?- Non pas tellement, c’est juste que j’entends souvent les grooms parler de Je me disais, tu ne pouvais pas faire ca de Si, j’ai fais des recherches sur internet pour un peu suivre ton PremiĂšre fois en 17 ans que tu t’intĂ©resses Ă  ce que je fais, c’est surprenant. Je pensais qu'il n'y avait que l’argent qui t’ Bon Nathaniel, essaye de faire un effort non ? 
 Je m’excuse pour mon comportement pendant tant d’ Mais oui voyons, un simple cĂąlin, quelques phrases, et tu crois que je vais oublier les 17 ans ou tu m’as ignorĂ©s ?- Tu me saoules, j’essaye de rĂ©agir comme une mĂšre et t’as vu comment tu me traite ?- Ma mĂšre c’est Je le sais, et d’ailleurs, je ne remercierai jamais Anya de t’avoir Ă©levĂ©. Mais laisse-moi une chance de me rattraper. Je veux avoir une vraie Avec un seul fils, tu parles d’une famille 
Alors que je faisais demi-tour pour rejoindre ma chambre, ma mĂšre m’ Nate, je vais me Nathaniel T. TsubasaAdminMessages 1621Date d'inscription 26/04/2010Age 33Localisation MarseilleFootball-LifeClub Paris SGPopularitĂ© 29/200NationalitĂ©s Japon-Etats-UnisSujet Re [Nate Tsubasa] Road to USA Jeu 14 Oct - 1550 Part 4Je ne rĂȘvais pas ? Elle avait bien dit qu’elle allait se marier ? Elle ? Nan mais qui voudrait d’elle sĂ©rieusement ? A part pour le fric, je ne vois pas qui pourrait s’intĂ©ressĂ© Ă  elle 
- C’est une blague n’est-ce pas ? Tu remplaces papa comme ca ? T’as pas honte ?! Bon, je disais ca, mais je m’en foutais de mon pĂšre. Enfin, dans le sens ou je ne l’ai jamais connu, vu qu’il est mort quand j’avais 5 ans et qu’il ne vivait pas Ă  la maison 
 Mais bon, si je gueulais, c’était pour le Tu sais trĂšs bien que j’aimais ton pĂšre !- Non justement, Ă  5 ans on ne comprend rien de tout ca 
- Laisse moi juste te le prĂ©senter quand mĂȘme 
 Il sera ton beau-pĂšre !- Super, manquerait plus qu’il ai des gamins 
- Justement, il en a deux, des jumeaux 
Bon, j’avais le choix soit gueuler mon mĂ©contentement tel un gamin de 10 ans, soit acceptĂ© d’ĂȘtre prĂ©sentĂ© Ă  lui 
 La premiĂšre idĂ©e m’intĂ©ressĂ© le plus, mais bon, par principe, j’allais accepter 
- Tss 
 Si ca te fait plaisir, alors bon, j’veux bien faire un effort 
- Merci Nate, merci 
 Tu vas voir, tu vas l’apprĂ©ciĂ© !- Ouais enfin on n’y est pas encore 
 Mais bon, j’ferais un effort 
Je sais pas ce que j’avais, mais bon, j’étais de bonne humeur 
 Dans le fond, le fait d’apprendre que j’aurai des demi-frĂšres me fit assez plaisir. Faut dire qu’ayant grandi seul, c’était un peu lourd 
 Dommage qu’ils arrivent aussi tard 
 - J’avais organisĂ© un repas ce soir, ils viendront vers 18h 
 Il sera lĂ  avec ses fils 
- Ok 
 Ah, j’y pense, il s’appelle comment le monsieur ?- Matthew Connait pas 
 - Ses fils sont Ah ouais ?- Ouais, c’est des acteurs Ah ok 
Acteur Disney ? Ca existe ca ? Nan mais Disney, ce n’est pas des dessins animĂ© d’animation ? C’est des personnages créés par ordinateur en gĂ©nĂ©ral non ? Ca doit ĂȘtre nouveau, des acteurs qui jouent dans des dessins animĂ©s 
 Enfin faut dire, que Disney, depuis que je suis en France, j’en regarde plus quoi 
 Mais bon, j’en apprendrais plus ce soir. Pour l’instant, direction ma chambre 
Bon sang, avec le temps, elle n’avait pas changĂ© ! Toujours pareil, dans un Ă©tat nickel, mes vieux jouets, mes vieux meubles, mĂȘme de vieux habits 
 Ca me rend nostalgique tout ca quand mĂȘme. Bon, j’avais pas prĂ©vu de fringue de marque pour ce soir, donc ma mĂšre qui voulait que je sois prĂ©sentable devra se contenter d’un maillot de foot de Chelsea ainsi qu’un simple jean. Alors oui je l’explique, vu que ca avait choquĂ© pas mal de monde Ă  Paris, oui, je suis un grand supporter de Chelsea, et oui, mĂȘme en Ă©tant pro, je porte des maillots d’autre Ă©quipe. D’autant plus que je porte pas le maillot de n’importe qui. Je porte le maillot de Frank Dieu » Lampard. Ce mec, ca serait mon rĂȘve de jouer avec lui un jour. Bref, sur les coups de 18h, l’ascenseur sonna et s’ouvrit 
 Bon, j’aime pas trop ca qu’un homme connaisse le numĂ©ro d’accĂ©s pour monter Ă  la maison, mais bon, je ne dirais rien. Je m’attendais a voir sortir un mec type homme super classieux, costard cravate, cheveux gominĂ©s et tout ce qui va avec 
 Mais non, mĂȘme pas. Je vis un mec, barbu, avec pas mal de ventre, de grosse lunette, avec un short et une chemise 
 Bref, l’inverse de ce que je m’attendais Ă  voir 
 C’était le mec que j’avais vu dans les couloirs dans l’aprĂšs midi 
 C’était bizarre, il Ă©tait totalement diffĂ©rent 
 Mais bon 
- Nate, voilĂ  ton futur beau Heu 
 enchantĂ© 
- Salut fiston, enfin, tu permets que je t’appelle de la sorte ?- *si je dis non ma mĂšre va me faire la gueule* Ouais pas de Content de te voir dans ce cas fiston. Mes gamins sont en bas, ils avaient oubliĂ© un truc dans la voiture 
- Nate, va donc les chercher non ?- Ouais s’tu veux 
Ptain, marre de faire le mec sympa et souriant. C’est pas mon style, avec ma mĂšre je suis tout le temps censĂ© ĂȘtre cassant et faire la gueule 
 C’est mon image d’ado qui est en jeu lĂ  ! Mais bon, j’étais assez impatient de rencontrer mes demi frĂšres 
 AprĂšs tout, mĂȘme si je le montrais pas, j’étais content, pour ne pas dire heureux. Des frĂšres, ou du moins des demi-frĂšres, c’était quelques choses que j’avais toujours rĂȘvĂ© d’avoir 
 Je descendu dans le grand hall de l’hotel, cherchant de vue deux jumeaux 
 Ptain, mais je sais mĂȘme pas Ă  quoi ils ressemblent 
 La loose total quoi, je sais mĂȘme pas comment ils sont censĂ©s s’appellĂ© 
 Quoi que 
 Il y avait un petit attroupement un peu plus loin, composĂ© Ă  90% de gamins 
- Bon, moyenne d’ñge, 10 ans. 95% de filles, ca doit coller 
 Star, disney, enfant, garçon 
 Ca doit ĂȘtre de me frayer un passage dans la foule quand je vis ceux qui Ă©tait donc censĂ© ĂȘtre mes demi frĂšres 
- C’est toi Nathaniel ?- C’est vous les jumeaux ?- Non non, on se ressemble comme deux goutes d’eaux mais on n’est pas jumeaux 
 - Alors je me suis trompĂ©. Je vous Nan mais ca va je dĂ©conne, c’est Je dĂ©connais Tu peux nous faire sortir d’ici ?- Ouais ca doit pouvoir ce faire. D’autant plus qu’il y a Justin Bieber dans la salle de gros cri ce fit entendre, les filles partirent plus loin en hurlant comme des On dirait que Bieber Ă  plus de succĂšs que vous les Il est lĂ  pour de bon ?- Aucune idĂ©e, tu voulais les faire partir, voilĂ  chose Bien Je sais. Bon suivez moi, on prĂ©sentations, j’adore ca. On Ă©tait donc en direction de l’ascenseur quand j’entendis un des deux me dire - Tu te fais pas engueuler Ă  Paris en portant le maillot de Chelsea ? - Heu 
 On me fait des reflexions simplement 
 Comment vous savez que je joue Ă  Paris ? - Bah attends, on s’est renseignĂ© avant de voir qui Ă©tait notre demi frĂšre 
- Pas faux. J’aurai bien fait de mĂȘme, mais disons que ma mĂšre m’a apprit votre existence y’a mĂȘme pas 5h. Je sais mĂȘme pas vos noms, c’est dire 
- Haha ! Moi c’est Dylan- Et moi c’est Bah moi c’est Nathaniel, mais je pense que vous le saviez Ouais, effectivement 
 Alors comme ca, t’es bientĂŽt pro ?- Ouais, j’vais faire ma premiĂšre saison avec les pros. - C’est la classe quand Ca le serait plus si tu jouais Ă  Chelsea quand J’aimerai bien jouer lĂ  bas vous savez 
 - Normal, c’est la meilleure Ă©quipe au Je amateurs de foot qui vivent en amĂ©rique, qui connaissent Paris et qui supportent Chelsea 
 Ptain, c’est bon Les mecs, je crois qu’on va bien s’ Nathaniel T. TsubasaAdminMessages 1621Date d'inscription 26/04/2010Age 33Localisation MarseilleFootball-LifeClub Paris SGPopularitĂ© 29/200NationalitĂ©s Japon-Etats-UnisSujet Re [Nate Tsubasa] Road to USA Jeu 14 Oct - 2315 Part 5 et fin La soirĂ©e se passait plutĂŽt bien. Dylan et Cole Ă©taient deux mecs vraiment cool. C’était la classe quand mĂȘme. Je suis fan de Chelsea, ils le sont aussi. Je suis fan de Lampard, ils le sont aussi. Beckham est mon idĂŽle, c’est leur voisin. Ptain mais c’est Ă©norme. Franchement, ca me faisait chier de devoir rentrer Ă  Paris le lendemain sur le coup. Mais bon, j’étais juste montĂ© pour la journĂ©e 
 C’était trop rapide. Mais bon, les vacances finissaient dans deux jours, et ce n’était pas une bonne chose de sĂ©cher les premiers entrainements 
 Quant Ă  mon beau-pĂšre, bah je ne savais pas trop quoi en penser. Il avait l’air sympa, et puis il faisait sourire et rire ma mĂšre. J’avais beau avoir de la rancƓur envers elle, elle faisait tout un tas d’effort pour se rattraper. Fallait que je fasse de mĂȘme, mĂȘme si c’était difficile. Sur les coups de deux heures du matin, la soirĂ©e se termina sur l’annonce de leur date de mariage 
 EtĂ© 2011 
 Ca fait loin, mais avant, je ne serais pas lĂ  a cause du foot, et les jumeaux seront sur un tournage de film sur leur sĂ©rie. Parce que oui, j’ai appris que maintenant, Disney faisait des sĂ©ries TV avec des humains. Enfin, j’avais dĂ©jĂ  vu certaines sĂ©rie, mais j’avais jamais fais attention que c’était fait par Disney. AprĂšs avoir Ă©changĂ© nos numĂ©ros avec les deux jumeaux, c’était prĂ©vu qu’ils passent me voir Ă  Paris pendant l’hiver, pour venir me voir jouer Ă  Paris. Ca sera l’occasion de plus faire connaissance et surtout vivre » avec mes futurs nouveaux frangins. En plus, aprĂšs avoir vaguement discutĂ© avec eux, ils m’ont promis de me prĂ©senter de jeunes amies chez Disney, et d’aprĂšs les photos que j’ai vu, y’a du niveau 
 ! Vivement l’étĂ© prochain moi je dis ! Le lendemain, en fin de matinĂ©e, aprĂšs avoir dit au revoir Ă  ma mĂšre, qui m’annonça au passage qu’elle viendrait sur Paris dans un mois ou deux, je parti avec Anya pour rentrer Ă  la maison 
 C’était reparti pour une saison Ă  Paris 
 Je crois que c’était la premiĂšre fois que je n’avais pas envie de partir de chez ma mĂšre 
 En plus cette fois ci, ce fut un vol dans un avion normal, pas via un jet privĂ© 
 Tant pis, il allait falloir que je me mĂȘle Ă  la foule de fan en furie 
 Ou pas. En plus, j’étais pas du tout Ă  cĂŽtĂ© d’Anya, et je me retrouvĂ© Ă  cĂŽtĂ© d’une nana qui avait un foulard sur la tĂȘte et une grosse paire de lunette 
 Elle se cache du monde ou quoi ? Bref, je n’y prĂȘta guerre attention, plongeant mon attention sur un livre que j’étais entrain de lire 
 L’autobiographie de David Beckham, un grand Fan de Beckham ?Je n’avais pas rĂȘvĂ©, la nana m’avait parlĂ© 
 Je pensais qu’elle Ă©tait en mission d’infiltration et qu’elle devait pas se faire voir 
 Dans ma tĂȘte mon scĂ©nario de guerre improvisĂ© avec cette femme dĂ©guisĂ©e en espion russe qui avait pour but de faire exploser le monde fut ruinĂ© elle me questionna en anglais 
- Plus que fan, c’est mon Tu rĂȘves d’ĂȘtre footballeur comme lui ?- Je suis dĂ©jĂ  footballeur 
 Mais oui, je rĂȘve d’avoir la mĂȘme carriĂšre que Footballeur ? Tu joues dans un club de quel catĂ©gorie ?- J’joue au Paris SG. Donc en Ah, pas mal. Je m’appelle Emma, et toi ?- Nathaniel, mais bon, je prĂ©fĂ©re passa une bonne parti du trajet avec cette fille Ă  parler de foot, d’école etc 
 Franchement, je connu pire comme voyage. Dans le couloir qui menaient vers la sortie de l’avion, elle me prit mon livre des mains et me nota ce que je dĂ©duisis par la suite ĂȘtre son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Et lĂ , ce fut la rĂ©vĂ©lation ultime. Je la vis sortir son passeport et le donner Ă  un mec plutĂŽt baraquĂ© qui Ă©tĂ© juste Ă  cĂŽtĂ©. Je vis furtivement son nom, et lĂ  
 putain ! DĂ©jĂ  que j’avais eu un bon week end, lĂ , ce fut le bouquet. Mais je prĂ©fĂ©rai fermer ma gueule et ne rien dire. Elle enleva ses lunettes et me fit un sourire - DĂ©solĂ© de ne rien avoir dit plus Heu 
 C’est pas Tu me rappelleras pour qu’on reparle de foot ? Je te rappellerai Ă  chaque fois que l’Angleterre est la meilleure nation au football !- Ouais si tu veux, moi je t’apellerai quand avec le Japon on les battra en finale de la Coupe du Haha ! Allez, bonne chance pour ta Merci, bonne chance Ă  toi pour tes projets vraiment la classe quand mĂȘme 
 Bon, fallait qu’on rentre 
 Merde mais elle est ou Anya ? A ce mĂȘme moment mon tĂ©lĂ©phone se mit Ă  sonner et je vis que c’était Anya qui m’appelait 
- Nate ? DĂ©solĂ©, j’ai vu que tu parlais avec une fille, j’ai pas voulu te dĂ©ranger. Je suis dans le taxi, je rentre. Tu te dĂ©brouilles pour rentrer ?- Ouais t’en fait pas, je me enfin c’est vite dit 
 Quoi que 
- Allo Melvut ? C’est Nate !- Ah Nate ! Comment tu vas ?- TrĂšs bien trĂšs bien. Dis, t’es occupĂ© lĂ  ? - Non pas du tout, je regarde la Tu passes me rĂ©cup Ă  l’aĂ©roport ?- T’es dĂ©jĂ  lĂ  ?!- Bah je suis parti Vendredi tu sais 
- Ouais mais rester que 2 jours 
 Bref, bouge pas, je suis lĂ  dans min ? Le pauvre, il va encore se prendre des PV pour excĂšs de vitesse 
 Faudra que je participe pour payer les amendes je crois 
 Et le pire, c’est qu’il eu raison. 10 minutes aprĂšs, il Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ , Ă  me faire de grand signe pour que je le la voiture, je lui raconta un peu tout ce qu’il s’était passĂ© pendant ce week end et je termina par ma rencontre improbable dans l’avion - Ptain, tu devineras jamais avec qui j’ai fais le voyage au retour dans l’avion !- Qui donc ?- Emma Watson !- Ah super ! T’en a de la Ouais mais le mieu dans tout ca, c’est qu’elle m’a filĂ© son num .- C’est Mais c’est qui en faite elle ?- 
Melvut, t’es vraiment trop con 
 !_________________ Curtis CrooksJoueur Semi-ProfessionnelMessages 662Date d'inscription 28/04/2010Age 32Localisation PerpignanFootball-LifeClub AFE 1e - ?PopularitĂ© 1/100NationalitĂ©s AmĂ©ricaineSujet Re [Nate Tsubasa] Road to USA Lun 18 Oct - 2331 -Melvut Erding, la bonne entente reigne entre vous et Mevlu, il est lĂ  quand vous avez besoin de lui et inversement. + 2 points-Anya, celle que vous considĂ©rĂ© comme une mĂšre qsue vous n'avez jamais eu, pense toujours Ă  votre bien avant tout, elle connais tout de vous et peut vous faire faire n'importe quoi. La preuve, vous ĂȘtes parti en avion sans savoir quoi que ce soit... + 4 points-Reira Tsubasa, malheureusement Anya est votre mĂšre que vous n'avez jamais eu, parceque Reira a passĂ© trop de temps Ă  s'occuper de sa chaine d'hotels. Elle n'est pas dans votre coeur comme vous aurriez l'espĂ©rer. Le fait qu'elle pense que tout peut s'aranger avec un simple calin montre que ce n'est pas une bonne mĂšre, - 3 points-Matthew Sprouse, il veux remplacer votre pĂšre Ă  vos yeux, ce n'est pas un trĂšs bon dĂ©but entre vous et lui pour le moment, - 1 point-Cole/Dylan Sprouse, le fait que les jumeaux soit de grand fan de Chelsea vous a rapprochĂ© remarquablement. Vous avez plein de points en comum, +2 points-Emma Watson, ce fut une charmante rencontre. le numĂ©ro ne semble pas ĂȘtre attribuĂ©, mais ce n'est sans doute pas une mauvaise chose... + 1 point_________________ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re [Nate Tsubasa] Road to USA [Nate Tsubasa] Road to USA Page 1 sur 1 Sujets similaires» [Nate Tsubasa] Vacances Ă  Marseille» [Nate Tsubasa] Ma mĂšre, cette saloperie» [Paris ~ Centre de Formation ~ ] Nathaniel T. TsubasaPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFootball-Life Corbeille RPSauter vers
Jvoulais qu'on puisse un peu kiffer, j'voulais qu'notre vie soit fantastique. J'voulais qu'on vive pleinement, j'voulais qu'on kiffe vraiment. J'voulais seulement te voir sourire, t'entendre rire plus souvent. Cette fois ça y est, j'crois qu'j't'ai tout dit ; cette fois ça y est, j'crois qu'c'est fini.
- Le numĂ©ro que vous avez demandĂ© n'est pas attribuĂ© ou n'est pas accessible, votre appel ne peut aboutir- Pfff... PutainAlors alorsDis-moi qu't'es restĂ© avec elleTu m'disais "C'est la bonne et bordel, qu'elle est belle"On refaisait le monde, sur le canap' de l'appart La suite des paroles ci-dessous Maintenant j'voudrais savoir oĂč tu te caches sur la carteAlors alorsOn s'est promis de pas s'lĂącher, alors alors, et je crois bien qu'on s'est ratĂ©T'as changĂ© de numĂ©ro ou t'avais pas envie de me parler quand je t'ai appelĂ©, hein ?Alors alorsEst-ce que t'as fini tes Ă©tudes ? T'avais plein d'rĂȘves, mais juste pas assez d'thuneJ'ai une liste de tout c'que j'voudrais direToi qui rĂ©pondais prĂ©sent quand on parlait d'avenirAlors alorsOn devait faire le tour de la TerreTu sais, moi, ma valise est encore prĂȘteEt si jamais tu nous reviens, est-ce que j'vais te reconnaĂźtre ?Faut pas qu'on laisse mourir nos promesses.. nonAlors alorsT'es oĂč ? Tu m'manquesC'est fou ! J'y penseChaque jour, j'te vois partout !Ils disent que tu reviendras pas, que t'es malade, que t'es mortJ'aimerais que tu sois lĂ , juste pour leur donner tordAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens ?C'est vrai, ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens ?C'est vrai, ça fait longtemps, qu'tu dis rienJ'ai cherchĂ© dans le quartier mais non, nonJ'ai fait le tour de la Terre mais non, nonJ'ai demandĂ© Ă  ta mĂšre mais non, nonPas d'nouvelles pas d'nouvellesJ'ai attendu tout l'Ă©tĂ© mais non, nonJ'ai espĂ©rĂ© tout l'hiver mais non, nonMais comme dit le proverbe, ah !Bonne nouvelleAlors alorsT'es parti, chercher ton Eldorado ?Tout le monde t'adore-adoreOn s'kiffait Ă  mort, amoreT'es peut-ĂȘtre Ă  Bora-Bora, en maillot ou en tongs La suite des paroles ci-dessous Si c'est une de tes blagues, celle lĂ  elle est trop longueAlors Alors, comment c'est ailleurs ?J'attends un SMS ou un pigeon voyageurY'a encore nos tagues sur le banc, lisibles et entiersFaut qu'tu vois comme la ville a changĂ©e..Alors alorsTu sais que je suis un peu rĂąleurT'as toujours eu du retard, t'Ă©tais jamais Ă  l'heure-Ă  l'heureAllĂŽ allĂŽ ? Y'a comme une latenceC'est plus que du retard lĂ , c'est une absenceAlors alorsDes nouvelles ? MĂȘme si elle sont mauvaisesJ'ai fait tous les hĂŽpitaux, appelĂ© tous les hĂŽtelsSi t'en as marre, dis le moi en face, cash !Tu sais, j'ai passĂ© l'Ăąge de jouer Ă  cache cacheAlors alorsFaut qu'tu sortes de ta planqueOn suffoque dans la penteOn supporte plus l'attenteJ'en ai marre, t'as tellement le dĂ©nouementEst-ce ça t'plait, de savoir que tu nous manques ?Alors, dis moi qu'est-ce tu deviens ?C'est vrai, ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est-ce tu deviens?C'est vrai, ça fait longtemps, qu'tu dis rienJ'ai cherchĂ© dans le quartier mais non, nonJ'ai fait le tour de la Terre mais non, nonJ'ai demandĂ© Ă  ta mĂšre mais non, nonPas d'nouvelles pas d'nouvellesJ'ai attendu tout l'Ă©tĂ© mais non, nonJ'ai espĂ©rĂ© tout l'hiver mais non, nonMais comme dit le proverbe, ah !Bonne nouvelleAlors, alors, alors, alors...Alors, alors, alors, alors... tu nous manques frĂ©rotAlors, alors, alors, alors... Ouais, on a cherchĂ© partout !Alors, alors, alors, alors... ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens?C'est vrai, ça fait longtempsAlors, dis moi qu'est ce qu'tu deviens?C'est vrai, ça fait longtemps, qu'tu dis rien Explication de “ Alors alors ” “Apres un premier album qui a rĂ©coltĂ© un franc succĂšs et a Ă©tĂ© certifiĂ© disque de platine, le duo Bigflo et Oli » est revenu en 2017 avec leur deuxiĂšme album la vrai vie ». Apres le clip du titre la vraie vie » et celui de personne » sur lequel on voit nos artistes aux cĂŽtĂ©s de Djamel Debbouze », ils nous offrent le clip de Alors alors » rĂ©alisĂ© par Bigflo lui-mĂȘme. Dans ce titre, nos frangins s'adressent Ă  un ami de qui ils Ă©taient proches et de qui ils n'ont soudainement plus eu de nouvelles. Ils Ă©crivent d'ailleurs en lĂ©gende de la vidĂ©o YouTube On a Ă©crit cette chanson pour un ami Ă  nous qui a disparu du jour au lendemain... On est parti faire le tour de la terre au sens propre en une semaine pour tourner ce clip ! On Ă©tait morts de fatigue mais ça valait le coup ! »Dans un clip dynamique, Ils font littĂ©ralement le tour du monde en une semaine. 44 heures de vol, 34826 kilomĂštres parcourus et trois grandes villes visitĂ©es New York, Tokyo, et Dakar. Autant dire qu'ils y ont mis tout leur cƓur. Ils reviennent sur tous ces moments qu'ils ont partagĂ©s, cette complicitĂ© qu'ils avaient ensemble. Ils ont cherchĂ© aprĂšs lui, attendu des nouvelles de sa part, mais final ils espĂšrent simplement que son absence de nouvelle soit une bonne nouvelle », et qu'il se porte bien est mĂšne sa vie vers un bon cap. De notre cĂŽtĂ©, on savoure le titre et le clip tout en se demandant s'il a reçu le message de nos deux toulousains. Les internautes qui ont aimĂ© "Alors alors" aiment aussi yi2Ng1.
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